Le Petit Prince et l'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry dans un cyanotype

Description

L'exposition Le Petit Prince et l'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry dans un cyanotype a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024.

Le 18 mai, participez en direct à l'installation de l'artiste photographe Leon Dubois en racontant votre lien avec Le Petit Prince et l'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry dans un cyanotype. Sous la forme d'un dessin, texte, ou photographie, votre souvenir s'imprimera dans une photographie bleue et blanche grâce à cette technique du XIXe siècle, puis rejoindra l'exposition itinérante de l'artiste, sur les traces de l'auteur dans le monde entier. En lien avec l'exposition A la recherche du Petit Prince présentée au musée d'Histoire de Marseille.

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Date info

Samedi 18 mai 2024

19h00 • 20h30 • 22h00

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Suggested events

L'exposition L'Asie fantasmée. Histoires d'exotisme dans les arts décoratifs en Provence a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. Par sa position privilégiée, Marseille a toujours été le creuset d’échanges multiples. Si la fascination européenne pour l’Extrême-Orient, l’Inde ou l’Empire ottoman est bien connue dès le 18e siècle, ses manifestations en Provence le sont moins. C’est ce grand attrait pour « l’exotisme » asiatique à Marseille et sa région que l’exposition se propose de mettre à l’honneur à travers plus de 400 œuvres d’art provenant ou s’inspirant d’une Asie rêvée, de la Turquie au Japon. La Provence et Marseille ont été, du XVIIIe siècle à nos jours, le creuset d’échanges et d’inspirations multiples. Cette influence se traduit notamment par un goût affirmé pour les images, objets et textiles provenant ou s’inspirant d’un Orient rêvé, de la Turquie jusqu’au Japon. Au XVIIe siècle, l’Empire ottoman bloque les voies terrestres vers l’Asie. Pour contourner cet obstacle, l’Angleterre, les Pays-Bas puis la France créent les Compagnies des Indes qui vont commercer avec l’Extrême-Orient. L’Europe est fascinée par cette « Asie » dont elle cerne encore mal les contours. Si cet attrait pour un ailleurs exotisé est bien connu, ses manifestations en Provence le sont moins. C’est ce que l’exposition met à l’honneur à travers près de 400 œuvres des Musées de Marseille, complétées d’une cinquantaine de prêts. Pièces d’importation, pastiches ou œuvres occidentales d’inspiration asiatique, elles illustrent ces échanges - réels ou symboliques - entre l’Asie et la Provence.
Par sa position privilégiée, Marseille a toujours été le creuset d'échanges multiples. Si la fascination européenne pour l'Extrême-Orient, l'Inde ou l'Empire ottoman est bien connue dès le 18e siècle, ses manifestations en Provence le sont moins. C'est ce grand attrait pour « l'exotisme » asiatique à Marseille et sa région que l'exposition se propose de mettre à l'honneur à travers plus de 400 oeuvres d'art provenant ou s'inspirant d'une Asie rêvée, de la Turquie au Japon. La Provence et Marseille ont été, du XVIIIe siècle à nos jours, le creuset d'échanges et d'inspirations multiples. Cette influence se traduit notamment par un goût affirmé pour les images, objets et textiles provenant ou s'inspirant d'un Orient rêvé, de la Turquie jusqu'au Japon. Au XVIIe siècle, l'Empire ottoman bloque les voies terrestres vers l'Asie. Pour contourner cet obstacle, l'Angleterre, les Pays-Bas puis la France créent les Compagnies des Indes qui vont commercer avec l'Extrême-Orient. L'Europe est fascinée par cette « Asie » dont elle cerne encore mal les contours. Si cet attrait pour un ailleurs exotisé est bien connu, ses manifestations en Provence le sont moins. C'est ce que l'exposition met à l'honneur à travers près de 400 oeuvres des Musées de Marseille, complétées d'une cinquantaine de prêts. Pièces d'importation, pastiches ou oeuvres occidentales d'inspiration asiatique, elles illustrent ces échanges - réels ou symboliques - entre l'Asie et la Provence. Exposition reconnue d'intérêt national par le ministère de la Culture - Direction générale des patrimoines et de l'architecture - service des musées de France.
Le spectacle Des pieds et des mains a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. Autour des artistes de la collection du mac, nous proposons aux élèves de la classe option danse du lycée Périer une expérience de lecture d'oeuvres, d'interprétations dansées et de transmission devant public le soir de la nuit des musées. Infos réservations : En ligne - https://musees.marseille.fr/musee-dart-contemporain-mac Par téléphone - 04 13 94 83 49 Par e-mail - macpublics@marseille.fr
Dès 8 ans En co-programmation avec le Théâtre Joliette UNE PIÈCE CHORÉGRAPHIQUE DE BOUZIANE BOUTELDJA Drill, Voguing, Afro, Break… que racontent ces danses qui fleurissent sur les réseaux sociaux ? Héritées de danses plus anciennes et du terreau des luttes contre les discriminations, elles portent aujourd’hui les revendications des nouvelles générations. C’est en allant à la rencontre de ces jeunes, dans leurs cours de récréation, qu’avec les danseur·euses de la Cie Dans6T j’ai pu partager leurs expériences, leurs impulsions, leurs références culturelles et sociétales. Récréations est une exploration autant qu’une interprétation de leurs élans et de leurs freins. Certains et certaines de ces jeunes sont au plateau, tantôt danseur·euses aux côtés des professionnel·les, tantôt spectateur·ices réagissant en direct à ce qui se joue sur scène. Ce qui est sûr, c’est que cette jeunesse interroge les fondements de notre art et nous inspire de nouveaux langages chorégraphiques. Bouziane Bouteldja Le 25 mai, après le spectacle, rendez-vous pour la soirée de clôture de la Biennale, avec un bal multiculturel, artistique et populaire. Distribution Chorégraphie Bouziane Bouteldja · Assistante chorégraphie Mathilde Rispal · Avec Mathilde Rispal, Marius Fouilland, Alison Benezech, Chuck West Juicy, Jacob Neff · Danseuse remplaçante Julie Montanier · Création musicale Killian Dary et Marvin Dary · Création lumière Pascal Aurouet · Représentations avec le soutien de l’Onda – Office national de diffusion artistique et de la SACD – Société des auteurs et compositeurs dramatiques dans le cadre de leur programme TRIO(S) · Photo © Dans6T Crédits de production Production Cie Dans6T · Coproduction Le Parvis – scène nationale Tarbes-Pyrénées, L’Estive – scène nationale de Foix et de l’Ariège, Théâtre Joliette – scène conventionnée art et création pour les expressions et écritures contemporaines (Marseille), Théâtre Edwige Feuillère (Vesoul) · Avec le soutien du Ministère de la Culture / de la DRAC Occitanie, la Région Occitanie, des Départements des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège · Accueils en résidence Montpellier Danse, Pôle En Scènes (Bron), lycée Marie-Curie (Tarbes), collège Lakanal (Foix). Publié par : Ville de Marseille
Le chorégraphe Marc Vincent invite le chorégraphe et réalisateur Christophe Haleb à mettre en oeuvre un projet chorégraphique et cinématographique. La Danse d'Apollonius est une performance impliquant un grand groupe d'amateurs qui incorporent les cinq anneaux olympiques. Par la marche, la ronde, la force et l'ivresse de la répétition, ses protagonistes mettent en jeu un phénomène visuel surprenant lié au problème des contacts du mathématicien grec Apollonius de Perge, qui consiste à trouver un cercle tangent à trois cercles de rayons différents. Se joue ici, avec peu d'éléments mais essentiels, quelque chose de la géométrie sacrée, cosmique, comme pour les derviches tourneurs ou pour les danseurs de la Sardane. Ce projet chorégraphique donnera lieu à la réalisation d'un film qui révélera plusieurs déclinaisons de figures du cercle s'entrelaçant dans différents sites de la ville de Marseille. Il laissera apparaître une forme archaïque de la danse et sa puissance cinétique. Tous publics
[Création] Danseur remarquable, aux révélations aussi facétieusement tragiques que densément légères, l’artiste Thomas Lebrun dirige le Centre chorégraphique national de Tours depuis 2012. Son sens de l’écriture et du détail, associé à un goût prononcé pour les musiques, du monde, savantes, classiques ou populaires, en font un intervenant d’exception auprès des jeunes danseurs en formation de Coline. C’est le 6e projet que Thomas Lebrun crée pour Coline. Sa rencontre avec les apprentis de la session 2022-2024 promet de nouvelles intensités. Coline, formation professionnelle du danseur interprète, est implantée à la Maison de la Danse à Istres. Coline propose un parcours de formation de 2 ans et a pour objectif d’accompagner 12 à 14 danseurs interprètes vers la voie professionnelle. Elle accorde une place majeure à l’engagement artistique, au travail de création et de répertoire en invitant des chorégraphes à transmettre leurs pièces ainsi qu’à l’expérience du plateau. Chorégraphie : Thomas Lebrun Assistante à la chorégraphie : Anne-Emmanuelle Deroo Lumière : Yvan Guacoin Avec les danseur·euse·s interprètes de la formation professionnelle Coline session 22-24 : Bilal Alami Badissi, Joffrey Bardot, Hippolyte Desneux, Pénélope Estevez Perera, Cassandre Guerdat, Isaë Lecarpentier, Juliette Peyronnaud, Yuma Pochet, Thaïs Robin, Noah Deneulin-Rolland, Matéo Souillard, Lilian Taillard, Anaëlle Thiery Durée : 30 min Publié par : Ville de Marseille
Lever de rideau Toujours engagé dans la formation supérieure et l’accompagnement vers le métier d’interprète de la danse, Michel Kelemenis rapproche une nouvelle fois dans une même rencontre, à KLAP, deux structures indispensables de la région qu’il affectionne et soutient : l’École Nationale de Danse de Marseille et Coline – Istres. Dans un geste croisé entre pédagogie et transmission, Michel Kelemenis met en jeu ses danses les plus récentes. Depuis octobre, il adapte aux plus grands élèves de l’ÉNDM le dernier élan de sa pièce pour neuf interprètes : Magnifiques. De J. S. Bach à la création electro d’Angelos Liaros Copola, la rapidité, la conscience spatiale aiguisée et les combinaisons tressées se superposent pour proposer un parcours baroque de la singularité individuelle vers le rassemblement. Les écritures serrées intègrent les suggestions des apprentis, appelant vivacité et capacité de transformation immédiate des états de corps. Chorégraphie et transmission : Michel Kelemenis Musique : Magnificat de Jean-Sébastien Bach Création musicale originale : Angelos Liaros Copola Interprètes : Les élèves de la Classe Sup.2 de l’École Nationale de Danse de Marseille Accompagnés par Carole Gomes Durée : 40 min Remerciement Omar Taiebi Répétitions à KLAP Maison pour la danse Publié par : Ville de Marseille
Quand on pense à l'Espagne, on pense aux tapas, au soleil' mais surtout au flamenco ! À Marseille, les castagnettes et les robes colorées à pois viendront apporter une touche andalouse au fabuleux auditorium du Palais du Pharo lors d'un spectacle unique en 4 actes. Des danseurs et danseuses professionnel·les taperont du pied au rythme de la musique dans un décor des plus magiques, rempli de fleurs, le tout sublimé par un jeu de lumières et d'ombres exceptionnel. C'est le rendez-vous idéal pour tous les aficionados de la culture espagnole, sans quitter la cité phocéenne. Achète tes billets pour We call it Flamenco à Marseille ! Programme : - Introduction - Fandangos de Huelva - Solo de guitare - Cantiñas - Bulería - Solo de chant - Solea - Tangos
L'exposition À la recherche du Petit Prince a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. Une exposition conçue par l'artiste-photographe Léon Dubois dans le cadre d'un projet itinérant sur les traces d'Antoine de Saint-Exupéry dans le monde. Enquêtant depuis 2021 sur les lieux de passage de l'écrivain et aviateur, l’artiste s’intéresse à la place de l’auteur et à son œuvre dans les mémoires contemporaines. Entre réel et fiction, expérience vécue et littérature, les photographies, archives et témoignages collectés racontent le mystère de la disparition de l’auteur à Marseille il y a 80 ans, le 31 juillet 1944. Musée d'Histoire de Marseille, séquence 12.
L'exposition Inauguration de l'exposition Pentathlon antique, Pentathlon 2024 a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Marseille 2024. Le Musée d’Archéologie Méditerranéenne de Marseille, par la richesse de ses collections grecques, propose en cette année olympique, une exposition à double lecture : Pentathlon antique, Pentathlon 2024. Grâce à plusieurs œuvres inédites conservées dans les collections, du Musée d’Archéologie Méditerranéenne, dans les différents musées marseillais, ainsi qu’aux prêts de grands musées tels que le Musée Royal de Mariemont en Belgique, le Musée National du Sport à Nice, le Musée d’Aléria en Corse... L’idée de mettre en regard les 5 disciplines de cette épreuve reine dans l’Antiquité face aux 5 disciplines choisies par le baron Pierre de Coubertin pour le pentathlon, lors de l’invention des jeux modernes en 1896 a ainsi pris tout son sens.