Alice est fan de France Gall depuis l'enfance. Elle passe ses nuits sur internet
à lire et relire ses interviews. Elle se raconte en boucle le biopic de
l'artiste, miroir de sa propre histoire, reflet de sa solitude.
À travers l'oeuvre de la chanteuse, c'est l'histoire contemporaine de la jeune
femme qui se raconte.
Le spectacle, en cours d'écriture, prend appui sur des récits de fans, des
documentations youtubesques, des paroles de
chansons et des témoignages de ruptures amoureuses.
Site web :
https://www.helloasso.com/associations/jetzt/evenements/mon-coeur-est-grave-dans-mes-chansons-14-juin-20h
03mei
-04mei
4 Rue Édouard Vaillant, 93100 Montreuil, France
Description
Comédie grinçante et féroce, où fiction et réalité se superposent. Qui n'a jamais été victime d'un patron sans scrupules, d'un DRH inhumain, d'un conseiller Pôle Emploi déroutant? Après son licenciement, son passage à la Maison de l'Emploi et une séance de coaching insolite, les tribulations de Madame Michaud vous entraineront vers un entretien d'embauche un peu particulier, face à une DRH aveugle dont la stratégie de communication confine au mysticisme. Très vite, l'enjeu professionnel disparait au profit de questions existentielles, à la fois loufoques et inquiétantes. Entre grotesque, poésie, hystérie et questionnement philosophique, cette pièce dessine une comédie acide et déjantée où tous les moyens sont bons pour parvenir à être soi même.
Date info
Du vendredi 3 mai 2024 au samedi 4 mai 2024
19h30 • 20h30
Tickets
Info:
A partir de 16.00 €
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3 propositions Il y aurait un lien entre ces trois propositions : ce serait
l’écriture.En suivant les traces laissées par celles et ceux qui ont accepté la
vocation d’écrire -à travers les siècles, à travers notre siècle- nous tenterons
nous aussi, pas à pas, de nous écrire…de nous écrire une histoire. Pierre
Guyotat et Charlotte Delbo sont toujours parmi nous : disparus si récemment
(elle en 1985 et lui en 2019) que la chaleur de leurs souffles nous environne
avec l’air que nous respirons. Les ombres qu’ils côtoyèrent nous parlent par
leurs voix, aussi distinctement qu’elles criaient à leur oreille. « À la lueur
de nos palais brûlants « : paroles d’Andromaque rappelant à Céphise le saccage
de Troie … Et le feu nous en parvient encore à travers les siècles, comme un
foyer de notre mémoire commune. IDIOTIE du 16 au 19 maiSPECTRES du 23 au 26
maiPALAIS du 30 au 02 juin – IDIOTIE (Pierre Guyotat).Je serai seul, avec ce
fragment d’autobiographie d’un écrivain à son début, qui est aussi,
inséparablement, le chant meurtri de notre moderne humanité.Du 16 au 19 mai –
SPECTRES (d’après Charlotte Delbo).En compagnie de Jany Gastaldi, étoile de
notre théâtre, nous prélevons quelques fragments dans les pages d’une femme au
destin hors du commun, à qui l’écriture, le théâtre, auront donné de survivre à
la traversée des camps de la mort.Du 23 au 26 mai – PALAIS (Rilke, Hölderlin,
Pessoa, Woolf, Gertrud Kolmar, Constantin Cavafy, Ilarie Voronka, Henri Michaux,
Jean Racine…).Un chœur : musiciennes et musiciens, actrices et acteurs, nous
écrivons comme autant d’étoiles survenues sur le théâtre au hasard des
rencontres, une fragile et douce cosmologie. Poèmes, chansons, paroles perdues…
Palais d’un jour. « Parce que sur eux les souffles du ciel se penchent »…Du 30
mai au 02 juin Tout public à partir de 12 ans Auteurs Idiotie de Pierre Guyotat,
Spectres d'après Charlotte Delbo, Palais (poèmes, chansons, paroles perdues...)
de Rilke, Hölderlin, Pessoa, Woolf, Gertrud Kolmar, Constantin Cavafy, Ilarie
Voronka, Henri Michaux, Jean Racine... Mise en scène Matthieu Marie Avec
Sabianka Bencsik, Marc Berman, Stephen Butel, Valentine Catzéflis, Gabriel
Dufay, Mahdokht Karampour, Nathalie Kousnetzoff, Matthieu Marie, Elâ Nuro?lu,
Stéphane Valensi, Jonas Vitaud.
THEATRE DE L'EPEE DE BOIS présente D’une fâcheuse actualité, d’une brûlante
urgence, écrit en 1955 dans un contexte qu’on aurait souhaité révolu
aujourd’hui, ce texte lyrique et poétique, est une réflexion sur l’histoire
scandée aux rythmes africains pour retrouver l’enthousiasme, la colère de
Césaire, et nourrir nos débats sociétaux.
d’après Feydeau et Lars Norén conception et mise en scène Émilie Anna Maillet
Pourquoi marier Feydeau et Lars Norén ? Cela peut sembler incongru de
rap-procher l’espièglerie du premier avec la violence et les répliques
cinglantes du second. Et pourtant cela crée des frictions intéressantes pour
questionner la place des femmes dans la société aujourd’hui. En télescopant
l’univers bourgeois de la fin du XIXe – avec en toile de fond les premiers
mouvements des suffragettes – et le discours féministe post 1968, Émilie Anna
Maillet fait exploser les attentes des codes sociaux. Les relations
hommes/femmes prennent une nouvelle dimension. Celle qui semblait cantonnée à
son rôle de représentante de son mari est peut-être la vraie révolutionnaire de
l’histoire, celle qui renverse l’ordre social par sa nudité facétieuse. Renvoyée
de partout, il va bien falloir qu’elle trouve sa place dans l’appartement et
dans la cité. Les boucles textuelles de Feydeau recoupent ingénieusement celles
de Norén jusqu’à la névrose et l’emballement sur scène. Tous les personnages se
battent pour exister, pour gagner à tout prix. La publicité de soi s’immisce
dans chaque interstice. Plus d’intimité possible. Et comme les esprits
s’échauffent, il faut se rafraîchir coûte que coûte ! avec Arthur Chrisp,
Sébastien Lalanne, Denis Lejeune, Marion Suzanne, François Merville à la
batterie et Noé Mercklé au cadrage vidéo Jean-François Domingues, Maxime
Lethelier musique François Merville lumières Laurent Beucher assistanat à la
mise en scène Clarisse Sellier scénographie Benjamin Gabrié construction du
décor Yohann Chemmoul et les Ateliers de la Comédie de Saint-Étienne avec la
participation vidéo de David Migeot, Fabrice Pierre, François Kergoulay
THEATRE DE L'EPEE DE BOIS présente EXPLOSIF raconte l’histoire d’une génération
en crise, cet âge fragile qu’est l’adolescence, avec ses rêves et ses doutes,
ses joies, ses histoires de cœur, ses rivalités, ses déceptions. Mais aussi
l’amitié et les premières amours, les rapports de pouvoir entre camarades de
classe, le harcèlement scolaire, le désir de popularité. Élise Wilk propose une
réécriture très libre, intelligente et dynamique de la célèbre tragédie grecque
Les Bacchantes d’Euripide. La cité devient un lycée d’aujourd’hui où l’arrivée
d’un nouvel élève, Denis, élève brillant, mais indiscipliné, provoque des
turbulences et des désordres de plus en plus exacerbés. Denis est un Dionysos,
c’est l’envahisseur, le libérateur, coupable idéal de la perte de l’innocence.
Penthée, le roi de Thèbes, devient ici le délégué de la classe, il refuse de
vouer un culte à la nouvelle idole du lycée. Agavé est maintenant la psychologue
de l’école. Élise Wilk excelle dans l’art de dépeindre la condition adolescente
contemporaine. Ses personnages tentent de se débattre dans un environnement
scolaire hostile, où règne la division entre bandes, l’agressivité et des
relations familiales toxiques. Dans EXPLOSIF, elle ausculte avec beaucoup de
finesse et de tendresse les incertitudes, les rêves et les craintes inhérentes à
cet âge tout en proposant une réflexion lucide et poignante sur les effets de
l’autorité, de la pression de la performance scolaire et du manque de
communication dans la famille sur l’équilibre fragile des adolescents. Entre
mythe et contemporanéité, Élise Wilk tisse sa trame autour de quatre
protagonistes : Penthée, fils soumis et élève modèle ; Agavé, qui de psychologue
scolaire va devenir victime et matriarche agonisante sacrifiant son propre fils
Penthée ; Denis, dieu contemporain révolté et idole pop-rock du lycée ; le
Proviseur, peu à peu annihilé et soumis au maléfique Denis. Personnalité
dominatrice, tyrannique et explosive, Denis met en branle une mécanique
infernale, manipulant ses victimes, ensorcelant camarades et professeurs. Un
destin implacable conduira les personnages à leur perte. Seul Penthée tente de
se soustraire à ses griffes, à son propre détriment, il deviendra de plus en
plus isolé, désespéré, vulnérable jusqu’à commettre l’irréparable : le suicide.
Avec sagacité, Élise Wilk orchestre un chœur de lycéens qui vivent comme dans
les films et qui ont assimilé tout un tas de représentations culturelles qu’ils
ne remettent jamais en question. Auteur Élise WilkMise en scène Lisa WurmserAvec
Valérie Haltebourg, Matisse Humbert, Pierre Lefebvre Adrien, Gwenaël Mettay,
Diana Sakalauskaité, Pascal Vannson
Le Figuier Blanc présente (L-R-2020-007178/96/61) ce spectacle. LES VAGUESDans «
Les vagues », Virginia Woolf esquisse les cheminementsindividuels de différents
personnages pris à chaque étape de leur vie, ensuperposition aux variations
atmosphériques d’un paysage marin décrittout le long d’une même journée.Ici, le
temps traverse les humains et les paysages comme il est traversépar eux,
unissant le microcosme et le macrocosme dans une mêmeénergie faite de rythmes,
de respirations, d’intensités et de basculements. Informations pratiques :Le
Figuier Blanc et la Cave sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Annoncez votre venue pour profiter d'un meilleur accueil.Réservation PMR :
0134235800Accès :-Par la route : autoroute A86,A15 | sortie Argenteuil Centre-
Par le train, départ gare Saint Lazare - arrêt Argenteuil
Au Japon, des dizaines de milliers d'individus se retirent du monde pour vivre
dans un isolement absolu, restant enfermés chez eux pendant des années. On les
appelle les hikikomori. Shizuka, Mastuda et Yagi, trois hikikomori en phase de
resocialisation, investissent la scène grâce à des robots de téléprésence
pilotés depuis leur chambre au Japon. Les technologies numériques à actions
live, image cinématographique, son enregistré à sont au c'ur de cette création
inédite qui permet une rencontre en direct avec trois hikikomori au Japon. La
scène devient un espace troublant pour le public installé au plus près du
dispositif, bousculant nos rapports à la virtualité, au corps vivant et à la
présence.
Encuentro Tango Quinteto est une formation riche en sensibilités, couleurs et
mouvements, un ensemble porteur d'harmonies nouvelles dédié au tango. Leur
musique, mêlant compositions originales et reprises des grands classiques,
invite à l'évasion et à la danse, offrant une note très personnelle. Cette
formation de cinq artistes exceptionnels, passionnés de Tango, propose un
répertoire subtil entre les classiques argentins et de nouvelles créations.
Dans une nuit parisienne à la lueur d’un réverbère, une jeune femme rencontre
Virgilio. Un moment suspendu où les “invisibles" surgissent... Virgilio est un
“invisible” : les passants le frôlent sans le regarder, sa présence n’affecte
pas le mouvement indifférent de la rue. Cette nuit sera comme toutes les
autres…Non, cette nuit sera unique… Nous rencontrons Virgilio dès le début de la
pièce lorsqu’il s’installe dans le cône de lumière d’un réverbère pour y passer
la nuit. Arrive Marie, jeune femme bien mise, visiblement perdue, qui finit par
se poser près de lui pour entamer un dialogue inattendu qui s’étendra jusqu’au
bout de la nuit. Cécile, autre âme errante de la nuit, donnera une version
féminine de l’effrayante réalité de la vie dans la rue. Peu à peu les mots
construisent l’étoffe de l’histoire de chacun et révèlent la pesante et commune
solitude des deux protagonistes, les souffrances en écho, leurs tentatives de
rédemption et leur lutte pour laisser une trace dans un monde qui les ignore.
Petits morceaux de nous, nous les voyons perdre abandonner. La lutte est aussi à
mener contre eux-mêmes et Virgilio affronte le Démon qui, sous la forme d’un
pantin macabre, l’entraîne, le réconforte, le rend fou et a raison de lui. La
fin de la pièce éclaire d’une lumière inattendue le propos et renverse les
certitudes qui s’étaient établies au fil du récit. Un spectacle mêlant le rêve
et la réalité, où la musique et les corps en mouvement racontent tout autant que
les mots qui s’envolent. La partition physique guide les spectateurs dans
l’intériorité de chaque personnage. Les recours à une chorégraphie et une
musique composée expressément pour le spectacle semblaient indispensables pour
transmettre ce que les mots ne peuvent pas. Un conte sans époque qui vient nous
interroger avec poésie et fracas, où le rire et les larmes ne sont jamais très
éloignés. Nous sommes tous des Virgilio et des Marie, quelque part, dans notre
fauteuil comme dans nos songes. --------------------------------------- Autrice
: Louise Garcia-Joly Mise en scène : Louise Garcia-Joly, Manon Chenet Avec :
Thibaud Mordasini, Adèle Lefebvre, Romain Firroloni, Eva De Jesus Flecho
Compositeur : Romain Firroloni Costumes : Dorine Jarrige Tout public (dès 10
ans) Durée : 1h10
A quoi la mélancolie et la perte de repères peuvent-elles nous conduire ?
Ferdinand Bruckner, avec les Races, nous donne une réponse pour la jeunesse
allemande de 1933 : un amour brisé, des amitiés détruites, une adhésion massive
au parti national-socialiste et un antisémitisme débridé.
Mais la question que pose la pièce est aussi la suivante : à quoi ces phénomènes
universels - qu'ils soient appelés mélancolie ou nostalgie, perte de repères ou
crise de sens - nous conduisent-ils aujourd'hui ? Et nous poussent-ils à répéter
l'histoire ?
Site web : https://www.theatre-studio.com/saison/races
Infos réservation :
Plein tarif : 20 ?Tarif réduit :15?(étudiants, demandeurs d'emplois, seniors,
intermittents)Tarif réduit ++ : 10 ?(moins de 16 ans, bénéficiaires du RSA/RMI,
habitants d'Alfortville)