» Le fétiche du conteneur » une performance cinématographique

Description

Une chorégraphie de conteneurs, de grues, de marchandises, de capitaux, d’êtres humains et d’une figure fantomatique, traversant les pôles du visible et de l’invisible, du factuel et du métaphorique, de la logistique et du beau, pour dresser le portrait d’une société où les choses semblent avoir plus de libre arbitre que de simples mortels.

Au cœur de la performance « Le fétiche du conteneur » se dresse un conférencier qui raconte des histoires anciennes et nouvelles du commerce maritime, des aventures impliquant des conteneurs, des marchandises et la nouvelle économie, jonglant avec une multitude de métaphores et de récits utilisés à travers l’histoire afin d’essayer de donner un sens à des relations économiques et sociales opaques. Il va peu à peu insuffler la vie aux biens, éveiller nos désirs et nous emmener dans un voyage orageux, naviguant dans les flux du système financiarisé que nous habitons tous. En arrière-plan, nous voyons des images animées d’un port géant, entendons une symphonie enchanteresse de machines et sommes invités à écouter une voix fantomatique, peut-être d’un autre monde.

Suite à la performance, les artistes discuteront avec Nicolas Feodoroff de la question de la représentativité des rapports de force sociaux réifiés et des possibilités d’éléments fictionnels et de formes documentaires dans le cinéma.

En guise de clôture de la résidence IMéRA, Robert Schlicht et Romana Schmalisch présenteront la performance cinématographique « The container fetish », un voyage dans le monde des objets animés.

Événement organisé par l’IMéRA (Institut d’études avancées – Aix Marseille Université) en partenariat avec le Frac Provence-Alpes-Côte d’Azur, Goethe-Institut Marseille, le Musée d’Histoire de Marseille et le Laboratoire d’Économie et de Sociologie du Travail (LEST)

Durée : 1h30
Entrée libre à l’auditorium du musée dans la limite des places disponibles.

Publié par : Ville de Marseille

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Mercredi 25 janvier 2023 à 18h30.

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Gratuit

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La 26e édition des Rencontres du cinéma Sud-Américain organisée par l’Association Solidarité Provence – Amérique du Sud (ASPAS) aura lieu du samedi 11 mai au vendredi 17 mai 2024 au Cinéma les Variétés à Marseille. Une séance spéciale aura lieu le samedi 18 mai pour annoncer les films gagnants et projeter un film hors compétition. La sélection 2024 partira ensuite en région Sud et dans quelques villes d’Europe et d’Amérique du Sud. La programmation regroupe 8 pays de l’Amérique Latine. Longs métrages et courts métrages en compétition venant de Bolivie, Cuba, l’Argentine, Pérou, Brésil, Chili, Mexique et Colombie. Six invités réalisateur.ice.s du Pérou, Colombie, Argentine, Bolivie et France seront parmi nous pour présenter leurs films et partager avec le public. Tout au long de la semaine, des soirées festives et des buffets typiques se succéderont, toujours en présence et en partage avec l’équipe de l’A.S.P.A.S, organisatrice des Rencontres. Nous espérons une large diffusion dans les médias et la participation des membres institutionnels de la ville de Marseille et de la Région. Nos Rencontres sont programmées et diffusées dans plusieurs autres villes de France, en Argentine et au Mexique. Nous sommes résolus à réimaginer le monde et à œuvrer pour bâtir un nouvel horizon dépourvu de conflits, de privations, d’injustices, et fondamentalement démocratique. Pour ce faire, nous vous invitons à participer à ces 26e Rencontres ! Dans cette nouvelle édition, c’est le film UNICORNIO de Natural Arpajou qui ouvrira le festival samedi 11 mai à 20h au Cinéma les Variétés. Le film El PROFESOR de Benjamin Naistat et Maria Alché clôturera le programme des films en compétitions vendredi 17 mai à 20h en présence de la réalisatrice Maria Alché et de sa productrice Bárbara Francisco. Samedi 18 nous aurons la cérémonie de remise des prix à 19h lors de laquelle sera montré le film cubain hors-compétition AM-PM de Alejandro Gil. Toute la programmation et la sélection officielle en compétition sont disponibles sur www.cinesudaspas.org. Publié par : Ville de Marseille
Au programme en mai : • Mardi 07 mai : « Au hasard Balthazar » de Robert Bresson [1966, Fr , 1h30] Avec Anne Wiazemsky, François Lafarge, Philippe Asselin La vie de l’âne Balthazar qui va de maître en maître, au gré des sept péchés capitaux. Une œuvre dépouillée, grave et émouvante. • Mardi 14 mai : « Témoin à charge » de Billy Wilder [1957, USA, VO, 1h56] Avec Tyrone Power, Marlène Dietrich, Charles Laughton Pour une affaire criminelle particulièrement trouble, un célèbre avocat reprend du service. Rebondissements, coups de théâtre, surprises en tous genres sont au menu de ce suspense juridique. • Mardi 21 mai : « Little Odessa » de James Gray [1994, USA, VO, 1h38] Avec Tim Roth, Vanessa Redgrave, Edward Furlong Grand film noir tourné dans le quartier Ukrainien de New-York. Un retour douloureux dans le lieu de son enfance pour le jeune héros. • Mardi 28 mai : « Dom Juan ou le festin de Pierre » de Marcel Bluwal [1965, Fr, 1h45] Avec Michel Piccoli, Claude Brasseur, Anouk Ferjac Une brillante adaptation de Molière qui donne une nouvelle vie à comédie. Elle fait de Don Juan un personnage intemporel et un homme confronté à la solitude de son destin. Les Mardis de la Cinémathèque de Marseille (Programme susceptible de modification) Publié par : Ville de Marseille
Nathalie Noé Adam - Edwin CuervoVernissage le 3 Mai à partir de 18h00Exposition du 4 Mai au 6 Juin 2024Les artistes relatent leur ascension de 3 volcans des Andes colombiennes, le Galeras, le Cumbal, l' Azufral ou Chaitan.Ils en extraient les résonances profondes qui les ont touchés. Celles de la flore, sauvage, obstinée, se développant dans des conditions extrêmes. Celles des roches escarpées, des éboulis magmatiques, colorés par le soufre, métamorphosés par les fumerolles actives, celles enfin des couleurs captivantes et des brumes enveloppantes.Ils expérimentent une autre relation humain-nature. Le volcan symbole parfait de la terre, de la vie, de sa métamorphose, est le médium qui permet d'accéder à "un temps d'avant", de pénétrer l'épaisseur d'une relation au monde environnant, d'expérimenter la porosité de l'existence humaine.Les artistes présentent 3 vidéos, dont "El gran Chaitan", fiction inspirée des traditions précolombiennes.Des éléments prélevés sur sites sont sublimés par un traitement plastique. Dessins, photos, vidéos et installations disent la force et l'enjeu de cette expérience.
Fixin est une performance qui met en scène un corps de musicien « augmenté » par une multitude de moteurs commandés numériquement. Elle questionne le rapport du corps à l’automatisation et à la répétition du geste à travers un univers sonore minimaliste et immersif. Dans la continuité des recherches ouvertes avec le Milesdavisquintet!, Sylvain Darrifourcq construit une sorte de « méta-batterie » dont les éléments (toms, grosses caisses, caisses claires…) pour certains préparés et stimulés par des moteurs (percuteurs solénoïde, vibreurs, moteurs rotatifs) sont éparpillés dans l’espace. Le résultat sonore est proche d’une musique industrielle : timbres métalliques, mécanique répétitive, superposition des couches rythmiques, etc. Plongé dans l’obscurité, l’installation se révèle petit à petit grâce à un dispositif lumineux minimaliste et épileptique ne dévoilant que rarement l’ensemble du plateau. Fixin Installation quand à elle, exclue toute participation active du musicien. Tout est automatisé et le public déambule dans un espace où ce sont ses propres déplacements qui fabriquent un équilibre sonore particulier. VERNISSAGE le 3 mai à 18h Publié par : Ville de Marseille
Autonomics est un projet de construction d’automates sonores performatifs, se basant sur la notion de modèles énergétiques dans la musique électroacoustique. Les modèles énergétiques mettent l’action sonore au centre de la création musicale et Autonomics transpose ces actions basiques (percussions, frottements, oscillations, flux, rebonds, etc.) sur une lutherie mécanique et automatisée. La recherche sonore se concentre sur un travail autour des nuances, des résonances et de l’infiniment petit, cherchant l’expressif dans l’automatisé et invitant une écoute active et profonde. L’installation se déploie en deux espaces reliés, l’un où les automates performent et l’autre où ils résonnent. Le·a spectateur·rice est invité·e d’abord dans l’univers sonore acousmatique de l’installation, avant de découvrir les automates comme source causale de la composition ; Un diptyque qui permet le déploiement d’une dialectique de la perception sonore et visuelle. Vernissage le 3 mai à 18h Publié par : Ville de Marseille
« We Will Rock You », voici la promesse que te fait l’Ecran Pop pour cette nouvelle soirée spéciale « Bohemian Rhapsody » à Marseille ! Redécouvrez le groupe Queen et son iconique leader Freddie Mercury et prouvez vos talents de chanteur avec un karaoké des chansons cultes du film. Inutile de connaître les paroles, elles défilent sur l’écran lors de la diffusion du film ! Un seul mot d’ordre : emportez votre bonne humeur et toute votre énergie pour participer à cette expérience festive et amusante. Animée par un maître de cérémonie, cette soirée s’annonce pleine de surprises avec des goodies, des cadeaux à gagner et même un concours de costumes ! Préparez-vous car We are The Champions ! L’Ecran Pop est le 1er cinéma-karaoké en France. Ici, ces œuvres incontournables du cinéma musical s’affichent sur grand écran en version karaoké, dans une ambiance survoltée ! Inspiré de la tradition anglo-saxonne du Sing-Along, chaque séance est accompagnée de nombreuses animations pour s’immerger dans l’ambiance du film et vivre un moment libérateur, joyeux et follement drôle aux côtés de centaines d’autres fans. Film en VOST (scènes en anglais sous-titrées en français et numéros musicaux en anglais sous-titrés karaoké) Durée : 2h45 environ 3 mai – Cinéma le Prado 17 mai – Pathé La Joliette Publié par : Ville de Marseille
Du 28 avril jusqu’au 2 juin, 50 ans après la disparition du cinéaste écrivain Marcel Pagnol, la Ville de Marseille lui rend hommage au Château de la Buzine en diffusant six adaptations incontournables de ses oeuvres. Programme : Dimanche 28 avril à 16h15 : Marius, Daniel Auteuil Dimanche 5 mai à 16h15 : Fanny, Daniel Auteuil Dimanche 12 mai à 16h15 : La Fille du Puisatier, Daniel Auteuil Dimanche 19 mai à 16h15 : La Gloire de mon Père, Yves Robert Dimanche 26 mai à 16h15 : Le Château de ma Mère, Yves Robert Dimanche 2 juin à 16h15 : Le Temps des Secrets, Christophe Barratier Gratuit – Entrée libre dans la limite des places disponibles. Accessibilité PMR  Dans le cadre de Marseille célèbre Marcel Pagnol Thème : Le Marseille de Marcel Pagnol Une proposition de la Ville de Marseille Publié par : Ville de Marseille
Le spectacle Une journée de rencontres, performances et films a lieu dans le cadre du Festival de Marseille 2024. Le Festival de Marseille s'associe au Festival TRANSFORM! pour une journée de rencontres, performances et films. Venez assister à un atelier, une projection, une table ronde et une performance artistique. Cette journée explore les croisements des identités à travers les théories crip, en réfléchissant sur la manière dont le handicap interagit avec d'autres identités telles que le genre, la race et l'orientation sexuelle.
LA BIENNALE DES ÉCRITURES DU RÉEL Créée en 2012 par le Théâtre La Cité [https://www.theatrelacite.com/], la Biennale des écritures du réel est un festival qui s’ancre à Marseille pour mettre en dialogue art, politique et société. Elle défend la vision d’un théâtre engagé et partagé qui explore de nouvelles relations entre artistes et chercheur.euses, auteur.rices, enseignant.es, habitant.es, jeunes publics… Paroles, récits, poèmes d’un réel à vif, les écritures du réel nous invitent, à la croisée du politique et du poétique, à questionner le monde avec les yeux des autres. Un festival de deux mois, du mercredi 20 mars au samedi 25 mai 2024, imaginé en trois grandes traversées autour d’une cinquantaine d’événements – théâtre, danse, littérature, cirque, cinéma, conférences, ateliers & scènes partagées – dans plus d’une vingtaine de lieux partenaires. À l’image des activités du Théâtre La Cité, le travail avec les publics et les territoires de la Biennale se construit à l’intersection du « voir » et du « faire ». Ce festival marque l’aboutissement d’un travail de dix créations partagées avec les habitant·es et la jeunesse de cette ville visant à valoriser leurs récits invisibilisés. Elle propose aussi trois journées festives et partagées construites avec nos partenaires et les habitant·es des territoires dans lesquels nous travaillons quotidiennement. Ces rendez-vous, qui mêlent propositions artistiques et événements participatifs, se déploient dans plusieurs quartiers de la ville : au centre, dans les quartiers Belle de Mai – Saint-Mauront – Saint-Lazare, au nord, dans les quartiers La Viste et Consolat, et à l’est, à La Rouguière et La Valbarelle. La Biennale propose enfin des ateliers de pratique artistique et des actions de médiation culturelle, en cohérence avec les besoins des publics accompagnés par nos partenaires socio-éducatifs. 3 traversées thématiques La programmation de cette septième édition se parcourt en trois grandes traversées. Chacune d’entre elles trace un chemin dans le réel, du je au nous, de l’intime au politique. traversée #1 . (se) dire Au départ, ça commence par un Je. Et puis, d’autres voix surgissent en chemin. De récit en récit, des petites aux grandes histoires, des vies se croisent et se répondent. traversée #2 . renverser Dévier nos regards et inverser nos perspectives. Comprendre et détricoter ces grandes machines qui régissent nos sociétés. traversée #3 . faire nous Qu’est-ce qui nous rassemble ? Qu’est-ce qui nous sépare ? Comment faire famille, faire couple, faire troupe aujourd’hui ? Découvrir la programmation ! [https://www.theatrelacite.com/wp-content/uploads/2024/02/BIENNALE7-1.pdf] Publié par : Ville de Marseille
Tous les premiers samedis de chaque mois retrouvez-nous au cinéma le Miroir du Centre de la Vieille Charité à Marseille. Au programme •• Samedi 3 février – « Las Visitantes » d’Enrique Buleo [Fiction – 15’ – 2022 – Quatre Films, Ikki Films] Trois femmes retraitées voyagent en bus pour découvrir l’Europe. Elles ont récemment perdu leur mari et maintenant il est temps de vivre. Elles ont entendu les gens parler des merveilles du tourisme toute leur vie et meurent d’envie d’en faire l’expérience. – « Mon p’tit papa » de Mahaut Adam [Fiction – 18’ – 2022 – Ecce Films] La main dans le sac ! Quand son petit copain la surprend en plein rencard avec un homme de 50 ans, Mira ne voit qu’une seule solution, le faire passer pour son père. – « Safety Matches » de Pauline Bailay [Fiction – 20’ – 2022 – Ecce Films] Une cité pavillonnaire frappée par une incompréhensible disparition de portes d’entrée. Entre deux pauses « cigarette », Léa et Claude mènent l’enquête. – « Rapide » de Paul Rigoux [Fiction – 24’ – 2022 – G.R.E.C] Jean est un « lent », il construit sa vie autour de ses angoisses, et se considère inadapté à la vie en société. Il vit en colocation avec Alex, qui lui, est un « rapide ». Passionné par l’aérodynamisme et l’eurodance, Alex vit vite, se pose le moins de questions possible. Un matin, il reçoit chez eux une amie « rapide », Lou, alors que Jean avait lui aussi prévu de recevoir une amie « lente », Caroline. •• Samedi 2 mars Invitée : Julia Kowalski, réalisatrice du film « J’ai vu le visage du diable ». – « Episodes from the Life of Dr Jekyll and Mr Hyde » de Paul Bush [Fiction, expérimental – 5’ – 2001 – Ancient Mariner Production LTD – Royaume Uni] Imaginez que la caméra soit possédée d’une psychose semblable à la schizophrénie humaine ; supposons que cette maladie modifie subtilement chaque image du film tout en laissant le récit superficiellement intact. Imaginez ensuite que ces symptômes sont apparus à la suite du traumatisme de l’enregistrement d’événements bizarres ou horribles, par exemple ceux du film d’horreur de 1941 : Dr Jekyll and Mr. Hide. – « Mammy Water » de Jean Rouch [Documentaire – 19’ – 1954 – Les Films de la Pléiade]Un film court sur les techniques de pêche et les rituels des Fanti au Ghana : pêche en haute mer des « surf boys », funérailles traditionnelles et catholiques d’une prêtresse de Mammy Water, le génie de l’eau, cérémonie en l’honneur de Mammy Water pour l’ouverture de la pêche… Une séance spéciale (écoute et projection) permettant de découvrir les états du « commentaire » (voix off) de ce film monté et sonorisé plusieurs fois. – « Margarethe 89 » de Lucas Malbrun [Animation – 18’ – 2023 – Eddy Production] Leipzig, 1989. Margarethe, une jeune punk contestataire du régime est-allemand, est internée en hôpital psychiatrique. Elle tente de s’enfuir pour rejoindre Heinrich, un chanteur punk dont elle est amoureuse. Mais alors que le régime vit ses dernières heures, la Stasi répand plus que jamais ses mouchards. – « J’ai vu le visage du diable » de Julia Kowalski [Animation – 36’ – 2023 – Venin Films] Koscierzyna, petite bourgade du nord de la Pologne, de nos jours. Majka, 18 ans, est convaincue d’être possédée. Elle décide de rencontrer le père Marek Rogala, un prêtre exorciste. •• Samedi 6 avril En partenariat avec AFLAM Diffusion des cinémas des pays arabes, dans le cadre des Écrans d’Aflam et de la 11e édition du festival Aflam qui se déroulera du 13 au 20 avril 2024. Invitée : Nina Khada, réalisatrice du film « Je me suis mordue la langue ». – « La tempête » de Dania Reymond-Boughenou [Documentaire, expérimental – 10’ – 2016 – G.R.E.C] Un homme se souvient de sa première projection au cinéma. – « Pacific club » de Valentin Noujaïm [Documentaire, animation – 16’ – 2023 – Iliade & Films] En 1979, dans les sous-sols de la Défense, le quartier d’affaires de Paris, ouvre le Pacific Club, première boîte de nuit à accueillir les Arabes de banlieue. Azedine, 18 ans à l’époque, nous raconte l’histoire oubliée de ce club et de ceux qui l’ont fréquenté. – « Je me suis mordue la langue » de Nina Khada [Documentaire – 25’ – 2021 – Les Films Rouges] Alors que je n’arrive pas à me rendre dans mon pays, je décide de faire un détour. Je déambule dans la ville de Tunis à la recherche de ma langue d’origine, l’algérien. + 2 films surprises ! •• Samedi 4 mai Séance spéciale Carte Blanche à BIM Invité.e. surprise Pour la deuxième année consécutive, Des courts l’après-midi a le plaisir d’inviter le Festival marseillais BIM, consacré à la bande dessinée et l’illustration. Avant l’heure, c’est déjà l’heure ! Pour annoncer sa nouvelle édition qui aura lieu en juin 2024, l’équipe du BIM nous concoctera un programme de courts métrages liés au dessin et à la BD autour de la thématique du sport. En présence de l’équipe du BIM. – « Dernier round » de Nine Antico et Julie Conte [Documentaire – 14’ – 2018 – Autoproduit] « Je crois que ma nature profonde me porte à la violence ». À force d’entraînements et motivée par ses coachs, Marion pense être enfin prête à monter sur le ring. Dernier Round raconte l’histoire de son premier et dernier combat. – « Vengeance et terre battue » de Mathieu Sapin [Fiction – 20’ – 2014 – Bizibi Productions] Rita Cerveau, la femme la plus intelligente du monde, est dépressive. Alors qu’elle tente de lutter contre le spleen en se faisant masser le crâne par un inconnu, elle est appelée pour résoudre une enquête criminelle : Ruben Gonzales, la star internationale de tennis, a été assassiné… + 3 autres films ! Nous vous invitons à découvrir prochainement le programme complet de la séance sur : bimfestival.org et descourtslapres-midi.fr •• Samedi 1er juin Une séance consacrée aux courts métrages des producteurs et productrices de la région Provence- Alpes-Côte d’Azur membres de l’Association L.P.A (l’Association des Producteur.rice.s Associé.e.s). En présence des producteur.rice.s et des équipes des films. – « Poule noire » de Marion Clauzel [Fiction – 13’ – 2022 – Prima Luce, Melocoton Films] Dans la chaleur de l’été, Auguste, 4 ans, se rend chaque matin au poulailler, le plus tôt possible, pour être le premier à ramasser l’oeuf de la poule noire. Mais un jour, le nid demeure désespérément vide… – « The ancien child » de Fabrizio Polpettini [Fiction – 16’50 – 2016 – La bête] De l’argile, nous faisons un pot, mais c’est le vide à l’intérieur qui retient ce que nous voulons. – « Le loup et la chatte » de Jean-Sébastien Bernard [Fiction – 20’ – 2023 – 13 Prods et Insolence production] Loup, treize ans, sourd de naissance, passe ses vacances d’été dans un camping en compagnie de sa mère, Léa. Ils ont développé une relation exclusive que la rencontre avec un maître-nageur et une adolescente va bouleverser. – « L’heure des enfants » d’Ève Chems de Brouwer [Fiction – 13’ – 2022 – Gogogo Films] Un lien fusionnel unit Tallulah aux enfants qu’elle garde chaque soir après l’école. Un jour, un tragique événement fait tomber sur elle une lourde responsabilité. – « Hors de la brume » de Tigrane Minassian [Fiction – 14’33 – 2023 – Adastra] Arrière-pays niçois, 1978. Le soir de Noël, Annie reçoit un appel téléphonique de sa fille qui l’a quittée des années plus tôt pour rejoindre une secte… Publié par : Ville de Marseille