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ThomC Que ce soit en comparant le monde de la physique aux mystères des sentiments humains, l'approche de ThomC en matière d'écriture de chansons réside davantage dans le domaine des pensées poétiques que dans celui des conversations quotidiennes. En 2024, ThomC entreprend le voyage de présenter "Apogee", un nouvel album de 12 titres dont il présentera un single inédit lors de son concert au Salon ! Un album dédié au silence avant la tempête, aux courtoisies dans les moments difficiles, au fait de vivre une relation amoureuse comme un délit de fuite, à trouver une place et identité dans un monde qui manque de vision.
THOT «DELTA », 4ème opus du collectif, sortira le 10 mai 2024 sur Pelagic Records (Mono, The Ocean, Psychonaut), et fait suite à « FLEUVE », paru en 2017. Mené par Grégoire Fray depuis 2008, THOT a perpétué sa mue au gré de plusieurs albums, de collaborations (Magnus Lindberg de Cult of Luna, Ben Chisholm de Chelsea Wolfe, l’artiste belge Marie-Jo Lafontaine, T. Raumschmiere, Catherine Graindorge), de changements de line-up, et plus récemment, de la pandémie, des mauvais choix, du décès tragique d’un agent alors que s'amorce une collaboration fructueuse, et de la nécessité d’également écrire dans sa langue maternelle, le français. Porté par une soif de création intarissable, tout autant que le refus de se laisser piéger par une société anxiogène, ou pire, le repli sur soi-même. Guidé par le besoin de comprendre sa place dans l’univers, dans l’espace-temps, dans sa propre histoire et dans celles des êtres chers. Et enfin, habité par cette collaboration avec les incomparables chanteuses du chœur polyphonique The Mystery of The Bulgarian Voices, qui place « DELTA » sur une carte sans frontières. Pour les fans de : FFO NIN, The Mars Volta, Killing Joke, The Young Gods, Neurosis.
IT IT ANITA Tornade noise rock belge à la redoutable réputation live, It It Anita amorce une toute nouvelle ère avec Mouche. Le quatuor devient power trio, replace l’efficacité au centre de son art, et livre l’album de la décomplexion. Comme le souligne Michaël Goffard (chant/guitare), “C’est pas qu’on en a rien à foutre, c’est qu’on y va à fond !”. Ce quatrième album donne lieu à emprunter des chemins inexplorés. Ceux des structures couplet/refrain, de la lumière confrontée à la hargne, d’un phrasé à la Beastie Boys, mais aussi du storytelling. Ici, It It Anita chante la culpabilité des lendemains de soirées arrosées, les yes men qui ne reculent devant rien, ces branleurs de crypto-millionnaires ou encore le fait d’être toujours debout et prêt à faire du bruit après 10 ans d’activité. Après John Agnello, Laurent Eyen et Amaury Sauvé, les Liégeois tiennent de nouveau à rendre hommage à un personnage important de leur entourage. Important, mais d’une toute autre manière. Ce nouvel album doit son titre à l’adorable golden retriever en photo sur la pochette. Accueilli par Elliot Stassen (basse) pendant 2 ans, devenu la mascotte du groupe, Mouche est aujourd’hui devenu chien d’assistance. Une véritable icône à poil long, dont l’histoire semble faire écho au surplus de couleurs présent sur ces 9 nouveaux morceaux. Ce qui assouvit la volonté d’It It Anita d’en faire l’album le plus soudé à son public, cassant jusqu’au bout ses propres codes.
MELTHEADS “An explosion in a barbed wire factory” Clash Magazine (UK) Meltheads, a band originating from Antwerp, has swiftly emerged from the shadows to claim a notable position within the Belgian music scene. Their debut album, "Decent Sex," has garnered acclaim not only domestically but is also beginning to attract attention on an international scale. Described as "bawdy and addictive" by De Morgen, this album has served as the catalyst for their rising recognition. The electrifying experience of witnessing Meltheads live is something that fans already acquainted with their performances eagerly anticipate. Following their release show at Trix, HUMO aptly cautioned, "Meltheads gives you wings, but beware, it's addictive." This sentiment underscores the band's ability to captivate audiences with their dynamic stage presence and infectious energy. As Meltheads continue to ascend, the pinnacle of their success remains undefined. However, one thing is certain: the journey ahead promises to be an exhilarating one for this Antwerp-based post-punk/psych quartet. For those eager to be part of their burgeoning trajectory, securing a spot in the front row promises an unforgettable musical headbutt experience.

Past events

Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan. Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous. Ludovic Degroote
Avec Igor Gehenot pianiste, « the 5 » est né et fonctionne désormais dans de nombreux lieux dédiés au jazz… Ces habitués des grandes salles belges, et internationales, viendront en formation acoustique et pour cause, car la salle qui les reçoit a pour objectif de proposer un excellent niveau musical dans un contexte convivial et un environnement sonore adapté. Il sera formidable de les découvrir en ce lieu accueillant, encore peu habitué à ces chaudes couleurs jazzistiques! Venez nombreux les écouter et les rencontrer… Voir les détails sur https://lesalonbugrane.be/event/igor-gehenot-the-5-jazz-acoustique/  
Pour qui en est instruit, l’héraldique présente bien des charmes dans l’emploi d’un vocabulaire singulier usant de formulations aussi curieuses qu’anachroniques afin de décrire les blasons. C’est qu’il faut savoir de quoi on parle ; point de couleurs mais des émaux : Gueule, Azur, Sable, Sinople et Pourpre ; point de jaune ou de blanc mais des métaux : l’Or ou l’Argent ; point de figures mais des Meubles ou des Pièces... Clément Jacques-Vossen, volontiers iconoclaste, enfourche son Cheval de Bataille et bouscule joyeusement mais sérieusement les pratiques de la peinture et celles de l’iconographie traditionnelle en se représentant à travers différents tableaux. Les autoportraits se succèdent comme le monstre de Frankenstein ou un golem à qui je donne vie avec des pouvoirs magiques. Il y a, en effet, de la magie dans ces peintures ; celle qui nous conduit à ne plus savoir précisément quel est l’objet représenté et celle qui perturbe le regard  cherchant à décrypter les différents vocabulaires visuels entremêlés les uns aux autres. Et quand, enfin, tout est confondu, heureux le mortel fort en Gueule, vêtu de Pourpre, allongé sur le Sable qui contemple l’Azur tandis que les Meubles, objets utiles, envahissent les Pièces et les vieilles Armoires rient de tant de faux secrets de famille ; l’Écu par-dessus tête. Ma passion pour l’âge des ténèbres, qui n’était pas si sombre, n’est pas encore terminée. (C. J-V.) Laurent Busine
J’ai eu la chance de faire la connaissance d’Erró en 2016 lors d’une exposition à la Fondation Folon. Ce fût une de ces belles rencontres que le métier de conservateur nous offre. Nous avons partagé quelques moments inoubliables. Qui le connaît apprécie son humour et sa générosité.  Quel message Erró nous adresse-t-il aujourd’hui avec cette interprétation de « La belle Rosine », incarnation de la jeunesse éphémère confrontée à la mort ? Nous savons que l’artiste islandais découpe sans relâche des documents issus de tous bords qu’il collecte et conserve soigneusement. Ils surgissent quelquefois des années plus tard. Cette nouvelle exposition à Bruxelles chez l’ami Marchetti était sans doute l’occasion de valoriser l’oeuvre d’Antoine Wiertz. Erró se sent-il intime du peintre belge qui maniait la dérision et surtout s’inscrivait dans les combats philosophiques et politiques de son temps ? Erró a construit un univers pictural composé d’une explosion de figures, de monstres grimaçants ou d’anti-héros issus de la conscience collective, dans un chaos visuel, reflet d’une époque bombardée d’images. Souvent, il assemble sa peinture à des collages issus de l’imagerie de la bande dessinée, du cinéma ou des arts plastiques. Leur rencontre incongrue crée la surprise. On pourrait y voir le principe d’isolement cher aux surréalistes mais ces rapprochements inattendus ne visent pas la même intention. Erró suggère une narration et propose une approche plus sémiotique, une réflexion sur l’impact de l’image. Il peut user de la même image dans une contexte différent qui va induire un tout autre sens. Tel un témoin, il s’attaque avec ironie aux sujets de société – surconsommation, fantasmes stéréotypés de la sexualité, fanatismes religieux – ainsi qu’à la politique et à l’histoire contemporaine en pointant du doigt les guerres, les totalitarismes, le racisme. « Je suis une sorte de chroniqueur, de reporter qui rassemblerait toutes les images du monde et... je suis là pour en faire la synthèse (1). » Aujourd’hui, avec cette glorification de « La belle Rosine », l’artiste met en valeur le concept de vanité, représentation allégorique de la fragilité de la vie humaine ou celui de la danse macabre, principe d’égalité de tous devant la mort. Quoi qu’il en soit par ce dialogue entre le squelette et la jeune femme, il pose la question du temps et s’empare d’un vaste sujet philosophique : « Faire bien n’est qu’une question de temps (2). » Stéphanie Angelroth 1 - Se non è vero è ben trovato, Éditions La Pierre d’Alun, 2012, p. 13 2 - Antoine Wiertz, La belle Rosine, (1847), huile sur toile, 140 x 100 cm, Musée Wiertz, Bruxelles.  Inscription sur le tableau voir : https://fine-arts-museum.be/fr/la-collection/antoine-wiertz-la-belle-rosine
Fantômes rétiniens
22augustus 2023
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30september 2023
fantômes rétiniens beata szparagowska photographies  exposition du 22 août au 30 septembre 2023 vernissage le lundi 28 août de 18 à 20 h 30 Les rouleaux de films qui sommeillent au fond du tiroir. Depuis une année, parfois plus. Pas d’urgence, les images attendent patiemment d’être révélées et d’être vues.  Ressorties une nuit d’insomnie, la maison dort toujours, je n’entends que ma respiration dans l’obscurité quand je les glisse dans la cuve de développement. Puis, je vais à la cuisine, je la pose, la vaisselle non lavée à côté, il pleut dehors. Le rythme monotone des gestes, leur précision qui rassure. L’odeur de la chimie, des produits qui s’écoulent dans la cuve. Le temps qui passe. L’alchimie. Parfois je fais quelques pas de danse avec la cuve entre les mains. Le chien se réveille, me regarde sans comprendre. Le dernier rinçage et ça y est. Je vais me coucher. Le matin, les films développés sont toujours là, secs, suspendus sur une corde à linge dans la cuisine. Je les regarde à la lumière du jour.  Des images se bousculent. Des instants, captés en mouvement lors de l’un ou l’autre voyage, à peine aperçus, des mauvaises herbes glanées au bord de la route pendant que le paysage défilait me reviennent des années plus tard et se dessinent maintenant avec précision sur la pellicule.  Un bateau découpe l’horizon. Une sirène lointaine. Le clapotis de l’eau. Les pas sur la neige. Le silence d’un lac glacé. Une joie soudaine. Un réverbère. Une rue vide. Le bourdonnement d’une mouche derrière le rideau. La douceur des draps. Le sommeil.  Ces derniers mois je dors à nouveau mieux. Mes nuits sont denses de rêves. Le jour, j’attends avec impatience l’arrivée du soir et du sommeil.  Dormir. Se glisser lentement dans l’eau froide. Pas après pas. Le cœur qui bat trop vite. Après un moment d’hésitation, plonger la tête. Un bref frisson et ça y est. Je suis de l’autre côté.  Des miettes éparpillées d’un carnaval oublié dessinent une toute nouvelle constellation.  Les cris des oiseaux deviennent bizarres. Une mouette me regarde dans son vol. Où suis-je maintenant ? L’eau est douce, rassurante. Le clapotis des vagues me berce, découpe le paysage aux alentours en mille morceaux. J’entends un rire. De quel côté vient-il ? L’eau est sombre et dense comme du goudron. Immobile. Toujours ce rire. Je me réveille en nage. La respiration violente, comme si je sortais la tête hors de l’eau.  La persistance rétinienne. La lumière qui dessine des formes au fond de l’œil. La lumière qui noircit la pellicule, image après image. La lumière qui grave la mémoire. Qui se glisse sous les paupières dans les rêves. Beata Szparagowska
Plans de vols   Dans ma peinture, l’espace non peint est le plein, c’est le monde visible. Mon espace peint devient le vide, c’est le monde invisible. Je joue avec le visible et l’invisible. Le ciel est visible, il est rempli et je vais le vider par ma trace. Pour les yeux humains, la trace d’un avion de voltige est invisible et je vais la rendre visible à travers la calligraphie. Comme peintre et calligraphe, je cherche et montre que l’objectif de cette trace, écrite par l’avion dans le ciel, est artistique. Ma calligraphie n’est pas immédiate, il y a une méditation intérieure et elle n’est pas aléatoire. Elle est le résultat d’une succession linéaire très précise. Je sais où je vais commencer et où je vais terminer. Selon la trame de l’histoire que je vais raconter, je réfléchis au pinceau, à l’encre et au support que je vais utiliser. J’adore le papier pour son côté pénétrant, la vitre pour sa translucidité, le plexi pour sa flexibilité, la fresque pour sa vision monumentale, la toile pour le grain qu’elle dégage. Il y a une grammaire dans cette calligraphie, comme dans la voltige aérienne. Pour écrire une histoire, je suis comme le pilote qui utilise cet alphabet très particulier de figures, ce langage très codifié repris dans un dictionnaire : le code Aresti. Un programme de vol est composé d’une combinaison d’une dizaine à une vingtaine de figures. Les différents enchaînements de symboles donnent le caractère propre du rythme, du souffle et de l’énergie du vol. Quand je peins, j’exécute cette chorégraphie précise.  L’idée d’entamer ce parcours calligraphique m’est venue il y a une dizaine d’années. Juge dans une compétition, j’avais dans les mains un programme de voltige avec toutes les figures enchaînées. Comment pouvais-je réaliser cela en peinture ? Le début de ce travail est également lié à mon expérience de pilote et à ce souvenir d’adolescence où mon père, pilote, me demandait de dessiner son vol sur une vitre. Tous ces éléments m’ont permis d’accéder à cette nouvelle étape de mon travail artistique. Je suis un scribe du ciel et des pilotes. esteban Moulin
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