Bleu Mode

Description

Retrouvez l’exposition « Bleu Mode » de l’artiste Julien Boudet.

Publié par : Ville de Marseille

Date info

Du lundi au vendredi, de 14h à 18h sur rendez-vous.

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Info:

Plein tarif : 5 €.

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Suggested events

L'exposition Visites commentées au Musée D'Art Contemporain a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. L’équipe des publics du [mac] propose à tous les publics des visites commentées gratuites des expositions sous l’angle du dialogue et de la poésie ! Avec la complicité du festival Oh ma parole !, une initiative de la Mairie du 6/8. Tout public - Sans réservation, dans la limite des places disponibles - Durée 1h - À 19h, 20h30 et 22h
Les Arts Éphémères ont été créés en 2009 par la Mairie des 9e & 10e arrondissements, afin de favoriser la diffusion de l’art contemporain à travers une rencontre entre artistes et grand public, au cœur du parc et du parvis de cette ancienne bastide Dans le contexte des Olympiades Culturelles, le choix de la thématique des Arts Ephémères 2024 s’est orienté sur l’actualité sportive. Après ESSAI en 2023, l’édition 2024 est à nouveau placée sous le signe de l’action avec un terme polysémique, TRANSFORMÉ, dans lequel se retrouve les valeurs communes de l’art et du sport. Ce vocable emprunté au jargon du rugby, renvoie naturellement à l’ADN même de la création. Il permet ainsi aux artistes d’investiguer des champs multiples en ménageant une latitude conceptuelle et formelle encore élargie. Une attention particulière sera donnée aux productions d’œuvres ou de performances en lien avec les notions sportives, dans le cadre de cette édition labellisée aux couleurs des jeux olympiques. Des partenariats avec le spectacle vivant seront associés à ce rendez-vous. La manifestation se déroule originellement dans le parc de Maison Blanche à Marseille. Avec les Arts Ephémères-itinérance, elle se déploie ensuite dans plusieurs villes. La manifestation est portée par l’association Arts Médiation Evénement Organisation Méditerranée – AMEOM, en coproduction avec la Ville de Marseille – Mairie de Maison Blanche 9/10e arrondissements, en partenariat avec l’INSEAMM – les Beaux Arts de Marseille, le Conservatoire Pierre Barbizet – Marseille, le Château de Servières – Marseille, le Jardin remarquable de Baudouvin – Métropole Toulon Provence Méditerranée, Polaris centre d’art – Istres, le Centre d’arts plastiques Fernand Léger – Port-de-Bouc, le MAC Arteum Châteauneuf-Le-Rouge et les villes de Plan-de-Cuques et des Baux-de-Provence Publié par : Ville de Marseille
L'exposition L'Asie fantasmée. Histoires d'exotisme dans les arts décoratifs en Provence a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. Par sa position privilégiée, Marseille a toujours été le creuset d’échanges multiples. Si la fascination européenne pour l’Extrême-Orient, l’Inde ou l’Empire ottoman est bien connue dès le 18e siècle, ses manifestations en Provence le sont moins. C’est ce grand attrait pour « l’exotisme » asiatique à Marseille et sa région que l’exposition se propose de mettre à l’honneur à travers plus de 400 œuvres d’art provenant ou s’inspirant d’une Asie rêvée, de la Turquie au Japon. La Provence et Marseille ont été, du XVIIIe siècle à nos jours, le creuset d’échanges et d’inspirations multiples. Cette influence se traduit notamment par un goût affirmé pour les images, objets et textiles provenant ou s’inspirant d’un Orient rêvé, de la Turquie jusqu’au Japon. Au XVIIe siècle, l’Empire ottoman bloque les voies terrestres vers l’Asie. Pour contourner cet obstacle, l’Angleterre, les Pays-Bas puis la France créent les Compagnies des Indes qui vont commercer avec l’Extrême-Orient. L’Europe est fascinée par cette « Asie » dont elle cerne encore mal les contours. Si cet attrait pour un ailleurs exotisé est bien connu, ses manifestations en Provence le sont moins. C’est ce que l’exposition met à l’honneur à travers près de 400 œuvres des Musées de Marseille, complétées d’une cinquantaine de prêts. Pièces d’importation, pastiches ou œuvres occidentales d’inspiration asiatique, elles illustrent ces échanges - réels ou symboliques - entre l’Asie et la Provence.
Par sa position privilégiée, Marseille a toujours été le creuset d'échanges multiples. Si la fascination européenne pour l'Extrême-Orient, l'Inde ou l'Empire ottoman est bien connue dès le 18e siècle, ses manifestations en Provence le sont moins. C'est ce grand attrait pour « l'exotisme » asiatique à Marseille et sa région que l'exposition se propose de mettre à l'honneur à travers plus de 400 oeuvres d'art provenant ou s'inspirant d'une Asie rêvée, de la Turquie au Japon. La Provence et Marseille ont été, du XVIIIe siècle à nos jours, le creuset d'échanges et d'inspirations multiples. Cette influence se traduit notamment par un goût affirmé pour les images, objets et textiles provenant ou s'inspirant d'un Orient rêvé, de la Turquie jusqu'au Japon. Au XVIIe siècle, l'Empire ottoman bloque les voies terrestres vers l'Asie. Pour contourner cet obstacle, l'Angleterre, les Pays-Bas puis la France créent les Compagnies des Indes qui vont commercer avec l'Extrême-Orient. L'Europe est fascinée par cette « Asie » dont elle cerne encore mal les contours. Si cet attrait pour un ailleurs exotisé est bien connu, ses manifestations en Provence le sont moins. C'est ce que l'exposition met à l'honneur à travers près de 400 oeuvres des Musées de Marseille, complétées d'une cinquantaine de prêts. Pièces d'importation, pastiches ou oeuvres occidentales d'inspiration asiatique, elles illustrent ces échanges - réels ou symboliques - entre l'Asie et la Provence. Exposition reconnue d'intérêt national par le ministère de la Culture - Direction générale des patrimoines et de l'architecture - service des musées de France.
L'exposition Workshop avec l'école des Beaux-Arts de Marseille a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. L'atelier Espaces[&]Publics, dirigé par les professeurs Dominik Barbier, Frédéric Frédout, Ronan Kerdreux et Lucie Ponard, option design, de l’ école des Beaux-Arts de Marseille, présentera entre autres, une étape du travail mené par ses étudiants avec le Musée d'Histoire de Marseille, relatif à des propositions de scénographie et de signalétique au sein du musée. Les Beaux-Arts de Marseille sont un établissement de l’Institut National Supérieur d’Enseignement Artistique Marseille-Méditerranée — INSEAMM, dirigé par Raphaël Imbert Tout public - Entrée libre sans réservation - À partir de 19h
Vernissage le 04 mai de 12h à 16h EN GESTATION, FUMAR MAMAR, JE DIGÈRE, est une exposition et un projet multidisciplinaire crées par Estel Fonseca. L’artiste propose un « éclatement plastique » à la croisée de la sculpture, de l’audiovisuel, du texte et de la performance et expose une recherche qui entremêle les thème de la gestation, la pa-ma-ternité, les enjeux de la relation amoureuse comme relation à l’altérité, la sexualité créatrice, la psychogénéalogie, la maladie, les polarités, l’équilibre et le réchauffement climatique. Fondation Gulbenkian Calouste Dans le cadre de samedi 4 mai · Longchamp | Belle de Mai | Blancarde | Plombières et du festival PAC. Publié par : Ville de Marseille
Vernissage le 03 mai de 18h à 22h Les artistes relatent leur ascension de 3 volcans des Andes colombiennes, le Galeras, le Cumbal, l’Azufral ou Chaitan. Ils en extraient les résonances profondes qui les ont touchés. Celles de la flore, sauvage, obstinée, se développant dans des conditions extrêmes. Celles des roches escarpées, des éboulis magmatiques, colorés par le soufre, métamorphosés par les fumerolles, celles enfin des couleurs captivantes et des brumes enveloppantes. Ils expérimentent une autre relation humain-nature. Le volcan symbole parfait de la terre, de la vie, de sa métamorphose, est le médium qui permet d’accéder à «un temps d’avant», de pénétrer l’épaisseur d’une relation au monde environnant, d’expérimenter la porosité de l’existence humaine. Les artistes présentent 3 vidéos, dont « El gran Chaitan », fiction inspirée des traditions précolombiennes. Des éléments prélevés sur sites sont sublimés par un traitement plastique. Dessins, photos, installations, disent la force et l’enjeu de cette expérience. Films vidéos coproduits par Bombyx et le Ministère de la Culture du Grand-Duché de Luxembourg. Nathalie NOE ADAM – Edwin CUERVO Dans le cadre de vendredi 3 mai · Belsunce | Joliette | Panier | Bougainville | Estaque et du festival PAC. Publié par : Ville de Marseille
Vernissage le 02 mai 2024 de 18h à 21h La phrase If I Rest I Rust a été à l’origine utilisée par l’auteur américain Orison Swett Marden dans un essai. Ce texte évoque l’idée selon laquelle il est important de ne pas laisser le repos nous empêcher d’accéder à une forme de réussite sociale et économique. Orison Swett Marden pousse encore un peu plus loin son idée en créant une analogie entre la mise en arrêt de son corps et la création de la rouille, en disant : « L’industrie garde brillante la clef qui ouvre le trésor de la réussite ». If I Rest I Rust a été par la suite utilisé comme une véritable devise, s’utilisant aussi bien dans la culture populaire que dans l’enseignement Indouiste. Comment cette phrase s’inscrit-elle aujourd’hui dans une société qui tend à remettre en question les notions de performativité et de productivité ? Et si nos moments d’ennuis, de « rien », de l’élargit étaient des formes de créations et de résistances passives ? Et si nos machines étaient oubliées, abandonnées, que resterait-il ? Fonds Carta, Beaux-Arts de Marseille – INSEAMM Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC. Proposé par Le 33 Co-organisé par : Les Beaux-Arts de Marseille. Publié par : Ville de Marseille
Anais Touchot – Diane Guyot de St Michel – Paul Chochois – Francesco Finizio – Jean-Baptiste Ganne – Nicolas Daubanes Vernissage le 02 mai de 18h à 22h Dans le cadre de jeudi 2 mai · Opéra | Préfecture | Camas | Cours Julien et du festival PAC. Publié par : Ville de Marseille