Le musée de la Vie Romantique célèbre le bicentenaire de la mort de Théodore
Géricault, avec une exposition thématique présentée du 15 mai au 15 septembre
2024.
Le célèbre peintre Théodore Géricault est décédé en 1824, après une riche
carrière, et de nombreux chefs-d'œuvre toujours admirés de nos jours. Pour
commémorer ce bicentenaire particulier, le musée de la Vie Romantique dédie une
exposition à l'artiste français, et plus particulièrement à l'une de ses
passions...
Du 15 mai au 15 septembre 2024, venez découvrir Les chevaux de Géricault, une
exposition de peinture thématique, qui explore ce motif si fréquent dans les
œuvres de l'artiste. Une centaine de peintures, venues de collections publiques
et privées, sont réunies pour cette exposition inédite.
Les chevaux sont la passion immuable de Géricault : de ses premiers dessins à
ses plus grands tableaux, le peintre a toujours été fasciné par ces animaux,
leur anatomie, leurs émotions, leur vie... On recense une dizaine de tableaux et
plusieurs centaines de dessins de chevaux signés Géricault : l'artiste a admiré,
analysé, étudié chaque aspect de cet animal.
On peut ainsi découvrir des œuvres représentant des chevaux à l'armée, au champ
de courses, dans les écuries ou les champs, en parade ou au repos, de leur
naissance à leur mort... Chaque mouvement, chaque sentiment, réaction et émotion
sont représentés avec une grande finesse, un soin particulier. Pour Géricault,
le cheval un être très esthétique, un symbole de puissance.
Le musée de la Vie Romantique explore donc cette passion dévorante dans un
parcours divisé en cinq chapitres : Le cheval politique, L’écurie sanctuaire,
Rome : la course des chevaux libres, Londres : dandies et prolétaires et La mort
du cheval. Une manière originale de rendre hommage à ce peintre incontournable !
Exposition Van Eyck au musée du Louvre : redécouverte de La Vierge du chancelier Rolin
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Le Musée du Louvre présente une exposition remarquable autour de la restauration de La Vierge du chancelier Rolin de Van Eyck. Du 20 mars au 17 juin 2024, Aile Sully, 1er étage, salle de la Chapelle.
La salle de la Chapelle du Musée du Louvre se transforme en un écrin d'exception pour accueillir : Revoir Van Eyck. La Vierge du chancelier Rolin. Du 20 mars au 17 juin 2024, cette exposition, placée sous le commissariat de Sophie Caron, conservatrice au département des Peintures, s'articule autour de la restauration historique du seul tableau de Jan van Eyck conservé par le musée parisien.
Pour la première fois depuis son entrée au Louvre en 1800, l'œuvre a subi une restauration majeure au Centre de recherche et de restauration des musées de France. Cette intervention a permis d'alléger les couches de vernis oxydé qui assombrissaient la peinture, révélant ainsi la splendeur originelle de cette œuvre majeure de l'art occidental.
L'exposition propose une immersion profonde dans l'œuvre de Van Eyck. Elle se compose d'une soixantaine d'éléments : panneaux peints, manuscrits, dessins, bas-reliefs et objets d'orfèvrerie, tous choisis avec soin pour enrichir la compréhension du tableau et explorer ses multiples facettes.
Des interrogations guident les visiteurs à travers cette exposition : Pourquoi un paysage si minutieusement détaillé se retrouve-t-il presque dissimulé à l'arrière-plan ? Quelle est l'histoire derrière les deux personnages discrets dans le jardin ? Comment se manifestent les liens entre cette œuvre et l'art de l'enluminure ainsi que les bas-reliefs funéraires sculptés ? Comment les contemporains de Van Eyck percevaient-ils cette œuvre ?
Ce tableau, au-delà de sa valeur esthétique, est un témoin clé des tensions et innovations de l'art flamand au début du XVe siècle. L'exposition met en lumière la manière dont Van Eyck s'est inscrit dans son époque tout en se démarquant par son approche unique et révolutionnaire.
Pour les connaisseurs comme pour les novices en art, cette exposition au Louvre offre une occasion unique de plonger dans l'univers de Van Eyck et d'apprécier la complexité et la beauté de son œuvre. C'est un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui souhaitent explorer les profondeurs de l'art flamand et redécouvrir un trésor du patrimoine artistique mondial, aujourd'hui magnifiquement restauré et prêt à dévoiler ses mystères.
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Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie
Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et
l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde
où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour
redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription
au vernissage obligatoire.
Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie
Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des
œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À
travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur
l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue
entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le
vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste.
Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques).
SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le
Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et
l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un
équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus
et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments
d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui
ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre
relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique.
L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie
Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et
l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses
créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à
une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une
exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer
sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle
dans les disciplines créatives.
L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec
la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y
faire un tour ?
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Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et
art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement"
du 15 mai au 17 novembre 2024.
Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris
2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en
mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art,
grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur
sport à travers les collections du Petit Palais.
Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures,
objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et
les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection.
Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres.
On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent
les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est
le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les
subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des
dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres
détails.
L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres
que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté
d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui
prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le
mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs
ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué,
mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées.
Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des
femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants
aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et
se dépenser avec les jeux et sports de leur temps.
On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui
se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue
épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et
paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place
du corps dans cette discipline.
Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels
que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de
style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au
Petit Palais.
L'IA et l'art s'entremêlent au Grand Palais Immersif à Paris avec Artificial
Dreams, une exposition-performance mettant à l'honneur des oeuvres assistées par
l'intelligence artificielle qui nous attend du 16 mai au 8 juin 2024.
L'Intelligence Artificielle dans le monde l'art, c'est ce qui nous attend à
Paris, au Grand Palais Immersif, avec une exposition-performance. Artificial
Dream nous entraine au coeur de l'art numérique avec des oeuvres dont la
réalisation a été assistée par l'IA. Le rendez-vous nous est donné tous les
jeudis, vendredis et samedis soirs, du 16 mai au 8 juin 2024, pour aller à la
découverte des créations de 12 artistes, studios et collectifs internationaux.
À l'heure où les outils IA se multiplient, cette révolution technologique est
redoutée par les uns, adulée par d'autres. Tour à tour source de craintes et
d'opportunités, l'Intelligence Artificielle s'étend et montre l'impact qu'elle
peut avoir sur différents aspects de la société, qu'il s'agisse des réseaux
sociaux, du domaine médical, de l'information ou encore de l'éducation. Et quid
du monde des arts ? L'IA menace-t-elle la création ou peut-elle permettre d'en
repousser les limites ?L'exposition Artificial Dream devrait ainsi nous faire la
démonstration de ce que peut permettre l'intelligence artificielle lorsqu'elle
est au service de l'imaginaire. Au casting de ce rendez-vous onirique on
retrouve les artistes, collectifs et studios Markos Kay, Andy Thomas, Tryphème
& Ulysse Lefort, Ryoichi Kurokawa, IMMERSIVE ARTS SPACE/ZHdK, Mots, Daito
Manabe, MSHR, Sabrina Ratté, Justine Emard, Visual System, Emi Kusano, Iconem
et Niceaunties.
Cette exposition qui se déroule en nocturne promet une " projection immersive
spectaculaire" qui nous attend du côté de la grande salle, ainsi qu'un parcours
d'installations qui nous attend dans les étages. Plusieurs événements lives,
performances, conférences et table-rondes sont également prévues lors de ces
soirées au coeur de rêves artificiels.
Depuis la nuit des temps, la course est utilisée pour des questions pratiques,
et notamment comme porteuse de message, comme l'évoque le Musée de la Poste dans
sa nouvelle exposition, qui aura lieu pendant les Jeux Olympiques !
Le musée de la Poste se met aux couleurs des Jeux Olympiques de Paris 2024, avec
une exposition autour de la course et du marathon, du 15 mai au 15 septembre
2024. Le marathon, en tant que discipline olympique, a été inventé par
l’académicien Michel Breal, ami de Pierre de Coubertin, pour les premiers Jeux
Olympiques modernes à Athènes en 1896. Elle s’inspire de la légende du
coureur de Marathon, l'ancêtre du facteur, en 490 av. J.-C !
Le Centre Culturel Coréen vous propose un tour d’horizon passionnant et ludique
de la Corée des jeux, du 18e siècle à nos jours, des jouets anciens aux jeux
vidéos, dans une exposition gratuite du 24 mai au 5 octobre 2024 !
Dans sa nouvelle exposition gratuite, le Centre Culturel Coréen plonge les
visiteurs dans le monde du divertissement coréen, à travers toutes les formes de
jeux existantes, du 18e siècle à aujourd'hui, l'occasion d'explorer tout ce que
peut signifier le terme "jeux", du 24 mai au 5 octobre 2024 ! Vieux de plusieurs
millénaires, jeux et jouets mêlent imagination, stratégie et activité physique,
et passionnent tous les âges, en tissant du lien et en apportant du plaisir.
Au coeur de la péninsule coréenne, certains divertissements étaient autrefois
réservés à la noblesse ! Divisée en trois parties représentant le passé, le
présent et le futur, l'exposition nous plonge d'abord dans la tradition, avec
des reproductions et animations digitales de peinture anciennes, datant du 18e
siècle, où l'on voit de jeunes nobles coréens s’adonnant à diverses distractions
en bonne compagnie. Des vidéos animées, des jeux interactifs, des reproductions
de scènes de jeux folkloriques ou des réinterprétations de jeux traditionnels
comme le cerf-volant viennent compléter ce pan de la culture coréenne.
Découvrez l'œuvre magistrale de Matisse, l'Atelier rouge, dans une exposition
inédite en France, présentée à la Fondation Louis Vuitton du 7 mai au 9
septembre 2024.
C'est une œuvre exceptionnelle, qui a marqué des générations d'artistes :
L'Atelier rouge, tableau d'Henri Matisse, est au cœur de l'exposition présentée
à la Fondation Louis Vuitton, du 7 mai au 9 septembre 2024. Cette exposition
décrypte les secrets de cette peinture originale, les raisons de son succès, son
histoire, et le contexte artistique qui l'entoure.
En 1911, dans son atelier d'Issy-les-Moulineaux, Henri Matisse peint son espace
de travail sur une toile. Un sujet banal pour un artiste... Jusqu'à ce que
Matisse y ajoute sa touche personnelle : une couche de peinture rouge, qui
recouvre tout le sujet. Un détail qui a marqué toute la peinture moderne.
Pour cette exposition, la Fondation Louis Vuitton expose donc le célèbre
tableau, habituellement conservé au MoMa de New York. L'exposition dévoile
également les six peintures, les trois sculptures et la céramique qui sont
représentées dans le tableau, et qui étaient présentes dans l'atelier du peintre
au moment de la réalisation de cet Atelier rouge. Ainsi, toutes ces œuvres sont
réunies, comme du temps de l'artiste.
Le parcours de l'exposition met également en lumière différentes œuvres liées à
ce tableau, de nombreuses photographies et des documents d'archives, qui
racontent le contexte de création de la peinture, son histoire de son origine à
son achat par le MoMa, et son influence sur la peinture moderne, et sur des
artistes tels que Mark Rothko ou Ellsworth Kelly. Un film explique, en fin de
parcours, les dernières découvertes scientifiques liées au processus de
réalisation du tableau de Matisse.
Dans l'exposition, un dialogue particulier a été créé entre l'Atelier rouge, et
le Grand Intérieur rouge, réalisé 40 ans plus tard. Les deux peintures de
Matisse symbolisent l'univers de l'artiste, son évolution, l'impact que les
grands événements du XXe siècle ont pu avoir sur le peintre et son œuvre.
Venez à la Fondation Louis Vuitton admirer l'un des tableaux les plus importants
de la carrière d'Henri Matisse.
Le Goethe-Institut de Paris vous invite à découvrir sa nouvelle exposition
gratuite, intitulée The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, du 13 mai au
27 août 2024. Explorez comment l'art, la technologie et la science se
rencontrent pour transformer notre perception du monde. Une exposition qui
promet une immersion dans les œuvres avant-gardistes, redéfinissant les
frontières entre les disciplines artistiques et scientifiques. Vernissage le 13
mai à 19h.
Quand l'art et les nouvelles technologies se rencontrent... Le Goethe-Institut
de Paris se transforme en un espace de réflexion et d'innovation artistique avec
l'exposition gratuite The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, à découvrir
du 13 mai au 27 août 2024. Une manifestation qui invite les curieux et les
passionnés d'art à plonger dans une ère nouvelle où art, technologie et science
fusionnent pour révéler ce qui demeure habituellement invisible. Conçue par le
ZKM Karlsruhe en Allemagne, cette exposition est non seulement un hommage à
Peter Weibel et à son projet "Renaissance 3.0", mais elle pose également les
jalons d'un futur artistique révolutionnaire.
L'exposition puise dans les œuvres d'art initialement présentées à Karlsruhe et
y ajoute une sélection spécialement adaptée au contexte parisien. Les visiteurs
peuvent découvrir des pièces telles que les "Architectures Imaginaires" d’Otto
Beckman, qui interrogent l'évolution de l'art à travers le prisme des
technologies avancées. Des œuvres comme "93% Human" de Helen Pynor offrent une
méditation profonde sur le vivant, tandis que "METABOLICA Camp" de Thomas
Feuerstein entrelace directement la science et l'histoire de l'art avec des
éléments de science-fiction. Ces œuvres illustrent parfaitement l'idée de
transcender les conventions artistiques pour explorer de nouvelles forces
créatives et sensibilités.
Au-delà de son aspect artistique, The Next Renaissance est un carrefour
d'innovation culturelle et scientifique. Cette exposition illustre comment la
collaboration entre l'art et la science peut engendrer des changements profonds,
poussant notre société à repenser son avenir. En incarnant une "renaissance
3.0", elle s'inspire des bouleversements de la Renaissance italienne pour
stimuler une révolution dans notre compréhension et interaction avec le monde.
Le Goethe-Institut, en collaboration avec l’EIT Culture & Creativity et le MSC,
offre ainsi une plateforme unique pour les acteurs du changement qui aspirent à
redéfinir les frontières entre les disciplines culturelles et scientifiques.
Avec la participation d'artistes internationaux tels que Rafael Lozano-Hemmer,
Manfred P. Kage et Joel Ong, The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible est
une expérience incontournable pour quiconque s'intéresse à la manière dont l'art
peut remodeler notre réalité. L'occasion également de voir comment l'art
médiatique scientifique peut ouvrir de nouvelles perspectives et influencer
notre société de façon durable.
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Nouvelle exposition gratuite de street art à Fluctuart ! Ce printemps, la
fameuse péniche parisienne convie 13 artistes issus la scène émergente polonaise
du graffiti et du street art pour nous offrir une plongée dans l’histoire de
l'art urbain en Europe de l'Est. C’est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin
2024.
Après avoir consacré des expositions à Seth, Nasty ou encore à Tania Mouraud,
Fluctuart nous emmène en voyage sur les traces de la scène émergente polonaise
du graffiti et du street art. Intitulée « Habitus de l’Est », cette nouvelle
installation gratuite, à voir sur la fameuse péniche parisienne dédiée à l’art
urbain, est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024.
Au total, Fluctuart convie 13 artistes d’Europe de l’Est, parmi lesquels Finer
et son graffiti classique, Sepe et ses œuvres figuratives, Sicoer et son style
faisant honneur à la typographie, Natalia Magalska et ses créations engagées ou
encore Mariusz M-City Waras qui propose pour l’occasion une installation unique
réalisée in situ.
Toutes et tous en profiteront pour dévoiler à Paris leurs œuvres urbaines
inédites. L’occasion pour les amateurs d’art urbain de plonger dans l’histoire
du street art en Pologne et de découvrir toute la diversité et la richesse des
contenus stylistiques et thématiques de ces artistes originaires d’Europe de
l’Est.
Rendez-vous donc à Fluctuart du 16 mai au 30 juin 2024 pour admirer gratuitement
les œuvres proposées lors de cette exposition, véritable vitrine collective de
la création urbaine en Pologne ! Notez qu’un vernissage, ouvert à tous, est
prévu le mercredi 15 mai à partir de 18h.
À l’occasion de la Nuit des Musées, qui se tient le 18 mai 2024, l’Hôtel des
Invalides et le musée de l’Armée invitent les visiteurs à déambuler gratuitement
dans un lieu chargé d’histoire. Le moment idéal pour découvrir ou redécouvrir le
tombeau de Napoléon ainsi que les collections permanentes du musée.
Le musée de l’Armée ouvre ses portes le 18 mai 2024 au soir, de 19h jusqu’à
minuit, à l’occasion de la Nuit des Musées. Une soirée exceptionnelle autour de
l’Histoire militaire de France, celle avec un grand H, puisque l’Hôtel des
Invalides et les collections permanentes du musée de l’Armée sont accessibles au
public gratuitement durant toute la soirée.
Les visiteurs peuvent ainsi (re)découvrir ce lieu chargé d'histoire, créé en
1905 lors de la fusion entre le musée d’Artillerie et le musée historique de
l’Armée, tout deux déjà situés dans l'Hôtel des Invalides. Reconstitution en
plein air du bivouac de la Grande Armée, animations historiques, concerts, jeux
d’enquêtes, visites guidées, mises en lumière… Tout au long de l'année, la
programmation du musée est riche en découvertes : les amateurs d'histoire et en
particulier de Napoléon Ier n'ont que l'embarras du choix !
Le musée conserve une collection très riche d'uniformes, d'armes, de dessins, de
peintures, d'objets du quotidien, de Louis XIV aux guerres du XXe siècle. En
plus de ces collections, on peut admirer ce monument à l'Histoire florissante :
le dôme des Invalides, la cour d'Honneur, la cathédrale Saint-Louis et même le
musée des Plans-Reliefs, sont accessibles avec votre billet du musée de l'Armée.
Un voyage dans l'Histoire le temps d'une soirée, ça vous tente ?