<div>Au programme (en fonction de l'âge des participants) : cuisine médiévale, art plastique heroic fantasy, danse (créative, classique; irlandaise, historique, claquettes)Activités de 9h30 à 16h; garderie à partir de 8h30 et jusqu'à 17h.Prix : 110€/semaineInfos et inscription : +32(0)69840186 - secretariat@dansesetcie.be </div>

Stage Enfants "Au Pays des Elfes"

<div>À la croisée de nombreux thèmes qui intéressent l’ethnologie (métiers artisanaux, histoire culturelle, économique, sociale, de la mobilité, des produits...), la thématique “Commerce”, proposée pour 2024 par le réseau Proscitec, est l'occasion d’une réinterprétation de l’exposition permanente et un axe de travail pour le chantier des collections. Le Musée de Folklore et des Imaginaires se donne à voir en construction, les visiteurs sont invités à redécouvrir, au fil des mois, les riches collections en stock. </div>

En Stock. Le commerce et la rue.

<div>Empruntant son titre à une peinture emblématique de la collection où le mécène Van Cutsem est entouré des artistes qu’il soutenait, ce nouvel accrochage des collections interroge les relations d'amitiés à la genèse de notre institution. A notre invitation et en parallèle à une présentation inédite de la collection, les artistes Isabelle Detournay et Rémy Hans développent à leur tour des projets dans l’atrium du musée, émanant soit des collections, soit de l’architecture elle-même. Portrait d'amis #2 : Rémy Hans. «&nbsp;Les bleus du temps&nbsp;» Œuvre in situ dans l’atrium d’Horta. Au départ, la rencontre avec Rémy Hans, jeune artiste hennuyer, recevant au musée le Prix du Hainaut 2020 pour une série de ses dessins caractéristiques en crayon bleu qui transposait l’architecture du musée conçue par Victor Horta tel un vestige reconquis par la nature. Ensuite, pour clore un chapitre important de l’histoire du musée, l’envie de demander à l’artiste d’approcher de son regard incisif et poétique l’œuvre d’Horta en se plongeant dans les nombreuses archives, esquisses et plans de chantier qui témoignent des savoir-faire prodigieux, parfois ignorés ou oubliés qui furent nécessaires à son édification. Rémy Hans, dont les esquisses d’architecture aux traits bleus évanescents ne sont pas sans rappeler les cyanotypes ou « bleus d’architectes », réalise une vaste installation in situ dans l’atrium qui interroge, à l’heure où le musée attend une importante rénovation, les marques laissées ici par le temps.... L’exposition se tiendra du 18 novembre 2023 au 2 juin 2024, au Musée des Beaux-Arts de Tournai. </div>

Musée des Beaux-Arts de Tournai

Portrait d'amis #2 : Rémy Hans. «Les bleus du temps»

<div>Au programme : ateliers musicaux, art plastique, danse (créa, jazz, claquettes)Activités de 9h30 à 16h, garderie à partir de 8h30 etv jusqu'à 17h.Prix : 110€/semaineInfos et inscription : +32(0)69840186 - secretariat@dansesetcie.be </div>

Stage Enfants "La La Danse"

<div>Depuis la Révolution de 1830 jusqu’à l’invasion de 1914, tous les dimanches, au petit matin, le son du tambour retentissait en ville pour appeler les membres de la Garde civique à revêtir leurs uniformes et à se regrouper dans leurs locaux avant de rejoindre en armes la plaine des manœuvres. Après cet exercice hebdomadaire, en défilé, les gardes rejoignaient la Grand-Place et ses alentours pour se répandre en activités plus festives dans les nombreux cafés et estaminets de la ville. Venez découvrir cette force publique citoyenne composée de volontaires qui durant cette longue période de paix a fait partie du paysage tournaisien avec ses tenues rutilantes qui rivalisaient avec celles de l’armée. Langues: Français, Néerlandais et Picard. </div>

Au son du tambour (Notre Garde civique 1830-1914)

Après avoir accueilli et exposé le magnifique travail de la photographe Nathalie Amand, le Musée d’Histoire naturelle et Vivarium de la Ville de Tournai propose, avec « Histoires naturelles #1 », sa nouvelle exposition et recentre son propos sur certaines grandes thématiques de la biologie.Il y a quelques jours, plusieurs équipes de scientifiques médiatisaient les résultats de leur dernière étude en alertant les citoyens sur la menace toujours plus probable d’une 6ème extinction de masse et en affirmant que la crise qui touche la biodiversité est au moins aussi sérieuse que la crise climatique. Dans ce contexte où il est toujours plus complexe de mobiliser, le muséum, au travers de sa nouvelle exposition, mise sur l’information rigoureuse et l’éducation comme moyens de mieux appréhender ces enjeux de société, de les prévenir et de lutter contre leurs effets. Ainsi, au travers d’anecdotes biologiques étonnantes ou surprenantes souvent méconnues du public, ce sont des notions générales fondamentales de la biologie qui se dévoilent. Des ponts improbables sont ainsi bâtis au cours de 5 « Histoires naturelles » déclinées par l’équipe du muséum.Dès lors, si vous avez envie de découvrir quel étrange fil conducteur relie des éléments aussi improbables que des hippopotames, un célèbre trafiquant de drogue colombien et le rat musqué en Wallonie ou encore une couleuvre américaine, des macaronis et les relations entre proies et prédateurs, alors n’hésitez pas à franchir les portes du Musée d’Histoire naturelle et Vivarium de Tournai.

Histoires naturelles #1

Depuis la Révolution de 1830 jusqu’à l’invasion de 1914, tous les dimanches, au petit matin, le son du tambour retentissait en ville pour appeler les membres de la Garde civique à revêtir leurs uniformes et à se regrouper dans leurs locaux avant de rejoindre en armes la plaine des manœuvres.Après cet exercice hebdomadaire, en défilé, les gardes rejoignaient la Grand-Place et ses alentours pour se répandre en activités plus festives dans les nombreux cafés et estaminets de la ville.Venez découvrir cette force publique citoyenne composée de volontaires qui durant cette longue période de paix a fait partie du paysage tournaisien avec ses tenues rutilantes qui rivalisaient avec celles de l’armée.Langues: Français, Néerlandais et Picard

<div>Après le multi-primé Tchaïka, la compagnie Belova-Iacobelli revient avec une création inspirée de la nouvelle russe Le Journal d’un Fou (1834) et de la vie de son auteur souffrant de trouble mental, Nikolaï Gogol. Conte absurde, Le Journal d’un Fou rappelle cette quête du paraître qui n’a pas pris une ride. Ce besoin effréné d’exister, de jouer un rôle dans la société quitte à fantasmer nos vies. Pour traduire cette œuvre majeure sur scène, deux comédiennes et une marionnette, sorte d’avatar, de corps multiple qui ouvre sur tous les possibles. Y ajoutant leurs expériences personnelles, les artistes explorent à nouveau tous les rouages du théâtre de marionnettes pour questionner la frontière incertaine entre folie et raison. Poprichtchine aime Sophie, la fille de son patron. Sauf qu’il est lui-même tout en bas de l’échelle. Mais s’il était en fait le roi d’Espagne Ferdinand VIII ?Voici donc l’histoire d’un amour fou…</div>

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