Cette exposition réunit 60 artistes qui ont transformé 100 extincteurs en œuvres
d'art originales et uniques. L'intégralité des recettes de la vente des œuvres
sera reversée à la Fondation des Brûlés.Un événement unique et solidaire :Un
concept original : 60 artistes de renom et de styles différents ont donné libre
cours à leur créativité en décorant des extincteurs.Une exposition à la fois
artistique et solidaire : les œuvres en édition limité seront vendues à 300
euros pièce, au profit de la Fondation des Brûlés.Un engagement fort pour une
cause importante : soutenir l’aide et l'accompagnement aux victimes de brûlures.
Opéra royal de Wallonie
Venue
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Past events
Maurice Maeterlinck,
Pelléas et Mélisande, début de l’acte III, tirade de Mélisande
SENSUEL
ÉNIGMATIQUE
TRAGIQUE
INTEMPOREL
Livret de Maurice Maeterlinck
Au Royaume imaginaire d’Allemonde, le Prince Golaud rencontre, au cours d’une
chasse en forêt, la mystérieuse et diaphane Mélisande. L’ayant épousée sans rien
savoir d’elle, il la présente à son demi-frère Pelléas. Tombés amoureux l’un de
l’autre, les deux amants sont confondus par Golaud qui, au comble de la
jalousie, tue Pelléas et laisse s’enfuir Mélisande. Elle meurt lentement de
chagrin…
« Ces répétitions étonnées qui donnent aux personnages l’apparence de
somnambules un peu sourds constamment arrachés à un songe
pénible… Ce manque de promptitude à entendre et à répondre tient intimement à
leur psychologie et à l’idée un peu hagarde qu’ils se font de l’univers. »
En évoquant l’étrangeté de Pelléas et Mélisande, Antonin Artaud mettait en
évidence la modernité du chef-d’œuvre de Claude Debussy, une œuvre unique dans
l’histoire lyrique. La volonté du compositeur de renouveler l’opéra français
parsème sa vie de nombreux essais et esquisses dont seul Pelléas trouvera un
véritable aboutissement, devenant le seul opéra symboliste de l’histoire.
Composant « un opéra après Wagner, et non pas d’après Wagner », le chant en est
immatériel et l’orchestre insaisissable suscite, lors de la création à Paris en
1902, un parfum de scandale… Comme cela se produit généralement lors de
l’apparition de nouvelles esthétiques. Maeterlinck, après avoir fulminé de
déception et souhaité l’échec de l’œuvre, reviendra sur ses propos et saluera la
justesse de la vision du musicien.
L’écriture musicale du rôle de Pelléas permet de le confier soit à un ténor,
soit à un baryton, ce dernier choix ayant été opéré par le compositeur à la
création de l’œuvre, et ce sera également le cas pour cette production.
DERNIÈRE REPRÉSENTATION À L’ORW
MARS 2007
PRODUCTION
FONDAZIONE TEATRO REGIO DI PARMA
DISTRIBUTION
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Pierre Dumoussaud DIRECTION MUSICALE
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Barbe et Doucet MISE EN SCÈNE, DRAMATURGIE, DÉCORS ET COSTUMES
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Florence Bas REPRISE MISE EN SCÈNE
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Guy Simard LUMIÈRES
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Lionel Lhote PELLÉAS
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Nina Minasyan MÉLISANDE
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Simon Keenlyside GOLAUD
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Inho Jeong ARKEL
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Marion Lebègue GENEVIÈVE
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Judith Fa YNIOLD
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Roger Joakim UN MÉDECIN / UN BERGER
Sous la direction de son chef Václav Zahradník, le Ballet National Tchèque
interprètera un véritable monument du répertoire de ballet : Roméo et Juliette
de Sergueï Prokofiev, dans la fameuse chorégraphie de John Cranko. Une occasion
unique de redécouvrir l’enchantement de cette œuvre mythique !
Rock the Opera is back!Après 3 spectacles époustouflants dans le magnifique
Opéra Royal de Liège, Rock the Opera revient pour un autre programme fantastique
!Découvrez les plus grands succès de Queen, Pink Floyd, Deep Purple, Metallica,
etc., dans le magnifique Opéra Royal de Liège, interprétés par l'Orchestre
Philharmonique de Prague, dirigé par Maestro Friedemann Riehle.
Rock the Opera is back!Après 3 spectacles époustouflants dans le magnifique
Opéra Royal de Liège, Rock the Opera revient pour un autre programme fantastique
!Découvrez les plus grands succès de Queen, Pink Floyd, Deep Purple, Metallica,
etc., dans le magnifique Opéra Royal de Liège, interprétés par l'Orchestre
Philharmonique de Prague, dirigé par Maestro Friedemann Riehle.
Rock the Opera is back!Après 3 spectacles époustouflants dans le magnifique
Opéra Royal de Liège, Rock the Opera revient pour un autre programme fantastique
!Découvrez les plus grands succès de Queen, Pink Floyd, Deep Purple, Metallica,
etc., dans le magnifique Opéra Royal de Liège, interprétés par l'Orchestre
Philharmonique de Prague, dirigé par Maestro Friedemann Riehle.
Le célèbre bariton mongol Amartuvshin Enkhbat interpretera Rigoletto à l’opéra
de Liège.
Lauréate de nombreux concours de chant lyrique tant au niveau national et
qu’international, comme le fameux XIVe concours international Tchaïkovski de
Saint-Pétersbourg, le concours international de chant lyrique OPeralia à Pékin
ou le concours BBC Cardiff Singer of the World compétition, le célèbre bariton
mongol Amartuvshin Enkhbat interprètera le chef-d’œuvre absolu de Rigoletto, à
l’opéra de Liège le 3, 5, 8, 11 et 13 mars prochain.
Plus d’information sur :
https://www.operaliege.be/en/artists/enkhbat-amartuvshin/
« Ce troisième acte est véritablement divin et le plus extraordinaire est que sa
beauté ne rappelle point Rossini. Des déclamations de premier ordre, des
récitatifs toujours passionnés, de mystérieux accompagnements pleins de couleurs
atteignent ici un niveau suprême de perfection. ». — LETTRE DE GIACOMO MEYERBEER
EN 1818
On connait surtout Rossini pour ses opéras buffa qui font la joie des
spectateurs du monde entier et l’épanouissement vocal des professionnels du
belcanto. Otello est d’un tout autre genre et explore avec une rare pertinence
la profondeur shakespearienne de ses célèbres personnages. Le Cygne de Pesaro y
montre un sens visionnaire du Dramma per musica, bien longtemps avant le
chef-d’œuvre de Verdi. L’héroïne, Isabella Colbran, la future épouse du
compositeur, fut pour beaucoup dans le succès de l’œuvre, mais l’implacable
trajectoire mortifère ne plut pas aux premiers spectateurs du drame, pas encore
habitués aux péroraisons tragiques. Beaucoup furent choqués par l’omniprésence
de la mort. Le compositeur fut même obligé, en 1820 à Rome, de modifier le
dénouement en une lieto fine absurde où les protagonistes se réconciliaient dans
une scène d’amour pourtant improbable, qu’à coup sûr Shakespeare n’aurait pas
cautionnée !
« Ce troisième acte est véritablement divin et le plus extraordinaire est que sa
beauté ne rappelle point Rossini. Des déclamations de premier ordre, des
récitatifs toujours passionnés, de mystérieux accompagnements pleins de couleurs
atteignent ici un niveau suprême de perfection. ». — LETTRE DE GIACOMO MEYERBEER
EN 1818
On connait surtout Rossini pour ses opéras buffa qui font la joie des
spectateurs du monde entier et l’épanouissement vocal des professionnels du
belcanto. Otello est d’un tout autre genre et explore avec une rare pertinence
la profondeur shakespearienne de ses célèbres personnages. Le Cygne de Pesaro y
montre un sens visionnaire du Dramma per musica, bien longtemps avant le
chef-d’œuvre de Verdi. L’héroïne, Isabella Colbran, la future épouse du
compositeur, fut pour beaucoup dans le succès de l’œuvre, mais l’implacable
trajectoire mortifère ne plut pas aux premiers spectateurs du drame, pas encore
habitués aux péroraisons tragiques. Beaucoup furent choqués par l’omniprésence
de la mort. Le compositeur fut même obligé, en 1820 à Rome, de modifier le
dénouement en une lieto fine absurde où les protagonistes se réconciliaient dans
une scène d’amour pourtant improbable, qu’à coup sûr Shakespeare n’aurait pas
cautionnée !
« Ce troisième acte est véritablement divin et le plus extraordinaire est que sa
beauté ne rappelle point Rossini. Des déclamations de premier ordre, des
récitatifs toujours passionnés, de mystérieux accompagnements pleins de couleurs
atteignent ici un niveau suprême de perfection. ». — LETTRE DE GIACOMO MEYERBEER
EN 1818
On connait surtout Rossini pour ses opéras buffa qui font la joie des
spectateurs du monde entier et l’épanouissement vocal des professionnels du
belcanto. Otello est d’un tout autre genre et explore avec une rare pertinence
la profondeur shakespearienne de ses célèbres personnages. Le Cygne de Pesaro y
montre un sens visionnaire du Dramma per musica, bien longtemps avant le
chef-d’œuvre de Verdi. L’héroïne, Isabella Colbran, la future épouse du
compositeur, fut pour beaucoup dans le succès de l’œuvre, mais l’implacable
trajectoire mortifère ne plut pas aux premiers spectateurs du drame, pas encore
habitués aux péroraisons tragiques. Beaucoup furent choqués par l’omniprésence
de la mort. Le compositeur fut même obligé, en 1820 à Rome, de modifier le
dénouement en une lieto fine absurde où les protagonistes se réconciliaient dans
une scène d’amour pourtant improbable, qu’à coup sûr Shakespeare n’aurait pas
cautionnée !
« Ce troisième acte est véritablement divin et le plus extraordinaire est que sa
beauté ne rappelle point Rossini. Des déclamations de premier ordre, des
récitatifs toujours passionnés, de mystérieux accompagnements pleins de couleurs
atteignent ici un niveau suprême de perfection. ». — LETTRE DE GIACOMO MEYERBEER
EN 1818
On connait surtout Rossini pour ses opéras buffa qui font la joie des
spectateurs du monde entier et l’épanouissement vocal des professionnels du
belcanto. Otello est d’un tout autre genre et explore avec une rare pertinence
la profondeur shakespearienne de ses célèbres personnages. Le Cygne de Pesaro y
montre un sens visionnaire du Dramma per musica, bien longtemps avant le
chef-d’œuvre de Verdi. L’héroïne, Isabella Colbran, la future épouse du
compositeur, fut pour beaucoup dans le succès de l’œuvre, mais l’implacable
trajectoire mortifère ne plut pas aux premiers spectateurs du drame, pas encore
habitués aux péroraisons tragiques. Beaucoup furent choqués par l’omniprésence
de la mort. Le compositeur fut même obligé, en 1820 à Rome, de modifier le
dénouement en une lieto fine absurde où les protagonistes se réconciliaient dans
une scène d’amour pourtant improbable, qu’à coup sûr Shakespeare n’aurait pas
cautionnée !