Dans le coeur de la vague, l'exposition immersive et gratuite au Centre Culturel Coréen à Paris

Description

Dans le coeur de la vague, c'est la nouvelle exposition immersive et gratuite du Centre Culturel Coréen à Paris. Au programme, une aventure poétique et envoutante qui nous dévoile la ville de Busan sous toutes ses coutures grâce à des oeuvres digitales en vidéo-mapping à découvrir jusqu'au 30 août 2023.

La Corée du Sud s'invite à Paris à travers une nouvelle exposition immersive et gratuite ! Pour la découvrir, on file au Centre Culturel Coréen situé dans le 8e arrondissement de la capitale, non loin de la célèbre avenue des Champs-Elysées. Jusqu'au 30 août 2023, les Parisiens d'un jour et de toujours sont donc invités à se rendre " Au cœur de la vague". Eh oui, c'est ainsi que cette expo insolite et pleine de poésie a été nommée.

Celle-ci nous entraîne alors en Corée du Sud, et plus précisément dans la ville de Busan, la deuxième plus grande du pays après Séoul. On la découvre alors à travers des œuvres digitales en vidéo-mapping conçues par deux studios graphiques coréen, d'strict et davvero art, ainsi que quatre artistes d'origine coréenne : Kang Yiyun, Min Joonhong, Kohui et Hyun Jiwon. De quoi assurer une expérience à la fois planante et instagrammable, à travers une immersion qui nous dévoile Busan sous l'œil des différents créateurs.

Au total, ce sont six tableaux qui se succèdent. D'strict nous emmène d'abord sur les rivages de Busan avec " Aurora Beach", avant que Davvero Art prenne le relais pour illuminer la ville à travers " Waves of Lights in Busan". Ensuite, Kang Yiyun nous dévoile toute la beauté de la nature et de la biodiversité de la ville grâce à son œuvre " No Mother Nature 3.0". Avec " Real Time Purgatory", l'artiste Min Joonhong nous offre une vue d'ensemble de l'harmonie de Busan entre la ville les paysages naturels. " Horizons" par Kohui nous fait prendre le large en explorant la mer, tandis que The Harbour, par Hyun Jiwon nous emmène à la frontière entre la création contemporaine et les arts traditionnels tout en nous faisant le récit de ce qui fait l'âme de Busan

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Que deviennent les bâtiments olympiques une fois les Jeux terminés ? La Maison de la culture du Japon nous propose un voyage sur les traces de ces infrastructures monumentales, avec l'exposition Kenzo Tange - Kengo Kuma, l'héritage des Jeux de Tokyo, à voir du 2 mai au 29 juin 2024. Pendant plusieurs semaines, les villes-hôtes des Jeux olympiques et paralympiques vivent au rythme du sport, des célébrations, des touristes venus en masse encourager leurs athlètes. Mais lorsque toutes les médailles ont été distribuées, que reste-t-il de ces si grands événements ? La Maison de la culture du Japon met en lumière le travail des architectes Kenzo Tange et Kengo Kuma, les deux maîtres derrière les infrastructures sportives construites pour les Jeux olympiques de Tokyo de 1964 et 2021. L'exposition "L'héritage des Jeux de Tokyo" révèle les secrets de ces grands bâtiments, qui commémorent les Jeux et accueillent les sportifs de demain. Cette exposition, présentée du 2 mai au 29 juin 2024, mêle photographies, vidéo et maquettes. On découvre ainsi ces infrastructures si spécifiques, qui ont influencé l'architecture japonaise moderne, et on donné un nouveau visage aux quartiers qu'elles ornent. La Maison de la culture du Japon évoque également les liens que les deux architectes entretiennent avec la France : les relations avec Le Corbusier et Charlotte Perriand, le projet de Kengo Kuma pour la gare Saint-Denis Pleyel sont illustrés à travers de nombreuses images, maquettes, photos et lettres. À la veille des Jeux de Paris 2024, venez admirer le travail des deux architectes qui ont œuvré pour les Jeux de Tokyo, et dont l'héritage est aujourd'hui encore admiré. Une exposition gratuite à découvrir cet été à la Maison de la culture du Japon !
Découvrez l'œuvre magistrale de Matisse, l'Atelier rouge, dans une exposition inédite en France, présentée à la Fondation Louis Vuitton du 7 mai au 9 septembre 2024. C'est une œuvre exceptionnelle, qui a marqué des générations d'artistes : L'Atelier rouge, tableau d'Henri Matisse, est au cœur de l'exposition présentée à la Fondation Louis Vuitton, du 7 mai au 9 septembre 2024. Cette exposition décrypte les secrets de cette peinture originale, les raisons de son succès, son histoire, et le contexte artistique qui l'entoure. En 1911, dans son atelier d'Issy-les-Moulineaux, Henri Matisse peint son espace de travail sur une toile. Un sujet banal pour un artiste... Jusqu'à ce que Matisse y ajoute sa touche personnelle : une couche de peinture rouge, qui recouvre tout le sujet. Un détail qui a marqué toute la peinture moderne. Pour cette exposition, la Fondation Louis Vuitton expose donc le célèbre tableau, habituellement conservé au MoMa de New York. L'exposition dévoile également les six peintures, les trois sculptures et la céramique qui sont représentées dans le tableau, et qui étaient présentes dans l'atelier du peintre au moment de la réalisation de cet Atelier rouge. Ainsi, toutes ces œuvres sont réunies, comme du temps de l'artiste. Le parcours de l'exposition met également en lumière différentes œuvres liées à ce tableau, de nombreuses photographies et des documents d'archives, qui racontent le contexte de création de la peinture, son histoire de son origine à son achat par le MoMa, et son influence sur la peinture moderne, et sur des artistes tels que Mark Rothko ou Ellsworth Kelly. Un film explique, en fin de parcours, les dernières découvertes scientifiques liées au processus de réalisation du tableau de Matisse. Dans l'exposition, un dialogue particulier a été créé entre l'Atelier rouge, et le Grand Intérieur rouge, réalisé 40 ans plus tard. Les deux peintures de Matisse symbolisent l'univers de l'artiste, son évolution, l'impact que les grands événements du XXe siècle ont pu avoir sur le peintre et son œuvre. Venez à la Fondation Louis Vuitton admirer l'un des tableaux les plus importants de la carrière d'Henri Matisse.
Nouvelle exposition gratuite à découvrir dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon à Paris, du 7 mai au 1er juin 2024. Une fois encore, le centre culturel nippon nous invite à partir en voyage grâce aux photographies de Junji Takasago, qui rendent hommage à la beauté de la nature ! La Maison de la culture du Japon à Paris continue de nous faire voyager grâce à sa belle et riche programmation. Outre les ateliers, les spectacles ou encore les projections, le centre culturel nippon organise tout au long de l’année une série d’expositions payantes ou même souvent accessibles gratuitement. A découvrir au premier niveau de l’établissement implanté à deux pas du pont de Bir-Hakeim et de la tour Eiffel, certaines installations sont également proposées au rez-de-chaussée, dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon. C’est le cas de la prochaine exposition du centre. Intitulée « Reflets de la nature », cette installation est une invitation au voyage, à la découverte de la belle et riche nature, grâce aux sublimes photographies de Junji Takasago. C’est avec la photographie sous-marine que Junji Takasago débute sa carrière. Il rencontre alors le célèbre apnéiste Jacques Mayol, qui a inspiré le film "Le Grand Bleu" de Luc Besson. Junji Takasago immortalisera d’ailleurs des moments de Jacques Mayol en contact avec les animaux. Son expérience se poursuit avec plusieurs séjours effectués à Hawaï et aux États-Unis en quête des arcs-en-ciel de nuit. Amoureux de la nature qui nous entoure et des animaux qui peuplent notre planète, Junji Takasago est devenu un photographe reconnu et très influent dans le domaine. Le photographe, qui a visité plus de cent pays, publié une trentaine de recueils de photos et d’essais, exposé ses clichés à de nombreuses reprises, est également un artiste engagé, membre fondateur de l’association Oceanic Wildlife Society (OWS). Preuve de sa renommée, Junji Takasago a reçu en 2022 le prestigieux prix « Wildlife Photographer of the Year » dans la catégorie « Art de la nature ». Ce printemps, le photographe Junji Takasago expose donc ses fascinants clichés dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon pendant environ quatre semaines, du 7 mai au 1er juin 2024. Ne manquez pas l’occasion d’admirer la beauté de la nature et de notre belle planète grâce aux clichés de Junji Takasago ! A noter que le photographe sera présent à la Maison de la culture du Japon lors d’une conférence exclusive (gratuite sur réservation) prévue le 14 mai. Il présentera à cette occasion quelques-uns de ses clichés les plus célèbres et partagera plusieurs anecdotes.
Le Musée Maillol à Paris consacre une exposition inédite au photographe Andres Serrano du 30 avril au 13 octobre 2024. La photo comme vous ne l'avez jamais vue ! Le Musée Maillol à Paris, en partenariat avec l'agence Tempora, vous invite à découvrir une exposition consacrée à Andres Serrano, un artiste qui transcende le cadre de la photographie traditionnelle, du 30 avril au 13 octobre 2024. À travers cette exposition, Andres Serrano, qui se définit comme un "artiste avec un appareil photo", offre un regard sans concession sur des thèmes tels que la religion, la politique, et les clivages sociaux qui animent l'Amérique d'aujourd'hui. Andres Serrano, maître dans l'art du portrait, mélange la culture classique, particulièrement la peinture ancienne, avec les éléments de la pop culture moderne pour créer des œuvres uniques. Ses photographies, bien que parfois controversées, sont une réflexion sur l'individu contemporain et les contradictions de la société américaine. L'exposition met en lumière cette dualité, illustrée notamment par le phénomène Donald Trump, qui est devenu à la fois un symptôme et un emblème de cette société schizophrène. L'œuvre de Serrano, par sa nature souvent provocatrice, invite le spectateur à un questionnement profond sur les tabous d'une Amérique puritaine. Le Musée Maillol propose donc une exposition particulièrement révélatrice, avec plus de 100 clichés emblématiques d'Andres Serrano. L'occasion pour les visiteurs de découvrir des œuvres qui ont parfois suscité le débat et même le vandalisme. Certaines pièces, considérées comme choquantes, seront présentées dans un espace dédié, permettant ainsi une exploration complète et sans censure de l'œuvre de l'artiste. Ne vous reste plus qu'à y faire un tour ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Le salon d’art contemporain du Secours populaire, Solid’Art, revient pour une 3ème édition au Carreau du Temple à Paris. Du 2 au 5 mai, 110 artistes exposent et vendent leurs œuvres dans une démarche solidaire au profit de l’association. La 3ème édition de « Solid’Art Paris », salon d’art contemporain du Secours populaire, se tient du 2 au 5 mai 2024 au Carreau du Temple dans le quartier du Marais, sur 1 800 m² d’exposition. Durant 4 jours, 110 artistes (peintres, sculpteurs, photographes, street-artistes…) seront présents pour collecter des dons pour l'association. Le parrain de cette nouvelle édition n'est autre que Hom Nguyen, artiste franco-vietnamien de renommée internationale. Les fonds récoltés seront convertis en « journées vacances offertes » afin de faire partir un maximum d’enfants cet été. Encore aujourd’hui, 1 enfant sur 3 ne part pas en vacances. Par ailleurs, cette année et dans le cadre des JO Paris 2024, une partie des fonds collectés sur le salon seront convertis en « billets solidaires » offerts aux enfants accompagnés par le Secours populaire de Paris. L'entrée à l'événement est gratuite. De nombreux temps forts, animés par des artistes, sont proposés durant l'événement pour apporter une dimension ludique et interactive aux visiteurs. Venez pousser la porte du Carreau du temple !
Artiste contemporain d’origine néerlandaise, Levi van Veluw vous propose de venir découvrir son monde intérieur lors d’une exposition personnelle intitulée « We do not remember ». C’est à découvrir gratuitement à la galerie Les Filles du Calvaire à Paris du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024. Levi van Veluw, vous connaissez ? Artiste contemporain et pluridisciplinaire, Levi van Veluw est à l’origine de plusieurs œuvres comprenant des photographies, des vidéos, des sculptures, des installations ou encore des dessins. Né en 1985, l’artiste néerlandais a déjà reçu plusieurs prix dont celui du photographe de l'année aux IPA International Photo Awards aux États-Unis, ainsi que le prix du public De Volkskrant Beeldende Kunst prijs au Stedelijk Museum Schiedam. Ce printemps, la galerie Les Filles du Calvaire lui offre sa première exposition personnelle à Paris. A découvrir dans le 3e arrondissement de la capitale du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024, cet événement artistique entend plonger le visiteur dans le monde intérieur de Levi van Veluw, retranscrit à travers des installations monumentales et insolites ainsi que des sculptures intimistes. Avec cette exposition gratuite, intitulée "We do not remember", Levi van Veluw entend surprendre les passants en transformant la vitrine de la galerie en une œuvre d'art, réalisée à partir de 120 répliques de sa propre effigie.Un peu plus loin dans la galerie Les Filles du Calvaire, au centre plus exactement, Levi van Veluw a imaginé une installation monumentale prenant la forme d’un objet cylindrique de 6 mètres de haut et traversant les deux étages de la galerie. Sur les murs de cette pièce, des étagères dévoilent des centaines de têtes, du haut jusqu'en bas. Outre ces deux installations insolites, Levi van Veluw compte également exposer des sculptures, des dessins ou encore des films autobiographiques, directement inspirés de ses souvenirs d'enfance. À travers ses différentes œuvres, qui remettent en question notre logique humaine, Levi Van Veluw interpelle et nous invite à nous interroger notamment sur l’obsession du contrôle et la recherche d’infini. Rendez-vous du 2 mai au 8 juin 2024 à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris pour découvrir ces œuvres et installations signées Levi van Veluw.
Le musée Albert Kahn explore la passion du philanthrope pour ses jardins, avec l'exposition photo Natures vivantes, à découvrir du 30 avril au 31 décembre 2024. En 1912, le riche philanthrope Albert Kahn lance un grand projet : il souhaite créer « une sorte d’inventaire photographique de la surface du globe, occupée et aménagée par l’homme, telle qu’elle se présente au début du XXe siècle ». Il emploie donc différents photographes, chargés d'immortaliser le monde tel qu'il est au XXe siècle. Un projet ambitieux, qui a permis la création d'une banque d'images phénoménale, et unique en son genre. Amoureux de la nature, Albert Kahn accorde un intérêt particulier au monde végétal, et notamment à ses jardins. Ainsi, plusieurs centaines de photographies, d'images et de films ont pour sujets cet écosystème particulier. Dans une grande exposition, rassemblant près de 200 photographies, documents d'archives, films et œuvres contemporaines, le musée Albert Kahn nous propose donc une balade, à la découverte de ces images qui nous plongent dans des "Natures vivantes". Du 30 avril au 31 décembre 2024, on peut admirer des œuvres anciennes ou modernes, qui mettent en avant la nature et les jardins du musée. Les "archives de la planète" voulues par Albert Kahn avaient pour objectif d'immortaliser le monde et ses richesses. Ces photographies - des autochromes en couleurs - ont eu un effet inattendu : loin de figer une fois pour toutes ces paysages, les images montrent au contraire l'évolution constante de la nature. Cette "vie" ressort dans les clichés, qui prennent un soin particulier à montrer chaque détail de ces petits univers végétaux. Les artistes missionnés par Albert Kahn ont également pu expérimenter avec la photographie et la vidéo, créant des œuvres uniques et insolites, dont certaines sont exposées pour la première fois à cette occasion. L'exposition n'est donc pas un simple parcours photographique : on peut y voir des documents singuliers, à la frontière entre arts, sciences et poésie. De plus, des artistes contemporains se joignent à l'exposition, pour apporter leur propre regard sur cette collection, et sur la nature à l'origine de ce projet. Une scénographie spéciale souhaite recréer un jardin imaginaire, pour prolonger les photographies et les œuvres. Des documents sonores et visuels, des explications historiques et pédagogiques, des espaces interactifs permettent aux visiteurs d'en apprendre plus sur la collection Albert Kahn, sur les différentes plantes retrouvées dans les jardins, et sur les techniques de timelapse et d'autochrome. Une exposition pour tous les amoureux de la nature, et les passionnés de l'œuvre d'Albert Kahn !
Par l'épée ou par la plume, Victor Hugo a mené plusieurs combats. Découvrez-les dans l'exposition Victor Hugo s'escrime, présentée du 30 avril au 15 septembre 2024 dans la maison de l'écrivain, place des Vosges à Paris. Sans conteste, Victor Hugo est l'une des plus grandes figures françaises du XIXe siècle : il s'est illustré autant par ses œuvres que par ses engagements. La Maison de Victor Hugo nous propose de redécouvrir ces différents accomplissements, par le biais du combat et du duel. Le musée parisien nous invite à venir admirer l'exposition Victor Hugo s'escrime, du 30 avril au 15 septembre 2024. Une exposition sur le thème du duel, illustrée par les nombreuses œuvres de l'écrivain, mais aussi par des documents et objets d'époque, comme la célèbre photographie montrant Victor et son fils Charles, en plein combat d'escrime. Si on ne connaît pas de talent particulier pour l'escrime à Victor Hugo, sa verve et sa plume, elles, étaient bien redoutées. Littérature et politique se mélangent et se retrouvent dans les combats menés par l'auteur français. De fait, ses œuvres servent bien souvent de support à ses idées et ses idéaux, et ses personnages se retrouvent à défendre les valeurs et les croyances de leur créateur. Ainsi, l'exposition évoque Ruy Blas ou La Légende des Siècles, des œuvres incontournables où le duel joue un rôle symbolique important. Faibles contre forts, équité sociale, justice et injustice des Hommes, fraternité : les idéaux de l'écrivain sont mis en scène dans ces combats littéraires, qui font écho aux problèmes politiques de son époque. Explorez ce thème fascinant, et (re)découvrez Victor Hugo et ses engagements, dans cette exposition inédite.
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition "Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024. Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ? Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport, politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver leur honneur, rabaisser leur ennemi. Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée. Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles : selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou proscrits. L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle. Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs : escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses. Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en situation, avec un décor immersif et théâtralisé. Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire, hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours autant. La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et ces styles. Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de l'art. À voir dès le printemps 2024.
Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement" du 15 mai au 17 novembre 2024. Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art, grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur sport à travers les collections du Petit Palais. Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures, objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection. Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres. On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres détails. L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué, mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées. Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et se dépenser avec les jeux et sports de leur temps. On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place du corps dans cette discipline. Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au Petit Palais.