Dialogues Olympiques

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Quelques semaines avant le début des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, de très grands sportifs du Comité National Olympique et Sportif Français viendront dialoguer à l’auditorium du musée du Louvre.

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Découvrez la passionnante histoire d’un incroyable faussaire. 1920 : Han van Meegeren est un peintre très doué… mais frustré d’être snobé par les critiques d'art. Il veut prendre sa revanche ! Comme on ne connaît du grand Vermeer que quelques tableaux profanes, Han prouve son talent en imaginant les tableaux religieux que le grand maître n’a pas peints. Il invente des faux Vermeer ! Au fil d’une vie rocambolesque, il enchaîne les faux, dupe Goering, trompe les plus grands experts et conservateurs à travers le monde, fait l’objet d’un procès retentissant… Pour raconter ce personnage hors du commun, François Barluet a conçu une conférence théâtralisée passionnante, confrontant le faussaire à un expert chevronné. Ils abordent des sujets aussi divers que les techniques de vieillissement, la spoliation des œuvres d’art et leur restitution, la fausse épidémie syndrome K., l’opération Fortitude et sa fausse armée… Et s’il vous reste des questions, l’expert et le faussaire y répondront.
Scala Productions & Tournées (1115542) présente ce spectacle. L'AUTRE RUSSIECarte blanche à André Markowicz DISTRIBUTION De et avec André Markowicz Qu'est-ce que « L'Autre Russie » ?par André Markowicz Poète, éditeur et traducteur de premier plan, André Markowicz nous propose de mieux connaître l’« Autre Russie », celle des grands poètes qui en illustrent l’immense humanité. L’Autre Russie, ce n'est pas la Russie fasciste, nationaliste, monstrueuse que veulent bâtir les assassins mafieux au pouvoir à Moscou. Même s'il y a eu, comme partout, en Russie, des écrivains qui flatté le pouvoir, des gens qui ont profité du régime, la littérature russe a toujours été un lieu de résistance et les poètes ont, souvent au prix de leur propre vie, porté la voix de l'humanité. La Scala Paris me propose une carte blanche – trois dates, un dimanche par mois. J'y évoquerai quelques-uns de ces poètes. Le dimanche 8 octobre, j'évoquerai la figure d'Alexandre Blok, dont j'ai traduit Les Douze, en compagnie de Christian Olivier, — lui, qui, avec le Collectif Les Chats Pelés, a illustré la publication que nous en avons faite aux éditions Mesures que j'anime avec Françoise Morvan, et qui a enregistré le texte de ma traduction. Le 5 novembre, je dirai, en russe et en français, des poètes de la résistance à la dictature stalinienne, Anna Akhmatova et Ossip Mandelstam. La rencontre du 10 décembre sera consacrée à une figure encore totalement inconnue, et pourtant majeure, de la poésie russe de la fin du XXe siècle, une figure de ce qu'on appelait « la dissidence », Kari Unksova, militante féministe, assassinée par le KGB en 1983, et dont l'oeuvre tout entière est restée inédite. J'ai traduit son dernier volume, La Russie l'été (avec une extraordinaire Autobiographie) et je l'ai publiée, elle aussi, chez Mesures. Trois rencontres, trois moments, pour dire que cette « Autre Russie », elle existe, envers et contre tout. C'est cette Russie-là qui me fait vivre. A l’issue de ces rencontres, André Markowicz dédicacera ses ouvrages dans le hall du théâtre.Informations pratiques :Durée : 1h15Réservation PMR : 01 40 09 44 30
L'exposition Conférence historique : Protéger les collections nationales pendant la Guerre froide a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Nogent sur Marne 2024. À l'occasion de la Nuit européene des Musées, la Fondation des Artistes invite deux chercheuses à présenter la personnalité et les engagements de Rose Valland, célèbre pour son rôle d'identification et de restitution des oeuvres d'art spoliées par les nazis, pendant la Seconde Guerre mondiale. Figure majeure des musées au XXe siècle, Rose Valland a longtemps travaillé depuis l'Hôtel Salomon de Rothschild, le siège parisien de la Fondation des Artistes, et a bien connu Maurice Guy-Loë, premier directeur de la Maison nationale des artistes de Nogent-sur-Marne. Rose Valland (1898-1980) est avant tout connue pour son action de résistance face au pillage artistique nazi, pendant la Seconde Guerre mondiale. Son engagement en faveur du patrimoine ne se limite toutefois pas à la période du conflit : dès 1945, elle part en Allemagne récupérer les oeuvres françaises qui avaient passé la frontière durant les hostilités. Elle y restera huit années, à l'issue desquelles son retour en France est l'occasion pour l'administration des Beaux-Arts de lui confier la responsabilité d'un nouveau service, le SPOA. Grâce à ce Service de protection des oeuvres d'art, Rose Valland peut maintenir la collaboration avec la toute jeune République fédérale d'Allemagne, qui a désormais la responsabilité des restitutions artistiques. Faute de locaux disponibles au Louvre, le SPOA s'installe dans l'hôtel particulier Salomon de Rothschild, non loin de l'Arc de Triomphe, aujourd'hui administré par la Fondation des Artistes. Composé d'à peine plus de cinq personnes, ce service s'occupe de répondre aux nombreuses demandes des propriétaires spoliés et d'assurer la protection des musées français dans l'éventualité d'un troisième conflit mondial. Il faut notamment rechercher des dépôts capables d'accueillir des oeuvres par milliers puis établir des plans de sauvegarde et d'évacuation des collections, ce à quoi s'attachera Rose Valland jusqu'à la fin de sa carrière. Mal connue des historiens, l'action de la conservatrice du SPOA est l'objet de cette conférence qui présentera les récentes découvertes dans les archives administratives et personnelles de Rose Valland. Infos réservations : En ligne - https://www.fondationdesartistes.fr/ Par téléphone - 01 48 71 28 08 Par e-mail - visite@fondationdesartistes.fr - visite@fondationdesartistes.fr
Se présenter 15 minutes avant l'horaire de la visite. Lors de la réservation le nom de chaque participant, un numéro de tél et une adresse mail doivent être saisisSe présenter 15 mn avant l’horaire de la visite, munis d’une pièce d’identitéTarifs réduits : justificatifs à présenter obligatoirement le jour de la visite.Visite accessible aux enfants à partir de 10 ans.Merci de bien renseigner votre numéro de téléphone dans la fiche client Visite accessible aux enfants à partir de 10 ans L’hôtel Potocki tel qu’il se présente aujourd’hui est le fruit de plusieurs campagnes de construction et d’agrandissement. Un premier hôtel particulier fut construit en 1857. Le comte Potocki le fit remanier et agrandir de 1878 à 1884 par Jules Reboul. A la mort de son fils, l’hôtel fut mis en vente et acquis en 1923 par la CCI Paris Ile-de-France. Paul Viard et Marcel Dastugue construisirent pour celle-ci deux ailes supplémentaires, de style Louis XIV pour s’harmoniser avec le reste de l’hôtel, de 1925 à 1927. La CCI Paris Ile-de-France fit également réaménager une salle des séances, une salle des fêtes et une salle à manger par Jacques-Émile Ruhlmann. Une partie des façades, toitures, et une partie des décors ont été classés monuments historiques en 1991.Durée : 2 heures Tarif réduit :-jeunes de 10 à 18 ans (visite non adaptée aux moins de 10 ans) ;-jeunes de 18 à 25 ans résidents dans l'un des pays de l'Espace Economique Européen ;-enseignants titulaires du Pass Éducation en cours de validité et portant le cachet de l’Etablissement ;-demandeurs d'emploi et aux bénéficiaires des minima sociaux (justificatif daté de moins d'un an) ;-visiteurs handicapés et à leur accompagnateur ;-visiteurs malentendants ;-porteurs de la carte du ministère de la culture ;-conférenciers et guides
L’art pariétal sous un nouveau jour ! En présentant les relevés des œuvres découvertes sur les parois des grottes dès le début du XXe siècle, l’exposition au Musée de l’Homme mêle inspirations artistiques et explorations scientifiques.
L'IA et l'art s'entremêlent au Grand Palais Immersif à Paris avec Artificial Dreams, une exposition-performance mettant à l'honneur des oeuvres assistées par l'intelligence artificielle qui nous attend du 16 mai au 8 juin 2024. L'Intelligence Artificielle dans le monde l'art, c'est ce qui nous attend à Paris, au Grand Palais Immersif, avec une exposition-performance. Artificial Dream nous entraine au coeur de l'art numérique avec des oeuvres dont la réalisation a été assistée par l'IA. Le rendez-vous nous est donné tous les jeudis, vendredis et samedis soirs, du 16 mai au 8 juin 2024, pour aller à la découverte des créations de 12 artistes, studios et collectifs internationaux. À l'heure où les outils IA se multiplient, cette révolution technologique est redoutée par les uns, adulée par d'autres. Tour à tour source de craintes et d'opportunités, l'Intelligence Artificielle s'étend et montre l'impact qu'elle peut avoir sur différents aspects de la société, qu'il s'agisse des réseaux sociaux, du domaine médical, de l'information ou encore de l'éducation. Et quid du monde des arts ? L'IA menace-t-elle la création ou peut-elle permettre d'en repousser les limites ?L'exposition Artificial Dream devrait ainsi nous faire la démonstration de ce que peut permettre l'intelligence artificielle lorsqu'elle est au service de l'imaginaire. Au casting de ce rendez-vous onirique on retrouve les artistes, collectifs et studios Markos Kay, Andy Thomas, Tryphème & Ulysse Lefort, Ryoichi Kurokawa, IMMERSIVE ARTS SPACE/ZHdK, Mots, Daito Manabe, MSHR, Sabrina Ratté, Justine Emard, Visual System, Emi Kusano, Iconem et Niceaunties. Cette exposition qui se déroule en nocturne promet une " projection immersive spectaculaire" qui nous attend du côté de la grande salle, ainsi qu'un parcours d'installations qui nous attend dans les étages. Plusieurs événements lives, performances, conférences et table-rondes sont également prévues lors de ces soirées au coeur de rêves artificiels.
Exposition Le Rebord du monde par Delphine Rocher du 23 mai au 2 juin 2024 Vernissage le jeudi 23 mai à partir 18h30 - 23h « M'asseoir sur le rebord du monde, voir ce que les hommes en ont fait » disait Cabrel il y a 30 ans. Prendre la mesure de la beauté de notre petite Terre et méditer, s'engager, s'émouvoir, se questionner, s'oublier. être conscient et présent et penser à s'effacer du paysage. Les peintures de Delphine Rocher s'intéressent à l'interaction entre l'homme et son paysage, à son rôle d'acteur, son rapport à l'espace, son statut de spectateur, son empreinte. Elle aime explorer les transparences et recherche l'instant ultime où la figure est encore visible mais se fond dans le paysage, créant à la fois des univers possibles et impossibles. Ses toiles captent la nonchalance des gestes, le mystère d'un dos ou d'une nuque. Elle s'essaie à des techniques multiples, du stylo Bic à l'huile, l'acrylique ou le crayon graphite, s'attachant à évoquer parfois de fa?on plus abstraite un paysage, mais aussi à rentrer dans la description d'une goutte d'eau. Graphiste, Delphine Rocher est diplômée de l'École Supérieure des Arts Appliqués Duperré. En 1997, elle crée, avec ses deux associées, l'agence de graphisme Zaoum située à Paris dans le 5e. Elle fait également partie du collectif « Les Presseurs d'éponges ».La peinture et le dessin ont toujours fait partie de sa vie mais sont devenus essentiels depuis une dizaine d'années, avec des expositions collectives et solo en France, et la participation à des foires internationales outre-Atlantique. Ses oeuvres sont vendues désormais à l'international et notamment aux états-Unis. La galerie Paul*13 est heureuse d'accueillir pour la seconde fois une expo solo de Delphine Rocher, après « Même dans les moments les plus calmes » en Décembre 2022. Galerie Paul*13 13 rue la Condamine, 75017 Paris Dates : Du 23 mai au 2 juin 2024 Vernissage le 23 mai à partir de 18h30 Ouvertures : jeudi à dimanche de 13h à 20h Tarif: gratuit Accès: Métro ligne 13 La Fourche / ligne 2 Place de Clichy
L'exposition Retour à Venise avec Henri Landier vous plonge dans l'univers coloré et captivant de ce célèbre peintre humaniste. Découvrez une soixantaine d'oeuvres, mêlant aquarelles, huiles sur toile, sanguines et gravures, inspirées par la beauté de Venise. Depuis 1987, Henri Landier capture la vie vénitienne avec des couleurs vives et des perspectives uniques. Laissez-vous transporter à travers les canaux et les ruelles de la Sérénissime, et vivez une expérience artistique inoubliable.
Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement" du 15 mai au 17 novembre 2024. Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art, grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur sport à travers les collections du Petit Palais. Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures, objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection. Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres. On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres détails. L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué, mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées. Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et se dépenser avec les jeux et sports de leur temps. On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place du corps dans cette discipline. Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au Petit Palais.
Le musée de la Vie Romantique célèbre le bicentenaire de la mort de Théodore Géricault, avec une exposition thématique présentée du 15 mai au 15 septembre 2024. Le célèbre peintre Théodore Géricault est décédé en 1824, après une riche carrière, et de nombreux chefs-d'œuvre toujours admirés de nos jours. Pour commémorer ce bicentenaire particulier, le musée de la Vie Romantique dédie une exposition à l'artiste français, et plus particulièrement à l'une de ses passions... Du 15 mai au 15 septembre 2024, venez découvrir Les chevaux de Géricault, une exposition de peinture thématique, qui explore ce motif si fréquent dans les œuvres de l'artiste. Une centaine de peintures, venues de collections publiques et privées, sont réunies pour cette exposition inédite. Les chevaux sont la passion immuable de Géricault : de ses premiers dessins à ses plus grands tableaux, le peintre a toujours été fasciné par ces animaux, leur anatomie, leurs émotions, leur vie... On recense une dizaine de tableaux et plusieurs centaines de dessins de chevaux signés Géricault : l'artiste a admiré, analysé, étudié chaque aspect de cet animal. On peut ainsi découvrir des œuvres représentant des chevaux à l'armée, au champ de courses, dans les écuries ou les champs, en parade ou au repos, de leur naissance à leur mort... Chaque mouvement, chaque sentiment, réaction et émotion sont représentés avec une grande finesse, un soin particulier. Pour Géricault, le cheval un être très esthétique, un symbole de puissance. Le musée de la Vie Romantique explore donc cette passion dévorante dans un parcours divisé en cinq chapitres : Le cheval politique, L’écurie sanctuaire, Rome : la course des chevaux libres, Londres : dandies et prolétaires et La mort du cheval. Une manière originale de rendre hommage à ce peintre incontournable !