Le Studio 13/16, lieu créatif et artistique pour les ados au Centre Pompidou

Description

Le musée c’est cool, mais avec les adolescents, c’est loin d’être toujours évident : là où certains se passionnent pour les expositions du moment, d’autres en ont marre au bout de dix minutes. Alors, rendez-vous au studio 13/16, le lieu par et pour les ados au Centre Pompidou.

Aller au musée, okay, mais sans les parents. C’est chose faite au Studio 13/16, le studio des ados (et des plus grands, jusqu’à 23 ans) au Centre Georges Pompidou. Entièrement gratuit, votre venue au Studio ne nécessite pas de réservation et le lieu est ouvert à tous, le mercredi, samedi et dimanche après-midi.

Ici, on met en lien jeunes ados et jeunes artistes contemporains au moyen d’ateliers, que les artistes proposent ou donnent. Chaque trimestre, le lieu accueille une programmation différente, autour de laquelle trois jeunes artistes travaillent : en ce moment, c’est Traversée qui est présentée dans le Studio 13/16, autour de la question de nos identités et origines (sociales, culturelles…).

En dehors des ateliers, il y a ce que les médiateurs appelent « la vie autonome du 13/16 » : que vous ayiez un projet personnel ou la simple envie de découvrir et apprendre une technique artistique, la matériauthèque est mise à disposition (peinture, linogravure, couture, gravure...), sans oublier les ordinateurs avec la suite de logiciels Adobe. D’ailleurs, chaque premier mercredi du mois, les mercredis techniques permettent aux ados de découvrir une technique bien précise, accompagnés d’un artiste ! On passe au Studio 13/16 prochainement ?

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Artiste contemporain d’origine néerlandaise, Levi van Veluw vous propose de venir découvrir son monde intérieur lors d’une exposition personnelle intitulée « We do not remember ». C’est à découvrir gratuitement à la galerie Les Filles du Calvaire à Paris du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024. Levi van Veluw, vous connaissez ? Artiste contemporain et pluridisciplinaire, Levi van Veluw est à l’origine de plusieurs œuvres comprenant des photographies, des vidéos, des sculptures, des installations ou encore des dessins. Né en 1985, l’artiste néerlandais a déjà reçu plusieurs prix dont celui du photographe de l'année aux IPA International Photo Awards aux États-Unis, ainsi que le prix du public De Volkskrant Beeldende Kunst prijs au Stedelijk Museum Schiedam. Ce printemps, la galerie Les Filles du Calvaire lui offre sa première exposition personnelle à Paris. A découvrir dans le 3e arrondissement de la capitale du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024, cet événement artistique entend plonger le visiteur dans le monde intérieur de Levi van Veluw, retranscrit à travers des installations monumentales et insolites ainsi que des sculptures intimistes. Avec cette exposition gratuite, intitulée "We do not remember", Levi van Veluw entend surprendre les passants en transformant la vitrine de la galerie en une œuvre d'art, réalisée à partir de 120 répliques de sa propre effigie.Un peu plus loin dans la galerie Les Filles du Calvaire, au centre plus exactement, Levi van Veluw a imaginé une installation monumentale prenant la forme d’un objet cylindrique de 6 mètres de haut et traversant les deux étages de la galerie. Sur les murs de cette pièce, des étagères dévoilent des centaines de têtes, du haut jusqu'en bas. Outre ces deux installations insolites, Levi van Veluw compte également exposer des sculptures, des dessins ou encore des films autobiographiques, directement inspirés de ses souvenirs d'enfance. À travers ses différentes œuvres, qui remettent en question notre logique humaine, Levi Van Veluw interpelle et nous invite à nous interroger notamment sur l’obsession du contrôle et la recherche d’infini. Rendez-vous du 2 mai au 8 juin 2024 à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris pour découvrir ces œuvres et installations signées Levi van Veluw.
L'IA et l'art s'entremêlent au Grand Palais Immersif à Paris avec Artificial Dreams, une exposition-performance mettant à l'honneur des oeuvres assistées par l'intelligence artificielle qui nous attend du 16 mai au 8 juin 2024. L'Intelligence Artificielle dans le monde l'art, c'est ce qui nous attend à Paris, au Grand Palais Immersif, avec une exposition-performance. Artificial Dream nous entraine au coeur de l'art numérique avec des oeuvres dont la réalisation a été assistée par l'IA. Le rendez-vous nous est donné tous les jeudis, vendredis et samedis soirs, du 16 mai au 8 juin 2024, pour aller à la découverte des créations de 12 artistes, studios et collectifs internationaux. À l'heure où les outils IA se multiplient, cette révolution technologique est redoutée par les uns, adulée par d'autres. Tour à tour source de craintes et d'opportunités, l'Intelligence Artificielle s'étend et montre l'impact qu'elle peut avoir sur différents aspects de la société, qu'il s'agisse des réseaux sociaux, du domaine médical, de l'information ou encore de l'éducation. Et quid du monde des arts ? L'IA menace-t-elle la création ou peut-elle permettre d'en repousser les limites ?L'exposition Artificial Dream devrait ainsi nous faire la démonstration de ce que peut permettre l'intelligence artificielle lorsqu'elle est au service de l'imaginaire. Au casting de ce rendez-vous onirique on retrouve les artistes, collectifs et studios Markos Kay, Andy Thomas, Tryphème & Ulysse Lefort, Ryoichi Kurokawa, IMMERSIVE ARTS SPACE/ZHdK, Mots, Daito Manabe, MSHR, Sabrina Ratté, Justine Emard, Visual System, Emi Kusano, Iconem et Niceaunties. Cette exposition qui se déroule en nocturne promet une " projection immersive spectaculaire" qui nous attend du côté de la grande salle, ainsi qu'un parcours d'installations qui nous attend dans les étages. Plusieurs événements lives, performances, conférences et table-rondes sont également prévues lors de ces soirées au coeur de rêves artificiels.
Le Goethe-Institut de Paris vous invite à découvrir sa nouvelle exposition gratuite, intitulée The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, du 13 mai au 27 août 2024. Explorez comment l'art, la technologie et la science se rencontrent pour transformer notre perception du monde. Une exposition qui promet une immersion dans les œuvres avant-gardistes, redéfinissant les frontières entre les disciplines artistiques et scientifiques. Vernissage le 13 mai à 19h. Quand l'art et les nouvelles technologies se rencontrent... Le Goethe-Institut de Paris se transforme en un espace de réflexion et d'innovation artistique avec l'exposition gratuite The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, à découvrir du 13 mai au 27 août 2024. Une manifestation qui invite les curieux et les passionnés d'art à plonger dans une ère nouvelle où art, technologie et science fusionnent pour révéler ce qui demeure habituellement invisible. Conçue par le ZKM Karlsruhe en Allemagne, cette exposition est non seulement un hommage à Peter Weibel et à son projet "Renaissance 3.0", mais elle pose également les jalons d'un futur artistique révolutionnaire. L'exposition puise dans les œuvres d'art initialement présentées à Karlsruhe et y ajoute une sélection spécialement adaptée au contexte parisien. Les visiteurs peuvent découvrir des pièces telles que les "Architectures Imaginaires" d’Otto Beckman, qui interrogent l'évolution de l'art à travers le prisme des technologies avancées. Des œuvres comme "93% Human" de Helen Pynor offrent une méditation profonde sur le vivant, tandis que "METABOLICA Camp" de Thomas Feuerstein entrelace directement la science et l'histoire de l'art avec des éléments de science-fiction. Ces œuvres illustrent parfaitement l'idée de transcender les conventions artistiques pour explorer de nouvelles forces créatives et sensibilités. Au-delà de son aspect artistique, The Next Renaissance est un carrefour d'innovation culturelle et scientifique. Cette exposition illustre comment la collaboration entre l'art et la science peut engendrer des changements profonds, poussant notre société à repenser son avenir. En incarnant une "renaissance 3.0", elle s'inspire des bouleversements de la Renaissance italienne pour stimuler une révolution dans notre compréhension et interaction avec le monde. Le Goethe-Institut, en collaboration avec l’EIT Culture & Creativity et le MSC, offre ainsi une plateforme unique pour les acteurs du changement qui aspirent à redéfinir les frontières entre les disciplines culturelles et scientifiques. Avec la participation d'artistes internationaux tels que Rafael Lozano-Hemmer, Manfred P. Kage et Joel Ong, The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible est une expérience incontournable pour quiconque s'intéresse à la manière dont l'art peut remodeler notre réalité. L'occasion également de voir comment l'art médiatique scientifique peut ouvrir de nouvelles perspectives et influencer notre société de façon durable. Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris ! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au 15 juin 2024. Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires, Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La Plagne...). Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable", conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi, ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...). Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet « Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le monde. Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26 avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort de vous en priver ! Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
Le musée de la Vie Romantique célèbre le bicentenaire de la mort de Théodore Géricault, avec une exposition thématique présentée du 15 mai au 15 septembre 2024. Le célèbre peintre Théodore Géricault est décédé en 1824, après une riche carrière, et de nombreux chefs-d'œuvre toujours admirés de nos jours. Pour commémorer ce bicentenaire particulier, le musée de la Vie Romantique dédie une exposition à l'artiste français, et plus particulièrement à l'une de ses passions... Du 15 mai au 15 septembre 2024, venez découvrir Les chevaux de Géricault, une exposition de peinture thématique, qui explore ce motif si fréquent dans les œuvres de l'artiste. Une centaine de peintures, venues de collections publiques et privées, sont réunies pour cette exposition inédite. Les chevaux sont la passion immuable de Géricault : de ses premiers dessins à ses plus grands tableaux, le peintre a toujours été fasciné par ces animaux, leur anatomie, leurs émotions, leur vie... On recense une dizaine de tableaux et plusieurs centaines de dessins de chevaux signés Géricault : l'artiste a admiré, analysé, étudié chaque aspect de cet animal. On peut ainsi découvrir des œuvres représentant des chevaux à l'armée, au champ de courses, dans les écuries ou les champs, en parade ou au repos, de leur naissance à leur mort... Chaque mouvement, chaque sentiment, réaction et émotion sont représentés avec une grande finesse, un soin particulier. Pour Géricault, le cheval un être très esthétique, un symbole de puissance. Le musée de la Vie Romantique explore donc cette passion dévorante dans un parcours divisé en cinq chapitres : Le cheval politique, L’écurie sanctuaire, Rome : la course des chevaux libres, Londres : dandies et prolétaires et La mort du cheval. Une manière originale de rendre hommage à ce peintre incontournable !
Sortez les bougies, le musée d'Orsay célèbre un anniversaire très spécial ! Pour marquer les 150 ans de l'impressionnisme, et en parallèle de l'exposition dédiée, le musée organise une Curieuse nocturne le 16 mai 2024. Le musée d'Orsay détient la plus grande collection d'œuvres impressionnistes et post-impressionnistes au monde. Forcément, l'institution culturelle parisienne ne pouvait pas passer à côté de l'anniversaire de ce mouvement artistique : en 2024, nous fêtons les 150 ans de l'impressionnisme. Pour l'occasion, une grande exposition est organisée au musée. Mais pour un tel anniversaire, une simple exposition ne suffit pas. Une véritable fête s'impose ! Ainsi, le musée organise une Curieuse nocturne, le jeudi 16 mai 2024, à partir de 18h30. Le temps d'une soirée, le musée d'Orsay se transforme en salle de spectacle, accueillant performances artistiques immersives et moments musicaux, animés par divers artistes contemporains. Les jeunes créateurs s'inspirent des artistes exposés dans les collections du musée, pour créer un dialogue intergénérationnel qui nous offre un regard nouveau sur des chefs-d'œuvre que l'on pensait connaître par cœur. Ce jeudi soir, la Nef du musée d'Orsay accueille ainsi plusieurs groupes et artistes. L'ambiance sera assurée par la troupe de danse et d'art performatif Ensemble /K/inêtikos, mais pas que ! Différents artistes sont invités pour cette soirée culturelle exceptionnelle, qui nous donne l'occasion de profiter de cette institution incontournable d'une autre manière. Joignez-vous à la fête, et célébrez l'impressionnisme lors de la Curieuse nocturne du musée d'Orsay, en mai.
Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement" du 15 mai au 17 novembre 2024. Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art, grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur sport à travers les collections du Petit Palais. Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures, objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection. Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres. On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres détails. L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué, mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées. Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et se dépenser avec les jeux et sports de leur temps. On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place du corps dans cette discipline. Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au Petit Palais.
Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription au vernissage obligatoire. Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste. Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques). SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique. L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle dans les disciplines créatives. L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y faire un tour ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Nouvelle exposition gratuite de street art à Fluctuart ! Ce printemps, la fameuse péniche parisienne convie 13 artistes issus la scène émergente polonaise du graffiti et du street art pour nous offrir une plongée dans l’histoire de l'art urbain en Europe de l'Est. C’est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024. Après avoir consacré des expositions à Seth, Nasty ou encore à Tania Mouraud, Fluctuart nous emmène en voyage sur les traces de la scène émergente polonaise du graffiti et du street art. Intitulée « Habitus de l’Est », cette nouvelle installation gratuite, à voir sur la fameuse péniche parisienne dédiée à l’art urbain, est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024. Au total, Fluctuart convie 13 artistes d’Europe de l’Est, parmi lesquels Finer et son graffiti classique, Sepe et ses œuvres figuratives, Sicoer et son style faisant honneur à la typographie, Natalia Magalska et ses créations engagées ou encore Mariusz M-City Waras qui propose pour l’occasion une installation unique réalisée in situ. Toutes et tous en profiteront pour dévoiler à Paris leurs œuvres urbaines inédites. L’occasion pour les amateurs d’art urbain de plonger dans l’histoire du street art en Pologne et de découvrir toute la diversité et la richesse des contenus stylistiques et thématiques de ces artistes originaires d’Europe de l’Est. Rendez-vous donc à Fluctuart du 16 mai au 30 juin 2024 pour admirer gratuitement les œuvres proposées lors de cette exposition, véritable vitrine collective de la création urbaine en Pologne ! Notez qu’un vernissage, ouvert à tous, est prévu le mercredi 15 mai à partir de 18h.
Nouvelle exposition gratuite à découvrir dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon à Paris, du 7 mai au 1er juin 2024. Une fois encore, le centre culturel nippon nous invite à partir en voyage grâce aux photographies de Junji Takasago, qui rendent hommage à la beauté de la nature ! La Maison de la culture du Japon à Paris continue de nous faire voyager grâce à sa belle et riche programmation. Outre les ateliers, les spectacles ou encore les projections, le centre culturel nippon organise tout au long de l’année une série d’expositions payantes ou même souvent accessibles gratuitement. A découvrir au premier niveau de l’établissement implanté à deux pas du pont de Bir-Hakeim et de la tour Eiffel, certaines installations sont également proposées au rez-de-chaussée, dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon. C’est le cas de la prochaine exposition du centre. Intitulée « Reflets de la nature », cette installation est une invitation au voyage, à la découverte de la belle et riche nature, grâce aux sublimes photographies de Junji Takasago. C’est avec la photographie sous-marine que Junji Takasago débute sa carrière. Il rencontre alors le célèbre apnéiste Jacques Mayol, qui a inspiré le film "Le Grand Bleu" de Luc Besson. Junji Takasago immortalisera d’ailleurs des moments de Jacques Mayol en contact avec les animaux. Son expérience se poursuit avec plusieurs séjours effectués à Hawaï et aux États-Unis en quête des arcs-en-ciel de nuit. Amoureux de la nature qui nous entoure et des animaux qui peuplent notre planète, Junji Takasago est devenu un photographe reconnu et très influent dans le domaine. Le photographe, qui a visité plus de cent pays, publié une trentaine de recueils de photos et d’essais, exposé ses clichés à de nombreuses reprises, est également un artiste engagé, membre fondateur de l’association Oceanic Wildlife Society (OWS). Preuve de sa renommée, Junji Takasago a reçu en 2022 le prestigieux prix « Wildlife Photographer of the Year » dans la catégorie « Art de la nature ». Ce printemps, le photographe Junji Takasago expose donc ses fascinants clichés dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon pendant environ quatre semaines, du 7 mai au 1er juin 2024. Ne manquez pas l’occasion d’admirer la beauté de la nature et de notre belle planète grâce aux clichés de Junji Takasago ! A noter que le photographe sera présent à la Maison de la culture du Japon lors d’une conférence exclusive (gratuite sur réservation) prévue le 14 mai. Il présentera à cette occasion quelques-uns de ses clichés les plus célèbres et partagera plusieurs anecdotes.