Le Centre Pompidou s'intéresse au mobilier et aux objets créés pour les enfants
au XXe siècle, dans une exposition design à découvrir du 25 avril au 12 août
2024.
Meubles, chambres, bureaux d'écoliers, jeux : les designs des mobiliers pour
enfant ont bien changé en un siècle. Le Centre Pompidou nous propose une
rétrospective à la fois historique et artistique, à la découverte de "L'enfance
du design". Une exposition à voir du 25 avril au 12 août 2024 à Paris.
Au XXe siècle, la place, la singularité de l'enfant évolue grandement. Des
théories nouvelles sur l'apprentissage, la structure familiale, l'éducation
donnent à l'enfant une place plus importante dans le schéma social. Ce nouveau
statut social se traduit aussi dans le monde du design et de l'ameublement : les
chambres d'enfants deviennent des espaces à part, pensés pour leurs petits
habitants, avec des objets réalisés sur mesure pour eux.
En Allemagne, en France, au Danemark, en Italie, d'importants designers
imaginent des meubles et des objets originaux, conçus pour les enfants, et pas
pour toute la famille. Peu à peu, les chambres se transforment, devenant des
oasis colorés et joyeux pour les plus jeunes, des endroits conçus pour attiser
leur imagination et favoriser l'apprentissage de nouvelles compétences.
Le design des mobiliers pour enfants évolue en même temps que la société et ses
contraintes. La généralisation de l'école, le changement des normes des
logements, l'apparition de nouveaux matériaux, de théories sur les besoins des
enfants transforment les objets.
Les designers laissent parler leur créativité dans cet univers qui possède ses
propres contraintes, mais aussi ses libertés. Couleurs, objets interactifs,
formes, tailles, objets multifonctions : l'univers de l'enfance offre de
nombreuses opportunités créatives. Le jeu et l'originalité prennent une place de
plus en plus prépondérante dans les choix de design, transformant les chambres
en petits univers merveilleux.
Au fil du siècle et de l'exposition, on voit le mobilier changer et s'adapter,
illustrant le statut de l'enfant dans la société à chaque époque.
Une exposition fascinante pour les fans de design, à découvrir au Centre
Pompidou !
Paolo Roversi : le photographe se dévoile dans l'exposition inédite du Palais Galliera
16maart
-14juli
10 Avenue Pierre 1er De Serbie, 75116 Paris, France
Description
Le Palais Galliera rend hommage au grand photographe de mode Paolo Roversi avec une rétrospective exceptionnelle, à voir du 16 mars au 14 juillet 2024.
Des jeux d'ombres et de lumières, un univers entre le fantastique et le surréalisme, des œuvres fascinantes : Paolo Roversi est sans conteste l'un des photographes de mode les plus doués de sa génération. Sa renommée, son savoir-faire ont fait de lui l'un des artistes les plus connus et appréciés au monde. C'est pourquoi il est au centre de la nouvelle exposition du Palais Galliera.
Le musée de la mode de Paris organise une grande rétrospective inédite autour du travail de Paolo Roversi. L'exposition, organisée du 16 mars au 14 juillet 2024, revient sur les 50 ans de carrière de l'artiste, de son apprentissage à Bologne jusqu'à ses derniers succès, en passant par ses publications dans Vogue, Elle, Marie Claire, et ses collaborations avec les créateurs de mode tels que Yohji Yamamoto, Romeo Gigli, Rei Kawakubo...
Au total, ce sont 140 clichés, archives, tirages inédits, Polaroid, magazines et catalogues qui sont montrés dans cette exposition. Pour mieux nous plonger dans l'univers de Paolo Roversi, le Palais Galliera a reconstitué le studio de l'artiste : on peut alors découvrir son processus créatif, son imaginaire riche et coloré, les grands moments de sa carrière...
Au fil du parcours, on peut admirer les nombreuses photographies réalisées par Paolo Roversi depuis 50 ans : on voit son style changer, s'affirmer, devenir une marque de fabrique admirée et encore inégalée. L'exposition met en lumière les différents détails qui font de chaque cliché une œuvre d'art.
Des photos portraits, des lumières et des couleurs douces, des noir et blanc poétiques, des mises en scène minimalistes mais puissantes... Paolo Roversi met en valeur son modèle, et affirme son style indémodable dans un univers en constante mutation.
Si vous ne connaissez pas encore ce photographe de mode, foncez donc au Palais Galliera. Et si vous le connaissez bien... Alors courez-y aussi, et profitez de cette exposition inédite !
Fashion
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Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition
"Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024.
Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de
Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ?
Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport,
politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des
millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver
leur honneur, rabaisser leur ennemi.
Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et
multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du
combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée.
Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop
culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la
fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles :
selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou
proscrits.
L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces
différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de
son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle.
Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs :
escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses.
Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en
mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les
pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette
expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en
situation, avec un décor immersif et théâtralisé.
Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire,
hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les
pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours
autant.
La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet
attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes
s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture
se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les
duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et
ces styles.
Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui
devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de
l'art. À voir dès le printemps 2024.
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition
inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme,
une invention moderne, un héritage antique".
Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de
Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie
Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les
arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un
héritage antique.
En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père
des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition
sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le
musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers
différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie...
Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors
exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique.
Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se
retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les
artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les
gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout
en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays.
C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer
les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les
écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à
cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son
inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et
des trouvailles archéologiques.
L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces
Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était
un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de
1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir
ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs.
Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et
l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se
mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition
très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la
première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre
français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course
de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896.
Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne
dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
"Timeshot" : voilà le nom de la toute première exposition solo de Saype à Paris
! Le célèbre land artiste français, dont les œuvres monumentales et éphémères
sont connues dans le monde entier, expose son travail à travers des
photographies et dessins à admirer au sein de la galerie Danysz du 26 avril au
15 juin 2024.
Si vous êtes un amoureux de Land Art, alors vous connaissez forcément l’artiste
français Guillaume Legros, plus connu sous le pseudo de Saype. Depuis 2015, le
land artiste dévoile sur les réseaux sociaux ses fascinantes et monumentales
œuvres éphémères, disséminées aux quatre coins du globe (Paris, Buenos Aires,
Liverpool, Genève, Turin, Istanbul, New York, Nairobi, Tokyo, Montréal, La
Plagne...).
Voilà bientôt 10 ans que Saype réalise ainsi des œuvres en noir et blanc et
grandeur nature à même le sol, principalement sur l’herbe, mais aussi parfois
sur la terre, le sable ou encore la neige. Objectif ? « Impacter les mentalités
sans impacter la nature » et, ce, grâce à une peinture dite "éco-responsable",
conçue essentiellement à base de craie et de charbon. « Ça m’a pris 3 ans de
recherche et développement et après 5 ans d'études environnementales » avait
expliqué l’artiste contemporain à nos confrères de France Info en 2023. Aussi,
ses œuvres, aussi poétiques qu’engagées, ont la particularité de s’effacer avec
la nature (herbe qui repousse) et la météo (pluie, orages...).
Il faut dire que le land artiste est du genre prolifique. Depuis 2015, Saype a
réalisé plus d’une cinquantaine d’œuvres, dont 19 autour de son fameux projet «
Beyond Walls ». Ce projet, qui a débuté en 2019 à Paris, dévoile des mains
entrelacées, qui se tendent, se serrent et s’unissent. Une œuvre engagée qui
veut avant tout faire passer un message positif et d’entraide à travers le
monde.
Un travail fascinant que la galerie Danysz a décidé de mettre à l’honneur ce
printemps en organisant la toute première exposition solo de Saype dans la
capitale. Intitulée « Timeshot », cette installation est à ne pas manquer du 26
avril au 15 juin 2024. Annoncée sur les trois niveaux de la galerie, cette
exposition entend témoigner des travaux de Saype à travers des photographies et
dessins du land artiste. Et comme l’entrée est libre, vous auriez vraiment tort
de vous en priver !
Pour couronner le tout, la galerie Danysz annonce un vernissage en présence de
Saype, prévu le jeudi 25 avril de 18h à 21h.
La Gaité Lyrique vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, Coalition, du
24 avril au 2 juin 2024. Au total, les oeuvres de cinquante artistes vous
attendent pour une immersion dans les liens entre création artistique et
engagement environnemental.
Quand l'art et l'écologie se rencontrent... La Gaîté Lyrique vous invite à
découvrir sa dernière exposition, intitulée Coalition, du 24 avril au 2 juin
2024. Célébrant le quinzième anniversaire de COAL, l'association de référence
pour l'art et l'écologie, l'exposition promet d'aiguiser nos sens et notre
conscience écologique. En rassemblant près de cinquante artistes issus de divers
horizons, cette grande exposition pluridisciplinaire vise à mettre en lumière la
richesse et la variété des démarches artistiques engagées pour l'environnement.
Dans le cadre de la Gaîté Lyrique, connue pour son engagement en faveur d'une
culture régénérative et collaborative, l'exposition incarne une vision partagée
par ses partenaires fondateurs tels qu'Arty Farty, ARTE, makesense, Singa, et
Actes Sud. Ce projet ambitieux s'ancre profondément dans l'idéal d'un lieu
culturel devant assumer non seulement une responsabilité artistique, mais
également sociale et économique. L'objectif ? Aller au-delà de la simple
réduction des impacts environnementaux pour véritablement générer un impact
positif, faisant de la Gaîté Lyrique un modèle de lieu culturel régénératif où
le travail en écosystème occupe une place centrale.
Coalition, sous le commissariat avisé de Lauranne Germond et Sara Dufour, se
distingue par son ampleur et sa diversité. Des artistes de renom aux talents
émergents, tels qu'Angelika Markul, Shaun Gladwell, Hypercomf, et bien d'autres,
s'unissent pour retracer une communauté d'imaginaires. Ces imaginaires se sont
constitués au fil des quinze éditions du Prix COAL, une initiative majeure de
l'association visant à promouvoir, accompagner, et diffuser les artistes qui,
partout dans le monde, témoignent, imaginent, et expérimentent autour de la
révolution écologique. Coalition ne se contente pas de présenter des œuvres ;
elle invite à une prise de conscience des liens qui nous unissent à notre
environnement, à travers une programmation enrichie et accessible gratuitement
au public.
Faire l'expérience de Coalition à la Gaîté Lyrique, c'est donc participer à un
moment unique où l'art et l'écologie se rencontrent pour inspirer, éduquer et
inciter à l'action. LE rendez-vous incontournable pour tous les passionnés
d'art, d'innovation et d'engagement écologique !
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Le Musée Maillol à Paris consacre une exposition inédite au photographe Andres
Serrano du 30 avril au 13 octobre 2024.
La photo comme vous ne l'avez jamais vue ! Le Musée Maillol à Paris, en
partenariat avec l'agence Tempora, vous invite à découvrir une exposition
consacrée à Andres Serrano, un artiste qui transcende le cadre de la
photographie traditionnelle, du 30 avril au 13 octobre 2024. À travers cette
exposition, Andres Serrano, qui se définit comme un "artiste avec un appareil
photo", offre un regard sans concession sur des thèmes tels que la religion, la
politique, et les clivages sociaux qui animent l'Amérique d'aujourd'hui.
Andres Serrano, maître dans l'art du portrait, mélange la culture classique,
particulièrement la peinture ancienne, avec les éléments de la pop culture
moderne pour créer des œuvres uniques. Ses photographies, bien que parfois
controversées, sont une réflexion sur l'individu contemporain et les
contradictions de la société américaine. L'exposition met en lumière cette
dualité, illustrée notamment par le phénomène Donald Trump, qui est devenu à la
fois un symptôme et un emblème de cette société schizophrène. L'œuvre de
Serrano, par sa nature souvent provocatrice, invite le spectateur à un
questionnement profond sur les tabous d'une Amérique puritaine.
Le Musée Maillol propose donc une exposition particulièrement révélatrice, avec
plus de 100 clichés emblématiques d'Andres Serrano. L'occasion pour les
visiteurs de découvrir des œuvres qui ont parfois suscité le débat et même le
vandalisme. Certaines pièces, considérées comme choquantes, seront présentées
dans un espace dédié, permettant ainsi une exploration complète et sans censure
de l'œuvre de l'artiste. Ne vous reste plus qu'à y faire un tour !
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Le Musée des Arts Décoratifs et la Cité de l'Architecture nous entrainent au
coeur des adresses mythiques de l'art de vivre parisien avec "La Naissance des
grands magasins", une exposition en deux temps. Rendez-vous du 10 avril au 13
octobre 2024 au MAD puis du 16 octobre 2024 au 16 mars 2025 pour découvrir
l'Histoire de ces temples de la mode jusqu'à nos jours.
Les Galeries Lafayette, la Samaritaine, le Printemps Haussmann ou encore le Bon
Marché, voici des adresses cultes qui symbolisent l'art de vivre parisien. Dès
la Belle Époque, Paris a vu naître la vague des Grands Magasins, et les nouveaux
modes de consommation qu'ils ont entrainé. Temples de la mode pour les uns,
merveilles architecturales pour d'autres, ces lieux mythiques se retrouvent
désormais au coeur d'une double exposition qui vous font redécouvrir leurs
histoires, le contexte de leurs créations ainsi que leur évolution jusqu'à nos
jours : " La Naissance des Grands Magasins".
La première partie de cette exposition vous attend au Musée des Arts Décoratifs
de Paris, du 10 avril au 13 octobre 2024. C'est là que vous découvrez les débuts
des premiers Grands Magasins parisiens, de 1850 à 1925, à travers des
collections de publicité, de mode, de jouet et d’arts décoratifs. La
démocratisation de la mode, l'invention des soldes ou encore la vente par
correspondance, les stratégies commerciales et de communication se dévoilent à
vous dans cette première phase.
Ensuite, c'est à la Cité de l'Architecture que l'exposition se poursuit, cette
fois à travers le prisme du patrimoine. Du 16 octobre 2024 au 16 mars 2025, on y
découvrir l'Histoire des Grands Magasins étendus dans toute l'Europe, du XXe
siècle à nos jours, en mettant l'accent sur l'architecture à la fois
impressionnante et fonctionnelle de ces temples de la consommation, que ce soit
par leurs façades ou leurs scénographie.
De quoi vous permettre de découvrir l'univers des Grands Magasins sous toutes
ses coutures !
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des
Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024.
La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à
découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et
d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024.
Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans
l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des
Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier
dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace
urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne.
La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion
exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre
de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée
Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument
emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la
technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis
de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en
lumière.
L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche
d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples
évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles.
Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer
Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence
de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également
mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture
populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris.
Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps,
où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de
l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet,
les amis ?
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Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au
Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024.
Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se
mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers
des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling
artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à
l'existence !
Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature
accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective
française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024.
Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et
force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion
intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi
en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de
l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard
cosmopolite sur l'art contemporain.
Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un
parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de
l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour
créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de
l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante,
oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la
relation entre la chair et notre environnement.
L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir
de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation,
spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de
Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère
entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en
tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur
est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre,
symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une
métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée
d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie
s'épanouit.
La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux
exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire
colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces
œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives.
Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs
de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky.
En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de
matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique
inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision
de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir
un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art
contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices !
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A quelques mois de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le
Mobilier national présente au public le travail mené pour restaurer les décors
du monument, lors d'une exposition gratuite du 25 avril au 26 juillet 2024.
Après l'incendie du 15 avril 2019, la cathédrale de Notre-Dame de Paris n'a
jamais été aussi proche de rouvrir ses portes au public ! En décembre 2024, nous
pourrons enfin redécouvrir ce monument emblématique de la capitale, reconstruit
grâce au savoir-faire de nos artisans français. Du 25 avril au 26 juillet 2024,
la DRAC Île-de-France et le Mobilier national s'associent pour présenter une
exposition gratuite autour des décors de Notre-Dame de Paris, au sein de la
Galerie des Gobelins.
L'occasion d'admirer des chefs-d’œuvre sauvegardés après l’incendie mais aussi
des pièces contemporaines imaginées pour remeubler la cathédrale et apporter une
touche de modernité. L'exposition souligne le travail mené depuis cinq ans pour
restaurer et repenser le décor intérieur de la cathédrale, avec un savoir-faire
d'excellence. Parmi les œuvres majeures, on peut trouver treize grands Mays, dus
aux meilleurs peintres du XVIIe siècle, montrés pour la première fois depuis
deux siècles dans une même scénographie, ainsi qu'un tapis de chœur monumental
offert par Charles X.
Découvrez également le nouveau mobilier liturgique et les assises de la
cathédrale, issus d’un concours lancé en 2023 !