Retrouvez l’exposition « Bleu Mode » de l’artiste Julien Boudet.
Publié par : Ville de Marseille
L'Histoire du Fort Saint-Jean
02april
-14juli
7 Promenade Du Grand Large, 13008 Marseille, France
Description
L'exposition 'L'Histoire du Fort Saint-Jean' se déroule au Musée des Civilisations d'Europe et Méditerranée - Mucem à Marseille. Découvrez un parcours chronologique en cinq étapes explorant les fondements de l'agriculture et de l'élevage en Méditerranée, du Néolithique à nos jours. Commissaire : Edouard de Laubrie. Du 02/01/2023 au 14/07/2024. Tarifs : Plein tarif 11 €, Tarif réduit 7,50 €, Forfait famille 18 €.
History
Date info
Du lundi 2 janvier 2023 au dimanche 14 juillet 2024
Tickets
Info:
Prix : De 7.00 € à 11.00 €
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Plongez dans l'exposition 'Des Exploits, des Chefs-d'oeuvre Tableaux d'une
Exposition' au Musée d'Art Contemporain à Marseille. Découvrez une collection
d'oeuvres interrogeant le sport et la peinture, abordant des thèmes tels que la
victoire, la défaite, la libération, la contestation, le racisme, le féminisme
et bien plus encore. Explorez des peintures aux apparences calmes cachant des
messages politiques et critiques, reflétant l'art contemporain engagé
d'aujourd'hui.
Le Musée Regards de Provence présente l'exposition « Surfer sur la vague »,
labelisée Olympiade culturelle - Paris 2024. Elle est en corrélation avec
l'actualité sportive de Marseille qui s'apprête à recevoir les épreuves de voile
des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024, même si les épreuves de surf se
dérouleront à la mythique, grande et extrême vague de Teahupo'o, à Tahiti. La
pratique du surf et du longboard est de plus en plus reconnue. Ce sport
artistiquement spectaculaire et envoutant expérimenté par des millions
d'adeptes, qui se pratique souvent dans des cadres naturels exceptionnels sur
les cinq continents, a pris une forte dimension culturelle et représente une
inépuisable source d'inspiration pour les peintres, sculpteurs, photographes,
vidéastes ou shapeurs, dont certains sont également surfeurs.
Site web : https://www.museeregardsdeprovence.com/
Infos réservation :
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Fermeture hebdomadaire le lundi.Billet
exposition temporaire : Plein Tarif : 8,50€. Tarifs réduits: 7,50€ - 6,70€-
5,70€ - 4,00€ - 3,00€.Visites commentées hors groupe : tarif d'entrée + 7€
/pers. (hors groupe), le mardi et samedi à 15h sur réservation.Visites
commentées pour groupe : tarif d'entrée + 7€ /pers., tous les jours sur
réservation.Visite commentée gratuite hors groupe le premier samedi de chaque
mois à 10h30, hors droit d'entrée (plein tarif) sur réservation (6 à 25
personnes).
Le Musée Regards de Provence présente l'exposition « Marseille au coeur maritime
» qui est en corrélation avec l'actualité des Jeux Olympiques de Paris 2024, où
la cité portuaire et sa rade se retrouvent à l'honneur avec l'organisation de
compétitions nautiques. C'est dans cet esprit que le musée valorise le
patrimoine culturel exceptionnel de la Chambre de Commerce et d'Industrie
métropolitaine Aix Marseille Provence, souhaitant rappeler son passé et ce qui a
participé à l'histoire du territoire : les ressources de la mer, du port et de
la navigation.
Avec un corpus d'oeuvres variées, le fil conducteur de l'exposition s'articule
naturellement autour du port de Marseille, de ses infrastructures en mutation et
navires en évolution, à travers le talent d'artistes aux techniques plurielles
et aux regards singuliers.
Site web : https://www.museeregardsdeprovence.com/
Infos réservation :
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Fermeture hebdomadaire le lundi.Billet
exposition temporaire : Plein Tarif : 8,50€. Tarifs réduits: 7,50€ - 6,70€-
5,70€ - 4,00€ - 3,00€.Visites commentées hors groupe : tarif d'entrée + 7€
/pers. (hors groupe), le mardi et samedi à 15h sur réservation.Visites
commentées pour groupe : tarif d'entrée + 7€ /pers., tous les jours sur
réservation.Visite commentée gratuite hors groupe le premier samedi de chaque
mois à 10h30, hors droit d'entrée (plein tarif) sur réservation (6 à 25
personnes).
Vernissage le mardi 7 mai, 18h-21h, au 44 cours Julien 13006
I'm leaving a, teenage, dream est une exposition réunissant les œuvres de
Juliette Blondel et de Sévérina Ianakieva, autour des récits et des objets qui
ont marqué leur passage de l’enfance à l’âge adulte. Dans cet espace-temps
transitoire, la quête d’une identité et d’un refuge occupe une place centrale
mais ambiguë, entre la fiction et la réalité. De façon latente, les souvenirs,
les rêves et les contes de fée incarnent des espaces de monstration et de
projection de soi, capables d’enchanter le monde réel, ou du moins d’y échapper.
Évacuant toute forme de rationalisme et résistant au rythme effréné du
capitalisme, l’espace onirique mêlé au merveilleux nous plonge d’abord dans un
état de contemplation, pour laisser libre cours à notre imagination et à
l’expression des désirs enfouis depuis l’adolescence.
Les artistes partagent une pratique de la symbolisation, à travers laquelle les
éléments du quotidien et les souvenirs de l’enfance sont magnifiés, tandis
qu’elles tentent de saisir l’évanescence des choses. Sans distinction d'origine,
les objets sont dotés d’une affectivité, faisant entrer le fantasmagorique dans
la réalité. De nature troublante, la part d’étrangeté contenue dans le rêve est
quant à elle source d’agentivité. Elle permet aux rêveur·ses de passer de
l’admiration, comme forme d’adhésion au merveilleux, à la réflexion,
privilégiant une distance critique avec le monde fantasmé.
Dans le cadre du Printemps de l'art contemporain OFF
Programmation
Atelier d'écriture et de lecture autour des contes, le mercredi 8 mai, 16h-18h
La collective glitch est un duo curatorial, formé par Zélia Bajaj et Chloé
Bonannini, dont les projets d'exposition et les événements visent à soutenir la
création artistique émergente. Basée entre Marseille et la Seine-Saint-Denis
(93), la collective glitch entend relier des scènes artistiques géographiquement
éloignées pour favoriser les rencontres et l'entraide.
Peinture intuitive et sonothérapie (bol tibétain, flûte de Pan, bol de cristal,
voix…)
Plongez dans l’univers créatif et vibratoire de l’artiste peintre Lucile
Soundarya et du sonothérapeute Joël Berthelot.
Publié par : Ville de Marseille
Vernissage le 04 mai de 12h à 16h
EN GESTATION, FUMAR MAMAR, JE DIGÈRE, est une exposition et un projet
multidisciplinaire crées par Estel Fonseca. L’artiste propose un « éclatement
plastique » à la croisée de la sculpture, de l’audiovisuel, du texte et de la
performance et expose une recherche qui entremêle les thème de la gestation, la
pa-ma-ternité, les enjeux de la relation amoureuse comme relation à l’altérité,
la sexualité créatrice, la psychogénéalogie, la maladie, les polarités,
l’équilibre et le réchauffement climatique.
Fondation Gulbenkian Calouste
Dans le cadre de samedi 4 mai · Longchamp | Belle de Mai | Blancarde |
Plombières et du festival PAC.
Publié par : Ville de Marseille
Tout commence par une ronde bienveillante, où chacun·e est invité·e à clamer son
prénom et son pronom. Qui es-tu ? Qu’importe tes origines, l’essentiel est de ne
pas se tromper sur qui tu veux être. C’est ce qui est rappelé à chaque début
d’entraînement des équipes de foot de l’association multi-sports et LGBTQIA+
Marseille United Sport pour Tous·tes (MUST).
C’est à travers le regard du photographe Franck Pourcel, immergé dans le
quotidien des équipes de foot féminin+ et masculin+, que l’on découvre
l’histoire collective tissée par chacun des membres. Une histoire de foot
d’abord, mais aussi une histoire de fêtes, de militantisme et de bienveillance.
Cette exposition grand format à ciel ouvert, en partenariat avec Photo
Marseille, s’installe dans les jardins de la Citadelle , fraîchement ouverts au
public, dans le cadre des Olympiades Culturelles. Un prolongement de la volonté
du lieu d’ouvrir grand ses portes aux partenaires artistiques et culturels du
territoire, se faisant plateforme de collaboration et d’accueil de projet
culturels et artistiques de tous horizons et toutes disciplines, et de son
engagement auprès de celles et ceux qui contribuent à construire une société
plus inclusive.
Une commande de la Citadelle de Marseille dans le cadre de l’Olympiade
Culturelle et les Jeux Olympiques Paris 2024.
Photos Franck Pourcel, en résidence de création à la Citadelle de Marseille
d’octobre 2023 à avril 2024
Traitement d’image Camille Fallet
Producteur La Citadelle de Marseille
Partenaire Photo Marseille
En collaboration avec Association multisports LGBTQIA+ MUST, PICTO Méditerranée
Avec le soutien de la Région Sud Provence Alpes Côte d’Azur
Publié par : Ville de Marseille
La Collection Lambert et le Mucem s’unissent pour une exposition inédite.
La culture méditerranéenne a profondément façonné le destin du grand
marchand d’art Yvon Lambert, dont le nom et l’histoire résonnent avec les
richesses culturelles de la Provence.
Né en 1936 à Vence, Yvon Lambert a grandi au cœur d’une région imprégnée
par la présence de grands artistes tels qu’Henri Matisse à Vence ou Paul
Cézanne à Aix-en-Provence.
Dès les premiers temps de la galerie d’Yvon Lambert, le marchand d’art s’est
fait également collectionneur et commence à constituer des ensembles
importants d’œuvres d’artistes de son temps, pour la plupart encore inconnus.
Ainsi commence presque 60 années d’une histoire intime de l’art. Son regard
singulier est marqué par la poésie, l’amour, la liberté de pensée et la
défense de l’art de son temps. Chaque pièce traduit l’amitié indéniable
entre le collectionneur et les artistes. La donation exceptionnelle faite en
2012 à l’État français par Yvon Lambert a permis de consolider la présence
d’un grand musée public d’art contemporain à Avignon : La Collection Lambert.
Amoureux des objets insolites, témoignages des croyances populaires de tous les
âges, en particulier issus de la culture provençale, Yvon Lambert ressent une
proximité naturelle forte avec les collections du Mucem dont la constitution
lente et fabuleuse lui rappelle ses propres recherches vagabondes de choses
étonnantes allant d’ex-voto fantasmagoriques, à des scènes de genre de petits
maîtres provençaux, de la bibliothèque félibrige de son père aux ustensiles
et pièges à grives que ce dernier fabriquait.
Les objets d’art populaire du Mucem sont le fruit de collectes d’enquêteurs sur
le terrain : ethnologues, observateurs des mutations de la société et
défenseurs des savoirs du peuple. Ces collections sont des témoins précieux,
des documents sur nos modes de vie et sur l’évolution des mœurs, mais ils
présentent aussi une valeur esthétique qui se font particulièrement jour dans
des analogies étonnantes avec des œuvres d’art.
L’exposition commence par l’évocation du parcours d’Yvon Lambert, lié aux
cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur des
thématiques autour desquelles dialogueront ses collections et celles du Mucem :
le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la
littérature, l’intime et l’existence.
Ainsi, la rencontre entre la Collection Lambert et celle du Mucem présentée
lors de l’exposition « De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La
Collection Lambert au Mucem » est bien plus qu’une juxtaposition de collections
exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances
formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures
populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre
ces deux collections patrimoniales est une tentative de voyage au centre d’un
regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et
invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre
interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des
passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.
Des invitations pour des interventions artistiques et littéraires :
Ryoko Sekiguchi (née à Tokyo en 1970) a été invitée à écrire pour l’exposition
vingt-et-un cartels imaginaires dans lesquels elle déploie une écriture sensible
et poétique pour aborder les objets et leurs odeurs, notamment celle du musée,
de la lumière, des couleurs des œuvres. Elle propose une véritable ode à la
contemplation et aux sens.
L’artiste peintre et designer Nathalie Du Pasquier (née à Bordeaux en 1957) a
conçu une cabine peinte afin d’abriter les projets des chapelles de Vence
réalisés en 1994 par Jean Charles Blais, Sol Lewitt, Jean-Michel Othoniel, Niele
Toroni, Robert Barry à l’invitation d’Yvon Lambert. A l’extérieur, couleurs et
objets de la collection du Mucem liés aux croyances et coutumes en Provence se
répondent : amulettes, santibelli, croix de la Passion, boîtes-oratoires,
ex-voto, palmes des rameaux…
Œuvres exposées :
Le Mucem bénéficie de prêts exceptionnels d’Yvon et Ève Lambert, mais aussi du
Centre national des arts plastiques (CNAP) : 80 œuvres ont été soigneusement
sélectionnées parmi les 600 œuvres données par le marchand et collectionneur
Yvon Lambert à l’Etat en 2012. Ces pièces couvrent une large gamme de médiums
artistiques, tel que la peinture, la sculpture, l’installation, la vidéo ou la
photographie.
Elles côtoient 150 œuvres de la collection du Mucem, référence dans le domaine
des arts populaires. Ces objets du quotidien se mêlent subtilement avec les
créations contemporaines.
Artistes présentés :
Parmi les artistes dont les œuvres de la collection Lambert sont présentées,
on compte notamment Jean-Michel Basquiat, Andres Serrano, Christian Marclay, Sol
Lewitt, Daniel Buren, Mircea Cantor, Marcel Broodthaers, Cy Twombly, Kiki Smith,
Nan Goldin, Christian Boltanski, Louise Lawler…
Commissariat :
Marie-Charlotte Calafat, conservatrice en chef du patrimoine, Mucem
Stéphane Ibars, directeur artistique, Collection Lambert
Scénographie : Agence Nathalie Crinière
Graphisme : Tania Hagemeister
L’exposition est conçue et organisée par la Collection Lambert et le Mucem,
Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.
Publié par : Ville de Marseille
Vernissage le 02 mai 2024 de 18h à 21h
La phrase If I Rest I Rust a été à l’origine utilisée par l’auteur américain
Orison Swett Marden dans un essai. Ce texte évoque l’idée selon laquelle il est
important de ne pas laisser le repos nous empêcher d’accéder à une forme de
réussite sociale et économique. Orison Swett Marden pousse encore un peu plus
loin son idée en créant une analogie entre la mise en arrêt de son corps et la
création de la rouille, en disant : « L’industrie garde brillante la clef qui
ouvre le trésor de la réussite ». If I Rest I Rust a été par la suite utilisé
comme une véritable devise, s’utilisant aussi bien dans la culture populaire que
dans l’enseignement Indouiste. Comment cette phrase s’inscrit-elle aujourd’hui
dans une société qui tend à remettre en question les notions de performativité
et de productivité ? Et si nos moments d’ennuis, de « rien », de l’élargit
étaient des formes de créations et de résistances passives ? Et si nos machines
étaient oubliées, abandonnées, que resterait-il ?
Fonds Carta, Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM
Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du
festival PAC.
Proposé par Le 33
Co-organisé par : Les Beaux-Arts de Marseille.
Publié par : Ville de Marseille