Dominique toute seule

Description

Comment chanter sa propre mélodie à pleine voix, quand elle ne s’accorde pas avec celle du monde ? "Dominique toute seule" nous emmène aux côtés d’une femme qui se sent devenir transparente. Discrètement accompagnée de son ange gardien, Dominique sillonne les chemins d’une forêt et entre en dialogue avec les éléments. Elle reprend doucement corps au gré des rencontres, des jours, des nuits et des mélodies qui l’entourent.

Prix de la Ministre de la Culture et Prix Kiwanis aux Rencontres Théâtre Jeune Public 2022.

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« Je peux me consumer de tout l’enfer du monde Jamais je ne perdrai cet émerveillement du langage » Louis Aragon « Mon cœur à plus d’amour que vous n’avez d’oubli… » Victor Hugo Divertissement ? Exaltation des mots ? Récital ? Fantaisie musicale ? Hommage aux grands hommes ? Tout à la fois et plus encore… Aboutissement d'un travail de plus de quinze années, cette création produite et interprétée par Gérard-André est un spectacle hors normes croisant textes et chansons d'après une sélection des œuvres des deux poètes et écrivains majeurs du XIXème et XXème siècle. Dix neuf poèmes chantés (musique de Gérard-André pour dix sept d'entre eux, un par Patrick Vasori, un par le guitariste Philippe Darees). Neuf textes dits, mêlant la puissance visionnaire, la force littéraire, la modernité d'Hugo et d'Aragon. Conseillé par le comédien et metteur en scène Yves Prunier, et par Amélie Prévost, comédienne et metteur en, scène, pour l’adaptation 2018 Gérard-André relève un défi à la hauteur de son admiration pour le génie de ses maîtres privilégiés. Un exceptionnel florilège qui voyage dans l'univers étrangement proche des deux auteurs en trouvant l'accord subtil entre parole, musique, mise en espace et mise en lumière. Qui croira reconnaître l'un pourra fort bien se retrouver saisi par l'autre dans le dialogue installé entre les deux voix magistrales auxquelles Gérard-André prête sa chair et son souffle avec inspiration, ferveur et conviction. Les orchestrations et les arrangements de Patrick Vasori sont complices des textes dits et chantés. Un rendez-vous d'une heure trente, inoubliable.
********** Français ********** Dans un quartier résidentiel aux abords d’une ville, nous suivons les trajectoires d’une dizaine de personnages à travers des nœuds de tensions multiples et des conflits sociaux générationnels. Ce microcosme au quotidien tranquille se découvre de nouvelles peurs et angoisses à la suite d’un événement extraordinaire. Véhiculant échecs, fantasmes et souvenirs, cet épisode va bouleverser la vie du voisinage. Chacun·e devra négocier avec plus ou moins de réussite la finitude de son existence. Poursuivant le travail collectif de mise en scène entamé dans leurs précédents spectacles, la compagnie Fany Ducat développe pour ce nouveau projet une dramaturgie plus cadrée avec un texte écrit à six mains. "Harmony" permet de faire coexister une multiplicité de lieux dans un même espace scénique au service d’un récit rythmé. Le spectacle mélange les codes et les genres, souhaite surprendre en articulant son histoire autour de sujets contemporains comme la paranoïa, le complotisme et la sécurité, mais aussi à l’aide de sujets plus intimes tels que la famille, le passage à la vie adulte, la séparation amoureuse… En traitant ces sujets sociétaux et intimes de manière absurde mais sans cynisme, le spectacle nous permet de rire de ces conflits. ********** Nederlands ********** Geïnspireerd op de wereld van grafische romans, stelt de compagnie Fany Ducat in "Harmony" een mozaïekvormig verhaal voor. De voorstelling dompelt ons onder in de dagelijkse mechanismen van een groep individuen tot een gebeurtenis hun gewoonten overhoop haalt. ********** English ********** Inspired by the universe of graphic novels, the company Fany Ducat proposes in "Harmony" a mosaic narrative. The show transports us to the daily mechanisms of a group of individuals before an event upsets their habits.
Comment souder nos rages, et regrouper nos corps pour passer à l’action ? La nuit venue, trois jeunes femmes se faufilent dans le noir. Ce qu’elles s’apprêtent à faire est interdit. Pourtant, rien ne peut les arrêter. Ni la police, qui rôde dans la ville. Ni cette peur, qui fait trembler leurs jambes. Ni le danger, qui n’est jamais bien loin. Ensemble, elles ne se dérobent pas. Elles tiennent bon, se protègent, se réchauffent. Elles soudent leurs destins pour passer à l’action. Elles avancent, corps furtifs bravant l’obscurité, jusqu’à ce mur immense qui leur servira de page blanche, pour écrire leur colère en lettres capitales. Dénoncer l’injustice, qui écrase leur monde et engourdit leurs muscles, en inscrivant des mots que chacun·e pourra lire, partager, peupler de ses propres peines, de ses propres désirs. Des mots qui résonneront, qui réveilleront l’espoir et la puissance inouïe qui fait vibrer les corps lorsqu’ils se mettent en lutte. Des mots qui feront foule, lorsque le jour viendra … Que faire de notre rage, dans une société qui fait passer sa violence structurelle pour un mécanisme d’auto-défense, et considère les élans de résistance populaire comme un poison séditieux à combattre sur-le-champ ? Tirant son inspiration de l’engagement des colleuses d’affiches féministes et nourri d’échanges avec des adolescent·es lors d’ateliers de recherche, Puissant·es nous entraîne sur les traces de trois jeunes héroïnes contemporaines, aux prises avec la brutalité du monde. Rassemblées dans l’espace public, elles décident de rompre avec l’impuissance et de faire converger leurs combats pour mener une action considérée comme illégale : inscrire leur révolte sur les murs de la ville. Un groupe solidaire qui les renforce, et au sein duquel ces figures opprimées vont peu à peu mettre leurs corps en jeu. Des corps à nouveau habités, instinctifs et agiles, qui fusent, se soulèvent, courent, escaladent les obstacles et déchirent les interdits. Des gestes qui résistent et se déploient, porteurs d’une force insoupçonnée qui transforme leur rapport au monde et leur sert de tremplin pour retrouver la joie.   Sur le plateau, les comédiennes Annette Gatta, Sophie Linsmaux et Coralie Vanderlinden, qui signe également la mise en scène de cette nouvelle création de la Compagnie 3637, tissent un imaginaire lumineux et combattif, d’une immense liberté, qui mobilise aussi bien les jeunes spectateur·ices que les publics adultes. Entourées de leur équipe, elles incarnent ce récit porteur d’alternative, qui s’infiltre dans les brèches de notre époque pour documenter une forme contemporaine de militantisme et questionner nos espoirs et nos indignations. Entre poésie brute et images fortes, passages musicaux et chorégraphies des corps en lutte, Puissant·es nous plonge au cœur d’une expérience intime et sensorielle, qui ravive en nous une envie certaine d’émancipation.
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
Ne jamais prendre la moindre décision. Ne jamais penser. Ne jamais choisir. Toute une vie déléguée à d’autres : des manipulateurs et manipulatrices. Est-ce fantastique ou est-ce terrible ? Et que peut faire une marionnette qui joue sans cesse le même spectacle, un spectacle qu’elle n’aime pas ? Que peut-elle faire pour changer les choses ? Elle décide donc de tenter le tout pour le tout et de prendre le pouvoir. De commander à son tour les marionnettistes. Ne plus vivre par procuration. Décider par soi-même. Mais pour ça, il va falloir convaincre les marionnettistes, qui tiennent à leurs emplois. La marionnette fait des promesses. Mais chez les artistes, personne n’y croit vraiment. Alors on demande l’avis du public : “peut-on rêver d’un autre système ?” Un chef d’œuvre de manipulations ! De et avec Cécile Maidon, Noémie Vincart et Michel Villée. Aide à la mise en scène et à l’écriture : Marion Lory. Regard dramaturgique et marionnettique : Pierre Tual. Création de la marionnette et scénographie : Valentin Périlleux. Costumes: Rita Belova. Lumière : Caspar Langhoff. Son : Alice Hebborn. Régie: Margaux Fontaine. Constructions : Corentin Mahieu et Simon Dalemans. Création magique : Andrea Fidelio. Diffusion: Pierre Ronti – Mes idées fixes.
Voie 3, trois amis se retrouvent pour aller profiter des derniers jours de beau temps à la traditionnelle foire aux cucurbitacés de “Bougnette-lez-Camoulasse”: Une destination pittoresque, idéale pour y danser, chanter, pique-niquer mais – “Pour votre sécurité, le trafic est momentanément interrompu.” Cette gare devient alors une prison à ciel ouvert, un no man’s land clos par un pouvoir impalpable celui d’une voix qui veille pour votre sécurité. Emprisonnés par la peur, face à leur impuissance, nos trois amis déconfits tentent de sauver les apparences. Mais les personnages de ce joli tableau incarnent peu à peu les ombres de leurs propres angoisses.  Voie 3 se dessine alors un champ de bataille où dans l’attente éclate une guerre territoriale. Another Brick, une immersion poétique au coeur de la sauvagerie ordinaire.
Depuis un an et demi, Lisa Tonelli et Emeline Marcour ont sillonné la commune d’Ixelles à la rencontre de restaurateurs. Elles ont récolté des histoires de goûts, de dégouts, de goûts nostalgiques, oubliés, obsessionnels ou réconfortants, de goût du quotidien, de goûts festifs….et avec tout ça, elles ont composé leur grand « Frichti » * : Un spectacle théâtral, culinaire, intimiste et participatif.
 
 * Un "Frichti" est un repas simple et souvent improvisé, généralement préparé avec le ingrédients que l’on a sous la main. 
 
 Avant la semaine de spectacles : 
 Samedi 6 avril « Atelier de cuisine saupoudré de poésie » animé par Nadjad. 14h00 (durée 1h30) Mercredi 10 Avril Atelier Slam: « Tambouille familiale » animé par Nadjad. 19H00 (durée 2h)  
 
 Pendant la semaine de spectacles : 
 Le 16 avril : la première à 20h Le 17 avril : Spectacle à 19h Le 17 avril scène slam sur la thématique de la cuisine / Gratuit 20h45 Le 18 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 1er podcast Le 19 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 2ème podcast Le 20 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 3ème&4èmepodcasts Thématiques des podcast: Des frères et des sœurs, le rapport à la table et à la nourriture : réflexions, histoires, souvenirs à satiété, partage nourrissant et succulentes anecdotes.
99 cm
19apr.
-
20apr.
Un sincère partage de l'intime, inspiré de la vie d'artiste, de ses rêves et de ses cauchemars. Un point de vue particulier d'une vie, qui a changé de 99 cm entre le premier contact avec le monde extérieur et aujourd'hui. Ici, maintenant, elle est là, prête, ou presque prête à partager ses délires, envies et fantaisies. Mais entre les attentes et la réalité, il y a parfois des décalages et des surprises. Les choses ne se passent pas vraiment comme on les avait imaginées... Entourée d'objets et d'éléments du quotidien détournés de leur fonction, ce spectacle invite le public à découvrir les coulisses de la vie d'une artiste à travers l'univers circassien. Iara Gueller est brésilienne, de la grande ville de São Paulo. Elle passe toute son enfance dans le milieu artistique. Après une longue formation en danse classique, elle obtient son diplôme en danse contemporaine à l'UNICAMP (Brésil-2014) ; et développe en parallèle sa formation en cirque. En 2014 elle traverse l'océan pour tenter les écoles de cirque en Europe. Elle rentre à l'ESAC où elle se spécialise en Cerceau aérien. Une artiste touchée par l'absurde, l'univers qui accueille ses créations. En utilisant le cirque - qui permet d'amener le corps humain dans l'absurdité - mélangé à la danse, elle crée son propre monde qui, en fin de compte, n'est pas si loin de la réalité. Avec Création et interprétation Iara Gueller Technicien.ne Suzon Gheur Lumneiro Salva Salve / Xian Vancanneyt Regard dramaturgique Aurelia Brailowsky, Alejo Gamboa Regard extérieur Sander de Cuyper, Luciana Viacava Création structure Ulrich Weigel Accompagnement à la diffusion Louison Chartrain Co-production UP- Circus & Performing Arts (BE) Accueil en résidence Centre Culturel Wolubilis (BE) / Circo Zanni (BR) / Cirqu'conflex (BE) / La Bau (ES) / La Roseraie (BE) / Les Baladins du miroir (BE) / Maison Culturelle d'Ath (BE) / Maison de la Création (BE) / iaragueller.com
La presse en parle... "Une vraie prouesse théâtrale, seul sur scène, Luca Franceschi ne cesse de faire un va-et-vient époustouflant entre un personnage espiègle, amoureux de l’œuvre de Shakespeare et un comédien instable qui se demande s’il doit être ou « ne pas pas être." Le Comtadin "Une tragi-comédie aussi désopilante qu’acide. On rit de la tragédie et réfléchit avec la comédie. Les spectateurs sous le charme ne peuvent qu’applaudir cet exploit théâtral. Du jamais vu." Midi Libre « Lorsque la commedia dell’arte rencontre le théâtre de Shakespeare… nous nous retrouvons alors dans une tragédie contemporaine, une pure tragi-comédie, touchant au rire et à l’émotion… » La Gazette