« Amlou » Jazz-SoulAMLOU est un duo instrumental créé en 2021 entre les mains
d’Antoine Dawans à la trompette et Mohamed Dziri à la guitare. Né de leur
complicité évidente, le projet se veut minimaliste, intime et chaleureux. Les
mélodies sont attachantes et ciselées, les grooves chaloupés. Un cocon
réconfortant aux nombreuses inspirations puisées essentiellement dans la
chanson, la soul, le jazz mais aussi la pop, rendant le duo tout aussi mélodique
qu’inclassable.De toute évidence, un savoureux et doux mélange à découvrir et
partager entre ami.es.AMLOU profitera de leur passage à Sprimont pour dévoiler
leurs nouveaux titres, enregistrés fin 2023Antoine Dawans : trompette/claviers –
Mohamed Dziri : guitareshttps://youtu.be/mIvWyOTuk28?si=7-htCnHUM8CoQ5ke«
Antoine et Mohamed sont de talentueux musiciens que vous avez déjà probablement
entendus ou vus dans d’autres projets. Ils nous proposent ici un moment
essentiel, suspendu, entre musique très écrite et espaces d’improvisation »
Alma Tree
24september 2022
20:30
Boulevard Saucy 25, 4020 Liège, Liège, Belgium
Description
indie blue folk
Aux jours les plus sombres de 2021, alors que le monde était au bord de l'implosion, deux musiciens ont décidé de saisir leur potentiel et d'accomplir leur destin en créant des mélodies dont la planète avait cruellement besoin.
Un duo Indie Blue Folk original inspiré par les plus grands (Beatles, Bowie, Tim Buckley,...) et influencé par leurs voyages, Alma Tree n'a pas peur de franchir les frontières musicales et invite à une introspection optimiste et à une réflexion poétique sur le sens de la vie moderne.
Avec :
Massimiliano Engelli (vocals, guitar)
Miko Bukowski (bass)
almatreemusic.com
Paf : 10 euros
Réservations : aquiloneinfo@gmail.com
Blues
Folk
Country
Info & Reservation
1 Picture
Suggested events
TICKETS DISPONIBLES LE 21 FÉVRIER À 11H
DOUBLE AFFICHE EXCEPTIONNELLE POUR LE REFLEKTOR
MR GISCARD
Il s’appelle monsieur Giscard. Il n’a jamais été centriste, ni président, et
sûrement n’a développé aucun tropisme pour les diamants. Mais comme son prénom
est Valery, il fut un temps où lorsque ses interlocuteurs lui demandaient la
nature d’un tel prénom masculin, le jeune homme avait pour habitude de répondre
: « Valery ? Comme le président ». Du coup c’était presque devenu naturellement
un nom composé et c’est ainsi resté. Gonflé, c’est aussi une manière de
s’attribuer une carte d’identité qui atteste d’une volonté de mettre de la
distance et du décalage en toute chose. Monsieur Giscard, contrairement à son
illustre roi républicain, a de quoi tenir ses promesses avec ce premier
programme musical de cinq titres qui pourrait bien provoquer une révolution de
velours dans le monde de la chanson française. L’art du décalage est partout
chez ce jeune homme de 28 ans, ultra séduisant par sa nonchalance masculine et
sa candeur virile.
JOANNA
Depuis la sortie en 2018 de son premier morceau “Séduction”, Joanna s’est
affirmée comme une voix à la fois puissante et éthérée de la nouvelle scène pop
française. Autodidacte et touche-à-tout, l’artiste, originaire de Rennes, s’est
depuis fait remarquer grâce à Vénus, un premier EP entre mythologie, féminisme
et R’n’B, et Sérotonine, un premier album narratif qui emmenait ses auditeurs et
auditrices dans toutes les étapes d’une relation amoureuse, du premier regard à
la déchirure, ainsi qu’à la renaissance. Aujourd’hui, elle revient avec WHERE IS
THE LIGHT ?, un deuxième album au récit plus autobiographique. Plus intime et
ancré, il marque un changement musical dans le parcours de Joanna.
De l’ombre à la lumière
C’est au cœur d’une dépression que WHERE IS THE LIGHT ? voit le jour. Il faut
garder cette information en tête à l’écoute de cet opus, baigné dans une
atmosphère singulière qui opère comme un remède nécessaire pour apaiser nos
maux. WHERE IS THE LIGHT ? est imaginé comme un diptyque entre les ténèbres et
la splendeur. Ou plutôt, comme un chemin, qui part des Enfers (citées dans
“FIGHTING”, morceau d’empowerment par excellence), pour finir au-dessus des
étoiles. Tout au long du disque, les morceaux les plus aériens, quasiment conçus
comme des berceuses (comme “RÊVERIE” dont le piano, couplée au chant mystique de
Joanna, ont un effet réparateur) laissent place à des chansons d’une intensité
haletante, à l’image de “MÉTA DEUIL” et sa production hyperpop qui nous attrape
et ne nous lâche pas.
Entre l’acoustique et l’électronique, WHERE IS THE LIGHT ne choisit pas. Ou
plutôt, il choisit les deux, et apprend à les fondre ensemble, dans des suites
d’accords tantôt vaporeux, tantôt acérés. Au piano succèdent les violons, puis
les rythmiques rock et même techno, en passant par les synthétiseurs vintage
choisis pour l’enregistrement de l’album. Rien n’a été laissé au hasard,
jusqu’au moindre glitch : « Les rythmiques choisies sont puissantes, c’est
pourquoi nous avons mixé beaucoup de batteries acoustiques avec des sonorités
très électroniques, pour donner rendre les émotions physiques » déclare Joanna à
propos des choix de production.
Rester authentique
À la première écoute, difficile d’ignorer que WHERE IS THE LIGHT ? transpire
d’honnêteté. Là où Sérotonine imaginait le récit chronologique d’une histoire
d’amour fictive, WHERE IS THE LIGHT ? est une œuvre complètement
autobiographique, née du regard que l’artiste a osé poser sur elle-même, au cœur
d’une période trouble. En partant de l’intime, Joanna raconte l’universel.
L’histoire d’une reconstruction, ses hauts et ses bas, qui paraissent parfois
insurmontables : « Je me suis retrouvée face à moi-même, et j’ai dû sortir de
l’ombre pour rester en vie. C’est ce que raconte l’album : comment retrouver la
lumière par soi-même ».
Pour ce faire, elle est pour la première fois dans son parcours, pleinement
impliquée dans la composition et la production des titres. Après des années
passées à observer les autres, à y toucher, un peu, de loin, Joanna s’est
engouffrée dans les affres de la création musicale, afin de pouvoir prendre
toutes les décisions par elle-même. En résulte 14 morceaux aux productions
électroniques et acoustiques, parfois ultra-présentes et impérieuses, comme sur
“L’ORAGE N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI FORT”, mais aux mélodies qui savent aussi se faire
plus discrètes pour laisser la voix se déployer. C’est notamment le cas du
morceau “CE N’EST PAS SI GRAVE”, qui affirme le statut de vocaliste de Joanna,
tout en exorcisant ses traumatismes.
WHERE IS THE LIGHT ? est un parcours semé d’embûches, emblème de la résilience,
du lâcher prise et de l’acceptation. Il marque ainsi la renaissance d’une
artiste qui a su regarder au plus profond d’elle-même pour faire naître une
œuvre pleines de nuances, à écouter jusqu’à l’extase.
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/?lng=fr]
JOHAN DUPONT TRIO
On peut l’affirmer : le trio formé par le pianiste Johan Dupont, la bassiste Bo
Waterschoot et le batteur et percussionniste Stephan Pougin promet une soirée
riche en émotions.
Pianiste de formation classique, Johan Dupont a étudié la musique improvisée
avec Garett List au Conservatoire de Liège, et le jazz avec Eric Legnini au
Conservatoire Royal de Bruxelles. Improvisateur curieux et ludique, d’une
aisance jamais démonstrative, il a notamment accompagné le guitariste manouche
Samson Smith et les chanteuses lyriques Julie Mossay et Sarah Laulan.
Passée elle aussi par le Conservatoire Royal de Bruxelles et la classe de Michel
Hatzigeorgiou, puis par le prestigieux Musician Institute de Los Angeles, Bo
Waterschoot est une authentique surdouée de la basse sous toutes ses formes. On
a pu la voir accompagner des artistes aussi divers que Urban Trad, Sébastien
Duthoit, Bruno Castellucci ou Sophie Cavez, pour n’en citer que quelques-uns,
dans des répertoires allant du folk au contemporain en passant par le jazz, la
pop, le métal, le rock, et la musique brésilienne.
Ancien élève de la légende du jazz Billy Hart et de Georges-Elie Octors (qui
dirigea l’ensemble Musiques Nouvelles), Stephan Pougin est quant à lui un
percussionniste éclectique, rétif aux frontières musicales, ce dont témoigne une
carrière déjà riche de très nombreuses collaborations, de Tuur Floorizone à
Panta Rhei, de Steve Houben à Mikis Théodorakis, de la musique baroque au jazz,
ou du folk à la Bossa Nova.
On l’aura compris, ces trois-là ne sont pas de ceux que les mélanges et les
métissages effraient. Les compositions inclassables de Johan Dupont explorent,
avec délicatesse, un espace musical baigné d’enfance et de nostalgie, peuplé des
souvenirs doux-amers d’un paradis perdu, là où tout était possible, où rien ne
manquait. C’est bouleversant et lumineux. Il fallait bien trois artistes aussi
intrépides que sensibles pour se risquer sur pareil territoire.
Le concert accompagne la sortie du très attendu premier album du trio qui sort
sur le label Flak Records (distribution PIAS).
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be]
JEWEL USAIN
Qu’est-ce qu’il reste à faire après avoir fini le mode difficile d’un jeu ?
C’est la question à laquelle s’est confronté Jewel Usain après la sortie de son
dernier projet, “Mode Difficile”, en 2021. Sa réponse s’illustre dans un premier
véritable album de 17 titres, intitulé “Où les garçons grandissent”. Le jeune
garçon Jewel Usain a grandi à Argenteuil en banlieue parisienne. Passionné de
musique, il devient lui-même artiste, actif et présent sur la scène rap français
dès le milieu des années 2010. Son dernier projet lui a permis de s’inscrire
définitivement sur la carte. Il y évoquait la difficulté d’une vie salariée dont
il cherchait à s’échapper. Une autre époque.
Comme si la manette avait été rangée au fond d’un tiroir, “Où les garçons
grandissent” est une véritable mise à jour de la proposition artistique de Jewel
Usain. Porté par des arrangements de qualité et une narration solide, cette
oeuvre cohérente suit la démarche sincère d’un artiste en pleine évolution qui
nourrit l’ambition de s’installer sans rougir dans la pile de ces grands albums
de cette nouvelle génération de rap français. C’est notamment entre les mains de
Rémy Béseau, compositeur multi-talents présent sur la majorité de l’album, que
la couleur musicale qu’il souhaitait s’est illustrée. Loin de s’en tenir au rap
qu’il maîtrise parfaitement, Jewel Usain s’essaie avec brio sur des terrains qui
nécessitent précision et sensibilité : où on le découvre aussi à l’aise sur des
couleurs neo-soul et R&B que sur des véritables harmonies de gospel. À ses
côtés, c’est naturellement que se croisent les voix de MC élégants comme Prince
Waly, Tuerie ou le chanteur HEDGES.
“Où les garçons grandissent”, c’est l’album d’une confirmation : celle du talent
de Jewel Usain. Il y fait autant briller sa rage et son esprit de revanche, que
ses réflexions et ses émotions. Après avoir traversé le mode difficile, il
s’installe dans un mode plus serein, et propose avec cet album une musique avec
laquelle son public est voué non seulement à grandir aussi, mais surtout, à
s’agrandir.
FERDI
Ferdi est un artiste saxophoniste, figure montante de la scène
Bruxello-Parisienne ces dernières années il habite dans la capitale Belge et est
originaire de France. Après un parcours de 15 années de conservatoire, il décide
de s’intéresser à la production, devient très vite un acteur de la scène
actuelle et lance son projet solo. Sa carrière sur la scène moderne commence
avec le rappeur Peet, et très vite il collabore avec d’autres artistes tel que
le pianiste Sofiane Pamart, le roi de la funk Dabeull ou encore son ami
trompettiste Béesau. Après un premier EP solo « Val Duchesse » très bien reçu
par la critique, il décide de collaborer avec Dabeull sur un album à la
frontière entre leur deux univers. Cette rencontre musicale devient très vite
une évidence, dont on peut se délecter sur l’album “Romance” paru le 8
septembre.
* https://www.instagram.com/ferdileem/
UHODA JAZZ À LIÈGE PRÉSENTE
SNARKY PUPPY
Après plus d’une décennie de tournées incessantes et d’enregistrements dans
l’obscurité la plus totale, le quasi-collectif originaire du Texas s’est soudain
retrouvé considéré par la presse et le public comme l’une des figures majeures
du monde du jazz. Mais comme l’indiquent les noms des catégories dans lesquelles
le groupe a reçu ses cinq Grammy® Awards (meilleure performance R&B en 2014,
meilleur album instrumental contemporain en 2016, 2017, 2021 et 2023), Snarky
Puppy n’est pas exactement un groupe de jazz. Ce n’est pas un groupe de fusion,
et ce n’est certainement pas un groupe de jam. Il est probablement préférable de
suivre le conseil de Nate Chinen du New York Times, tel qu’énoncé dans une
discussion en ligne sur le groupe, de “les prendre pour ce qu’ils sont, plutôt
que de les juger pour ce qu’ils ne sont pas”.
Snarky Puppy est une sorte de collectif qui compte jusqu’à 20 membres en
rotation régulière. À la base, le groupe représente la convergence de la culture
musicale américaine noire et blanche avec divers accents du monde entier. La
caractéristique principale de la musique de Snarky Puppy est la joie de jouer
ensemble dans un effort perpétuel de développement créatif.
Snarky Puppy a toujours été un groupe qui donne la priorité au son de la
musique. Notre règle est que le son ne doit pas être le même qu’avant”, commente
League, qui poursuit : “la musique doit donner l’impression d’aller quelque
part.
Et il s’est déplacé quelque part, c’est certain. L’Empire Central World Tour,
qui a débuté aux États-Unis en avril 2022, a emmené le groupe dans 30 États
américains et 33 pays à travers le monde. C’est incroyable, mais pas du tout
surprenant, le chemin parcouru par Snarky Puppy depuis que dix amis se sont
réunis à l’université de North Texas en 2004. Cela soulève également la question
suivante : quelle sera la prochaine étape pour Snarky Puppy ? Pour les fans de
Snarky Puppy, la réponse à cette question est une perspective très excitante.
Line-up :
Michael League
Nate Werth
Bob Lanzetti
Larnell Lewis
Justin Stanton
Bobby Sparks
Maz Maher
Chris Bullock
Jay Jennings
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/]
HENRI TEXIER SEPTET
L’Indien des Batignolles
En titrant de manière explicite son nouvel album “An Indian’s Life”, le
contrebassiste et compositeur Henri Texier vient clôturer en beauté une sorte de
triptyque phonographique informel débuté en 1993 avec “An Indian’s Week” et
poursuivi en 2016 avec “Sky Dancers” faisant de la cause amérindienne et
au-delà, de la figure quasi-mythologique de l’Indien, à la fois la matrice
imaginaire et le moteur poétique de son geste artistique.
Titrant la plupart de ses compositions de noms de tribus indiennes (Hopi,
Comanche, Mapuche, Navajo Dream…), et contrairement au disque précédent, plaçant
parfois au cœur de ses arrangements quelques éléments entrant en résonance avec
les musiques amérindiennes (l’usage des tambours dans Dakota Mab notamment),
Texier parvint dans cette oeuvre engagée, d’une grande force expressive, à
considérablement renouveler son discours orchestral. Henri Texier ne sera jamais
un Indien, il le sait, tout comme il ne sera jamais Charles Mingus mais l’un et
l’autre se rencontrent dans sa musique et c’est tout son génie que de faire
entendre sa voix la plus intime à travers ce dialogue imaginaire. La légende du
jazz européen vous fera partager en sextet sa musique inspirée de voyages, de
rêveries et d’engagement !
Henri Texier (Contrebasse ) Sébastien Texier (Sax, Clarinette) Carlo Nardozza
(Trompette) Manu Codjia (Guitare) Gautier Garrigue (Batterie)
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be]
MAKAYA MCCRAVEN
Le batteur, producteur et collagiste sonore Makaya McCraven est actuellement
l’un des artistes les plus demandés de Chicago, dont le processus inventif et le
style intuitif et cinématique défient toute catégorisation. Considéré comme un
véritable innovateur, McCraven passe brillamment d’un genre à l’autre et
repousse les limites du jazz, de l’électronique, de la composition et du rythme
pour créer des formes qui lui sont propres.
Son album In the Moment est sorti chez International Anthem Recording en janvier
2015 et a rapidement été perçu comme une déclaration spectaculaire de McCraven,
où il a lancé une marque unique de “musique rythmique organique” qui l’a
rapidement propulsé à l’avant-garde non seulement des artistes de jazz de
renommée internationale, mais aussi d’un genre de niche de
compositeurs-producteurs de la nouvelle vague qui brouillent les frontières du
jazz et de la musique électronique. Après ses débuts impressionnants, McCraven a
enchaîné les sorties incroyables, notamment Universal Beings (International
Anthem) en 2018 et We’re New Again, sa relecture du dernier album de Gil
Scott-Heron pour XL Recordings. McCraven a récemment publié Deciphering the
Message – une collection de 13 morceaux issus du vaste catalogue de Blue Note
Records, réarrangés et remixés avec le nouveau son. L’album est sorti en octobre
2021 chez Blue Note Records.
In These Times est le nouvel et septième (!) album (sorti le 23 septembre 2022)
de la collaboration entre International Anthem, Nonesuch et XL Recordings. In
These Times comprend plusieurs invités de marque, notamment le guitariste Jeff
Parker, la harpiste Brandee Younger et Macie Stewart d’Ohmme. Junius Paul, Marta
Sofia Honer et Lia Kohl font également partie de ceux qui rejoignent le
percussionniste de Chicago.
Percussions hip-hop, musique de machines et cordes somptueuses rivalisent avec
un jazz pur et dur dans le dernier album du batteur-producteur américain – The
Guardian
Makaya McCraven (drums)
Marquis Hill (trumpet)
Junius Paul (bass)
Matt Gold (guitar)
IFE OGUNJOBI
Ife Ogunjobi est un musicien londonien né de parents nigérians dont la musique
est un amalgame des sons qui l’ont entouré. Ayant grandi dans le sud-est de
Londres, son environnement a enrichi sa musique de divers genres tels que le
jazz, l’afrobeat et le hip-hop. Influencé par Fela Kuti, Erykah Badu et Roy
Hargrove, son concept musical élimine les barrières entre les différents genres
de musique et dépeint un son authentique.
Le premier EP d’Ife, “Stay True”, sorti le 14 septembre 2023, témoigne de son
authenticité et de sa fidélité à ses racines et à son éducation. Il mélange les
influences Fuji et Afrobeats de son héritage nigérian avec des éléments de Jazz
et de Hip Hop qui ont influencé son éducation londonienne. Cet EP vibrant et
dynamique est enraciné dans le fait d’être soi-même de manière inconditionnelle,
à travers des mélodies triomphantes et exaltantes, des grooves revigorants, des
solos virtuoses et des rythmes irrésistibles.
Contributeur essentiel de la scène londonienne, Ife est un cinquième du groupe
Ezra Collective, qui a remporté le Mercury Prize 2023 pour son album “Where I’m
Meant to Be”. En plus des tournées et des enregistrements avec Ezra Collective,
il s’est également produit dans des stades à guichets fermés, comme le Madison
Square Garden, avec des artistes tels que Wizkid et Burna Boy.
À l’occasion du Uhoda Jazz à Liège Festival [https://www.jazzaliege.be]
KAMAAL WILLIAMS
Kamaal Williams aka Henry Wu revient avec son troisième album solo sur Black
Focus. Le virtuose polymathe du sud de Londres réalise un tour de force
multidisciplinaire, traversant les mondes du jazz, de la musique classique, de
l’électronique, de l’art et du design.
Lineup :
Kamaal Williams : Keyboards
Brian Hargrove : Bass Keyboards
Preston “Peezy” Stephens : Drums, Loops
TENDERLONIOUS
Boss du label 22a , flûtiste, saxophoniste, producteur et DJ, Ed ‘Tenderlonious’
Cawthorne est considéré comme l’une des figures de proue du jazz londonien et de
la scène underground. Son label 22a, basé dans le sud de Londres, est l’un des
labels indépendants plus respectés au Royaume-Uni à la suite d’une succession de
sorties recherchées du jazz, de la house, du hip hop, de la soul, du garage, de
la classique indienne et de la jungle. Il a assez de travail à lui seul, donc
quiconque creuse un peu plus profondément le saura, Tenderlonious a amassé un
arsenal de sorties qui transcendent le Royaume-Uni. Il est le fondateur et le
leader du quatuor de jazz-funk-fusion Ruby Rushton, qui est le premier L’album «
Two For Joy », de 2015, est souvent crédité d’avoir inspiré la résurgence du
jazz britannique.
Son premier album live ‘Tenderlonious The Shakedown’ est considéré comme l’un
des meilleurs albums classiques de l’ère du jazz moderne, recevant des critiques
élogieuses et recevant plus de 5 millions de streams dans le monde. Il a
également prouvé qu’il était l’un des musiciens les plus polyvalents et
avant-gardistes dans le monde, en collaboration avec le groupe de jazz polonais
EABS, Le musicien et producteur italien Lorenzo Morresi à propos de son album de
2022 « Cosmica Italiana » et pour sa célèbre collaboration avec le groupe
pakistanais Jaubi qui a suscité des critiques élogieuses de la part de The
Guardian, Pitchfork, Dowbeat pour n’en nommer que quelques-uns, et qui ont en
outre conduit à des spectacles en tête d’affiche à l’Union Chapel de Londres et
des festivals dans le monde entier. En 2023, il reviendra avec un nouvel album
live et un spectacle live, mettant en vedette certains de ses musiciens et
collaborateurs préférés. Il a également des projets à venir en 2023 avec Jaubi,
Nick Walters, Joel Holmes, l’ensemble Spirit Of Sundaze et Lorenzo Morresi.
* https://www.instagram.com/tender22a/
* https://www.youtube.com/channel/UCpMXmIlM6GNh6vARbjRffZQ
A l’occasion du Uhoda Jazz à Liège [https://jazzaliege.be/]
SHABAKA
Le travail de Shabaka transcende les notions conventionnelles de genre et
s’inspire d’une vaste palette d’influences culturelles. S’il est indéniablement
une voix pionnière dans la renaissance du jazz britannique, son champ d’action
est bien plus large : Il a également interprété des concertos classiques avec
des orchestres de renommée mondiale, dirigé plusieurs groupes extrêmement
influents (Sons of Kemet, The Comet is Coming, Shabaka and The Ancestors) et a
récemment sorti un album solo salué par la critique, Afrikan Culture, une œuvre
d’une beauté et d’une urgence exceptionnelles, axée sur l’instrument d’Asie
orientale, le Shakuhachi, dont Shabaka est l’un des principaux interprètes.