Exposition des sculptures de Dan Kim, réalisée avec le concours de la Villa
Arson, Nice
Publié par : Ville de Marseille
Carte Blanche Béa-Ba chez Invisible Galerie
08maart
-30maart
2 Rue Du Petit Puits, 13002 Marseille, France
Description
Delphine Trouche, Marta Santos et SImon Ortner
À la chaleureuse invitation de Pascaline Zicavo, la Galerie Béa-Ba investit l’espace de l‘Invisible Galerie, au 2 Rue du Petit Puits, 13002 Marseille pour une carte blanche du 8 au 30 mars 2024.
Pour l’occasion, la galerie Béa-Ba est heureuse de présenter une exposition collective, mélant les peintures de Delphine Trouche (Galerie Béa-Ba), les sculptures de Marta Santos, représentée par Invisible Galerie, ainsi que les toiles de Simon Ortner, artiste invité.
Nous vous attendons nombreux pour découvrir cette exposition en trio !.
Publié par : Ville de Marseille
Sculpture
Painting
Date info
Expo le jeudi 7 mars, de 17h à 21h.
Tickets
Info:
Gratuit
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Suggested events
Van Gogh : The Immersive Experience est une exposition sur l’un des plus grands
artistes de tous les temps qui a conquis plus de 5 millions de personnes à
travers le monde. Dans la continuité de cette tournée triomphante, l’exposition
immersive pose ses valises dans le sud de la France, véritable symbole dans la
vie et l’œuvre de Van Gogh.
Qui n’a jamais rêvé de plonger dans une peinture ? Prépare-toi à vivre un voyage
inoubliable dans l’univers de Van Gogh, l’un des grands génies de la peinture du
XIXe siècle. Pars à la découverte de sa vie, son œuvre et ses secrets grâce à
des projections numériques à 360 degrés, une expérience en réalité virtuelle
unique en son genre ainsi qu’un spectacle son et lumière absolument mémorable.
Organisée par Exhibition Hub, cette expérience hypnotisante a déjà conquis le
monde entier dans plus d’une trentaine de villes. Laisse-toi envoûter par les
œuvres qui t’entourent et pénètre dans une nouvelle réalité : celle créée par
les pinceaux de Van Gogh. Rejoins la liste d’attente maintenant pour Van Gogh :
The Experience à Marseille !
Durée : la visite dure 1h15 environ
Publié par : Ville de Marseille
Exposition dans les cryptes de l’abbaye Saint-Victor
L’Atelier Cézanne, association à but non lucratif fondée en 1934 par un groupe
d’artistes et de journalistes, a depuis ses débuts compté parmi ses fidèles bon
nombre d’artistes marseillais connus et estimés, et organise chaque année des
expositions de groupe pour ses adhérents, dans différents lieux sur Marseille et
ses environs.
Pour les 90 ans de l’association, c’est notre belle abbaye qui a été choisie
pour servir d’écrin à une superbe exposition.
Publié par : Ville de Marseille
Cet artiste fut pendant trente ans ouvrier aux chantiers de La Seyne-sur-Mer,
dans le département du Var. Pendant ces trente ans, il a peint ses camarades au
travail, représenté les accidents occasionnés dans la pratique de métiers
dangereux, décrit les mouvements sociaux, célébré la fraternité des travailleurs
du chantier.
Un témoignage exceptionnel d’un peintre dont la patte rappelle à la fois le
belge James Ensor et le grand Baselitz avec une vision du monde où les rapports
sociaux tournent à l’absurde.
Vernissage vendredi 5 avril de 18h30 à 21h00.
Publié par : Ville de Marseille
La Collection Lambert et le Mucem s’unissent pour une exposition inédite.
La culture méditerranéenne a profondément façonné le destin du grand
marchand d’art Yvon Lambert, dont le nom et l’histoire résonnent avec les
richesses culturelles de la Provence.
Né en 1936 à Vence, Yvon Lambert a grandi au cœur d’une région imprégnée
par la présence de grands artistes tels qu’Henri Matisse à Vence ou Paul
Cézanne à Aix-en-Provence.
Dès les premiers temps de la galerie d’Yvon Lambert, le marchand d’art s’est
fait également collectionneur et commence à constituer des ensembles
importants d’œuvres d’artistes de son temps, pour la plupart encore inconnus.
Ainsi commence presque 60 années d’une histoire intime de l’art. Son regard
singulier est marqué par la poésie, l’amour, la liberté de pensée et la
défense de l’art de son temps. Chaque pièce traduit l’amitié indéniable
entre le collectionneur et les artistes. La donation exceptionnelle faite en
2012 à l’État français par Yvon Lambert a permis de consolider la présence
d’un grand musée public d’art contemporain à Avignon : La Collection Lambert.
Amoureux des objets insolites, témoignages des croyances populaires de tous les
âges, en particulier issus de la culture provençale, Yvon Lambert ressent une
proximité naturelle forte avec les collections du Mucem dont la constitution
lente et fabuleuse lui rappelle ses propres recherches vagabondes de choses
étonnantes allant d’ex-voto fantasmagoriques, à des scènes de genre de petits
maîtres provençaux, de la bibliothèque félibrige de son père aux ustensiles
et pièges à grives que ce dernier fabriquait.
Les objets d’art populaire du Mucem sont le fruit de collectes d’enquêteurs sur
le terrain : ethnologues, observateurs des mutations de la société et
défenseurs des savoirs du peuple. Ces collections sont des témoins précieux,
des documents sur nos modes de vie et sur l’évolution des mœurs, mais ils
présentent aussi une valeur esthétique qui se font particulièrement jour dans
des analogies étonnantes avec des œuvres d’art.
L’exposition commence par l’évocation du parcours d’Yvon Lambert, lié aux
cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur des
thématiques autour desquelles dialogueront ses collections et celles du Mucem :
le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la
littérature, l’intime et l’existence.
Ainsi, la rencontre entre la Collection Lambert et celle du Mucem présentée
lors de l’exposition « De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La
Collection Lambert au Mucem » est bien plus qu’une juxtaposition de collections
exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances
formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures
populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre
ces deux collections patrimoniales est une tentative de voyage au centre d’un
regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et
invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre
interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des
passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées.
Des invitations pour des interventions artistiques et littéraires :
Ryoko Sekiguchi (née à Tokyo en 1970) a été invitée à écrire pour l’exposition
vingt-et-un cartels imaginaires dans lesquels elle déploie une écriture sensible
et poétique pour aborder les objets et leurs odeurs, notamment celle du musée,
de la lumière, des couleurs des œuvres. Elle propose une véritable ode à la
contemplation et aux sens.
L’artiste peintre et designer Nathalie Du Pasquier (née à Bordeaux en 1957) a
conçu une cabine peinte afin d’abriter les projets des chapelles de Vence
réalisés en 1994 par Jean Charles Blais, Sol Lewitt, Jean-Michel Othoniel, Niele
Toroni, Robert Barry à l’invitation d’Yvon Lambert. A l’extérieur, couleurs et
objets de la collection du Mucem liés aux croyances et coutumes en Provence se
répondent : amulettes, santibelli, croix de la Passion, boîtes-oratoires,
ex-voto, palmes des rameaux…
Œuvres exposées :
Le Mucem bénéficie de prêts exceptionnels d’Yvon et Ève Lambert, mais aussi du
Centre national des arts plastiques (CNAP) : 80 œuvres ont été soigneusement
sélectionnées parmi les 600 œuvres données par le marchand et collectionneur
Yvon Lambert à l’Etat en 2012. Ces pièces couvrent une large gamme de médiums
artistiques, tel que la peinture, la sculpture, l’installation, la vidéo ou la
photographie.
Elles côtoient 150 œuvres de la collection du Mucem, référence dans le domaine
des arts populaires. Ces objets du quotidien se mêlent subtilement avec les
créations contemporaines.
Artistes présentés :
Parmi les artistes dont les œuvres de la collection Lambert sont présentées,
on compte notamment Jean-Michel Basquiat, Andres Serrano, Christian Marclay, Sol
Lewitt, Daniel Buren, Mircea Cantor, Marcel Broodthaers, Cy Twombly, Kiki Smith,
Nan Goldin, Christian Boltanski, Louise Lawler…
Commissariat :
Marie-Charlotte Calafat, conservatrice en chef du patrimoine, Mucem
Stéphane Ibars, directeur artistique, Collection Lambert
Scénographie : Agence Nathalie Crinière
Graphisme : Tania Hagemeister
L’exposition est conçue et organisée par la Collection Lambert et le Mucem,
Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.
Publié par : Ville de Marseille
La décennie 1968-1978 marque un tournant important dans l’évolution de la
mémoire de la Shoah en Europe et dans le monde.
L’action spectaculaire de Beate et Serge Klarsfeld, menée sur plusieurs
continents, exerce un rôle majeur dans ce mouvement vers la reconnaissance. 56
ans après la gifle administrée par Beate Klarsfeld en 1968 au chancelier
ouest-allemand Kurt Georg Kiesinger et 46 ans après la publication en 1978 par
Serge Klarsfeld du Mémorial de la déportation des Juifs de France, le Mémorial
de la Shoah retrace le parcours de Beate et Serge Klarsfeld en faveur des
victimes de la Shoah et de la connaissance historique, contre l’impunité
d’anciens responsables de la Solution finale et contre l’antisémitisme. Grâce à
de nombreux documents et objets inédits, l’histoire et les motivations de leur
engagement sont pleinement restituées, rejoignant celles de toute une
génération, dont ils deviennent jusqu’à aujourd’hui les symboles.
Exposition réalisée par le Mémorial de la Shoah, en partenariat avec le Musée
d’Histoire de Marseille.
[Salle d’exposition temporaire]
► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes
nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre
visite.
► Le Musée d’Histoire de Marseille dispose d’un centre de documentation.
Uniquement sur rendez-vous par mail : documentation-mhm@marseille.fr et au 04 91
55 36 20.
► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le
site musees.marseille.fr
Publié par : Ville de Marseille
Le travail de peinture de l’artiste Pop min est une sorte de manifeste
artistique, une remise en question de notre rapport à la vie, aux gens aux
choses, mais aussi de l’organisation actuelle du monde. Ses toiles sont un
concentré artistique en couleur et en matière, d’une conception antagonique,
d’un renversement et de tous ses possibles, tant personnels que collectifs.
Vernissage mercredi 27 mars de 19h à 22h
Publié par : Ville de Marseille
Visites contées jusqu’à 6 ans ou visite sensorielle pour les tout-petits,
pendant les vacances d’avril, il y a chaque jour une activité à partager en
famille au Mucem !
• Baby Mezzé
Visite sensorielle pour les enfants de 18 mois à 3 ans.
Dimanche 21 avril à 10h30
Mercredi 24 avril à 10h30
Vendredi 26 avril à 10h30
Dimanche 28 avril à 10h30
Jeudi 2 mai à 10h30
Samedi 4 mai à 10h30
En collaboration avec la Cie L’air de dire.
Cette visite de l’exposition « Le grand Mezzé » spécialement adaptée pour les
tout-petits les aidera à éveiller leurs sens et leur curiosité.
On y croisera une drôle de poule, on y entendra des comptines et on y trouvera
des œufs à colorier à rapporter à la maison.
• Mini-Mezzé, la folle histoire de Galavar
Visite contée pour les enfants de 3 à 6 ans
Samedi 20 avril à 16h00
Jeudi 25 avril à 16h00
Lundi 29 avril à 16h00
Vendredi 3 mai à 16h00
En collaboration avec la Cie L’air de dire
Lors de cette visite contée, on redécouvre l’exposition « Le grand Mezzé » à
travers l’histoire de Galavar, un petit garçon qui aime beaucoup manger, surtout
des pizzas et des sucreries ! Mais une nuit, il découvre la maison de la
sorcière Falafolle…
Marionnettes et théâtre d’objet viendront animer cette visite adaptée aux plus
petits !
• Un objet, une histoire
Lundi 22 avril à 16h00
Samedi 27 avril à 16h00
Visite contée en famille pour les enfants de 3 à 6 ans
Avez-vous déjà visité « Populaire ? », la nouvelle exposition permanente du
Mucem ? Les objets spectaculaires y côtoient les objets les plus simples, ceux
du quotidien : ils ont tous quelque chose à nous raconter ! Cette visite contée
nous dévoile l’histoire singulière qui se cache derrière certains de ces objets.
Publié par : Ville de Marseille
Nous avons le plaisir de vous annoncer l’exposition « Toute latitude — La
cartographie, c’est du graphisme » proposée par Guillaume Monsaingeon et David
Poullard. Cette exposition sera présentée au Studio Fotokino à Marseille du
samedi 13 avril au dimanche 26 mai 2024.
« Les cartes sont généralement présentées comme des outils fiables, aux
informations précises. Même lorsqu’elles sont séduisantes ou étonnantes, on les
réduit souvent à leur fonction d’orientation efficace. C’est oublier une tout
autre dimension : ces documents stimulent aussi la rêverie, décuplent les
imaginaires, suscitent les peurs, la colère, le vertige ou la joie.
Au fond, graphistes et cartographes partagent une même ambition : faire entrer
une tranche de monde sur une feuille ou un écran ; créer un espace en disposant
des signes et des couleurs, des lettres et des lignes, dans un ordre
soigneusement composé ; jouer avec les contraintes et les traditions pour
assurer une lisibilité renouvelée. Pourtant, on rapproche rarement les activités
graphiques et cartographiques, trop souvent classées dans des catégories
étanches : Arts appliqués pour les unes, géographie pour les autres…
Quelques amateurs de cartes se régalent toutefois de la cascade de signes qui
ornent les cartes « de tous les jours », et des astuces opérées par le/la
carto-graphiste – la plupart du temps anonyme – pour arriver à ses fins. Parfois
des plis apparaissent pour faire tenir un long fleuve dans un rectangle trop
étroit ; d’autre fois on prend des libertés pour faire d’un petit bourg le
nombril du monde, lui conférant une dignité cartographique nouvelle.
La plupart des documents ici réunis ont été glanés au gré des brocantes, des
échanges et des rencontres. Ni chefs-d’œuvre, ni travaux d’artistes, ni
manuscrits rares : de simples documents imprimés en grande ou en petite série,
gratuits ou payants, à visée multiple : scientifique, touristique,
promotionnelle… Des cartes pas exceptionnelles, et pourtant pas tout à fait
banales. Une collection assemblée par un amateur primesautier, ici agencée pour
le plaisir de l’œil et l’hygiène des méninges, et qui nous invite à reconsidérer
la place de la cartographie dans l’histoire du graphisme, tout en faisant de
nous des flâneurs attentifs et heureux. »
— Guillaume Monsaingeon
Commissariat : Guillaume Monsaingeon et David Poullard
Publié par : Ville de Marseille
Depuis son voisinage avec Vidéochroniques, tandis qu’elle était résidente des
ateliers d’artistes de la Ville de Marseille, les échanges entrepris avec
Victoire Barbot n’ont cessé de se prolonger. Forte d’un corpus en constant
déploiement, l’artiste prend cette fois ses quartiers dans l’espace même de
l’association, pour une première exposition personnelle d’envergure.
Derrière ce titre mystérieux se cache une œuvre discrète, d’abord ancrée dans
une histoire familiale. Loin de ne constituer qu’une anecdote, cette attache
située renvoie plus largement à notre histoire industrielle – celle d’une petite
industrie déclinante –, à ses équipements et ses méthodes, ses territoires et
ses acteurs, et à leur délaissement. Le vocabulaire plastique et les processus
auxquels Victoire Barbot recourt témoignent explicitement de cet ancrage : il y
est question d’inventaire, de classement, de stockage, de transport, de notice,
de conditionnement, etc.
Exposition réalisée avec le concours logistique de l’entreprise Milhe & Avons et
les soutiens de la Ville de Marseille, de la Région Sud, de la DRAC
Provence-Alpes-Côte d’Azur – Ministère de la Culture, et du Département des
Bouches-du-Rhône.
Victoire Barbot
Née en 1988 à Dreux, vit et travaille à Marseille
Elle est diplomée d’un DNSEP à l’Ecole Nationale Supérieure des
Beaux-Arts de Paris en 2014. Elle a également étudié à la School of the Museum à
Boston (USA)
De la sculpture à la peinture, sa démarche ne cesse d’aller et venir
en quête de la réalisation de tout un monde de travaux qui déterminent les
termes d’une forme d’esthétique singulière, tout à la fois minimaliste et
subjective. Pour ce faire, l’artiste en appelle au réemploi de matériaux de
récupération qu’elle met en
jeu dans des compositions qui se déclinent volontiers à l’ordre tantôt
d’inventaires, tantôt de séries, tantôt d’installations, où le dessin trouve ici
et là sa place.
Depuis 2014 elle a participé à de nombreuses expositions en
France et à l’international, tout particulièrement au Mexique.
Parmi ses récentes expositions : « Cascara de Mango », Squash London (Mexico,
2017); « Scabello », Galerie Double V (Marseille, 2017) ; « Mas opacida », Muca
Roma (Mexico), « Solo Show », El Quitasol (Mexico, 2018) ; « Ebullicion”,
Kunstraum am Schauplatz (Vienne, 2019).
Vernissage le 14 mars 2024 de 17h à 20h30
Publié par : Ville de Marseille