Amoureux du cinéma et d'innovation, le Forum des Images vous invite à la 7e
édition du NewImages Festival du 24 au 28 avril 2024. Cet événement unique
promet une immersion fascinante dans l'art immersif avec des œuvres en réalité
virtuelle, augmentée, et mixte venant des quatre coins du globe.
Depuis maintenant sept ans, le NewImages Festival est à l'avant-garde de la
scène artistique numérique, explorant les mondes virtuels sous divers angles
créatifs. Ce festival est une célébration internationale de la créativité où les
curieux et les professionnels et peuvent découvrir les dernières avancées en
matière d'art immersif. Les œuvres présentées repoussent les frontières de notre
imaginaire, transformant notre perception du réel et de la narration.
La XR Competition 2024
Cette année, le festival met en compétition 15 œuvres VR, AR ou MR soumise à un
jury d’exception. Ces productions ou coproductions sont issues du monde entier :
des États-Unis, de Taïwan, de l’Argentine, du Brésil, du Japon, en passant par
les pays européens, comme le Danemark, les Pays-Bas ou le Royaume-Uni, sans
oublier la France.
Cette sélection offre une grande variété de propositions Réalité Augmentée (AR),
notamment dans le film The Tent pour observer de tous les points de vue un monde
en miniature mais également de Réalité Mixte (MR) comme dans l’expérience
vidéoludique, Yuki MRcade Mode.
Les créations ne sont pas seulement des recherches technologiques pointues mais
offrent une vraie proposition cinématographie, transcendée grâce à la
technologie. On retrouve ainsi un récit personnel croisant l’histoire (Letters
from Drancy), une expérience intime et poétique de l’aphasie (Empereur), une
fable sur l’extraordinaire sensibilité de l’enfance, réalisée par le cinéaste
d’animation multi-primé Koji Yamamura, ou encore le dialogue hyperréaliste entre
deux personnes donnant naissance à des images oniriques (A Vocal Landscape).
Certaines œuvres jouent sur la combinaison des formats au service des enjeux
narratifs, telles que la plongée au temps des cathédrales offerte par Gargoyle
Doyle en AR/VR ou bien la déambulation dans un sauna gay dans Traversing the
Mist, utilisant la VR 360° et le dispositif multi-utilisateurs.
La sélection hors compétition
A côté de cette sélection, 7 oeuvres Hors Compétition sur la thématique du
Patrimoine seront présentés. Ces films s’apparentent à des documentaires
explorant de nouvelles formes de narration, soutenues par les innovations
technologiques les plus pertinentes. Noire (Colored) intègre par exemple la
réalité mixte pour retracer les luttes pour les droits civiques aux États-Unis,
dans les années 1950, à partir de l’histoire de Claudette Colvin, jeune fille
noire d’Alabama.
Une expérience interactive, Stay Alive, My Son, nous invite à se replonger dans
le génocidecambodgien à travers la vie d'une famille déchirée et l’abandon d’un
enfant par son père. Une rencontre exceptionnelle avec l’écrivain Pin Yathay,
dont les mémoires Tu vivras, mon fils ontinspiré cette expérience immersive, et
la réalisatrice Victoria Bousis est proposée jeudi 25avril à 18h30.
Toute la programmation est gratuite, et pour aller plus loin dans la réflexion,
le Forum des Images organisera aussi des rencontres avec les créateurs, un
"marché de coproduction" (XR Development Market) avec une sélection de 47
projets en recherche de financement, et 26 conférences « pros » des Industry
Days.
Le NewImages Festival n'est pas seulement un événement où voir des films. C'est
une occasion unique de voir comment les technologies de réalité augmentée et
virtuelle peuvent transformer notre approche du cinéma et de l'art en général.
Avec des installations qui vont des expériences multi-utilisateurs à des
narrations poétiques et engagées, le festival est un rendez-vous incontournable
pour tous ceux qui s'intéressent à l'avenir de l'art et de la technologie.
Exposition : George Bolster 'All Life Communicates'
Description
Cet artiste multidisciplinaire basé à New York marie science, science fiction et histoire de l’art afin d’explorer les défis auxquels notre société et notre espèce font face.
« En fin de compte, nous appartenons tous à une seule tribu, les Terriens. » (Jill Tarter, astronome)
Cet artiste multidisciplinaire basé à New York marie science, science fiction et histoire de l’art afin d’explorer les défis auxquels notre société et notre espèce font face. George Bolster étudie le langage, plus précisément les développements d’une forme de communication entre les humains et d’autres formes de vie. Ses mobiles cinétiques s’inspirent d’échanges avec la mission Kepler de la NASA, le SETI Institute (spécialisé dans la recherche d’intelligence extraterrestre) et l’astrophysicien américain Laurance Doyle. Développée durant la résidence de l’artiste au CCI en 2019, cette installation s’accompagne de son nouveau film, Communication: We Are Not The Only Ones Talking… All Life Communicates.
En parallèle de cette exposition et durant deux semaines, le CCI présente dans sa Bibliothèque patrimoniale le film de l’artiste Siobhán McDonald, The week the sun touched the earth.
Avant le début du vernissage, à 17h30, les deux artistes s’entretiendront avec des scientifiques travaillant dans le domaine de l’espace.
Date info
15 avril - 5 juin
Tickets
Info:
Entrée libre
Venue
Organiser
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Suggested events
Le Festival Format Court propose de célébrer la créativité et l’innovation
cinématographique en présence de nombreux invités (jurys & équipes de film), du
jeudi 25 au dimanche 28 avril prochain, au Studio des Ursulines (Paris 5e).
🎬 Compétition en présence des équipes des films (19 courts métrages répartis en
4 séances), afin de découvrir les meilleurs films courts du moment et de
rencontrer les professionnels du cinéma.
🎬Trois programmes thématiques en présence de nombreux invité.e.s : séance
d'ouverture consacrée à Florence Loiret Caille, marraine de cette édition, en sa
présence (25/04 à 19h), une séance Focus Ville de Paris (26/04 à 18h30) et une
séance Spotlight Venise Film Festival (28/04 à 17h).
🎬 Rencontres pro : un atelier avec la SRF + une session Pitchs.
L'Écran Pop nous propose une nouvelle représentation du film "Dirty Dancing" en
cinéma-karaoké au Grand Rex. Avec seulement qu'une date à Paris, le 27 avril
2024 et le 15 juin 2024, l'Ecran Pop compte bien vous faire chanter à tue-tête !
C'est le retour de Dirty Dancing en cinéma-karaoké au Grand Rex à Paris le 27
avril et le 15 juin 2024. L'Écran Pop avait déjà proposé de nombreux films tels
que Mamma Mia, Les Demoiselles de Rochefort, Grease et même Bohemian Rhapsody,
dont la séance aura lieu le 31 mai prochain.
La célèbre salle de cinéma de Paris accueille de nouveau le concept de L'Écran
Pop. Créé en 2016, par Natacha Campana, le premier cinéma-karaoké de France est
une véritable réussite ! Le concept a déjà séduit un bon nombre de spectateurs
en proposant différents films. L'entrepreneuse avait réellement envie de créer
un moment de décompression pour chacun et une expérience inédite. Le but est que
vous oubliez tout le temps d'une soirée. Fan de Dirty Dancing ou tout simplement
fan de karaoké, vous y trouverez votre compte. L'Écran Pop propose des soirées à
l'ambiance festive, et qui permet de retrouver son film préféré sur grand écran.
Depuis 2019, et après une pause forcée, due au Covid, Dirty Dancing revient
chaque année au Grand Rex, pour le bonheur des fans du film d'Emile Ardolino. Il
faudra cependant faire vite, car cette année, il n'y a qu'une séance de prévu à
Paris pour Dirty Dancing.
Sorti en 1987, le film culte n'avait pas rassemblé énormément de spectateurs en
salles, mais était devenu culte par ses rediffusions à la télévision. Le film a
été repris maintes fois, notamment pour la célèbre chorégraphie entre Patrick
Swayze et Jennifer Grey, reprise plus tard dans L'Arnacoeur avec Vanessa Paradis
et Romain Duris.
Comme chaque séance de L'Écran pop, la soirée commencera par une introduction et
un préshow qui vous réserver pleins de surprises. Vous pourrez récupérer à
l'entrée un sac de goodies à utiliser pendant la soirée. Le film est diffusé en
VF mais les chansons seront en VO avec les sous-titres pour pouvoir chanter avec
eux.
L'Écran Pop vous donne le rendez-vous le 27 avril ou le 15 juin 2024 avec Dirty
Dancing pour une soirée endiablée au Grand Rex.
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition
entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe
du 23 avril au 27 octobre 2024.
Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de
voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent
automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de
nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce
que pourrait être notre futur.
Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se
construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des
plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril
au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa
diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu.
L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers
l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces
artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés.
Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités
plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir
les mondes de demain.
En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés
actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques
se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses
défauts, et, peut-être, de se redéfinir.
Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez
découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
Explorez l'univers enchanteur des minéraux et des gemmes précieuses ! Découvrez
plus de 600 trésors exposés, dont d'incroyables cristaux géants. Préparez-vous à
être émerveillé par le majestueux Grand Saphir de Louis XIV ainsi que d'autres
joyaux de la couronne. Plongez dans l'histoire de leur formation et de leur
recherche. Une expérience captivante à ne manquer sous aucun prétexte !
Exposition personnelle de l'artiste Frédérique Tristant
"Mon travail revisite le portrait féminin sous l'angle d'une enveloppe charnelle
qui fait remonter les souvenirs à la surface de la peau.
Les rides et les plis du papier pelure ancrent mon travail dans le genre des
Vanités opérant un net glissement du témoignage photographique vers le pictural.
Le motif floral me permet de passer d'une personne réelle photographiée à un
personnage fictif et de refuser le simple aspect décoratif. Le motif est une
madeleine de Proust qui rend mon oeuvre nostalgique et mes souvenirs personnels
deviennent universels."
Site web : https://galerie-artima.com/frederique-tristant-oeuvres
Infos réservation :
Galerie Artima Tel : +33 1 48 04 39 70
L’exposition collaborative incarne un jardin de lumière artistique. Initiée par
la bijoutière iranienne @ghazaleh.qouchani aidée par l’artiste
@_esther__christensen_ l’exposition mettra en dialogue l’œuvre de plusieures
artistes dont la lumière et la délicatesse rayonne.
Avec :
@bourcier.verreceramique
@izha1000petales
@daily.kat_illustrations
@apollonie.ceramics
@rakbijoux@ghazaleh.qouchani
@artbyamet
@bourcier.verreceramique
@izha100petales
@_esther__christensen_
@ghazaleh.qouchani
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au
Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024.
Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se
mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers
des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling
artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à
l'existence !
Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature
accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective
française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024.
Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et
force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion
intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi
en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de
l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard
cosmopolite sur l'art contemporain.
Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un
parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de
l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour
créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de
l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante,
oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la
relation entre la chair et notre environnement.
L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir
de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation,
spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de
Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère
entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en
tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur
est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre,
symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une
métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée
d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie
s'épanouit.
La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux
exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire
colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces
œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives.
Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs
de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky.
En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de
matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique
inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision
de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir
un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art
contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices !
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Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps
jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique
autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024.
C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael
Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules
disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les
moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de
Paris.
L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le
mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse
aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème,
ouverte à tous.
Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie
de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a
révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des
étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de
ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos
proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à
disposition dans l'exposition.
Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous
préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la
Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous
l'aurez deviné - des années 1980 !
Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la
Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des
Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024.
La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à
découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et
d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024.
Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans
l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des
Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier
dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace
urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne.
La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion
exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre
de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée
Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument
emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la
technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis
de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en
lumière.
L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche
d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples
évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles.
Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer
Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence
de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également
mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture
populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris.
Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps,
où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de
l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet,
les amis ?
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