Soirée de New Note

Description

Scène ouverte au public et aux musiciens, amateurs et professionnels, seul ou en groupe, sur le thème "On te donne carte blanche".

Date info

le 23/06/2022 de 19h30 à 21h00. New Note

Tickets

Info:

  • Gratuit

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The Köln Concert est une performance de danse contemporaine présentée par le chorégraphe américain Trajal Harrell à la Maison de la danse de Lyon. Inspiré par l'album de jazz emblématique de Keith Jarrett, ce spectacle unique mêle street dance, théâtre nô et mouvements inspirés de l'Antiquité grecque. Les six interprètes, sous la direction de Trajal Harrell, offrent une expérience artistique captivante où la diversité et la grâce se rencontrent dans une chorégraphie envoûtante.
Les 29 et 30 avril prochains, au temple Lanterne, sous la direction artistique de Charlotte MILBEO, avec Eole Chœur de chambre et l'Ensemble A Chœur Ouvert, nous vous emmènerons dans notre nouvel univers pour la Paix. De Monterverdi à Machuel, en passant par Mozart et Mendelsohn, laissez-vous envahir par de douces émotions, que nous aurons à cœur de vous transmettre ! * En prenant vos places avant le 29 mars, bénéficiez d'un tarif préférentiel.
Ce quartet vous propose un répertoire réarrangé de grands standards de jazz. Leur spécialité ? Vous faire danser le Lindy Hop. L’équipe se compose de : Maëva Da Justina (chant); Florentin Drugeon (contrebasse); Tommy Philys (clarinette); Quentin Dias Fernandes (guitare) Allez les suivre : Instagram : https://www.instagram.com/o.f4tet/ Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100094225587022 Site internet : soliloqueproductions.fr/index.php/o-f-quartet/
C’est incontestablement l’un des plus grands musiciens du continent africain que l’Orchestre national de Lyon convie : un artiste qui a contribué à faire découvrir au monde entier la kora, cette harpe aux vingt et une cordes venue d’Afrique de l’Ouest, dont il est un interprète exceptionnellement virtuose et créatif. Né à Bamako, issu de soixante et onze générations de griots, Toumani Diabaté impressionne dès ses débuts prodigieux d’autodidacte et commence une carrière marquée tant par la création de son propre ensemble, le Symmetric Orchestra, que par de prestigieuses collaborations (Taj Mahal, Salif Keita, Björk, Damon Albarn…) qui témoignent de sa capacité à partager et faire dialoguer la tradition. Née sous l’impulsion du Barbican Centre de Londres et du Philharmonic Hall de Liverpool, cette collaboration symphonique, immortalisée au disque sous le nom de Kôrôlén (ancestral, en langue mandingue), met autant en lumière l’intimité et la qualité presque magique des solos de Toumani Diabaté que l’exubérance virtuose de ses collaborations. On écoutera tout d’abord Diabaté seul à la kora, un instrument si riche qu’il est déjà presque un orchestre à lui seul, avant un dialogue musical avec l’ONL dans des arrangements lumineux. Programme : Orchestre national de Lyon Clark Rundell, direction Toumani Diabaté, kora
Les bonnes fées étaient au complet autour du berceau d’Alexandra Dovgan, le nouveau phénomène russe du piano. Sans compter un mage, Grigori Sokolov, qui lui a mis le pied à l’étrier international et continue de veiller sur elle, avec son professeur de toujours, Mira Marchenko. Même si la jeune fille jouait à 12 ans à la Philharmonie de Berlin, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Festival de Salzbourg ou au Théâtre des Champs-Élysées, elle n’a jamais été considérée par son mentor comme une enfant prodige mais comme une égale, tant sa maîtrise et sa personnalité musicale étaient déjà stupéfiantes. Alexandra Dovgan se présente pour la première fois devant le public lyonnais dans un programme largement russe, mais gageons que la première partie laissera la parole à ses autres compositeurs de prédilection, Beethoven, Chopin et Schubert. Programme : Première partie en cours d’élaboration Sergueï Rachmaninov, Variations sur un thème de Corelli, op. 42 Alexandre Scriabine, Sonate n° 2, en sol dièse mineur, op. 19, «Sonate-Fantaisie» Alexandre Scriabine, Fantaisie en si mineur, op. 28 Alexandra Dovgan, piano
Avant d’être l’immortel compositeur de Carmen, Georges Bizet fut le brillant élève de Charles Gounod. Pour le préparer au prix de Rome, sésame alors précieux pour toute carrière musicale, Gounod fit plancher l’adolescent à partir de 1853 sur le texte imposé l’année précédente, qui avait valu une amère désillusion à Camille Saint-Saëns : Le Retour de Virginie, d’après le roman de Bernardin de Saint-Pierre. Deux noms majeurs de la jeune scène française, Cyrille Dubois et Marie-Andrée Bouchard-Lesieur, incarnent Paul et sa mère, qui attendent le retour de leur sœur et fille. Avec une suite capiteuse de Mélanie Bonis (qui opta pour le diminutif Mel afin de se frayer une place dans l’univers si masculin de la composition au XIXe siècle) et les inusables Boléro et Rapsodie espagnole de Ravel, Ben Glassberg confirme sa passion pour le répertoire français. Programme : Mel Bonis, Suite orientale, op. 48/2 Georges Bizet, Le Retour de Virginie Maurice Ravel, Rapsodie espagnole Maurice Ravel, Boléro Orchestre national de Lyon Ben Glassberg, direction Marie-Andrée Bouchard-Lesieur, mezzo-soprano Cyrille Dubois, ténor Patrick Bolleire, basse
Haydn, le facétieux auteur de la Symphonie «des adieux», trouve un alter ego en la personne du compositeur russe Alfred Schnittke, qui imagine une amusante rencontre posthume entre lui et son disciple Mozart. Celui-ci n'était pas le dernier pour rire, mais son concerto pour flûte opte pour un lyrisme élégant et lumineux. Il paraît que Mozart détestait la flûte. On en doute à l'écoute de ce magnifique concerto, surtout interprété avec la profondeur de timbre et d'âme à laquelle nous a habitués Jocelyn Aubrun. Qu'aurait pensé la flûte solo de l'Orchestre national de Lyon d'être un musicien du prince Esterházy ? Certainement aurait-il éprouvé la même lassitude que ses camarades, retenus au domaine d'Eszterháza par une saison qui n'en finissait plus. Pour faire plier un employeur sourd à leur plaintes, Haydn imagina cette Symphonie «des adieux» dans le finale de laquelle, un à un, les instrumentistes soufflèrent leur bougie et quittèrent la scène. L'avant-dernier à s'éclipser, avant Haydn lui-même, fut le violoniste préféré du prince, ce qui l'obligea à endurer l'affront jusqu'au bout. Message reçu cinq sur cinq : dès le lendemain, les musiciens furent autorisés à rentrer chez eux. Cet humour ne fait pas oublier le ton inquiet de la symphonie, typique du mouvement préromantique du Sturm und Drang (Tempête et passion).
Spectacle « Hommage à l’insecte inconnu » De 14h à 15h - Nième Compagnie « Il fut une époque où les hommes et les insectes étaient ennemis. Mais aujourd’hui la guerre est finie. Alors il est grand temps de célébrer en fanfare tous ces insectes inconnus ! ». Un spectacle alliant musique et histoires qui vous fera découvrir l’univers fascinant des insectes. Pour adultes et enfants à partir de 8 ans (accompagnés d’un adulte). Des moutons dans la ville De 14h à 18h - Bergerie Urbaine Départ du parc de la Feyssine à 14h et arrivée sur l’esplanade de l’Europe Jean-Monnet. Oui, des moutons peuvent se balader à Villeurbanne, emmenés par la Bergerie urbaine. Vous pourrez les voir de près ! Atelier de cuisine participative De 16h à 19h - La Légumerie Venez participer à la création d’un repas coloré et varié à déguster à la fin de la journée. Concert festif De 19h à 20h – Fanfare des Krapo Un beau spectacle vous attend pour finir la journée en chanson.