Journées européennes du patrimoine - Expositition Bi-portraits 21 Mickaël Phelippeau / Château-Thierry

Description

Horaires d’ouverture : de 13h30 à 17h30> Sam. 21 et Dim. 22 sept. - pour les Journées Européennes du Patrimoine> Les soirs de spectacle à L'échangeurC’est à l'occasion d’ateliers de pratique artistique que se rencontrent les univers des danseur·euses d’ART21 (Association Regard Trisomie 21) et du chorégraphe Mickäel Phelippeau. Pour poser la question de l'altérité sous forme de portraits croisés."En quoi nous sentons-nous interprètes de notre propre métier ?" interroge le chorégraphe depuis l’automne 2003. De ces questions, et d’une envie de partage, naissent les bi-portraits comme prétextes à la rencontre avec des métiers et des destins, souvent provoquée, parfois impromptue. À partir d'un échange d’accessoires, Mickaël Phelippeau crée deux images prises dans un même cadre. Le jaune, couleur totem du chorégraphe, est omniprésent dans les clichés. L’éphémère du moment est fixé dans ces portraits partagés, le temps d’une pose et d’un échange d’objets, celui de la scène comme celui du quotidien. L’artiste déploie sa démarche en réseau, presque par effet ricochet, chaque portrait portant en lui les traces des précédents. Et bien souvent, la danse prend le pas sur la photographie, d’un double portrait d’abord figé par l'image, les corps s’animent.

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Ce n'est que bien après s'être égarée à l'école des Beaux Arts de Bourges et l'obtention de son DNAP, où Alexandra Pasqualini oscillait entre volume et peinture, qu'elle découvre la fabrication de papier. Aujourd'hui Alexandra Pasqualini a 52 ans et travaille comme animatrice péri scolaire qui lui laisse beaucoup de temps pour ses créations personnelles. Sa vie artistique se divise en trois périodes. Son immersion à l'école des Beaux Arts de Bourges jusque à ses 22 ans suivie d'une rencontre amoureuse de là naissent 2 enfants, puis une première découverte en 2008 en menant des ateliers de papier recyclé auprès des enfants où elle découvre une technique de base de la fabrication de papier. Ensuite un troisième enfant en 2012, c'est en 2018 qu'Alexandra reprend son expérimentation de la matière avec toutes sortes de matériaux : légumes, végétaux...pour réaliser ses feuilles de papier. Aujourd'hui, Alexandra Pasqualini fabrique principalement du papier recyclé, auquel elle ajoute de la terre, des végétaux. Les feuilles de papier lui servent de support pour ses dessins à l'encre. Alexandra est sensible au réchauffement climatique, à la consommation abusive du bois, à la déforestation. Aussi, son travail tend à rendre hommage à l'Arbre et ainsi amener à une prise de conscience de l'homme à préserver nos forêts. L'oeuvre d'Alexandra Pasqualini est une quête affective qu'elle souhaite transmettre au public, par le biais du support papier tel un cycle de l'Arbre vivant à l'Arbre devenu papier. Le papier devient mémoire de l'Arbre. Alors Alexandra expérimente la technique avec des légumes, des végétaux, du carton, du coton, afin d'obtenir des feuilles. Une pate à papier qu'elle fabrique dans une cuve qu'elle étale sur des petites planches qu'elle pressent, puis elle réassemble ses feuilles pour faire de grandes surfaces de vie. Une opération qu'elle recommence plusieurs fois à base de papier recyclé. Ensuite elle superpose les feuilles de papier, les déchire, les écorche, les imbibe d'encres, de café, de teintes végétales. Des parfums de forêts émanent de sa bouillie de papier. Alors, renaît la nature, cet espace qu'Alexandra explore, les sens aux aguets, à la rencontre d'hÊtres. Elle ne cherche pas à reproduire les arbres, d'autres le font magnifiquement. Elle est en recherche émotionnelle. Cette ivresse émanant d'un seul trait de dessin dynamique, ou d'une veine de papier dévoile sous l'encre. Cet instant où il faut lever le pinceau au risque de noyer l'émotion. Alexandra ne sait ni si elle est peintre, dessinatrice, artiste ou artisan, ni de quel courant artistique elle s'inspire. Elle est celle, celui qui ne rentre dans aucune case. Alexandra suit le vent dans les arbres, la samare qui virevolte et germe au gré des rencontres notamment lors d'ateliers papier qu'elle anime. Alexandra est celle qui goûte à la liberté qu'elle retrouve en forêt où son être exulte. Une liberté, dû en partie, à la prise de conscience de préserver l'environnement naturel, nos bois... Et si parfois des champignons incrustent son tableau, c'est encore pour observer la vie. Site web : https://g-rdv.com Infos réservation : Le vernissage est prévu le 12/07/2024 à 18h, nous vous remercions de vous inscrire pour votre venue à e@g-rdv.com.
Tout l'été, rendez-vous au musée pour des activités pour les petits et les grands ! Tout l'été, le musée de la Grande Guerre vous propose des activités à partager en famille pour comprendre l'histoire de la Première Guerre mondiale de façon pédagogique et ludique. Au programme : des ateliers pour les enfants les mercredis et les vendredis ; des visites guidées les samedis et les dimanches ainsi que des séances de sport gratuites dans la parc du musée. Et toujours nos expositions temporaires : Ne manquez pas le passage de la flamme Olympique le 20 juillet au musée. Le musée sera exceptionnellement fermé ce jour là. Notez dès maintenant la fermeture annuelle du 19 août au 6 septembre. Réouverture pour le week-end de reconstitution historique de la Grande Guerre le 7 et 8 septembre.
Photos de Paul Ronald Lorsqu’on associe un acteur et un réalisateur, dans le cas de Marcello Mastroianni, on pense immédiatement à sa complicité avec Federico Fellini. Pourtant, si l’on observe de plus près la filmographie de Mastroianni, il s’avère que son autre grand collaborateur est Ettore Scola. C’est la collaboration entre ces deux maîtres du septième art et le comédien que retrace cette exposition imaginée par Antonio Maraldi pour le centenaire de la naissance de Mastroianni, à partir d’images de sa collection privée. Toutes ces photographies de plateau ont été prises par Paul Ronald, photographe français installé en Italie, qui a travaillé avec les plus grands réalisateurs du cinéma transalpin, tels Federico Fellini, Ettore Scola, Marco Ferreri, Antonio Pietrangeli, Dino Risi et Luchino Visconti. En partenariat avec Reims Rayonnement International, pôle Reims-Florence.
Au quotidien, comment reprendre conscience de notre environnement comme faisant partie d’un Grand Tout ? « Un Grand Tout » peut permettre de désigner un ensemble à différentes échelles : un quartier, une ville ou encore un macrocosme. Dans le cadre de l’Été sera show !, l’attention sera portée au quartier Wilson. Vous serez d’ailleurs conviés à y déambuler afin de découvrir trois collages de dessins réalisés par Gladys Bourdon sur trois sites différents en extérieur proposés par le Foyer Rémois.
« Le Moineau » est une statue d’un moineau monumental de 2.45m de haut et de 4.5m de large. Le moineau domestique est l’oiseau le plus répandu en France. Selon l’Office Français de la Biodiversité, cette population qui égaie nos villes et nos villages a diminué de 75 % en seulement 13 ans. Les moineaux ne trouvent plus les graines et les fruits qui les nourrissent, quant à leurs oisillons, ils sont majoritairement nourris d’insectes et de vers qu’ils ne trouvent plus. Ces problèmes sont liés au réchauffement climatique, la pollution, la bétonnisation et aux pesticides. La rencontre avec cette statue nous invite à prendre conscience de l’effondrement de la biodiversité et à entrevoir les solutions que nous devons mettre en place pour la sauvegarder. Il s’agit là d’un message écologiste abordable pour tous.
« Couvert » est une série d’impressions sur papier, collée sur les murs d’expression libre situés le long du canal. Adoptant des formats variables avec des interventions tantôt textuelles tantôt photographiques, cette série s’intègre dans l’espace public sous forme de motif répété sous différents ponts. L’image apparaît, dans la durée elle s’expose aux intempéries, se dégrade, se fait recouvrir, puis réapparaît. … « Couvert » est une réflexion sur la permanence et l’éphémère du paysage urbain dans notre quotidien. La série agit comme une recherche poétique sur le terme couvert soit par le médium même (papier affiche) sur une surface préexistante, soit par ce qui s’inscrit sur elle comme un ciel couvert. Artistes : Valéry PELLETIER + bénévoles
Le Cercle généalogique organise le samedi 28 et dimanche 29 septembre 2024 un grand salon de généalogie et d'histoire à Château-Thierry, de 10 h à 18h au Palais des sports de Château-Thierry, avenue Jules Lefebvre.Thème et expositions : « Sportifs axonais aux jeux olympiques depuis 1900 » Présence de nombreuses associations généalogiques et historiques, écrivains locaux, des archives départementales de l’Aisne, professionnels, associations locales, métiers d’art, sites de généalogie…L'association le Cercle Généalogique de l'AisneGénéalogie, quand tu nous tiens.... Le cercle généalogique de l’Aisne est une association, dont l’aventure est née en 1986, notre passion pour la généalogie, l’histoire et le patrimoine de notre belle région est intacte !03 23 72 99 25
Laissez-vous conter la mémoire du château de Pierrefonds à travers l'exposition 'Viollet-le-Duc et l'Archéologie' à Pierrefonds, Hauts de France. Découvrez des objets archéologiques et des documents iconographiques inédits, révélés pour la première fois, accompagnés d'un dispositif de médiation ludique et interactif. Plongez dans l'univers de l'architecte-restaurateur Eugène Viollet-le-Duc, passionné d'archéologie, et explorez les vestiges et artefacts témoins d'un passé oublié. Une exposition fascinante sous le commissariat de Thierry Galmiche, Marie-Laure Le Brazidec, Vincent Legros et Arnaud Timbert.
Exposition de tableaux par Philippe Fournier - Exposition de photographies par Jérôme Fontaine — au rez-de-chaussée et au premier étage. Éléments du patrimoine du village au 1ᵉʳ et au 2ᵉ étagesPour plus d'informations veuillez contacter la mairie de Pavant : - Tél. : 03 23 70 04 17 - Adresse mail : contact@mairie-pavant.fr