Ces trois « Leçons » seront ancrées dans le département des antiquités
orientales, avec lequel l’artiste se sent une affinité toute particulière, au
point d’avoir, inconsciemment, recréé des œuvres qui y sont conservées. Dans ces
« Leçons » à deux voix, développées en conversation avec Ariane Thomas, elle
rendra la parole aux œuvres désormais silencieuses du département.
Le Palais de Justice Porte de Clichy
21maart 2023
-29april 2023
Avenue De La Porte De Clichy, 75017 Paris, France
Description
BILLET VALABLE À LA DATE INDIQUÉE Durée de la visite : 75 minutes Le nouveau palais de justice nous ouvre ses portes ! Avec ses 38 étages, culminant à 160m au-dessus du quartier des Batignolles réhabilité, le bâtiment construit par Renzo PIANO, a reçu en 2017, l'Equerre d'argent, un des plus grands prix d’architecture français, pour être aussi un modèle de solutions environnementales. Ce site est aujourd’hui le plus grand centre judiciaire d'Europe : Tribunal de Grande Instance, Tribunal de Police, Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale (TASS) et ses 20 Tribunaux d’instance y sont en effet rassemblés en une seule entité. C’est là désormais que travaillent 2000 personnes : magistrats, greffiers, avocats et fonctionnaires avec les 6000 particuliers ou justiciables convoqués chaque jour. Nous circulerons dans la salle des pas perdus, d’où nous aurons une vue d’ensemble des 6 étages du 1er socle, et d’où nous pourrons, à la fin de notre circuit, rejoindre les 90 salles d'audience, où chacun aura la possibilité d’illustrer la magistrature en assistant en direct aux procès, qu’ils soient civils ou pénaux (délits)… et nous n’oublierons pas non plus de saluer les locaux du « New 36 », ancienne Police Judicaire du 36, quai des orfèvres de l’Ile de la Cité ! INFORMATIONS PRATIQUES- Une carte d'identité sera demandée au contrôle- Attention : aucun objet métallique n’est autorisé au contrôle (objets tranchants, couteaux de poche, ciseaux)- Attention : la visite pourra être annulée à moins de 8 participants Visite guidée - Durée : 75 min
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Info:
- Standard - 13 €
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"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris
! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères
sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des
photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au
15 juin 2024.
Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste
français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le
land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales
œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires,
Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La
Plagne...).
Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et
grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois
sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités
sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable",
conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de
recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait
expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi,
ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec
la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...).
Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a
réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet «
Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains
entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui
veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le
monde.
Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce
printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la
capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26
avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette
exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et
dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort
de vous en priver !
Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de
Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une
quarantaine de tableaux photographiques inédits créés depuis 2020.
Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la notion de
tableau, à travers un
procédé nouveau qui deviendra sa marque de fabrique : le tressage pictural.
Cependant, dès la fin des années 1980, il se tourne vers la photographique, un
procédé qu'il explore et détourne sans relâche depuis 25 ans, en parallèle de
son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.
Le Musée Maillol à Paris consacre une exposition inédite au photographe Andres
Serrano du 30 avril au 13 octobre 2024.
La photo comme vous ne l'avez jamais vue ! Le Musée Maillol à Paris, en
partenariat avec l'agence Tempora, vous invite à découvrir une exposition
consacrée à Andres Serrano, un artiste qui transcende le cadre de la
photographie traditionnelle, du 30 avril au 13 octobre 2024. À travers cette
exposition, Andres Serrano, qui se définit comme un "artiste avec un appareil
photo", offre un regard sans concession sur des thèmes tels que la religion, la
politique, et les clivages sociaux qui animent l'Amérique d'aujourd'hui.
Andres Serrano, maître dans l'art du portrait, mélange la culture classique,
particulièrement la peinture ancienne, avec les éléments de la pop culture
moderne pour créer des œuvres uniques. Ses photographies, bien que parfois
controversées, sont une réflexion sur l'individu contemporain et les
contradictions de la société américaine. L'exposition met en lumière cette
dualité, illustrée notamment par le phénomène Donald Trump, qui est devenu à la
fois un symptôme et un emblème de cette société schizophrène. L'œuvre de
Serrano, par sa nature souvent provocatrice, invite le spectateur à un
questionnement profond sur les tabous d'une Amérique puritaine.
Le Musée Maillol propose donc une exposition particulièrement révélatrice, avec
plus de 100 clichés emblématiques d'Andres Serrano. L'occasion pour les
visiteurs de découvrir des œuvres qui ont parfois suscité le débat et même le
vandalisme. Certaines pièces, considérées comme choquantes, seront présentées
dans un espace dédié, permettant ainsi une exploration complète et sans censure
de l'œuvre de l'artiste. Ne vous reste plus qu'à y faire un tour !
Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une quarantaine de tableaux photographiques inédits créés
depuis 2020. Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la
notion de tableau, à travers un procédé nouveau qui deviendra sa marque de
fabrique : le tressage pictural. Cependant, dès la fin des années 1980, il se
tourne vers la photographique, un procédé qu'il explore et détourne sans relâche
depuis 25 ans, en parallèle de son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.
Plongez dans l'univers scolaire à travers l'exposition 'Sur les Bancs de
l'Ecole' à l'Espace Carpeaux de Courbevoie. Retournez sur les bancs de l'école
avec les souvenirs de René Goscinny et découvrez le fruit de la collaboration
d'Anne Goscinny avec l'illustratrice Catel. L'exposition propose une immersion
dans l'univers scolaire de deux époques, entre l'ambiance d'une salle de classe
du siècle dernier et l'univers de Lucrèce, jeune collégienne. Du lundi au
vendredi de 14h à 19h et le samedi de 14h à 18h.
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition
inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme,
une invention moderne, un héritage antique".
Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de
Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie
Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les
arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un
héritage antique.
En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père
des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition
sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le
musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers
différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie...
Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors
exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique.
Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se
retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les
artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les
gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout
en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays.
C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer
les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les
écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à
cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son
inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et
des trouvailles archéologiques.
L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces
Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était
un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de
1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir
ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs.
Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et
l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se
mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition
très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la
première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre
français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course
de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896.
Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne
dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Le Centre Pompidou s'intéresse au mobilier et aux objets créés pour les enfants
au XXe siècle, dans une exposition design à découvrir du 25 avril au 12 août
2024.
Meubles, chambres, bureaux d'écoliers, jeux : les designs des mobiliers pour
enfant ont bien changé en un siècle. Le Centre Pompidou nous propose une
rétrospective à la fois historique et artistique, à la découverte de "L'enfance
du design". Une exposition à voir du 25 avril au 12 août 2024 à Paris.
Au XXe siècle, la place, la singularité de l'enfant évolue grandement. Des
théories nouvelles sur l'apprentissage, la structure familiale, l'éducation
donnent à l'enfant une place plus importante dans le schéma social. Ce nouveau
statut social se traduit aussi dans le monde du design et de l'ameublement : les
chambres d'enfants deviennent des espaces à part, pensés pour leurs petits
habitants, avec des objets réalisés sur mesure pour eux.
En Allemagne, en France, au Danemark, en Italie, d'importants designers
imaginent des meubles et des objets originaux, conçus pour les enfants, et pas
pour toute la famille. Peu à peu, les chambres se transforment, devenant des
oasis colorés et joyeux pour les plus jeunes, des endroits conçus pour attiser
leur imagination et favoriser l'apprentissage de nouvelles compétences.
Le design des mobiliers pour enfants évolue en même temps que la société et ses
contraintes. La généralisation de l'école, le changement des normes des
logements, l'apparition de nouveaux matériaux, de théories sur les besoins des
enfants transforment les objets.
Les designers laissent parler leur créativité dans cet univers qui possède ses
propres contraintes, mais aussi ses libertés. Couleurs, objets interactifs,
formes, tailles, objets multifonctions : l'univers de l'enfance offre de
nombreuses opportunités créatives. Le jeu et l'originalité prennent une place de
plus en plus prépondérante dans les choix de design, transformant les chambres
en petits univers merveilleux.
Au fil du siècle et de l'exposition, on voit le mobilier changer et s'adapter,
illustrant le statut de l'enfant dans la société à chaque époque.
Une exposition fascinante pour les fans de design, à découvrir au Centre
Pompidou !
La Gaité Lyrique vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, Coalition, du
24 avril au 2 juin 2024. Au total, les oeuvres de cinquante artistes vous
attendent pour une immersion dans les liens entre création artistique et
engagement environnemental.
Quand l'art et l'écologie se rencontrent... La Gaîté Lyrique vous invite à
découvrir sa dernière exposition, intitulée Coalition, du 24 avril au 2 juin
2024. Célébrant le quinzième anniversaire de COAL, l'association de référence
pour l'art et l'écologie, l'exposition promet d'aiguiser nos sens et notre
conscience écologique. En rassemblant près de cinquante artistes issus de divers
horizons, cette grande exposition pluridisciplinaire vise à mettre en lumière la
richesse et la variété des démarches artistiques engagées pour l'environnement.
Dans le cadre de la Gaîté Lyrique, connue pour son engagement en faveur d'une
culture régénérative et collaborative, l'exposition incarne une vision partagée
par ses partenaires fondateurs tels qu'Arty Farty, ARTE, makesense, Singa, et
Actes Sud. Ce projet ambitieux s'ancre profondément dans l'idéal d'un lieu
culturel devant assumer non seulement une responsabilité artistique, mais
également sociale et économique. L'objectif ? Aller au-delà de la simple
réduction des impacts environnementaux pour véritablement générer un impact
positif, faisant de la Gaîté Lyrique un modèle de lieu culturel régénératif où
le travail en écosystème occupe une place centrale.
Coalition, sous le commissariat avisé de Lauranne Germond et Sara Dufour, se
distingue par son ampleur et sa diversité. Des artistes de renom aux talents
émergents, tels qu'Angelika Markul, Shaun Gladwell, Hypercomf, et bien d'autres,
s'unissent pour retracer une communauté d'imaginaires. Ces imaginaires se sont
constitués au fil des quinze éditions du Prix COAL, une initiative majeure de
l'association visant à promouvoir, accompagner, et diffuser les artistes qui,
partout dans le monde, témoignent, imaginent, et expérimentent autour de la
révolution écologique. Coalition ne se contente pas de présenter des œuvres ;
elle invite à une prise de conscience des liens qui nous unissent à notre
environnement, à travers une programmation enrichie et accessible gratuitement
au public.
Faire l'expérience de Coalition à la Gaîté Lyrique, c'est donc participer à un
moment unique où l'art et l'écologie se rencontrent pour inspirer, éduquer et
inciter à l'action. LE rendez-vous incontournable pour tous les passionnés
d'art, d'innovation et d'engagement écologique !
Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition
"Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024.
Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de
Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ?
Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport,
politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des
millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver
leur honneur, rabaisser leur ennemi.
Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et
multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du
combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée.
Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop
culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la
fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles :
selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou
proscrits.
L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces
différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de
son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle.
Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs :
escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses.
Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en
mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les
pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette
expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en
situation, avec un décor immersif et théâtralisé.
Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire,
hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les
pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours
autant.
La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet
attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes
s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture
se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les
duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et
ces styles.
Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui
devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de
l'art. À voir dès le printemps 2024.