D'après l'histoire vraie de Charlotte Piazza Cette pièce est un témoignage
d’enfermements, d’une schizophrénie ostracisée, de violences psychiatriques,
d’un combat pour vivre. Elle exprime des moments de joie, de poésie, de
solidarité, d’élan de vie, broyés par la prison puis l’asile. Elle est un
hommage à Charlotte Piazza, victime de ces maltraitances et de ces injustices,
ainsi qu’à toutes les victimes des institutions carcérales et psychiatriques.
Mise en scène : Patricia Piazza. Avec : Julia Beauquesne, Suzana Joaquim
Maudslay, Alicia Lassalle, Jonathan Le Guillou, Marine Lemonnier. Costumes :
Anne Poitral. Lumières : Elvire Flocken-Vitez . Musique : Dinah Ekchajzer,
Magali Goblet, Nicolas Rayappa.
Orchestre de Paris / Klaus Mäkelä, direction Beethoven - Philharmonie de Paris
06mei
-07mei
211 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris, France
Description
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente ce concert. ORCHESTRE DE PARIS / KLAUS MÄKELÄBeethovenConcert symphonique• Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMME Ludwig van BeethovenChant élégiaqueSymphonie n° 9 « Hymne à la joie »DISTRIBUTIONOrchestre de ParisChœur de l'Orchestre de ParisKlaus Mäkelä , directionCatriona Morison , mezzo-sopranoMauro Peter , ténorRené Pape , baryton-basse Mémorable célébration beethovénienne avec ce concert qui fait voisiner une œuvre rare et presque oubliée, le Chant élégiaque, avec le monument culturel, devenu l’étendard des Lumières européennes, qu’est la Neuvième Symphonie. Très rarement interprété, le Chant élégiaque est une pièce de circonstance, composée à la demande d’un ami de Beethoven qui souhaitait célébrer la mémoire de son épouse morte en couches. Même si on ne saurait dire qu’elle anticipe les derniers Quatuors, elle témoigne de l’esprit de recherche et de spéculation propres à la période tardive de Beethoven. Mais à la tristesse succède la joie comme principe de paix universelle avec la monumentale Neuvième Symphonie, véritable mythe culturel mobilisé dans d’innombrables films et romans. De ses quatre mouvements, dont un Adagio contemplatif dans lequel on retrouve l’esprit du quatuor à cordes, le plus illustre est évidemment le dernier, qui introduit les voix et fait retentir « l’Ode à la joie » de Schiller : architecture grandiose, d’une subtilité dont seule l’analyse de détail, malgré l’apparente simplicité, peut rendre compte. C’est l’une des pages les plus décisives de l’histoire de la musique, apogée d’une œuvre à ce point hors norme qu’elle fit définitivement craquer les cadres, et dans laquelle Wagner voyait « la dernière des symphonies ».
Tickets
Info:
- Standard - 35,20 €à 79,20 €