Grzegorz Przyborek – Toucher le silence

Description

Grzegorz Przyborek est une des figures majeures de la photographie polonaise contemporaine.

Depuis plus de 40 ans, il construit une œuvre singulière, entièrement fabriquée dans son studio situé au 11e étage d’une barre d’immeuble d’un quartier de Lodz.

Son univers photographique est inspiré par des visions, des rêves parfois très concrets ou plus intimes mais qui ne sont pas dénués d’une dimension politique forte.

Le « rêve » se transforme d’abord en dessin d’une grande précision.
Ensuite, chaque partie de l’image nécessite une construction patiente de tous les éléments qui la constituent. Enfin commence la mise en place méticuleuse de son plateau de prise de vue.
Chaque image peut mettre des mois à se réaliser.

L’exposition, réalisée avec le soutien de l’Institut Polonais de Paris et du musée de Bydgoszcz, propose un parcours dans son œuvre photographique depuis la série Portraits réalisée à Arles en 1990 où il était étudiant invité, jusqu’aux dernières compositions produites entre 2020 et 2022. Elle présente également une quarantaine de dessins, des objets, des sculptures ainsi qu’un film réalisé en partie à Arles en 2019.

Cette exposition fait partie de la programmation satellite des Rencontres d’Arles dans le cadre du Grand Arles Express.

Vernissage : Vendredi 28 juin à partir de 19h00

Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille

Date info

Du mercredi au samedi de 14h à 19h.

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Info:

Gratuit

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Suggested events

Photographies des collections de la modernité des années 1930 aux années 2000. Dans le cadre du renouvellement de son accrochage, le musée présente une exposition-dossier de ses fonds photographiques ainsi que du musée d’art contemporain [mac]. En février 1968, le musée Cantini présentait sa première exposition de photographies L’(OEIL OBJECTIF), réunissant Doisneau, Brihat, Clergue et Sudre. Dans ce même temps, Gautrand recevait le Grand prix de la Ville de Marseille consacré à la photographie. Aux côtés de la Bibliothèque nationale et du musée Réattu, l’institution endosse alors un rôle précurseur en créant une collection constituée en échos aux évènements régionaux tels les Rencontres d’Arles ou le festival d’Avignon. À travers les fonds du musée Cantini, du [mac] et du Fonds communal d’art contemporain (Fcac), L’(ŒIL) OBJECTIF dresse un panorama renouvelé des collections ; des jeux d’optiques de la Nouvelle Vision à la pratique documentaire de Valérie Jouve, en passant par les mises en scène de Man Ray, l’exposition propose une approche élargie de la photographie et la diversité de regards qui en émanent. AUTOUR DE L’EXPOSITION > Visite commentée Durant toute la durée de l’exposition chaque samedi à 15h [Tarifs adultes : entrée gratuite + 3 € (+1,50 € tarif réduit) / Tarifs enfants de 12 à 18 ans : entrée gratuite + 1,50€ / Tarifs enfants de moins de 12 ans : gratuit] ► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite. ► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site des musées. Publié par : Ville de Marseille
Un nouvel engouement se manifeste depuis quelques années pour les pratiques de nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une alimentation saine, végétarienne, le recours aux thérapeutiques naturelles, à la méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. La France est aujourd’hui la première destination touristique au monde pour les naturistes : son climat tempéré et la présence de trois mers ont facilité l’installation de véritables communautés, qui – excepté en Suisse – ont peu de véritables équivalents ailleurs en Europe, où le naturisme se pratique de manière plus libre, hors de communautés constituées. Mais d’autres raisons, historiques, culturelles, juridiques, expliquent la singularité et la longévité des communautés installées en France. Il était normal pour le Mucem, musée de société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs lieux naturistes importants se sont développés, de chercher à explorer ce phénomène de société singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les naturismes, car ils sont pluriels. Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret du bonheur et de la santé ? Naturisme et nudisme, est-ce la même chose ? Pourquoi et comment la France est-elle devenue ce « paradis naturiste » ? L’exposition « Paradis naturistes » se propose de partir à la découverte des tous premiers naturismes, allemands et suisses, puis français, de rentrer dans l’histoire des communautés naturistes pionnières, qui s’implantèrent en France et en Suisse dès les années 1920 mais aussi de découvrir comment se vit et se pratique le naturisme aujourd’hui. Dans une scénographie solaire conçue par l’agence lyonnaise Trafik, l’exposition réunit 600 items : photographies, films, revues, objets quotidiens mais aussi peintures, dessins, livres, estampes et sculptures. Ils sont issus des archives des communautés, de collections privées et publiques françaises et suisses, parmi lesquelles : le Musée National d’Art Moderne MNAM/CCI Centre Pompidou, le musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de France, le musée Bourdelle, le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de l’Éphèbe et d’archéologie sous-marine d’Adge, le musée des Beaux-Arts de Dole, la cinémathèque de Paris, l’INA, les archives départementales des Yvelines, les archives municipales d’Agde, le syndicat d’administration d’Heliopolis – Île du Levant, la Fondation Henri Cartier-Bresson, la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, la Bibliothèque Nationale Suisse à Bern, le Bündner Kunstmuseum à Chur, la cinémathèque de Bern, la Fondazione Monte Verita à Ascona. Commissariat : – Amélie Lavin, conservatrice en chef au Mucem, responsable du pôle Corps, apparences, sexualités. – Bernard Andrieu, philosophe, professeur au sein de l’Institut des Sciences du Sport et de la Santé de Paris, Université Paris Cité. – David Lorenté, ingénieur des systèmes et techniques audiovisuels et multimédia à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et doctorant, Université Paris Cité. – Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles. Commissaires associés : – Julie Liger, directrice adjointe de la Villa Noailles. – Thomas Lequeu, associé à la direction artistique pour la Villa Noailles. Scénographie : agence Trafik Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Concernant l’exposition : Figurez-vous une soupe claire, subtilement nacrée d’une charge nutritive. Une sorte de bouillon aveugle, à peine épaissi d’extraits de pommes de terre et de poudre d’algues qui aurait pris consistance. Il aurait été renversé sur la table et, sitôt refroidi, il aurait ainsi recueilli les poussières ambiantes toujours promptes à se poser. [extrait Gilles Boudot 2007 – 2023] Vernissage le 3 juillet de 19h à 22h. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Le Pôle des Arts Visuels de l’Estaque vous propose tout au long de l’année, une série d’expositions dont le spectre devrait répondre aux attentes les plus diverses ainsi qu’une exquise diversité d’artistes grâce à un panel de créateurs des plus éclectiques. Juillet 2024 s’ouvre sur une expo photos très originale de Gil Melgrani. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Le thème de l’exposition : Lorsque la communication s’établit sur le mode du paradoxe, il en résulte plusieurs réactions possibles face à ses termes contradictoires : le désir de s’y soustraire en adoptant une conduite cohérente, être agressif face à des propos antinomiques ou en rire, ou assister à l’apparition d’un délire. Marc et Josée Gensollen vous invitent à partager pendant quelques jours certaines de ces occurrences car c’est également un des mécanismes générateurs de la création artistique. Quoiqu’il en soit les questions où, comment, pourquoi, viennent spontanément à l’esprit. Au détours de la visite certaines interrogations pourront-elles trouver des éléments de réponse ? Vernissage le 28 juin 2024 de 18h à 22h Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
« Le Cas Érotique » est une exploration audacieuse et délicate de l’érotisme à travers divers médias artistiques, mettant en lumière la richesse et la diversité des expressions contemporaines. Les artistes sélectionnés, issus de différentes disciplines et horizons, proposent des œuvres qui questionnent, provoquent et émerveillent. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
L'?il Objectif - Photographies dans les collections est une exposition captivante présentée au Musée Cantini à Marseille. Découvrez une sélection unique de photographies allant de la modernité des années 1930 aux années 2000. Plongez dans l'univers artistique de Doisneau, Brihat, Clergue, Sudre et bien d'autres. L'exposition offre un regard renouvelé sur la photographie, mettant en lumière la diversité des styles et des approches artistiques. Ne manquez pas cette occasion de vous immerger dans l'histoire visuelle captivante de ces oeuvres uniques.
En collaboration avec Les Capucins, centre d’art contemporain, Ville d’Embrun À l’occasion de son trentième anniversaire, Triangle-Astérides s’associe aux Capucins à Embrun pour travailler sur les lieux essentiels et méconnus et les personnages intermédiaires qui dessinent des scènes artistiques et des généalogies en dehors des capitales, des institutions et des narrations dominantes, dans le passé comme dans le présent. Autour de la galerie Vigna, active à Nice entre 1998 et 2002, ancêtre de la librairie LGBT de livres d’occasion qui existe toujours au même emplacement, l’exposition compose une biographie collective, subjective, intergénérationnelle et multi-entrées. Une exposition curatée par Mathilde Belouali, avec : Fabienne Audéoud, Flo*Souad Benaddi, Cécile Bouffard, Pauline L. Boulba, Claude Eigan, Monsieur Gustave, Aminata Labor, Ingrid Luche, Béatrice Lussol, Bruno Pélassy Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Les Ateliers Lautard Une proposition de la Galerie de la Salle des Machines D’une nécessité que connaît chaque artiste, le besoin d’un atelier de travail, naît une volonté commune de partager un espace collectif. Celle-ci est portée par une vingtaine d’artistes, rue Lautard à la Belle de Mai autour d’un lieu qu’iels ont créé et nommé : Les Ateliers Lautard. Initiés début 2024, avec l’idée de mettre en conversation différentes pratiques artistiques, Les Ateliers Lautard connaissent déjà une effervescence et une vision collégiale qui forcent admiration et enthousiasme. Cette première exposition collective hors les murs, présentée à la Friche Belle de Mai, n’en montre qu’une sélection. C’est le début d’un chapitre qui pousse plus loin encore la notion des espaces alternatifs dont les modèles ne cessent de se redéfinir. Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Mathématicien et artiste peintre Levon Vardanyan mène une recherche sur les caractéristiques structurelles de l’espace, de l’univers ainsi que des phénomènes de la nature. Il présente les résultats de ses recherches sous la forme d’images et de tableaux… Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille