Orchestre de Paris / Klaus Mäkelä, direction Beethoven - Philharmonie de Paris

Description

Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. ORCHESTRE DE PARIS / KLAUS MÄKELÄBeethovenConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMME Ludwig van BeethovenChant élégiaqueSymphonie n° 9 « Hymne à la joie »DISTRIBUTIONOrchestre de ParisChœur de l'Orchestre de ParisKlaus Mäkelä , directionCatriona Morison , mezzo-sopranoMauro Peter , ténorRené Pape , baryton-basse Mémorable célébration beethovénienne avec ce concert qui fait voisiner une œuvre rare et presque oubliée, le Chant élégiaque, avec le monument culturel, devenu l’étendard des Lumières européennes, qu’est la Neuvième Symphonie. Très rarement interprété, le Chant élégiaque est une pièce de circonstance, composée à la demande d’un ami de Beethoven qui souhaitait célébrer la mémoire de son épouse morte en couches. Même si on ne saurait dire qu’elle anticipe les derniers Quatuors, elle témoigne de l’esprit de recherche et de spéculation propres à la période tardive de Beethoven. Mais à la tristesse succède la joie comme principe de paix universelle avec la monumentale Neuvième Symphonie, véritable mythe culturel mobilisé dans d’innombrables films et romans. De ses quatre mouvements, dont un Adagio contemplatif dans lequel on retrouve l’esprit du quatuor à cordes, le plus illustre est évidemment le dernier, qui introduit les voix et fait retentir « l’Ode à la joie » de Schiller : architecture grandiose, d’une subtilité dont seule l’analyse de détail, malgré l’apparente simplicité, peut rendre compte. C’est l’une des pages les plus décisives de l’histoire de la musique, apogée d’une œuvre à ce point hors norme qu’elle fit définitivement craquer les cadres, et dans laquelle Wagner voyait « la dernière des symphonies ».

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  • Standard - 35,20 €à 79,20 €

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D'après l'histoire vraie de Charlotte Piazza Cette pièce est un témoignage d’enfermements, d’une schizophrénie ostracisée, de violences psychiatriques, d’un combat pour vivre. Elle exprime des moments de joie, de poésie, de solidarité, d’élan de vie, broyés par la prison puis l’asile. Elle est un hommage à Charlotte Piazza, victime de ces maltraitances et de ces injustices, ainsi qu’à toutes les victimes des institutions carcérales et psychiatriques. Mise en scène : Patricia Piazza. Avec : Julia Beauquesne, Suzana Joaquim Maudslay, Alicia Lassalle, Jonathan Le Guillou, Marine Lemonnier. Costumes : Anne Poitral. Lumières : Elvire Flocken-Vitez . Musique : Dinah Ekchajzer, Magali Goblet, Nicolas Rayappa.
« Un air doux et posé, parmi d’autres enfants, M’inspira de l’amour pour elle dès quatre ans »… Le premier chef-d’œuvre de Molière. Mise en scène : Marie Hasse. Avec : Philippe Ariotti, Étienne Cendron, Héloïse Cunin, Rémi de Monvel, Jean-Luc Jeener, Anne Langlois, Christophe Rouillon. Costumes : Catherine Lainard. Lumières : Jean-Luc Jeener.
Janine, une artiste passionnée et talentueuse, vous transporte avec sa voix éthérée et magnifiquement puissante dans un univers de R&B indie infusé de mélodies soul et de pop alternative. Née en Nouvelle-Zélande, elle se consacre à la musique depuis son enfance, créant son propre univers visuel et musical. Avec des succès comme "Hold Me" et son album "99", Janine a captivé un public international. Elle prépare actuellement son prochain album, prévu pour 2024, promettant de nouvelles œuvres émouvantes.
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. ARCADI VOLODOS Brahms, SchubertRécital piano• Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMMEŒuvres de Johannes Brahms et Franz SchubertDISTRIBUTIONArcadi Volodos , piano Pianiste loué pour sa maîtrise hors du commun du clavier et son panel de sonorités d’une étonnante variété, Arcadi Volodos est un artiste en quête de vérité. Sous ses doigts, Schubert et Brahms apparaissent dans toute leur pureté. Au début de sa carrière, Arcadi Volodos était perçu comme un extraordinaire virtuose. Sa technique sans limite lui permettait toutes les folies. Mais rapidement, son tempérament l’a amené à se concentrer davantage sur la part intime des œuvres. Possédant la plus large gamme de nuances qu’on puisse imaginer, il n’aime rien tant que sonder l'essence des partitions. Son programme mêle des pages de Brahms (les fougueux et méditatifs Klavierstücke op. 118) et de Schubert, que le pianiste originaire de Saint-Pétersbourg a souvent abordé ces dernières années.
Petit bijou de l’Art baroque édifié en 1733, l’église Saint-Ephrem dont l'acoustique est remarquable se situe dans un écrin de verdure en plein Centre historique de Paris (Quartier Latin) proche du Panthéon et de la Sorbonne. Le calme et la sérénité qui y règnent en font un lieu propice à l’écoute de la musique classique. Les nombreux concerts qui y sont organisés sont donnés par des artistes, tous lauréats du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi eux, nombreux sont lauréats de concours internationaux. Concert aux chandelles : le choeur de l'église est illuminé de bougies soulignant le côté romantique et intimiste de l’église. Par ses concerts de qualité, Saint-Ephrem est devenu le rendez-vous incontournable des passionnés de musique classique. Chopin, Ballade n°3 – Schubert, Moments musicaux - Schumann, Papillons Fauré, Ballade par Orane Donnadieu, piano Gratuit pour les moins de 12 an(s)
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. SIR JOHN ELIOT GARDINER / BEETHOVEN Pastorale - Orchestre Révolutionnaire et Romantique - Monteverdi ChoirConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie• Durée : environ 1h55 dont 1 entractePROGRAMME Ludwig van BeethovenMesse en ut majeurENTRACTESymphonie n° 6 « Pastorale »DISTRIBUTIONMonteverdi ChoirOrchestre Révolutionnaire et RomantiqueSir John Eliot Gardiner , directionLucy Crowe , sopranoAlice Coote , mezzo-sopranoAllan Clayton , ténorWilliam Thomas , basse Pour inaugurer ses quatre soirées beethovéniennes à Paris, John Eliot Gardiner choisit de faire précéder la célèbre Symphonie « Pastorale » de la première des deux messes du compositeur. Le prince Estherázy, qui la commanda en 1807, n’y comprit rien. « La messe de Beethoven est insupportablement ridicule et détestable », peste-t-il. Il faut dire que l’œuvre prépare le terrain à la Missa solemnis. On conçoit donc que sa modernité désarçonne Nicolas II, plus accoutumé aux chefs-d’œuvre de Haydn. Mais l’auteur sait ce qu’il fait. Et, manifestement fier de son coup, la propose à l’éditeur Breitkopf & Härtel en même temps que les Symphonies n° 5 et 6. En cinq mouvements, cette dernière peint une campagne qui émerveillera Berlioz : « On voudrait dormir, dormir des mois entiers pour habiter la sphère inconnue que le génie nous a fait un instant entrevoir ».
Soyez précurseur et venez voir The Doug dans un concert inédit au Café des Arts. Un mélange de rap, de rock et de nouvelle chanson française pour une œuvre intime, aussi belle que désespérée. The Doug démarre dans le monde de la musique. Il a déjà fait les premières parties d’Eddy de Pretto et de Gaëtan Roussel. Il est comme un enfant de notre époque : à la fois violent et tendre, égoïste et partageur, sombre et lumineux. À seulement vingt-et-un ans, ce jeune artiste clermontois a créé une œuvre profonde et singulière. Son flow fougueux et unique rappelle les premières heures de Fauve ou de Bashung, tandis que ses textes touchants évoquent la jeunesse, l’amour et la vie avec une sensibilité à fleur de peau. Sur scène, il se révèle dans toute sa splendeur, avec une énergie communicative et une présence charismatique. Un moment inoubliable !