Grand Théâtre

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Tosca
05mei
-16:00
Livret de Giuseppe Giacosa et Luigi Illica d’après la pièce de Victorien Sardou.Opéra en italien, surtitré en françaisCoproduction Angers Nantes Opéra, Opéra National de Lorraine,Opéra de Rennes, Opéra de ToulonC’est l’une des grandes figures de l’opéra puccinien, une toute jeune femme, déterminée, que l’amour va conduire au meurtre. Tosca, c’est aussi un récit implacable, une course vers l’abîme où chaque rebondissement fait frémir. Tosca, c’est enfin une partition impressionnante, pour les solistes et le choeur, mais aussi pour l’orchestre, protagoniste essentiel de scènes puissantes, le Te Deum qui clôt le premier acte, la mort de Scarpia et le sacrifice final, et de moments de pure poésie comme le lever du jour sur Rome et ce concert qu’on entend de loin par une fenêtre entrouverte au deuxième acte.Direction musicale : Clelia CafieroMise en scène : Silvia PaoliMaîtrise des Pays de la LoireChoeur d’Angers Nantes OpéraDirection Xavier RibesOrchestre National des Pays de la Loire
Tosca
07mei
-20:00
Livret de Giuseppe Giacosa et Luigi Illica d’après la pièce de Victorien Sardou.Opéra en italien, surtitré en françaisCoproduction Angers Nantes Opéra, Opéra National de Lorraine,Opéra de Rennes, Opéra de ToulonC’est l’une des grandes figures de l’opéra puccinien, une toute jeune femme, déterminée, que l’amour va conduire au meurtre. Tosca, c’est aussi un récit implacable, une course vers l’abîme où chaque rebondissement fait frémir. Tosca, c’est enfin une partition impressionnante, pour les solistes et le choeur, mais aussi pour l’orchestre, protagoniste essentiel de scènes puissantes, le Te Deum qui clôt le premier acte, la mort de Scarpia et le sacrifice final, et de moments de pure poésie comme le lever du jour sur Rome et ce concert qu’on entend de loin par une fenêtre entrouverte au deuxième acte.Direction musicale : Clelia CafieroMise en scène : Silvia PaoliMaîtrise des Pays de la LoireChoeur d’Angers Nantes OpéraDirection Xavier RibesOrchestre National des Pays de la Loire
Ensemble à cordes « Les Surprises », Marie Perbost, soprano, et Louis-Noël Bestion de Camboulas, direction, orgue et clavecinW. A. Mozart : Sonates d’églises, Arias et LiederJ.-S. Bach : Sonates, Concertos et AriasC. P. E. Bach : AriasLe patriarche (J.-S. Bach), le fils (C. P. E. Bach) et le successeur (W. A. Mozart), dans un florilège de musique vocale et instrumentale.Un concert en partenariat avec le Printemps des orgues, dans un répertoire différent pour conclure la saison.Louis-Noël Bestion de Camboulas est lauréat de plusieurs concours internationaux et se produit en récital en Europe et en Amérique.Il a été artiste en résidence à la Fondation Royaumont en tant qu’organiste sur l’orgue Cavaillé- Coll. Il dirige l’ensemble Les Surprises, spécialisé dans le répertoire vocal et instrumental des XVIIe et XVIIIe siècles. À la fois chanteuse et actrice, Révélation lyrique de L’ADAMI en 2016, Marie Perbost a remporté les Victoires de la musique classique en tant que Révélation lyrique en 2020.
5 nominations aux Molière 2023 :Meilleur spectacle du théâtre publicMise en scène d’un spectacle du théâtre public (Jonathan Boyé)Comédienne dans un second rôle (Elodie Menant)Révélation féminine (Vanessa Cailhol)Molière de l’autrice francophone vivante (Elodie Menant)Une pièce d’ Élodie Menant, Mise en scène : Johanna Boyé,Avec : Vanessa Cailhol, Olivier Dote Doevi, Élodie Menant, Youna Noiret, Laurent Paolini, Axel Mandron« Objectif, la médaille d’or olympique ! »Deux minutes d’une course folle contre une vie d’abnégation et de passion. Julie s’entraîne depuis douze ans, elle lutte contre ses crises d’asthme ou son tendon d’Achille rompu. Elle s’acharne, se bat. Elle ira courir les huit cents mètres aux Jeux Olympiques. À la vitesse des sprinters, les séquences s’enchaînent. Vingt-trois personnages pour six comédiens virtuoses qui se surpassent sur la piste d’athlétisme, dans le giron familial ou sous les projecteurs des Jeux. On invite Laure Manaudou, Raphaël Nadal ou Usain Bolt à raconter leur histoire, dépassements de soi, découragements et victoires. De l’univers impitoyable du sport, de ses exploits et de ses martyrs, les autrices en font un théâtre incandescent de vitalité. Un spectacle choral, fédérateur à voir en famille, que vous soyez sportifs ou non.Production Atelier Théâtre Actuel, la Compagnie Carinae et Alyzée Créations
L’homme armé doit-on douter ?Feu !… d’artifice.Depuis trente ans, la vie de Vox Campus relève de l’alchimie, combinant la folle énergie de la jeunesse étudiante et l’audace du chef d’orchestre, sans cesse à l’affût d’oeuvres originales, relevant les défis, osant l’impossible.Épris de Paix et de Liberté ils ont choisi de donner des oeuvres chorales et symphoniques de compositeurs de pays parfois rivaux, réunis autour de morceaux choisis sur le thème de l’Homme Armé de Guillaume Dufay à Karl Jenkins.Olivier Villeret, les Instrumentistes, les choristes et les solistes seront émus à l’idée de partager avec un public toujours nombreux cette production élaborée avec ardeur au cours de l’année universitaire.
Nishtiman signifie terre natale. Une terre dont on sait que, de nos jours, elle est partagée entre plusieurs pays. Le Kurdistan n’est pas considéré comme une nation et il existe plusieurs dialectes kurdes, dont les frontières ne recouvrent pas celles des états qui les abritent. On peut même considérer qu’il y a plusieurs musiques kurdes qui, quant à elles, sont identifiées à la Syrie, à l’Irak, à la Turquie et à l’Iran.Mais cette assimilation est plus imposée par les habitudes et une certaine routine des circuits culturels. Le Kurdistan, en fait, existe bel et bien, et sa culture, sa musique notamment, en est le révélateur. Les musiciens de différentes origines qui se sont réunis pour réaliser le Nishtiman Project en sont convaincus: il y a une force, une beauté, une liberté de la musique kurde qu’il faut savoir célébrer comme une valeur non pas nationale ou religieuse mais simplement humaine. Et tous ensemble, ils le prouvent en cultivant l’unité d’inspiration dans la diversité d’un répertoire illustrant le plus souvent le collectif, la fête et une mystique en parfaite harmonie avec la simplicité de la vie agraire.
Cette « soupe de haricots » est une allusion au grand saxophoniste Coleman Hawkins surnommé The Bean, unanimement considéré comme le père du saxophone dans le jazz.Après avoir été le mentor de l’instrument au cours de toute la période swing, il a suivi l’évolution de cette musique et a pris le virage du bop à la suite de Parker et Gillespie. C’est cette période charnière que Michel Bescont et Michel Bonnet recréent pour nous avec bonheur.Ce concert sera également l’occasion d’apprécier le remarquable Stéphane Roger qui mettra, avec son humour et ses tambours, le point final à cettesaison de Jazz pour tous.
Après la seconde guerre mondiale, la vie rangée d’un sous secrétaire d’État à la famille, qui a obtenu la fermeture des maisons closes et l’augmentation des peines sur les délits d’avortement, bascule quand il apprend le même jour, que sa femme attend un enfant et que son fils a mis enceinte sa secrétaire ! Ce n’est que le début d’une succession d’événements imprévus qui vont bousculer les repères de cette famille bourgeoise…Note d'intentionJ’ai une véritable passion pour le théâtre d’André Roussin, il offre une peinture acide de la bourgeoisie française et de la folie humaine. C’est sans doute parce qu’il a écrit des rôles riches et contrastés qu’il a été joué par les plus grands et dans le monde entier.En 1948, il écrit Les Œufs de l’autruche où il traite du sujet de l’homosexualité… quelle audace pour l’époque !Plus tard, il aborde avec Lorsque l’enfant paraît les thèmes délicats de l’avortement et de la fermeture des maisons de tolérance… les directeurs de théâtre restent dubitatifs et frileux sur le texte, et c’est grâce à la conviction et à la notoriété de Gaby Morlay et d’André Luguet que cette comédie est créée en 1951, ils la joueront plus de 1000 fois ! Cette comédie de moeurs – qui porte le titre d’un poème de Victor Hugo – dépeint un couple de l’après-guerre, pétri de préjugés, dont la vie sage et rigide va être déréglée par d’heureux événements inattendus.Derrière une intrigue survoltée, Roussin met en abîme les codes du plus pur divertissement et signe une satire redoutable de notre société… Dans ce vertige débridé, Roussin place des personnages égoïstes, hypocrites, conventionnels et pathétiques, devant l’absurdité du monde !Michel FauUne pièce de André RoussinMise en scène Michel FauAvec Catherine Frot (Olympe Jacquet), Michel Fau (Charles Jacquet), Laure-Lucile Simon (Annie Jacquet), Baptiste Gonthier (Georges Jacquet), Hélène Babu (Charlotte Jacquet, Madeleine Lonant), Sanda Codreanu (Thérèse), Maxime Lombard (M. Jacquet)Assistant mise en scène Quentin AmiotDécor Citronelle DufayCostumes David BelugouLumière Antoine Le CointeProduction Richard Caillat – Arts Live Entertainment – Fimalac CultureEn accord avec le Théâtre de la Michodière
Michka, une femme âgée, perd peu à peu l’usage de la parole, événement d’autant plus bouleversant que les mots furent la vie de cette ancienne parolière. Placée dans un EHPAD, elle doit imaginer un nouveau rapport aux autres avec Marie, jeune femme dont elle est très proche, et Jérôme, l’orthophoniste chargé de la suivre, touché par sa quête. Car avant de mourir, Michka voudrait retrouver le couple qui a sauvé la petite fille qu’elle était.Note d'intentionJ’avais envie d’écrire un texte qui serait fait pour être dit. Un texte qui reposerait uniquement sur des dialogues et des monologues, dont le principal mouvement, la principale vibration, serait la question du langage (et de sa perte).J’ai imaginé cette forme, cet entre-deux – entre théâtre et roman –, en espérant qu’elle donnerait à d’autres des envies de plateau.Quand j’ai vu Stallone, j’ai eu tout de suite l’intuition que Fabien était la bonne personne pour amener ce texte vers le théâtre. Il y a eu pour moi une forme d’évidence, dans la manière dont il donnait à entendre et à voir le texte d’Emmanuèle Bernheim, dans cette forme nouvelle, qui oscille en un parfait équilibre entre incarnation et narration. J’ai aimé aussi sa manière de se décaler du texte, de s’en éloigner, pour faire naître quelque chose d’éminemment sonore.Nous imaginons aujourd’hui un travail d’adaptation à partir des Gratitudes, un travail que nous mènerions ensemble, et c’est sans doute ce qui me réjouit le plus : trouver avec lui cette forme qui sera portée par des comédiens.Delphine de ViganD’après Les Gratitudes de Delphine de ViganAdaptation Fabien Gorgeart, Agathe PeyrardMise en scène Fabien GorgeartAvec Laure Blatter, Catherine Hiegel, Pascal SanglaAssistante à la mise en scène Aurélie BarrinCréation sonore et musique live Pascal SanglaDramaturgie Agathe PeyrardScénographie Camille DucheminCostumes Céline BrelaudCréation lumière et régie générale Thomas VeyssièreCollaborateur son Julien LafosseRégie son Julien Lafosse en alternance avec Annabelle MaillarProduction déléguée CENTQUATRE-PARISCoproduction Le Méta – Centre dramatique national de Poitiers, le Festival d’Automne à Paris, Le Théâtre de La Coupe d’Or – Scène conventionnée de Rochefort, L’Espace 1789 – Scène conventionnée d’intérêt national Art et création pour la danse de Saint-Ouen, Théâtre d’Angoulême – Scène Nationale, Espaces Pluriels – Scène conventionnée d’intérêt national Art et création pour la danse de PauAvec le soutien du dispositif d’insertion de l’École du TNB et du Centre national de la musiqueProjet soutenu par le ministère de la Culture – Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-FranceFabien Gorgeart est artiste associé au CENTQUATRE-PARIS.Remerciements Lucie Blain, Cécile Brus, Jacqueline Hiegel, Lara Otto, Sandrine Pfeifer, Manuel Schapira
Avec la participation des classes de Danse, Musique et Théâtre du CRR et de l’Orchestre symphonique sous la direction de Christophe MILLETDans le cadre de l’année Olympique et de sa saison «En 2023-2024, au conservatoire on joue collectif , le Conservatoire propose un concert-spectacle inédit et détonnant truffé de surprises « musclées ». Anciens élèves, élèves actuels et enseignants sont invités à unir leur talent pour présenter, par équipe, un spectacle « marathon ». Une compétition amicale qui réunit les différents enseignements de l’établissement… il va y avoir du sport !Avec la complicité du public, une seule devise : que le(s) meilleur(s) gagne(nt)….

Past events

L’art de bien mourir en Anjou sous l’Ancien régimeAu XVIIe siècle, la maladie est considérée à la fois comme une épreuve, une leçon, une prière et un chemin vers le Salut. Comme l’écrit Pascal à propos de sa maladie et de Dieu : « Vous m'avez donné la santé pour vous servir et j'en ai fait un usage tout profane. Vous m'envoyez maintenant la maladie pour me corriger. J'ai mal usé de ma santé et vous m'en avez puni. Ne souffrez pas que j'use mal de votre punition ». Accompagné de sa famille, de son curé et parfois de confréries, le malade entre en agonie et se prépare, en public, à sa propre fin. L’agonie n’est pas cachée, bien au contraire. Les Français craignent avant tout la « malemort », la mauvaise mort que personne n’a anticipée, crise brutale, accidentelle… Et que dire alors du meurtre de soi-même (c’est-à-dire le suicide), condamné par l’Église, par l’État et par la société ? Un bon chrétien doit souffrir pour être sauvé. S’il met fin à ses jours, il se révolte contre le Ciel et, à ce titre, est privé de funérailles en l’église paroissiale et d’enterrement au cimetière du village. A partir d’archives, l’objet de cette communication sera donc d’approcher les mentalités des Angevins face à la mort sous l’Ancien régime.Par Anne Rolland, professeure d’histoire moderne à l’UCO AngersEn partenariat avec l’Université d’Angers.
André Dussollier convoque de grands auteurs pour partager son amour des mots. Il a conçu ce spectacle pour donner à entendre son itinéraire poétique. Une collection de textes magnifiques de grands hommes de lettres accompagnés de touches de vidéo et d’une création musicale originale. De sa voix délicieusement magnétique, de son regard perçant d’acuité, de son expressivité hors du commun, il nous charme, il nous ensorcelle pour nous entrainer dans son imaginaire sans limite. Dans l’ambiance feutrée de l’écrin qu’est une salle de théâtre, ce spectacle est un moment heureux où la langue se révèle être un précieux trésor. Un artiste d’exception pour un voyage Sens dessus dessous dans les méandres de la littérature et de la féérie.
3 chorégraphies de Noé Soulier"Le Royaume des ombres" - "Signe blanc" - "Portrait de Frédéric Tavernini"Interprètes : Vincent Chaillet (1er danseur du ballet national de l’Opéra de Paris), Frédéric Tavernini & Noé SoulierÀ travers différents vocabulaires chorégraphiques allant de la danse classique à la danse contemporaine, Noé Soulier propose des outils de lecture permettant d’appréhender la dimension signifiante du mouvement : du geste à l’analyse et de l’analyse au témoignage, à travers ces trois pièces qui révèlent en creux une histoire intime de la danse. Pour Le Royaume des ombres, Noé Soulier puise dans le langage de la danse classique, et s’amuse à agencer les pas académiques pour transformer ce qu’ils peuvent raconter. Signe blanc prolonge cette recherche en s’intéressant à la pantomime. Enfin, du parcours de Frédéric Tavernini - interprète ayant travaillé pour Maurice Béjart, Trisha Brown ou William Forsythe - Noé Soulier a tiré un portrait tout en nuances : un récit de soi où les gestes disent les oeuvres traversées, à partir des signes qu’elles ont laissés dans la chair de l’interprète.Trois pièces riches, intenses et intimes pour tous les amoureux de la danse.
3 chorégraphies de Noé Soulier"Le Royaume des ombres" - "Signe blanc" - "Portrait de Frédéric Tavernini"Interprètes : Vincent Chaillet (1er danseur du ballet national de l’Opéra de Paris), Frédéric Tavernini & Noé SoulierÀ travers différents vocabulaires chorégraphiques allant de la danse classique à la danse contemporaine, Noé Soulier propose des outils de lecture permettant d’appréhender la dimension signifiante du mouvement : du geste à l’analyse et de l’analyse au témoignage, à travers ces trois pièces qui révèlent en creux une histoire intime de la danse. Pour Le Royaume des ombres, Noé Soulier puise dans le langage de la danse classique, et s’amuse à agencer les pas académiques pour transformer ce qu’ils peuvent raconter. Signe blanc prolonge cette recherche en s’intéressant à la pantomime. Enfin, du parcours de Frédéric Tavernini - interprète ayant travaillé pour Maurice Béjart, Trisha Brown ou William Forsythe - Noé Soulier a tiré un portrait tout en nuances : un récit de soi où les gestes disent les oeuvres traversées, à partir des signes qu’elles ont laissés dans la chair de l’interprète.Trois pièces riches, intenses et intimes pour tous les amoureux de la danse.
J. Brahms : Quintette avec piano en fa mineur op. 34J. Brahms : Quintette avec clarinette en si mineur op. 115Deux Quintettes d’un Johannes Brahms à son apogée, deux pans majeurs de sa production. Celui avec clarinette, fruit de la passion tardive d’un compositeur à l’automne de sa vie pour cet instrument à vent, liée à sa rencontre avec le grand clarinettiste Mühlfeld. Celui avec piano, immense oeuvre, généreuse et lumineuse à la fois.
Louane
15maart
-20:00
La jeune chanteuse a su conquérir le coeur des fans grâce à ses chansons touchantes, émouvantes et ancrées dans leur temps. Parmi ses plus grands hits, on peut citer des titres tels que Jour 1, Avenir, Si t’étais là et plus récemment le très personnel et universel message d’une mère à sa fille, Secret. Louane est connue pour sa voix puissante et chaleureuse, qui lui a permis de devenir l’une des chanteuses les plus talentueuses de sa génération. Une tournée piano-voix, intimiste et dépouillée qui ne pourra vous laisser insensible à ses chansons tendres et authentiques.
Opérette en trois actesCoproduction Angers Nantes Opéra, Opéra de RennesOpéra en allemand, surtitré en françaisLivret de Richard Genée et Karl Haffner d’après Le Réveillon de Henri Meilhac et Ludovic Halévy.Le coup de maître du « roi de la valse » dans le genre alors tout jeune de l’opérette viennoise. Un modèle inégalé.Chaque compositeur d’opérette invente son propre dosage des mêmes ingrédients : comique de situation, satire sociale, pittoresque, élégance mélodique et pitrerie musicale. Johann Strauss, dans La Chauve-Souris, réussit le sien avec brio, mais il y ajoute une vraie tendresse pour des personnages qui ne semblaient pouvoir que prêter à sourire. Ce qui rend son ouvrage si attachant, c’est que les femmes ne cherchent pas comme chez Offenbach à venger les infâmes traitements que leurs consoeurs subissent à l’Opéra, mais se révèlent pleines d’indulgence, de sagesse ou de simple insouciance face à une gent masculine peu respectable. Tout cela sur une musique irrésistiblement soulevée par la danse, et pas seulement la valse, dont la mise en scène de Jean Lacornerie se laisse joyeusement imprégner.Direction musicale : Claude SchnitzlerMise en scène : Jean LacornerieChoeur de chambre Mélisme(s) :Direction Gildas PungierOrchestre National de Bretagne
Opérette en trois actesCoproduction Angers Nantes Opéra, Opéra de RennesOpéra en allemand, surtitré en françaisLivret de Richard Genée et Karl Haffner d’après Le Réveillon de Henri Meilhac et Ludovic Halévy.Le coup de maître du « roi de la valse » dans le genre alors tout jeune de l’opérette viennoise. Un modèle inégalé.Chaque compositeur d’opérette invente son propre dosage des mêmes ingrédients : comique de situation, satire sociale, pittoresque, élégance mélodique et pitrerie musicale. Johann Strauss, dans La Chauve-Souris, réussit le sien avec brio, mais il y ajoute une vraie tendresse pour des personnages qui ne semblaient pouvoir que prêter à sourire. Ce qui rend son ouvrage si attachant, c’est que les femmes ne cherchent pas comme chez Offenbach à venger les infâmes traitements que leurs consoeurs subissent à l’Opéra, mais se révèlent pleines d’indulgence, de sagesse ou de simple insouciance face à une gent masculine peu respectable. Tout cela sur une musique irrésistiblement soulevée par la danse, et pas seulement la valse, dont la mise en scène de Jean Lacornerie se laisse joyeusement imprégner.Direction musicale : Claude SchnitzlerMise en scène : Jean LacornerieChoeur de chambre Mélisme(s) :Direction Gildas PungierOrchestre National de Bretagne
Barnabé Leroux est un comptable maniaque, obsessionnel et surtout très procédurier. Depuis la mort de sa femme il mène une vie de solitaire et ne voit que très rarement Benoit, son fils unique. Son seul vrai contact avec le monde extérieur se limite à sa visite hebdomadaire chez sa psychanalyste. Sa vie est réglée, millimétré même, rien n’est laissé au hasard, jusqu’au jour où il découvre qu’il manque un yaourt dans son frigo... Barnabé en est sûr, le yaourt était encore là la veille! Et si un simple yaourt pouvait changer le cours d’une vie?Ecrite avec délicatesse, humour et finesse, la pièce de Laetitia Colombani, servie par une mise en scène étonnante de Ladislas Chollat, est un petit bijou ciselé à la hauteur du talent de la distribution.Après un succès parisien amplement mérité, ne manquez pas l’escale angevine de cette pièce drôle et tendre à la fois.Pascal Legros Production et Le Théâtre Edouard VII
Barnabé Leroux est un comptable maniaque, obsessionnel et surtout très procédurier. Depuis la mort de sa femme il mène une vie de solitaire et ne voit que très rarement Benoit, son fils unique. Son seul vrai contact avec le monde extérieur se limite à sa visite hebdomadaire chez sa psychanalyste. Sa vie est réglée, millimétré même, rien n’est laissé au hasard, jusqu’au jour où il découvre qu’il manque un yaourt dans son frigo... Barnabé en est sûr, le yaourt était encore là la veille! Et si un simple yaourt pouvait changer le cours d’une vie?Ecrite avec délicatesse, humour et finesse, la pièce de Laetitia Colombani, servie par une mise en scène étonnante de Ladislas Chollat, est un petit bijou ciselé à la hauteur du talent de la distribution.Après un succès parisien amplement mérité, ne manquez pas l’escale angevine de cette pièce drôle et tendre à la fois.Pascal Legros Production et Le Théâtre Edouard VII