Le musée Albert Kahn explore la passion du philanthrope pour ses jardins, avec
l'exposition photo Natures vivantes, à découvrir du 30 avril au 31 décembre
2024.
En 1912, le riche philanthrope Albert Kahn lance un grand projet : il souhaite
créer « une sorte d’inventaire photographique de la surface du globe, occupée et
aménagée par l’homme, telle qu’elle se présente au début du XXe siècle ». Il
emploie donc différents photographes, chargés d'immortaliser le monde tel qu'il
est au XXe siècle. Un projet ambitieux, qui a permis la création d'une banque
d'images phénoménale, et unique en son genre.
Amoureux de la nature, Albert Kahn accorde un intérêt particulier au monde
végétal, et notamment à ses jardins. Ainsi, plusieurs centaines de
photographies, d'images et de films ont pour sujets cet écosystème particulier.
Dans une grande exposition, rassemblant près de 200 photographies, documents
d'archives, films et œuvres contemporaines, le musée Albert Kahn nous propose
donc une balade, à la découverte de ces images qui nous plongent dans des
"Natures vivantes". Du 30 avril au 31 décembre 2024, on peut admirer des œuvres
anciennes ou modernes, qui mettent en avant la nature et les jardins du musée.
Les "archives de la planète" voulues par Albert Kahn avaient pour objectif
d'immortaliser le monde et ses richesses. Ces photographies - des autochromes en
couleurs - ont eu un effet inattendu : loin de figer une fois pour toutes ces
paysages, les images montrent au contraire l'évolution constante de la nature.
Cette "vie" ressort dans les clichés, qui prennent un soin particulier à montrer
chaque détail de ces petits univers végétaux.
Les artistes missionnés par Albert Kahn ont également pu expérimenter avec la
photographie et la vidéo, créant des œuvres uniques et insolites, dont certaines
sont exposées pour la première fois à cette occasion.
L'exposition n'est donc pas un simple parcours photographique : on peut y voir
des documents singuliers, à la frontière entre arts, sciences et poésie. De
plus, des artistes contemporains se joignent à l'exposition, pour apporter leur
propre regard sur cette collection, et sur la nature à l'origine de ce projet.
Une scénographie spéciale souhaite recréer un jardin imaginaire, pour prolonger
les photographies et les œuvres. Des documents sonores et visuels, des
explications historiques et pédagogiques, des espaces interactifs permettent aux
visiteurs d'en apprendre plus sur la collection Albert Kahn, sur les différentes
plantes retrouvées dans les jardins, et sur les techniques de timelapse et
d'autochrome.
Une exposition pour tous les amoureux de la nature, et les passionnés de l'œuvre
d'Albert Kahn !
Julie Manet
14december 2021
-11februari 2021
musée Marmottan Monet
Musée Marmottan Monet, 2 rue Louis Boilly, Paris, 75016, France
Description
ATTENTION ! Aucun retrait des billets coupe-file n'est possible au musée. Le retrait s'effectue dans les magasins du réseau. Gratuit pour les moins de 7 ans et les personnes handicapées. Les billets gratuits sont à prendre sur place exclusivement. Le billet permet l'accès à l'ensemble des espaces du musée : salles des collections permanentes (Monet, Morisot, Impressionnistes, Empire Marmottan), et aux expositions temporaires. Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h Nocturnes le jeudi jusqu'à 21h, dernière admission à 20h. JULIE MANET LA MÉMOIRE IMPRESSIONNISTE Du 19 octobre 2021 au 20 mars 2022 Le musée Marmottan Monet organise la première exposition jamais consacrée à Julie Manet, fille unique de Berthe Morisot et nièce d'Edouard Manet. Intitulée « Julie Manet, la mémoire impressionniste » elle aura lieu du 19 octobre 2021 au 20 mars 2022. Légataire de Julie Manet par l'intermédiaire de ses enfants, dépositaire du premier fonds mondial de l'œuvre de Berthe Morisot mais aussi des collections de la famille, le musée Marmottan Monet souhaite apporter un éclairage sur le rôle de Julie Manet dans la vie des arts.
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Standard - 10,50 €
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Que deviennent les bâtiments olympiques une fois les Jeux terminés ? La Maison
de la culture du Japon nous propose un voyage sur les traces de ces
infrastructures monumentales, avec l'exposition Kenzo Tange - Kengo Kuma,
l'héritage des Jeux de Tokyo, à voir du 2 mai au 29 juin 2024.
Pendant plusieurs semaines, les villes-hôtes des Jeux olympiques et
paralympiques vivent au rythme du sport, des célébrations, des touristes venus
en masse encourager leurs athlètes. Mais lorsque toutes les médailles ont été
distribuées, que reste-t-il de ces si grands événements ?
La Maison de la culture du Japon met en lumière le travail des architectes Kenzo
Tange et Kengo Kuma, les deux maîtres derrière les infrastructures sportives
construites pour les Jeux olympiques de Tokyo de 1964 et 2021. L'exposition
"L'héritage des Jeux de Tokyo" révèle les secrets de ces grands bâtiments, qui
commémorent les Jeux et accueillent les sportifs de demain.
Cette exposition, présentée du 2 mai au 29 juin 2024, mêle photographies, vidéo
et maquettes. On découvre ainsi ces infrastructures si spécifiques, qui ont
influencé l'architecture japonaise moderne, et on donné un nouveau visage aux
quartiers qu'elles ornent.
La Maison de la culture du Japon évoque également les liens que les deux
architectes entretiennent avec la France : les relations avec Le Corbusier et
Charlotte Perriand, le projet de Kengo Kuma pour la gare Saint-Denis Pleyel sont
illustrés à travers de nombreuses images, maquettes, photos et lettres.
À la veille des Jeux de Paris 2024, venez admirer le travail des deux
architectes qui ont œuvré pour les Jeux de Tokyo, et dont l'héritage est
aujourd'hui encore admiré. Une exposition gratuite à découvrir cet été à la
Maison de la culture du Japon !
Le Musée Maillol à Paris consacre une exposition inédite au photographe Andres
Serrano du 30 avril au 13 octobre 2024.
La photo comme vous ne l'avez jamais vue ! Le Musée Maillol à Paris, en
partenariat avec l'agence Tempora, vous invite à découvrir une exposition
consacrée à Andres Serrano, un artiste qui transcende le cadre de la
photographie traditionnelle, du 30 avril au 13 octobre 2024. À travers cette
exposition, Andres Serrano, qui se définit comme un "artiste avec un appareil
photo", offre un regard sans concession sur des thèmes tels que la religion, la
politique, et les clivages sociaux qui animent l'Amérique d'aujourd'hui.
Andres Serrano, maître dans l'art du portrait, mélange la culture classique,
particulièrement la peinture ancienne, avec les éléments de la pop culture
moderne pour créer des œuvres uniques. Ses photographies, bien que parfois
controversées, sont une réflexion sur l'individu contemporain et les
contradictions de la société américaine. L'exposition met en lumière cette
dualité, illustrée notamment par le phénomène Donald Trump, qui est devenu à la
fois un symptôme et un emblème de cette société schizophrène. L'œuvre de
Serrano, par sa nature souvent provocatrice, invite le spectateur à un
questionnement profond sur les tabous d'une Amérique puritaine.
Le Musée Maillol propose donc une exposition particulièrement révélatrice, avec
plus de 100 clichés emblématiques d'Andres Serrano. L'occasion pour les
visiteurs de découvrir des œuvres qui ont parfois suscité le débat et même le
vandalisme. Certaines pièces, considérées comme choquantes, seront présentées
dans un espace dédié, permettant ainsi une exploration complète et sans censure
de l'œuvre de l'artiste. Ne vous reste plus qu'à y faire un tour !
Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une
quarantaine de tableaux photographiques inédits créés depuis 2020.
Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la notion de
tableau, à travers un
procédé nouveau qui deviendra sa marque de fabrique : le tressage pictural.
Cependant, dès la fin des années 1980, il se tourne vers la photographique, un
procédé qu'il explore et détourne sans relâche depuis 25 ans, en parallèle de
son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.
Célèbre pour ses toiles tressées, l'artiste Fran?ois Rouan expose cette fois-ci
à la galerie Templon une quarantaine de tableaux photographiques inédits créés
depuis 2020. Pendant près de 40 ans, Rouan s'attache à la déconstruction de la
notion de tableau, à travers un procédé nouveau qui deviendra sa marque de
fabrique : le tressage pictural. Cependant, dès la fin des années 1980, il se
tourne vers la photographique, un procédé qu'il explore et détourne sans relâche
depuis 25 ans, en parallèle de son travail de peintre.
L'exposition déploie une série d'oeuvres photographiques de petit format. Fruits
d'une insatiable expérimentation et exploration d'un medium insaisissable, les
clichés retravaillés se déclinent autour d'une palette volontairement
dépouillée. Tout en retenue, le noir et blanc se marie de temps à autre avec des
nuances corail ou saumon. Cette apparente simplicité chromatique laisse ainsi la
part belle à quelques-uns des questionnements métaphysiques et obsessionnels de
l'artiste : l'image du corps et le mystère de l'origine du monde. « Je suis
intéressée par l'idée de construire un cadre qui parle du corps féminin »
explique Fran?ois Rouan.
Découvrez l'œuvre magistrale de Matisse, l'Atelier rouge, dans une exposition
inédite en France, présentée à la Fondation Louis Vuitton du 7 mai au 9
septembre 2024.
C'est une œuvre exceptionnelle, qui a marqué des générations d'artistes :
L'Atelier rouge, tableau d'Henri Matisse, est au cœur de l'exposition présentée
à la Fondation Louis Vuitton, du 7 mai au 9 septembre 2024. Cette exposition
décrypte les secrets de cette peinture originale, les raisons de son succès, son
histoire, et le contexte artistique qui l'entoure.
En 1911, dans son atelier d'Issy-les-Moulineaux, Henri Matisse peint son espace
de travail sur une toile. Un sujet banal pour un artiste... Jusqu'à ce que
Matisse y ajoute sa touche personnelle : une couche de peinture rouge, qui
recouvre tout le sujet. Un détail qui a marqué toute la peinture moderne.
Pour cette exposition, la Fondation Louis Vuitton expose donc le célèbre
tableau, habituellement conservé au MoMa de New York. L'exposition dévoile
également les six peintures, les trois sculptures et la céramique qui sont
représentées dans le tableau, et qui étaient présentes dans l'atelier du peintre
au moment de la réalisation de cet Atelier rouge. Ainsi, toutes ces œuvres sont
réunies, comme du temps de l'artiste.
Le parcours de l'exposition met également en lumière différentes œuvres liées à
ce tableau, de nombreuses photographies et des documents d'archives, qui
racontent le contexte de création de la peinture, son histoire de son origine à
son achat par le MoMa, et son influence sur la peinture moderne, et sur des
artistes tels que Mark Rothko ou Ellsworth Kelly. Un film explique, en fin de
parcours, les dernières découvertes scientifiques liées au processus de
réalisation du tableau de Matisse.
Dans l'exposition, un dialogue particulier a été créé entre l'Atelier rouge, et
le Grand Intérieur rouge, réalisé 40 ans plus tard. Les deux peintures de
Matisse symbolisent l'univers de l'artiste, son évolution, l'impact que les
grands événements du XXe siècle ont pu avoir sur le peintre et son œuvre.
Venez à la Fondation Louis Vuitton admirer l'un des tableaux les plus importants
de la carrière d'Henri Matisse.
Nouvelle exposition gratuite à découvrir dans le hall d’accueil de la Maison de
la culture du Japon à Paris, du 7 mai au 1er juin 2024. Une fois encore, le
centre culturel nippon nous invite à partir en voyage grâce aux photographies de
Junji Takasago, qui rendent hommage à la beauté de la nature !
La Maison de la culture du Japon à Paris continue de nous faire voyager grâce à
sa belle et riche programmation. Outre les ateliers, les spectacles ou encore
les projections, le centre culturel nippon organise tout au long de l’année une
série d’expositions payantes ou même souvent accessibles gratuitement. A
découvrir au premier niveau de l’établissement implanté à deux pas du pont de
Bir-Hakeim et de la tour Eiffel, certaines installations sont également
proposées au rez-de-chaussée, dans le hall d’accueil de la Maison de la culture
du Japon.
C’est le cas de la prochaine exposition du centre. Intitulée « Reflets de la
nature », cette installation est une invitation au voyage, à la découverte de la
belle et riche nature, grâce aux sublimes photographies de Junji Takasago.
C’est avec la photographie sous-marine que Junji Takasago débute sa carrière. Il
rencontre alors le célèbre apnéiste Jacques Mayol, qui a inspiré le film "Le
Grand Bleu" de Luc Besson. Junji Takasago immortalisera d’ailleurs des moments
de Jacques Mayol en contact avec les animaux.
Son expérience se poursuit avec plusieurs séjours effectués à Hawaï et aux
États-Unis en quête des arcs-en-ciel de nuit. Amoureux de la nature qui nous
entoure et des animaux qui peuplent notre planète, Junji Takasago est devenu un
photographe reconnu et très influent dans le domaine.
Le photographe, qui a visité plus de cent pays, publié une trentaine de recueils
de photos et d’essais, exposé ses clichés à de nombreuses reprises, est
également un artiste engagé, membre fondateur de l’association Oceanic Wildlife
Society (OWS). Preuve de sa renommée, Junji Takasago a reçu en 2022 le
prestigieux prix « Wildlife Photographer of the Year » dans la catégorie « Art
de la nature ».
Ce printemps, le photographe Junji Takasago expose donc ses fascinants clichés
dans le hall d’accueil de la Maison de la culture du Japon pendant environ
quatre semaines, du 7 mai au 1er juin 2024. Ne manquez pas l’occasion d’admirer
la beauté de la nature et de notre belle planète grâce aux clichés de Junji
Takasago !
A noter que le photographe sera présent à la Maison de la culture du Japon lors
d’une conférence exclusive (gratuite sur réservation) prévue le 14 mai. Il
présentera à cette occasion quelques-uns de ses clichés les plus célèbres et
partagera plusieurs anecdotes.
Par l'épée ou par la plume, Victor Hugo a mené plusieurs combats. Découvrez-les
dans l'exposition Victor Hugo s'escrime, présentée du 30 avril au 15 septembre
2024 dans la maison de l'écrivain, place des Vosges à Paris.
Sans conteste, Victor Hugo est l'une des plus grandes figures françaises du XIXe
siècle : il s'est illustré autant par ses œuvres que par ses engagements. La
Maison de Victor Hugo nous propose de redécouvrir ces différents
accomplissements, par le biais du combat et du duel.
Le musée parisien nous invite à venir admirer l'exposition Victor Hugo
s'escrime, du 30 avril au 15 septembre 2024. Une exposition sur le thème du
duel, illustrée par les nombreuses œuvres de l'écrivain, mais aussi par des
documents et objets d'époque, comme la célèbre photographie montrant Victor et
son fils Charles, en plein combat d'escrime.
Si on ne connaît pas de talent particulier pour l'escrime à Victor Hugo, sa
verve et sa plume, elles, étaient bien redoutées. Littérature et politique se
mélangent et se retrouvent dans les combats menés par l'auteur français. De
fait, ses œuvres servent bien souvent de support à ses idées et ses idéaux, et
ses personnages se retrouvent à défendre les valeurs et les croyances de leur
créateur.
Ainsi, l'exposition évoque Ruy Blas ou La Légende des Siècles, des œuvres
incontournables où le duel joue un rôle symbolique important. Faibles contre
forts, équité sociale, justice et injustice des Hommes, fraternité : les idéaux
de l'écrivain sont mis en scène dans ces combats littéraires, qui font écho aux
problèmes politiques de son époque.
Explorez ce thème fascinant, et (re)découvrez Victor Hugo et ses engagements,
dans cette exposition inédite.
Le salon d’art contemporain du Secours populaire, Solid’Art, revient pour une
3ème édition au Carreau du Temple à Paris. Du 2 au 5 mai, 110 artistes exposent
et vendent leurs œuvres dans une démarche solidaire au profit de l’association.
La 3ème édition de « Solid’Art Paris », salon d’art contemporain du Secours
populaire, se tient du 2 au 5 mai 2024 au Carreau du Temple dans le quartier du
Marais, sur 1 800 m² d’exposition.
Durant 4 jours, 110 artistes (peintres, sculpteurs, photographes,
street-artistes…) seront présents pour collecter des dons pour l'association. Le
parrain de cette nouvelle édition n'est autre que Hom Nguyen, artiste
franco-vietnamien de renommée internationale.
Les fonds récoltés seront convertis en « journées vacances offertes » afin de
faire partir un maximum d’enfants cet été. Encore aujourd’hui, 1 enfant sur 3 ne
part pas en vacances. Par ailleurs, cette année et dans le cadre des JO Paris
2024, une partie des fonds collectés sur le salon seront convertis en « billets
solidaires » offerts aux enfants accompagnés par le Secours populaire de Paris.
L'entrée à l'événement est gratuite. De nombreux temps forts, animés par des
artistes, sont proposés durant l'événement pour apporter une dimension ludique
et interactive aux visiteurs. Venez pousser la porte du Carreau du temple !
Jusqu'au 7 mai 2023, la célèbre comédie musicale Le Roi Lion fait danser la
scène du théâtre Mogador à Paris. Des personnages attachants, des chansons
inoubliables... Un spectacle à partager avec toute la famille !