Patrick Pichon expose ses œuvres !
Les mots de Patrick Pichon : L'interprétation de l'image compte plus que l'image. L’aquarelle est le médium le plus difficile à maîtriser, mais reste le plus surprenant, et les « hasards » plus ou moins contrôlés me permettent des moments de compositions intuitives et de liberté créative. Mes aquarelles sont tantôt légères et transparentes mais le plus souvent vives et dynamiques, chargées de couleurs, d’explosions, de verticales et d’horizontales, autant de symboles des marines et de l’urbain dans son acception la plus large qui sont mes sujets de prédilection. Une sortie en mer ou les moments privilégiés d’une pêche, une promenade en ville, le passage à travers une gare ou dans de grandes zones portuaires sont des moments intenses que j'aime à partager sur le papier blanc ou le papier Kraft. Ils sont pour moi l'occasion de m'exprimer sur la lumière, le bruit, la foule, l'odeur, la démesure, la folie des hommes parfois ou ses passions comme la musique par exemple. La beauté en danger de notre planète est aussi une de mes interrogations et sujette à des œuvres pour autant positives : préférer proposer la beauté de notre terre plutôt que les méfaits de l’Homme. Désormais installé dans l’Ain dans le petit village de VONNAS (01), je me plais à peindre poules, coqs, vaches… et cette sérénité qui caractérise tant les étangs de la Dombes. Le sujet est et doit rester le prétexte à la création et c’est en cela que je me définis comme un « figuratif libre ». Le figuratif libre, c’est la libre interprétation d’une image bien réelle.

Exposition de peintures de Juillet

Peinture. Bellevillois de naissance, toujours très attaché à sa ville du bord de Saône. Autodidacte, il a toujours été attiré par l’art, le dessin, et depuis l’enfance, il a travaillé les différentes techniques au fil de l’âge et de ses apprentissages. 											 										Crayon, plume, fusain, aquarelle, pyrogravure, etc, avant de se fixer sur ce qu’il affectionne le plus, la peinture à l’huile. Longtemps à travailler comme graphiste, à créer entre autres des étiquettes de vin, il met à profit sa retraite pour se consacrer pleinement à sa passion de la peinture, l’art étant pour lui une addiction.Les mots de Christiane Bonicel : Je pratique ce médium depuis une trentaine d'années, avec toujours le même plaisir, les paysages imaginaires, les fleurs sont mes thèmes favoris. Je dispense mes connaissances dans divers cours pour le plaisir du partage, je suis membre de la société des aquarellistes lyonnais, j'ai participé à divers salons d'aquarelle ou j'ai côtoyé différentes approches de l'aquarelle auprès d'artistes venant de différents pays. Et toujours ce travail de l'eau et des pigments qui m'emmène sur les chemins aventureux .... De la peinture.

Michel Tribollet

de deux artistes, Claude Creach et Sandrine Condemine. Ouverture exceptionnelle le dimanche 29 sept pour le marché aux puces.											 										Les mots de Claude Creach :Je peins depuis une vingtaine d’années, mais je dessine depuis toujours...J’ai une préférence pour le figuratif même si j’apprécie aussi de travailler l’abstrait. J’aime peindre par séries. Les contes de fées, la mythologie, l’univers féminin m’inspirent.Les mots de Sandrine Condemine :Très jeune, je suis entrée dans la peinture par l’image, je feuilletais un magazine et je vis un tableau de René Magritte «La Mémoire» et sans savoir comment l’expliquer, ce fut le commencement d’un voyage dans l’absolu. Je pratique diverses techniques : acrylique, huile et l’aquarelle et cette année je m’initie à la gravure. J’aime créer des atmosphères poétiques : pour moi, l’art est une alchimie où la matière se transforme en émotion.

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