Promenade contée au bois de Vincennes

Description

Pour tous ceux qui aiment les histoires, à partir de 6 ans, avec la conteuse Célia Chambaud.Les beaux jours donnent envie de se balader, le nez au vent.Laissez-vous bercer par le bruissement des feuilles, le clapotis de l'eau, le chant des oiseaux...Maintenant, vous êtes prêt à écouter des histoires extraordinaires. Des histoires d'hommes transformés en arbres, d'oiseaux qui parlent, d'ondines qui attirent les hommes au fond de l'eau, de lutins farceurs...Tout le monde est bien installé ? Debout, ou alors allongé dans l'herbe sur une couverture. Vous pouvez maintenant vous laissez aller à la rêverie... Avant de repartir vers un autre lieu où se trouve un autre conte. La nature fourmille d'histoires merveilleuses.Apportez vos meilleurs souliers et votre chapeau de paille, votre coussin préféré ou votre plaid si moelleux, une loupe ou peut être des jumelles, et n'oubliez pas vos yeux écarquillés.Cette promenade contée est une façon inattendue de redécouvrir le bois de Vincennes.Durée environ 2h.

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14h30 à 16h30

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de 9 à 14 euros

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Le prodige ? Comment Nora, femme heureuse et amoureuse de son mari, décide-t-elle de tout quitter, abandonnant son mari et ses enfants ? Emprunter, mentir, falsifier des signatures, c’est tout ce que Torvald Helmer, futur directeur de banque, condamne. C’est pourtant ce que sa femme Nora a fait en cachette pour qu’il puisse se soigner. De plus, auprès d’un homme peu recommandable, à en écouter son mari. Mais qu’importe, nous sommes la veille de Noël, et cette affaire doit rester murée dans le silence. Ça ce sont les volontés de Nora, la réalité sera bien différente, l’arrivée d’une vieille amie et le chantage de son créancier feront rapidement voler en éclat les solides murs de la Maison… de Poupée… À travers le sursaut de Nora, Henrik Ibsen nous plonge dans l’intimité d’un couple, où d'une femme infantilisée, l’héroïne va devenir un être humain à part entière. Un mélodrame vibrant, une analyse sociale sans concession, une illusion qui s’écroule, l’auteur fait de Nora un personnage ouvrant les yeux sur sa condition, déclenchant en elle l’éveil d'une conscience individualiste et un profond désir de liberté. Le spectacle dure 1h20 et est accessible à partir de 10 ans. Tarif 6 euros / 8 euros texte : Henrik Ibsen mise en scène et scénographie : Achille Jourdain avec : Béatrice Ponceau, Michèle Suard, Gilberte Lefort, André Suard, Denis Hab, Philippe Petit-Frère et Ysé Humbert
Souviens-toi Vernon, on entrait dans le rock comme on entre dans une cathédrale, et c'était un vaisseau spatial cette histoire Il a 45 ans. Il est disquaire. Ayant connu ses heures de gloire dans les années 80, la crise du disque lui fait perdre son emploi, et de fil en aiguille, son appartement. Pour trouver un endroit où dormir, Vernon va devoir reprendre contact avec ses anciens amis. Tous fans de rock à 20 ans, que sont-ils devenus ? À travers une galerie fulgurante de personnages désenchantés, on découvre la fin d'un monde, l'impasse d'une utopie de jeunesse. Peu à peu, Vernon glisse vers l'exclusion sociale et se retrouve à la rue. Ce portrait tendre et sans concession d'un loser héros délivre un regard critique et féroce sur la société d'aujourd'hui. Un spectacle puissant et rock n'roll, et l'écriture d'une grande autrice.
Un des principaux aspects de l’écriture de Copi, et notamment de La tour de La Défense, c’est cette manière qu’elle a d’en faire trop, de dépasser toutes les bornes, de pousser dans leurs retranchements les acteurs et les limites de la machine théâtrale. Dans la pièce, les évènements se succèdent, et tous sont plus fous les uns que les autres : un serpent remonte les canalisations, une mouette rentre par la baie vitrée, un hélicoptère s’écrase sur la tour d’en face, une mère se retrouve soudain accusée du meurtre de son enfant… l’écriture semble toujours vouloir en rajouter une couche, elle déborde d’idées. Pourtant, on y lit aussi quelque chose de mélancolique ; comme si elle s’acharnait en vain, tentait par tous les moyens de rendre sa force à une vie qui, depuis longtemps, a perdu toute sa consistance. Les personnages, par leurs réactions, racontent ce rapport étrange aux évènements, vécus avec une intensité sincère, mais ne laissant aucune trace, comme oubliés aussitôt qu’un nouvel incident advient. Pendant la quasi-totalité de la pièce, aucun de Jean, Luc, Micheline, Daphnée ou Ahmed n’est véritablement marqué par ce qu’il vient de traverser ; tous semblent guidés par leurs seuls instincts, dans une naïveté qui n’est pas sans rappeler celle de l’enfance, comme un grand jeu auquel ils seraient en train de prendre part, et depourraient indifféremment passer d’un état à un autre. Au plateau, les acteurs s’étonnent de tout, et toujours au premier degré, tenus dans cet “hyperprésent” qui leur empêche tout recul sur ce jeu auquel ils sont en train de jouer. Côté public, certains évènements peuvent faire rire, mais à peine a-t-on le temps de s’en amuser qu’un autre déjà survient, et qu’on se retrouve alors peu à peu plongé dans cet état étrange, à mi-chemin entre l’asphyxie et l’ivresse, si caractéristique de l’univers de Copi. Auteur Copi Mise en scène Lewis Janier Dubry Avec Louis Certain, Manaëlle Cobra, Marius Ponnelle, Tom Rundstadler, Sylvain Septours, Théo Urtubey Scénographie et accessoires Sylvain Septours Création sonore Basile Lacroix-Boettcher Production Compagnie du Sixième Mur
THEATRE DE L'EPEE DE BOIS présente Dix copains rwandais, hutus, copains de classe, de matchs de foot, de travaux des champs. En trois mois, d'Avril à Juin 1994, ils ont massacré à la machette, « sans rien penser », tout ce que leur bourgade et les collines voisines comptaient de tutsis, près de cinquante mille, hommes, femmes, enfants, leurs « avoisinants », avec qui ils avaient aussi partagé bancs de classe, bancs d'église, soirées arrosées et matchs de foot. Auteur Récits recueillis par Jean Hatzfeld. Editions du Seuil. Paris 2003Mise en scène Dominique LurcelAvec Céline Bothorel Mathieu Desfemmes Yves Rousseau Tadié Tuéné
Horizon 2048, une création qui construit un avenir collectif. Depuis 2022 des temps de rencontres sont créés dans différents lieux et structures du 77, 91 et 94 (Quartiers Prioritaires, foyers de l'Aide Sociale à l'Enfance, structures de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, Centres d'Hébergement d'Urgence...) et aussi en Egypte. Via un questionnaire en ligne, ces personnes sont invitées à réfléchir et partager sur différents thèmes à partir d'une question philosophique, puis à chercher des solutions concrètes pour imaginer un idéal de société à l'horizon 2048. Site web : https://www.theatre-studio.com/saison/horizon-2048 Infos réservation : Plein tarif : 20 ?Tarif réduit : 15 ?(étudiants, demandeurs d'emplois, seniors, intermittents)Tarif réduit ++ : 10 ?(moins de 16 ans, bénéficiaires du RSA/RMI, habitants d'Alfortville)
L'autrice et metteuse en scène franco-irakienne Tamara Al Saadi présente PLACE, un spectacle qui aborde le thème de l'exil et des déchirements entre deux cultures. Avec sensibilité et humour, le spectacle invite le public à suivre les cheminements de Yasmine dans sa quête d'identité et de légitimité. PLACE est une réflexion universelle sur le sentiment d'étrangeté au monde. Les représentations auront lieu du 24 avril au 28 avril. Réservez vos places dès maintenant !
Finale du 100 mètres des Jeux Olympiques : flamme olympique, starting-blocks, commentateur·rice·s sportif·ve·s et les athlètes, en bout de piste, prêt·e·s à en découdre, face au public. Lorsque le coup de pistolet du départ est tiré, les athlètes font marche arrière et sortent de scène. Dans ce spectacle, la petite histoire de quelques athlètes se mêle à la grande histoire du sport, du faux départ de John Drummond à l’engagement d’Alysson Félix, en passant par Bernard Tapie ou la chevauchée de Floria Guei… Jouons à l’athlétisme, à l’escrime, au théâtre, pour faire jaillir leurs valeurs communes quand elles ne sont pas galvaudées : l’humilité, le dépassement de soi, la coopération et la liberté.
La galerie Itinerrance, nichée dans le 13e arrondissement de Paris, convie Hush pour sa nouvelle exposition gratuite. Du vendredi 26 avril au samedi 1er juin 2024, retrouvez le street artiste britannique autour d’une expo personnelle mettant à l’honneur la féminité. Située dans le 13e arrondissement de Paris, la galerie Itinerrance accueille régulièrement les œuvres et les installations de talentueux artistes urbains. Ces dernières années, la galerie Itinerrance a par exemple ouvert ses portes à l'incontournable Shepard Fairey, mais aussi à Seth, Add Fuel, Inti ou encore Wen2. Fondée en 2004 par Mehdi Ben Cheikh, cette célèbre galerie parisienne de street art est également à l’initiative, depuis 2013, de plusieurs projets 'Hors les murs' réalisés à l’échelle de la ville. Ce printemps, la galerie de street art parisienne convie un nouvel artiste qui risque fort de surprendre et de vous en mettre plein les yeux. Son nom ? Hush. L’artiste britannique, né à Newcastle et considéré comme l’un des 20 artistes issu de la scène d'art contemporain urbain à suivre de près par le journal anglais The Independent, va donc dévoiler ses œuvres lors d’une exposition personnelle à découvrir gratuitement du vendredi 26 avril au samedi 1er juin 2024. Utilisant différentes techniques artistiques, comme la peinture, la sérigraphie, le collage, le pochoir ou encore le dessin et le graffiti, Hush est connu pour mettre à l’honneur la féminité sous toutes ses formes. La féminité sera donc à l’honneur de cette nouvelle et seconde exposition personnelle de l’artiste Hush à la galerie Itinerrance. L’occasion de mieux découvrir et d'admirer son travail autour de ces femmes énigmatiques, aux multiples visages de modèles venues des quatre coins du monde. Des toiles et des œuvres à découvrir donc ce printemps, du 26 avril au 1er juin, à la galerie Itinerrance dans le 13e arrondissement à Paris ! Notez qu'un vernissage de l'exposition personnelle de Hush, ouvert au public, est prévu le 26 avril à partir de 18h.
Comment je suis devenu stupide est un remède à la bêtise humaine concocté avec une bonne dose d'humour et de fantaisie. Vous êtes-vous déjà levé un matin en vous demandant quelle était votre place dans ce monde à Pour Antoine, c'est l'heure du bilan. Convaincu que son intelligence lui gâche l'existence, ce jeune homme hors norme décide de devenir stupide. Seulement voilà, ne devient pas stupide qui veut !
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.