Comment je suis devenu stupide est un remède à la bêtise humaine concocté avec
une bonne dose d'humour et de fantaisie. Vous êtes-vous déjà levé un matin en
vous demandant quelle était votre place dans ce monde à Pour Antoine, c'est
l'heure du bilan. Convaincu que son intelligence lui gâche l'existence, ce jeune
homme hors norme décide de devenir stupide. Seulement voilà, ne devient pas
stupide qui veut !
Description
Ne manquez pas le spectacle Roman Doduik, ADOrable, lors de sa tournée exceptionnelle. Plongez dans l'univers unique de cet artiste talentueux et laissez-vous emporter par ses performances captivantes. Venez découvrir un spectacle qui saura vous émerveiller et vous divertir.
Date info
Dimanche 28 avril 2024
17h00
Tickets
Info:
A partir de 35.00 €
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Suggested events
2 soeurs est un thriller-enquête où s'enchâssent dans la peau d'un seul
comédien, les témoignages des protagonistes de l'histoire.
1953 : vers la fin novembre dans le sud-ouest de l'Irlande, la jeune Aïleen
O'Leary disparaît. 60 ans plus tard, Marc, ethnologue spécialiste des hystéries
collectives, retrouve son carnet intime et soupçonne un lynchage et la
résurgence des massacres de sorcières. 2 soeurs est un thriller-enquête où
s'enchâssent dans la peau d'un seul comédien, les témoignages des protagonistes
de l'histoire. Un thriller où l'on verra que la folie et la peur sont deux
soeurs qui aiment se côtoyer ; qu'un journal intime n'est pas fait pour être lu
; que le spectateur est une sorcière comme les autres.
Écriture, jeu, violon : Marien Scénographie, lumières : Samuel Poncet Dispositif
sonore : Pierre-Alain Vernette
Pierre-Henri est très malade et il a convié toute sa famille pour un séjour dans
sa maison de campagne afin de régler tous les différents qui les a éloignés
d'eux et leur dire combien il les aime. Mais ce n'est pas une famille ordinaire
et les révélations vont percuter le spectateur entre le vrai et le faux et
donner un tour inattendu à cette histoire. Cette comédie à l'humour cynique
brouille les pistes pour en faire une pièce attachante et exaltante où l'émotion
n'est jamais très loin. Un mode d'emploi pour se réconcilier avec sa famille ?
Rendez-vous à l'arrivée du train de 9h24 !
Site web : http://www.theatredemaisons-alfort.org
Infos réservation :
01 41 79 17 20info@theatredemaisons-alfort.com
Premier One-man-expo-show.
Vous êtes invités au vernissage de Loïc Bartolini. Aventurier photographe
suisse, qui vous partage ses réflexions humoristiques et philosophique en 243
photos à travers 12 pays : la Chine, l'Argentine, le Sri Lanka, l'Islande, le
Pérou, la Bolivie...
Si vous avez envie de voyager, rire, apprendre des choses, en une heure douze,
rejoignez-les.
A Savoir : Un justificatif sera demandé à la billetterie pour les tarifs
réduits.
Le POC - COMMUNE D'ALFORTVILLE présente le spectacle 'Coupures'. Ce soir, dans
l'assistance, personne n'y comprend plus rien. Comment Frédéric, maire
écologiste, agriculteur, jeune père de famille, engagé, rêveur, recyclage,
circuit-court, pistes cyclables et festival de musique débranchée? bref, comment
Frédéric a-t-il pu décider seul, et dans le secret, du déploiement de la
dernière génération d'antennes-relais partout dans la commune à Avec dynamisme,
rythme et intelligence, la pièce invite à s'interroger. Notre voix compte-t-elle
vraiment à L'impuissance justifie-t-elle la résignation à Comment faire vivre la
démocratie à Les spectateurs, transformés en villageois, sont embarqués dans ce
débat vif. Un théâtre impliqué, au sein duquel les personnages, brillamment
interprétés, mêlent humour et cynisme, sensibilité et mauvaise foi,
interrogations et convictions. 'Coupures', pièce éminemment politique, ressemble
à s'y méprendre à notre monde et réussit la prouesse de nous faire rire et
réfléchir à la fois. Un spectacle coup de c'ur à découvrir au POC.
Un des principaux aspects de l’écriture de Copi, et notamment de La tour de La
Défense, c’est cette manière qu’elle a d’en faire trop, de dépasser toutes les
bornes, de pousser dans leurs retranchements les acteurs et les limites de la
machine théâtrale. Dans la pièce, les évènements se succèdent, et tous sont plus
fous les uns que les autres : un serpent remonte les canalisations, une mouette
rentre par la baie vitrée, un hélicoptère s’écrase sur la tour d’en face, une
mère se retrouve soudain accusée du meurtre de son enfant… l’écriture semble
toujours vouloir en rajouter une couche, elle déborde d’idées. Pourtant, on y
lit aussi quelque chose de mélancolique ; comme si elle s’acharnait en vain,
tentait par tous les moyens de rendre sa force à une vie qui, depuis longtemps,
a perdu toute sa consistance. Les personnages, par leurs réactions, racontent ce
rapport étrange aux évènements, vécus avec une intensité sincère, mais ne
laissant aucune trace, comme oubliés aussitôt qu’un nouvel incident advient.
Pendant la quasi-totalité de la pièce, aucun de Jean, Luc, Micheline, Daphnée ou
Ahmed n’est véritablement marqué par ce qu’il vient de traverser ; tous semblent
guidés par leurs seuls instincts, dans une naïveté qui n’est pas sans rappeler
celle de l’enfance, comme un grand jeu auquel ils seraient en train de prendre
part, et depourraient indifféremment passer d’un état à un autre. Au plateau,
les acteurs s’étonnent de tout, et toujours au premier degré, tenus dans cet
“hyperprésent” qui leur empêche tout recul sur ce jeu auquel ils sont en train
de jouer. Côté public, certains évènements peuvent faire rire, mais à peine
a-t-on le temps de s’en amuser qu’un autre déjà survient, et qu’on se retrouve
alors peu à peu plongé dans cet état étrange, à mi-chemin entre l’asphyxie et
l’ivresse, si caractéristique de l’univers de Copi. Auteur Copi Mise en scène
Lewis Janier Dubry Avec Louis Certain, Manaëlle Cobra, Marius Ponnelle, Tom
Rundstadler, Sylvain Septours, Théo Urtubey Scénographie et accessoires Sylvain
Septours Création sonore Basile Lacroix-Boettcher Production Compagnie du
Sixième Mur
THEATRE DE L'EPEE DE BOIS présente Dix copains rwandais, hutus, copains de
classe, de matchs de foot, de travaux des champs. En trois mois, d'Avril à Juin
1994, ils ont massacré à la machette, « sans rien penser », tout ce que leur
bourgade et les collines voisines comptaient de tutsis, près de cinquante mille,
hommes, femmes, enfants, leurs « avoisinants », avec qui ils avaient aussi
partagé bancs de classe, bancs d'église, soirées arrosées et matchs de foot.
Auteur Récits recueillis par Jean Hatzfeld. Editions du Seuil. Paris 2003Mise en
scène Dominique LurcelAvec Céline Bothorel Mathieu Desfemmes Yves Rousseau Tadié
Tuéné
La compagnie Boréale revisite avec talent le célèbre conte des Frères Grimm en
le réactualisant dans notre monde moderne, avec de la danse, des costumes
créatifs et surprenants. Emma est une ado d'aujourd'hui, accro aux nouvelles
technologies et quelque peu en conflit avec l'autorité. Lors d'un rêve, elle
devient Blanche Neige dans un monde parallèle où elle est à la fois héroïne et
victime. La scénographie utilise un immense livre dont on tourne les pages en
fonction du récit qui sont autant d'images en grands formats réalisées en
pop-up. Le recours à la vidéo et le traitement des lumières rehausse la magie de
l'histoire. Cette jeune compagnie réalise ainsi le tour de force de réinventer
un conte mythique avec poésie, délicatesse et inventivité.
Dans la lignée de ses performances autour du corps, du désir et des
discriminations, l'artiste s'adresse pour la première fois aux jeunes pour
décrire l'intime en construction et en tempête. Premières fois, hormones en
ébullition, tabous familiaux, conduites à risque, rejet de tout? Elle transmet à
de jeunes performeuses et performeurs ses outils scéniques, du body painting à
la nourriture, pour inventer des métamorphoses susceptibles d'ouvrir un chemin
vers la réconciliation avec soi-même et la fabrication d'une famille choisie.
Site web :
https://billetterie.theatrejeanvilar.com/spectacle?id_spectacle=1613&lng=1
Une fugue comme point de départ d'une errance existentielle, dans ce spectacle
poétique qui invite à se perdre pour mieux se retrouver.
Une femme, un jour, décide de ne pas rentrer chez elle. Elle abandonne son
travail, son mari et ses enfants, prend une chambre d'hôtel, et part explorer la
ville. Une fugue comme point de départ d'une errance existentielle, dans ce
spectacle poétique qui invite à se perdre pour mieux se retrouver.
Les raisons de la disparition volontaire de Jeanne, la Compagnie So Weiter ne
les donnera pas. Peut-être que cette tentation de tout abandonner, de s'en aller
sans retour, on la comprend tous·tes au fond de nous. Le récit de cette femme
qui erre dans une ville porte alors une dimension universelle.
Dans ce voyage immobile, elle rencontre de drôles de personnages : une entité
mi-humaine mi-animale qui se fait appeler Lou Reed, et un vieil homme étourneau.
À travers leurs échanges, des discussions téléphoniques avec son mari, des
cadeaux envoyés à ses enfants, on assiste alors à la lente mue de Jeanne. Sa
transformation contamine tout ; la ville se mêle au sauvage, la mélancolie à la
joie de vivre. Jusqu'au public qui, en miroir de la protagoniste, vit cette
aventure intérieure et en ressort troublé.