Exposition Rasmus Myrup, Les lisières du Night Club (titre provisoire)

Beschrijving

L'exposition 'Les lisières du Night Club' est la première exposition personnelle de l'artiste danois Rasmus Myrus en France. Ses sculptures humanoïdes mêlent éléments naturels, histoire sociale et mythologie nordique. En conteur et magicien des postures, il donne vie à des personnages mi-humains, mi-arbres, des êtres queers aux identités mouvantes. Une communauté interlope qui redessine les contours d'une société possible, faite de singularités et de résistances. Les personnages de Myrup sont une leçon d'optimisme dans un monde désespérant.

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Du vendredi 7 juin 2024 au dimanche 8 septembre 2024

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Voorgestelde evenementen

Plongez dans l'univers du graffiti à travers l'exposition 'Aérosol - Une Histoire du Graffiti' au Musée des Beaux-Arts de Rennes. Découvrez l'évolution de cet art de rue, de ses débuts dans les années 1960 jusqu'à nos jours. Explorez l'usage créatif de la bombe aérosol à travers des oeuvres rares et inédites de célèbres artistes tels que Blek le Rat, Jef Aérosol, Marie Rouffet et bien d'autres. L'exposition met en lumière l'aspect pluriel et éphémère du graffiti, souvent méconnu du grand public. Ne manquez pas cette immersion captivante dans un mouvement artistique emblématique.
L'exposition 'Les lisières du Night Club (titre provisoire)' de l'artiste danois Rasmus Myrup présente un ensemble de sculptures humanoïdes mêlant éléments naturels, histoire sociale, mythologie nordique et postmodernisme. Ces personnages mi-humains, mi-arbres, aux identités mouvantes, redessinent une société possible sur les ruines de nos forêts et banlieues. Une leçon d'optimisme dans un monde désespérant.
Depuis cette année, j'ouvre l'atelier une fois par mois afin de vous accueilir et de pouvoir ainsi vous proposer : Dessins, panneaux et toiles, petits et grands formats, discussions et présentations de mes oeuvres, n'hésitez pas à passer pour regarder, emporter ou comprendre. Site web : https://www.damjump-drawings.com/pages/expositions/
Cet été, La Criée présente le Salon des refusé·es de Rasmus Myrup, première exposition personnelle de l'artiste danois dans une institution fran?aise. Une vingtaine de personnages, sculptures anthropomorphes extravagantes, attablés, allongés, debout, seuls ou en groupe, occupent l'espace du centre d'art, transformé en café/centre de soin : tableau facétieux et saisissant d'une société décalée. Les personnages de Rasmus Myrup sont issus du folklore danois, des traditions orales sud-scandinaves et de la mythologie nordique. Il puise son inspiration dans les nombreuses figures qui les composent, dont il réinterprète les histoires, faisant preuve d'une imagination foisonnante. On retrouve parmi ses figures, certains personnages principaux de la sphère magique, comme Gefion - déesse des sols - ou Nisse - la « petite Barbie » originale des légendes scandinaves et d'autres moins connus, mais pas moins importants. Combinant passé et présent, l'artiste les ancre dans notre société postmoderne et ses questionnements : ils interrogent notamment la normativité, l'ordre et la morale établis et affichent leur singularité, leur sensualité, leur liberté d'être. Pour fabriquer ses sculptures, Myrup glane des objets naturels autant que des objets manufacturés, issus des rebuts de la société de consommation, qu'il assemble ensuite avec une extravagante virtuosité. En formidable conteur, Myrup donne vie et épaisseur à des personnages mi-humains, mi végétaux, des êtres complets, Queers et alliés aux identités mouvantes et aux vies multiples, venus d'un temps tout autant préhistorique que post-humain. Cette communauté séparatiste, ce « salon des Refusés », redessine les contours d'une autre société possible, faite de bric et de broc, de branches et de strass, de likes et de lichen, de singularités et de résistances. Une société qui pousse et s'épanouit, malgré tout, sur les ruines des forêts et des banlieues embrasées. La moitié des sculptures ont été produites et présentées à la biennale de Göteborg en Suède à l'automne 2023, puis au centre d'art 1646, à La Haye, aux Pays-Bas, début 2024. À La Criée, suite à deux résidences de création, Myrup y ajoute une dizaine de nouvelles pièces, réalisées à partir de matériaux glanés à Rennes et en Bretagne. Si ces nouvelles figures restent issues de l'imaginaire nordique, ?à et là des détails et métissages bretons apparaissent. À contre-courant du climat politique actuel où les patrimoines culturels et les histoires communes deviennent des motifs de division et exclusion, les personnages de Myrup célèbrent la diversité et le mélange. Ils sont comme les champignons de la fin du monde d'Anna Tsing* : une le?on d'optimisme dans un monde trop souvent désespérant. * Anna Lowenhaupt Tsing, Le Champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme, trad. de l'anglais par Philippe Pignarre, préf. par Isabelle Stengers, Paris, La Découverte/Les Empêcheurs de penser en rond, 2017, 415 p. Site web : https://www.la-criee.org/fr/30393-2/
La pratique artistique de Yoan Sorin prend la forme de peintures apposée sur supports variés, de sculptures composées de matériaux divers, d'objets assemblés puis peints, de performances impliquant son propre corps. Chaque élément alimente voire contamine les autres de manière fluide, au sein d'installations qui constituent des compositions en trois dimensions sans cesse renouvelées par la déambulation. Habitées, ses expositions où la couleur est déterminante baignent dans une atmosphère où la sérénité cohabite avec l'inquiétude. Pour son exposition à 40mcube, Chronique de l'oubli, Yoan Sorin réalise de nouvelles oeuvres qui jouent avec le temps. Comme une éphéméride, une peinture en remplace une autre chaque semaine, tandis que des sculptures-métronomes ou sabliers, comme les temps de performance, rythment l'exposition. Jouant avec les mots, celui de chronique dans sa double signification, en tant que récit chronologique et de quelque chose qui s'installe lentement mais durablement, qu'il associe de manière contradictoire à l'oubli, Yoan Sorin témoigne de l'urgence latente de notre temps. Site web : https://www.40mcube.org/chronique-de-loubli/
Plongez dans l'univers fascinant de la Préhistoire à travers l'exposition Prehistoire présentant les illustrations et bandes dessinées de deux artistes spécialisés dans ce domaine. Eric Le Brun, renommé pour ses illustrations préhistoriques, et Priscille Mahieu, créatrice de l'intrépide Ticayou, vous transportent à travers des récits uniques et des dessins captivants. Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir l'art et la vie des premiers hommes.
Plongez dans l'univers tragique des estropiés et infirmes au Moyen Âge à travers une exposition captivante au Château de Fougères à Fougères. Découvrez comment l'infirmité était appréhendée entre le 11e et le 15e siècle, et explorez la vie des soldats blessés lors des guerres médiévales. Une plongée poignante dans une réalité souvent occultée de l'histoire.
Venez découvrir ou redécouvrir les sportifs et les évènements qui ont marqué l'histoire du sport à Fougères. Découvrez l'évolution des disciplines sportives et les grands champions qui ont brillé au cours du 20e siècle jusqu'à nos jours. Une exposition captivante qui met en lumière l'amour des Fougerais pour le sport et leur dynamisme associatif. Ne manquez pas cette plongée fascinante dans l'histoire sportive de Fougères.
L'exposition 'Les Géants' par Hervé Walbecq se déroule au Triangle à Rennes. Hervé Walbecq, auteur, dessinateur et comédien, présente une série de géants de plusieurs mètres de haut, coiffés de branchages et accompagnés d'animaux. Ses dessins, d'une ligne sobre et épurée, invitent les visiteurs dans un monde poétique où le bonheur se trouve dans les petites choses. Venez découvrir cette exposition captivante et laissez-vous emporter par la magie des illustrations. L'accès est libre et gratuit aux horaires d'ouverture du Triangle.
Charlie Chine inscrit son travail dans des démarches participatives, qu’elle retranscrit au sein de ses expositions à travers des récits, des objets, des études qui prennent corps dans des installations, des sculptures, des dessins ou encore des vidéos. Anonymisant les participants, elle explore la mémoire de notre humanité, oscillant sans cesse entre l’individuel, l’intime, l’ordinaire, l’universel et le collectif. L’individu est pour elle, la variable, l’unique, le comparable. L’artiste décortique les habitudes de l’homme moderne et ses conditions d’existences, telles que sa culture, son travail, son éducation, le territoire qu’il occupe ou s’octroie. Elle exploite plastiquement ses recherches et ces données récoltées avec beaucoup de minutie et de précision. Elle cisèle du cuivre, capitonne une malle, tape à la machine… elle se fait l’artisan de son œuvre, et dépositaire d’une mémoire individuelle et collective. Donnant à voir nos habitudes parfois absurdes, parfois poétiques, son œuvre suscite curiosité, étonnement et amusement du visiteur. Pour son exposition au centre d’art, elle réactivera son œuvre « Les Chroniques du réel » avec la participation des habitants du territoire et présentera également plusieurs installations. //DÉCOUVRIR L'EXPOSITION// Mercredi > dimanche : 14h30 > 17h30 Fermé le 14 juillet, ouvert le 15 août //AUTOUR DE L'EXPOSITION// Vernissage · En présence de l’artiste Samedi 22 juin · 18h30 Ouvert à tous · Gratuit La visite guidée Dimanches 23 juin et 18 août · 15h30 Réservation conseillée · 45min · Gratuit