Carte Blanche Béa-Ba chez Invisible Galerie

Description

Delphine Trouche, Marta Santos et SImon Ortner

À la chaleureuse invitation de Pascaline Zicavo, la Galerie Béa-Ba investit l’espace de l‘Invisible Galerie, au 2 Rue du Petit Puits, 13002 Marseille pour une carte blanche du 8 au 30 mars 2024.

Pour l’occasion, la galerie Béa-Ba est heureuse de présenter une exposition collective, mélant les peintures de Delphine Trouche (Galerie Béa-Ba), les sculptures de Marta Santos, représentée par Invisible Galerie, ainsi que les toiles de Simon Ortner, artiste invité.
Nous vous attendons nombreux pour découvrir cette exposition en trio !.

Publié par : Ville de Marseille

Date info

Expo le jeudi 7 mars, de 17h à 21h.

Tickets

Info:

Gratuit

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Cet artiste fut pendant trente ans ouvrier aux chantiers de La Seyne-sur-Mer, dans le département du Var. Pendant ces trente ans, il a peint ses camarades au travail, représenté les accidents occasionnés dans la pratique de métiers dangereux, décrit les mouvements sociaux, célébré la fraternité des travailleurs du chantier. Un témoignage exceptionnel d’un peintre dont la patte rappelle à la fois le belge James Ensor et le grand Baselitz avec une vision du monde où les rapports sociaux tournent à l’absurde. Vernissage vendredi 5 avril de 18h30 à 21h00. Publié par : Ville de Marseille
La Collection Lambert et le Mucem s’unissent pour une exposition inédite. La culture méditerranéenne a profondément façonné le destin du grand marchand d’art Yvon Lambert, dont le nom et l’histoire résonnent avec les richesses culturelles de la Provence. Né en 1936 à Vence, Yvon Lambert a grandi au cœur d’une région imprégnée par la présence de grands artistes tels qu’Henri Matisse à Vence ou Paul Cézanne à Aix-en-Provence. Dès les premiers temps de la galerie d’Yvon Lambert, le marchand d’art s’est fait également collectionneur et commence à constituer des ensembles importants d’œuvres d’artistes de son temps, pour la plupart encore inconnus. Ainsi commence presque 60 années d’une histoire intime de l’art. Son regard singulier est marqué par la poésie, l’amour, la liberté de pensée et la défense de l’art de son temps. Chaque pièce traduit l’amitié indéniable entre le collectionneur et les artistes. La donation exceptionnelle faite en 2012 à l’État français par Yvon Lambert a permis de consolider la présence d’un grand musée public d’art contemporain à Avignon : La Collection Lambert. Amoureux des objets insolites, témoignages des croyances populaires de tous les âges, en particulier issus de la culture provençale, Yvon Lambert ressent une proximité naturelle forte avec les collections du Mucem dont la constitution lente et fabuleuse lui rappelle ses propres recherches vagabondes de choses étonnantes allant d’ex-voto fantasmagoriques, à des scènes de genre de petits maîtres provençaux, de la bibliothèque félibrige de son père aux ustensiles et pièges à grives que ce dernier fabriquait. Les objets d’art populaire du Mucem sont le fruit de collectes d’enquêteurs sur le terrain : ethnologues, observateurs des mutations de la société et défenseurs des savoirs du peuple. Ces collections sont des témoins précieux, des documents sur nos modes de vie et sur l’évolution des mœurs, mais ils présentent aussi une valeur esthétique qui se font particulièrement jour dans des analogies étonnantes avec des œuvres d’art. L’exposition commence par l’évocation du parcours d’Yvon Lambert, lié aux cultures provençales et méditerranéennes, pour s’attarder ensuite sur des thématiques autour desquelles dialogueront ses collections et celles du Mucem : le populaire et le quotidien, l’homme et la nature, la poésie et la littérature, l’intime et l’existence. Ainsi, la rencontre entre la Collection Lambert et celle du Mucem présentée lors de l’exposition « De Basquiat à Édith Piaf. Passions partagées. La Collection Lambert au Mucem » est bien plus qu’une juxtaposition de collections exogènes. Des fils sensibles tissent spontanément leur toile par résonances formelles et poétiques entre les œuvres d’art et celles issues de cultures populaires. Par affinité réciproque de récits et de formes, le dialogue entre ces deux collections patrimoniales est une tentative de voyage au centre d’un regard singulier, celui d’une personnalité majeure de l’art contemporain, et invite les visiteurs du Mucem au jeu des coïncidences, de la libre interprétation et des associations poétiques empreintes du charme et des passions tenaces qui ont été les ferments de ces deux grands musées. Des invitations pour des interventions artistiques et littéraires : Ryoko Sekiguchi (née à Tokyo en 1970) a été invitée à écrire pour l’exposition vingt-et-un cartels imaginaires dans lesquels elle déploie une écriture sensible et poétique pour aborder les objets et leurs odeurs, notamment celle du musée, de la lumière, des couleurs des œuvres. Elle propose une véritable ode à la contemplation et aux sens. L’artiste peintre et designer Nathalie Du Pasquier (née à Bordeaux en 1957) a conçu une cabine peinte afin d’abriter les projets des chapelles de Vence réalisés en 1994 par Jean Charles Blais, Sol Lewitt, Jean-Michel Othoniel, Niele Toroni, Robert Barry à l’invitation d’Yvon Lambert. A l’extérieur, couleurs et objets de la collection du Mucem liés aux croyances et coutumes en Provence se répondent : amulettes, santibelli, croix de la Passion, boîtes-oratoires, ex-voto, palmes des rameaux… Œuvres exposées : Le Mucem bénéficie de prêts exceptionnels d’Yvon et Ève Lambert, mais aussi du Centre national des arts plastiques (CNAP) : 80 œuvres ont été soigneusement sélectionnées parmi les 600 œuvres données par le marchand et collectionneur Yvon Lambert à l’Etat en 2012. Ces pièces couvrent une large gamme de médiums artistiques, tel que la peinture, la sculpture, l’installation, la vidéo ou la photographie. Elles côtoient 150 œuvres de la collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires. Ces objets du quotidien se mêlent subtilement avec les créations contemporaines. Artistes présentés : Parmi les artistes dont les œuvres de la collection Lambert sont présentées, on compte notamment Jean-Michel Basquiat, Andres Serrano, Christian Marclay, Sol Lewitt, Daniel Buren, Mircea Cantor, Marcel Broodthaers, Cy Twombly, Kiki Smith, Nan Goldin, Christian Boltanski, Louise Lawler… Commissariat : Marie-Charlotte Calafat, conservatrice en chef du patrimoine, Mucem Stéphane Ibars, directeur artistique, Collection Lambert Scénographie : Agence Nathalie Crinière Graphisme : Tania Hagemeister L’exposition est conçue et organisée par la Collection Lambert et le Mucem, Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. Publié par : Ville de Marseille
La décennie 1968-1978 marque un tournant important dans l’évolution de la mémoire de la Shoah en Europe et dans le monde. L’action spectaculaire de Beate et Serge Klarsfeld, menée sur plusieurs continents, exerce un rôle majeur dans ce mouvement vers la reconnaissance. 56 ans après la gifle administrée par Beate Klarsfeld en 1968 au chancelier ouest-allemand Kurt Georg Kiesinger et 46 ans après la publication en 1978 par Serge Klarsfeld du Mémorial de la déportation des Juifs de France, le Mémorial de la Shoah retrace le parcours de Beate et Serge Klarsfeld en faveur des victimes de la Shoah et de la connaissance historique, contre l’impunité d’anciens responsables de la Solution finale et contre l’antisémitisme. Grâce à de nombreux documents et objets inédits, l’histoire et les motivations de leur engagement sont pleinement restituées, rejoignant celles de toute une génération, dont ils deviennent jusqu’à aujourd’hui les symboles. Exposition réalisée par le Mémorial de la Shoah, en partenariat avec le Musée d’Histoire de Marseille. [Salle d’exposition temporaire] ► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre visite. ► Le Musée d’Histoire de Marseille dispose d’un centre de documentation. Uniquement sur rendez-vous par mail : documentation-mhm@marseille.fr et au 04 91 55 36 20. ► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le site musees.marseille.fr Publié par : Ville de Marseille
Le travail de peinture de l’artiste Pop min est une sorte de manifeste artistique, une remise en question de notre rapport à la vie, aux gens aux choses, mais aussi de l’organisation actuelle du monde. Ses toiles sont un concentré artistique en couleur et en matière, d’une conception antagonique, d’un renversement et de tous ses possibles, tant personnels que collectifs. Vernissage mercredi 27 mars de 19h à 22h Publié par : Ville de Marseille
Visites contées jusqu’à 6 ans ou visite sensorielle pour les tout-petits, pendant les vacances d’avril, il y a chaque jour une activité à partager en famille au Mucem ! • Baby Mezzé Visite sensorielle pour les enfants de 18 mois à 3 ans. Dimanche 21 avril à 10h30 Mercredi 24 avril à 10h30 Vendredi 26 avril à 10h30 Dimanche 28 avril à 10h30 Jeudi 2 mai à 10h30 Samedi 4 mai à 10h30 En collaboration avec la Cie L’air de dire. Cette visite de l’exposition « Le grand Mezzé » spécialement adaptée pour les tout-petits les aidera à éveiller leurs sens et leur curiosité. On y croisera une drôle de poule, on y entendra des comptines et on y trouvera des œufs à colorier à rapporter à la maison. • Mini-Mezzé, la folle histoire de Galavar Visite contée pour les enfants de 3 à 6 ans Samedi 20 avril à 16h00 Jeudi 25 avril à 16h00 Lundi 29 avril à 16h00 Vendredi 3 mai à 16h00 En collaboration avec la Cie L’air de dire Lors de cette visite contée, on redécouvre l’exposition « Le grand Mezzé » à travers l’histoire de Galavar, un petit garçon qui aime beaucoup manger, surtout des pizzas et des sucreries ! Mais une nuit, il découvre la maison de la sorcière Falafolle… Marionnettes et théâtre d’objet viendront animer cette visite adaptée aux plus petits ! • Un objet, une histoire Lundi 22 avril à 16h00 Samedi 27 avril à 16h00 Visite contée en famille pour les enfants de 3 à 6 ans Avez-vous déjà visité « Populaire ? », la nouvelle exposition permanente du Mucem ? Les objets spectaculaires y côtoient les objets les plus simples, ceux du quotidien : ils ont tous quelque chose à nous raconter ! Cette visite contée nous dévoile l’histoire singulière qui se cache derrière certains de ces objets. Publié par : Ville de Marseille
Nous avons le plaisir de vous annoncer l’exposition « Toute latitude — La cartographie, c’est du graphisme » proposée par Guillaume Monsaingeon et David Poullard. Cette exposition sera présentée au Studio Fotokino à Marseille du samedi 13 avril au dimanche 26 mai 2024. « Les cartes sont généralement présentées comme des outils fiables, aux informations précises. Même lorsqu’elles sont séduisantes ou étonnantes, on les réduit souvent à leur fonction d’orientation efficace. C’est oublier une tout autre dimension : ces documents stimulent aussi la rêverie, décuplent les imaginaires, suscitent les peurs, la colère, le vertige ou la joie. Au fond, graphistes et cartographes partagent une même ambition : faire entrer une tranche de monde sur une feuille ou un écran ; créer un espace en disposant des signes et des couleurs, des lettres et des lignes, dans un ordre soigneusement composé ; jouer avec les contraintes et les traditions pour assurer une lisibilité renouvelée. Pourtant, on rapproche rarement les activités graphiques et cartographiques, trop souvent classées dans des catégories étanches : Arts appliqués pour les unes, géographie pour les autres… Quelques amateurs de cartes se régalent toutefois de la cascade de signes qui ornent les cartes « de tous les jours », et des astuces opérées par le/la carto-graphiste – la plupart du temps anonyme – pour arriver à ses fins. Parfois des plis apparaissent pour faire tenir un long fleuve dans un rectangle trop étroit ; d’autre fois on prend des libertés pour faire d’un petit bourg le nombril du monde, lui conférant une dignité cartographique nouvelle. La plupart des documents ici réunis ont été glanés au gré des brocantes, des échanges et des rencontres. Ni chefs-d’œuvre, ni travaux d’artistes, ni manuscrits rares : de simples documents imprimés en grande ou en petite série, gratuits ou payants, à visée multiple : scientifique, touristique, promotionnelle… Des cartes pas exceptionnelles, et pourtant pas tout à fait banales. Une collection assemblée par un amateur primesautier, ici agencée pour le plaisir de l’œil et l’hygiène des méninges, et qui nous invite à reconsidérer la place de la cartographie dans l’histoire du graphisme, tout en faisant de nous des flâneurs attentifs et heureux. » — Guillaume Monsaingeon Commissariat : Guillaume Monsaingeon et David Poullard Publié par : Ville de Marseille
Depuis son voisinage avec Vidéochroniques, tandis qu’elle était résidente des ateliers d’artistes de la Ville de Marseille, les échanges entrepris avec Victoire Barbot n’ont cessé de se prolonger. Forte d’un corpus en constant déploiement, l’artiste prend cette fois ses quartiers dans l’espace même de l’association, pour une première exposition personnelle d’envergure. Derrière ce titre mystérieux se cache une œuvre discrète, d’abord ancrée dans une histoire familiale. Loin de ne constituer qu’une anecdote, cette attache située renvoie plus largement à notre histoire industrielle – celle d’une petite industrie déclinante –, à ses équipements et ses méthodes, ses territoires et ses acteurs, et à leur délaissement. Le vocabulaire plastique et les processus auxquels Victoire Barbot recourt témoignent explicitement de cet ancrage : il y est question d’inventaire, de classement, de stockage, de transport, de notice, de conditionnement, etc. Exposition réalisée avec le concours logistique de l’entreprise Milhe & Avons et les soutiens de la Ville de Marseille, de la Région Sud, de la DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur – Ministère de la Culture, et du Département des Bouches-du-Rhône. Victoire Barbot Née en 1988 à Dreux, vit et travaille à Marseille Elle est diplomée d’un DNSEP à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2014. Elle a également étudié à la School of the Museum à Boston (USA) De la sculpture à la peinture, sa démarche ne cesse d’aller et venir en quête de la réalisation de tout un monde de travaux qui déterminent les termes d’une forme d’esthétique singulière, tout à la fois minimaliste et subjective. Pour ce faire, l’artiste en appelle au réemploi de matériaux de récupération qu’elle met en jeu dans des compositions qui se déclinent volontiers à l’ordre tantôt d’inventaires, tantôt de séries, tantôt d’installations, où le dessin trouve ici et là sa place. Depuis 2014 elle a participé à de nombreuses expositions en France et à l’international, tout particulièrement au Mexique. Parmi ses récentes expositions : « Cascara de Mango », Squash London (Mexico, 2017); « Scabello », Galerie Double V (Marseille, 2017) ; « Mas opacida », Muca Roma (Mexico), « Solo Show », El Quitasol (Mexico, 2018) ; « Ebullicion”, Kunstraum am Schauplatz (Vienne, 2019). Vernissage le 14 mars 2024 de 17h à 20h30 Publié par : Ville de Marseille