Musée Cernuschi

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Du 19 mars au 9 juin 2024, la salle Peinture du musée Cernuschi à Paris expose une sélection d’œuvres contemporaines issue de son fonds de gravures coréennes. L’occasion d’en apprendre davantage sur cet art graphique. Bien connu des amoureux d’arts asiatiques, le musée Cernuschi dévoile chaque année de très belles expositions. Dernièrement, le sublime musée nichée en bordure du Parc Monceau a par exemple mis à l’honneur l’encre en mouvement, puis le travail du Coréen Kim Tschang-Yeul ou encore des photographies du Japon réalisées par Felice Beato (1832-1909). Ce printemps, le musée Cernuschi expose les estampes japonaises issues de la collection Jean et Yvonne Tavernier à l’occasion de l’installation « Reflets du Japon au tournant de la modernité ». Mais ce n’est pas tout, puisque le musée parisien lève également le voile sur son nouvel accrochage d'arts graphiques en exposant des gravures contemporaines coréennes. À découvrir gratuitement du 19 mars au 9 juin 2024 au sein de la salle Peinture, cette installation présente une sélection d’œuvres contemporaines issue du fonds de gravures coréennes du musée. L’occasion pour les experts et les novices de découvrir cet art graphique souvent perçu comme une forme de création ancienne. Ce printemps, le Musée Cernuschi a donc décidé de mettre à l’honneur ce domaine réinvesti par des plasticiens pour en faire un champ artistique à part entière, dévoilant à chaque fois des techniques et des styles différents et d’une grande richesse. À noter que cette sélection d’œuvres de gravures contemporaines coréennes sera enrichie d’autres estampes issues des collections du musée, et sera exposée par roulement dans la salle dédiée aux arts graphiques du parcours permanent. Pour les découvrir, rendez-vous donc au musée Cernuschi du 19 mars au 9 juin 2024 et profitez de cet accrochage gratuit pour en apprendre davantage sur ce sublime art graphique qu'est la gravure !
Les estampes japonaises issues de la collection Jean et Yvonne Tavernier s’exposent au musée Cernuschi à Paris à l’occasion de l’installation « Reflets du Japon au tournant de la modernité ». C’est à découvrir gratuitement du 26 mars au 9 juin 2024. Avis aux amateurs d’estampes japonaises ! Le musée Cernuschi, sublime lieu culturel niché en bordure du Parc Monceau, expose pendant un peu plus de deux mois une sélection d'estampes japonaises issues de la collection Jean et Yvonne Tavernier. Cette belle collection, mettant à l’honneur deux mouvements majeurs de l’estampe japonaise - l’ukiyo-e et le Shin hanga - a été léguée au musée par le fils du couple, Paul. Pour la petite histoire, c’est entre 1937 et 1946 que Jean et Yvonne Tavernier constituent leur collection d’art asiatique, dédiée aux arts graphiques. A l’époque, le couple réside alors à Shanghai. Grâce à ce legs, le musée Cernuschi dispose désormais d’un fonds d’estampes Shin hanga ; un courant où l'on retrouve notamment de grandes figures comme Yoshida Hiroshi, Kawase Hasui et Ohara Koson. A découvrir gratuitement du 26 mars au 9 juin 2024, cette exposition intitulée « Reflets du Japon au tournant de la modernité » est donc l’occasion de remonter le temps et d’évoquer le passage du XIXe au XXe siècle au Japon à travers ces estampes japonaises présentées pour la première fois au public. Dévoilées au sein de l’espace d’exposition temporaire du musée Cernuschi, ces œuvres reflètent les évolutions de l’art de l’estampe, sur le plan esthétique, comme sur le plan technique. La première partie de l’exposition « Reflets du Japon au tournant de la modernité » est consacrée aux estampes ukiyo-e, nées à l’époque d’Edo (1603-1868). L’art de ces estampes reflète les plaisirs et les divertissements raffinés de la bourgeoisie citadine, comme en témoignent celles de Kunisada (1786-1865) ou Kuniyoshi (1797-1861). Le musée Cernuschi annonce également, pour ce premier espace d’exposition, une sélection de triptyques restaurés pour l’occasion ainsi que des albums d’estampes, « très rarement exposés en raison de leur fragilité » précise le musée. Dans la deuxième partie, l’installation s’intéresse au mouvement Shin hanga, avec l'exposition d'estampes modernes. Celles-ci évoquent deux thèmes majeurs, les fleurs et oiseaux (kachō-ga) et les paysages (fūkei-ga). Le visiteur pourra notamment admirer des œuvres de Yoshida Hiroshi (1876-1950), Itō Shinsui (1898-1972) et Kawase Hasui (1883-1957), exposées dans la dernière section de l’exposition. Pour découvrir ces estampes japonaises issues de la collection Jean et Yvonne Tavernier, alors direction le musée Cernuschi du 26 mars au 9 juin 2024.

Past events

A l'occasion du Nouvel An lunaire et notamment chinois, le Musée Cernischi propose des animations gratuites pour les familles, ces samedi 10 et dimanche 11 février 2024. Et si on en profitait ? À l'occasion du Nouvel An lunaire, et plus particulièrement du Nouvel An chinois, le Musée Cernuschi nous invite à un week-end exceptionnel d'animations gratuites. Ces 10 et 11 février 2024, préparez-vous à plonger au cœur des traditions asiatiques dans un cadre somptueux, situé à deux pas du Parc Monceau, dans le prestigieux VIIIème arrondissement de Paris. En tant que musée des arts de l'Asie de la ville de Paris, le Musée Cernuschi se démarque par sa collection impressionnante d'œuvres d'art de l'Extrême-Orient, exposées dans un magnifique hôtel particulier. Le programme de ce week-end festif est spécialement conçu pour les familles. Le samedi et le dimanche, dès 11h et 14h, les enfants sont invités à l'atelier « Dessine un dragon ! » Inspirés par la frise des dragons de la salle du Bouddha, ils auront l'opportunité de s'initier au dessin et de créer leur propre dragon, dans la magie de l'art asiatique. Cet atelier gratuit, d'une durée de 15 minutes, se déroulera sur la mezzanine, dans la salle Kwok (Salle du Bouddha), sans nécessité de réservation, dans la limite des places disponibles. Le clou du spectacle sera sans doute le théâtre de marionnettes dédié à l'histoire du Singe Blanc Sun Wu Kong, un personnage emblématique de la culture populaire chinoise. Présenté en partenariat avec le Théâtre du Petit Miroir, ce spectacle se tiendra également dans la salle Kwok, offrant aux petits comme aux grands une plongée fascinante dans les aventures de ce héros à la fois arrogant, drôle, et rusé. Les représentations auront lieu à 16h, le samedi et le dimanche, pour une durée de 50 minutes. L'accès est gratuit, sans réservation préalable, mais l'âge minimum requis est de 7 ans. Ce week-end dédié au Nouvel An lunaire au Musée Cernuschi est une opportunité unique de découvrir ou redécouvrir les richesses culturelles de l'Asie, au travers d'animations captivantes et accessibles à tous. Que vous soyez passionnés par l'art asiatique, curieux de participer à des traditions séculaires, ou simplement à la recherche d'une activité familiale enrichissante, ce rendez-vous est fait pour vous. Ne manquez pas cette célébration exceptionnelle du Nouvel An lunaire, un moment de partage et de découverte au cœur de Paris. Bref, voilà de quoi profiter de belles animations gratuites avec les petits durant le week-end ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Amateurs d'art asiatique, venez suivre les pas du célèbre collectionneur Henri Cernuschi, qui a donné son nom au musée, et découvrez son voyage en Extrême-Orient, pour le 150e anniversaire de son retour d'Asie, du 6 octobre 2023 au 4 février 2024. Si vous appréciez particulièrement déambuler dans les allées du Musée Cernuschi, cette nouvelle exposition temporaire qui prend place du 6 octobre 2023 au 4 février 2024 est faite pour vous ! Elle célèbre le 150e anniversaire du retour d'Asie d'Henri Cernuschi, le célèbre collectionneur, avant qu'il ne créé l'un des tout premiers musées d'art asiatique dans la capitale. À travers ce parcours d'exposition, vous suivrez sa trace durant son voyage en Asie, entre Japon, Chine, Indonésie, Sri Lanka et Inde, puis son retour à Paris et enfin la mise en place des collections du musée ! Une exposition qui s'annonce dépaysante, en suivant l'itinéraire du voyageur dont la passion pour l'Asie fit éclater dans la capitale le japonisme, la découverte de l'art japonais par les Occidentaux. Ses découvertes en Extrême-Orient et les acquisitions obtenues pendant son long voyage ont permis de constituer l'une des plus importantes collections européennes d'arts de l'Asie. Entre 1871 à 1873, près de 5000 œuvres d’art ont été ramenées par les mers jusqu'à la capitale, de précieux chargements faits de bronzes, céramiques, peintures, estampes, objets en bois laqué et sculpté, photographies ou encore livres illustrés exceptionnels. De telles œuvres n'ont pas manqué de fasciner les curieux, mais aussi les artistes et artisans européens de l'époque. Amoureux des arts asiatiques, Cernuschi a ainsi créé sur mesure un véritable temple pour veiller sur ses joyaux, et les faire perdurer jusqu'à nous aujourd'hui ! Une exposition qui rend hommage au collectionneur, dont l'anniversaire du retour d'Asie dévoile dès cet été deux nouvelles pièces dans les collections permanentes : des dragons sculptés japonais restaurés qui n’ont pas été exposés depuis 1930 !
« Felice Beato et le Japon, photographies de la collection Cernuschi » : voilà le nom de l’exposition gratuite à découvrir du 26 septembre au 17 décembre 2023 au sein de la salle Peinture du célèbre musée parisien. L’occasion de remonter le temps et de vivre un beau voyage au Pays du Soleil Levant grâce à ces clichés datant du XIXe siècle et réalisés par le célèbre photographe italien. Alors que le Musée Cernuschi doit dévoiler cet automne sa nouvelle exposition rétrospective intitulée « Retour d'Asie - Henri Cernuschi, un collectionneur au temps du japonisme », le musée parisien dévoile en amont une installation photographique à découvrir gratuitement du 26 septembre au 17 décembre 2023 dans la salle Peinture du musée. Baptisé « Felice Beato et le Japon, photographies de la collection Cernuschi » , cet accrochage expose des photographies du Japon réalisées par Felice Beato (1832-1909), et issues du fonds Cernuschi.Né en 1832 et mort en 1909, le photographe italien Felice Beato, naturalisé anglais, est surtout connu pour ses clichés de guerre. C’est en 1863 que Felice Beato retrouve l’artiste Charles Wirgman à Yokohama au Japon. Avec lui, il fonde son tout premier studio photographique japonais. Dès lors, plusieurs voyages s’enchaîneront, notamment à la capitale Edo ou plus tard, en 1864, lorsque l’artiste et le photographe se joignent à l’expédition punitive de Shimonoseki.C’est le 26 novembre 1866 que sa carrière prend un réel tournant. Alors qu’un incendie détruit une grande partie de Yokohama, Felice Beato perd son studio et ses négatifs. Mais le photographe ne se laisse pas décourager pour autant, puisqu’il arrive à reconstituer son fonds les deux années suivantes. Cet accrochage dévoile donc des photographies prises par Felice Beato, et appartenant au fonds Cernuschi. C’est en effet en 1871 que Henri Cernuschi (1821-1896) effectue un important voyage en Asie, en compagnie de son ami Théodore Duret (1838-1927). Première étape de leur périple ? Le Japon. C’est lors de ce voyage que Henri Cernuschi aurait ramené ces clichés ; des clichés issus des deux albums photographiques que Felice Beato proposa à la vente en 1868 : "Native Types" et "Views of Japan". Si la première série dévoile des portraits de Japonais, la seconde met en scène différents paysages et monuments phares du Japon de l’époque.À travers cette installation gratuite et ces photos de Felice Beato, le musée parisien nous emmène donc sur les pas de Cernuschi et Duret au Japon, de Yokohama en passant à Edo (actuelle Tōkyō), puis Kyōto et Ōsaka.« En raison de la fragilité des photographies du XIXe siècle réalisées sur papier albuminé – celles-ci jaunissent et s’effacent lorsqu'elles sont exposées trop longtemps à la lumière –, il est proposé ici une sélection de fac-similés réalisés d’après la collection du musée », précise le lieu culturel dans un communiqué. Rendez-vous donc du 26 septembre au 17 décembre 2023 au Musée Cernuschi à Paris pour découvrir l'expo gratuite « Felice Beato et le Japon, photographies de la collection Cernuschi ».
Des céramiques et des peintures autour des collections chinoises et japonaises léguées par le collectionneur Harley Preston. Voilà le thème de la nouvelle exposition du musée Cernuschi à ne pas manquer à Paris du vendredi 14 avril au dimanche 30 juillet 2023. Pour sa nouvelle exposition de l’année, le musée Cernuschi rend hommage à l’historien de l’art et collectionneur Harley Preston (1940-2015). Du vendredi 14 avril au dimanche 30 juillet 2023, le sublime musée parisien niché aux portes du parc Monceau propose aux visiteurs une belle plongée artistique à la découverte des céramiques et des peintures chinoises et japonaises, léguées par Harley Preston.Intitulée « Peinture et céramique en dialogue : autour des collections chinoises et japonaises léguées par Harley Preston », cette exposition risque fort de séduire les yeux des amateurs d’arts asiatiques. C’est en 2018 que Harley Preston, grand collectionneur, décide de léguer au musée Cernuschi près de 200 objets, rassemblant notamment de la céramique chinoise de la dynastie Song (960-1279), de la céramique japonaise du mouvement Mingei ainsi que des peintures chinoises datant du XXe siècle.Ce printemps et cet été, le musée Cernuschi choisit donc de rendre hommage à Harley Preston et de proposer une exposition qui adopte le point de vue du collectionneur. À travers un parcours divisé en deux sections, les visiteurs sont invités à découvrir les céramiques Song, mais aussi des peintures chinoises, réalisées entre les années 1960 et les années 1990 et ayant exclusivement pour thème le paysage ou les fleurs et oiseaux.Au programme de cette exposition également ? La peinture japonaise Nihonga, dont le style est caractérisé par l’emploi de matériaux spécifiques et de procédés très techniques, ainsi que la céramique Mingei, dont le mouvement a été fondé par le philosophe, écrivain et collectionneur japonais Yanagi Sōetsu (1889-1961).Pour admirer cette très belle et riche collection, direction donc le musée Cernuschi du 14 avril au 30 juillet 2023.
Partez à la découverte de l’histoire de la peinture chinoise au XXe siècle grâce à la très belle exposition « L'encre en mouvement ». Initialement programmée jusqu’au 19 février, l’installation est finalement prolongée jusqu’au 5 mars 2023 en raison de son succès. Rendez-vous au musée Cernuschi pour vivre ce très beau voyage artistique ! Avis à tous les amoureux de chefs-d’œuvre chinois ! Le musée Cernuschi à Paris présente en ce moment une sublime exposition, prolongée jusqu’au 5 mars 2023 en raison de son succès. Intitulée « L'encre en mouvement, Une histoire de la peinture chinoise au XXe siècle », cette exposition nous offre - comme son nom l'indique - une incroyable plongée dans le passé à la découverte de la peinture chinoise du XXe siècle.Vous ne le savez peut-être pas, mais le musée Cernuschi, donnant sur le parc Monceau, possède l’une des plus importantes collections européennes de peintures chinoises modernes et contemporaines. Jusqu’au 5 mars prochain, le musée parisien dévoile donc au public une exposition exclusivement consacrée à ces chefs-d’œuvre et, ce, pour la première fois ! Une installation d’autant plus importante que ces chefs-d’œuvre faits d’encre et de papier ne peuvent être exposés à la lumière de manière permanente. À travers 7 thématiques joliment orchestrées et scénarisées, on découvre des œuvres particulièrement bien conservées et le poids de la peinture à l’encre. Tout au long du siècle, elle est au centre des débats théoriques, qu’il s’agisse de la définition d’une peinture nationale, de la question de l’engagement politique, du réalisme ou de l’abstraction. La visite débute avec les écritures anciennes et la peinture moderne au début du XXe siècle avant de partir à la découverte des peuples de l’Ouest, de la peinture rouge, dessins et encres révolutionnaires, de l'abstraction et enfin de l'encre des années 1980 et 1990. Preuve de sa richesse, la collection de peintures chinoises du musée Cernuschi dévoile notamment des œuvres de plusieurs maîtres actifs en Chine, comme Qi Baishi, Fu Baoshi, Wu Guanzhong ou Li Jin. L'exposition "L'encre en mouvement" est aussi l'occasion d'admirer des œuvres réalisées par quelques-unes des plus grandes figures de cette diaspora artistique comme Zhang Daqian, Zao Wou-ki, Walasse Ting ou Ma Desheng.
Peindre Hors du Monde - Moines et
14december 2021
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23februari 2021
Fermé le lundi et les jours fériés. Entrée valable une heure, temps de visite libre. Gratuit pour les moins de 18 ans, les chômeurs et les personnes bénéficiaires des minimas sociaux. Important: les tarifs réduits sont accessibles uniquement aux caisses du musée. Peindre hors du monde, Moines et lettrés des dynasties Ming et Qing Collection Chih Lo Lou Du 5 novembre 2021 au 6 mars 2022 Cette exposition exceptionnelle présente un ensemble de plus de cent chefs-d'œuvre de la peinture chinoise ancienne. Ces peintures et calligraphies, exposées en Europe pour la première fois, sont nées du pinceau des plus grands maîtres des dynasties Ming (1368-1644) et Qing (1644-1912). Avant d'être offertes au musée d'art de Hong Kong en 2018, ces œuvres ont été patiemment rassemblées par le collectionneur Ho Iu-kwong (1907-2006) qui, selon la tradition chinoise, leur a donné le nom de Chih Lo Lou, « le pavillon de la félicité parfaite ».