D Festival

Description

ll tient en une lettre mais recèle bien des histoires et des formes.
Le D est un festival à taille humaine, qui a pour ambition de soutenir la démarche de rencontre d'artistes chorégraphes et danseurs basés à Bruxelles.
Il se déploie sur 2 scènes interdisciplinaires et voisines, au Marni et au Senghor.
En 2024, le D Festival se tiendra la première quinzaine d'avril :
MOI VOYAGEUR DE REVE
Youri de Gussem
3 et 4 avril - 19:30
TO BE SCHIEVE OR A ROMANTIC ATTEMPT
Création de Fanny Brouyaux
3 et 4 avril - 20:30
NOS FEUX
Création de Léa Vinette
9 et 10 avril - 20:00
MARCH ON !
Création de Maria Eugenia Lopez
12 et 13 avril - 20:00 A propos de l'édition précédente :
Un présent extraordinaire où se trouver et se questionner ensemble. (...) Une édition marquée par une danse qui incarne, dénonce, ose porter une parole politique, un message social. Horizons vastes des disciplines mais aussi des esthétiques, des personnalités. (...) Le ton est donné : le festival distingue sans diviser, rassemble sans confondre. La Pointe

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Événements suggérés

March On ! est un projet chorégraphique qui propose un traitement poétique et sensible du phénomène migratoire. L'angle chorégraphique est le mouvement universel, symbolique et politique : la marche. Pour trois danseurs et un batteur, cette nouvelle création offre un langage brut et énergique, traduction d'un état de révolte face à l'injustice et aux stigmatisations que subissent « les migrants ». March On ! aborde la marche comme symbole d'errance, de voyage, mais aussi de rupture et de transformation. Avec ce geste puissant, vecteur à la fois d'empathie et de contestation, le projet cherche à évoquer un mouvement de résistance et de solidarité. Sous les contraintes d'effort et d'endurance, March On ! interroge le flux historique et perpétuel de la migration comme mouvement instinctif de survie et d'évolution des peuples. Avec Porteuse du projet Maria Eugenia Lopez Chorégraphie et interprétation Louis Nam Le Van Ho, Noé Pellencin et Maria Eugenia Lopez. Musicien Etienne Plumer Créateur lumières En recherche Production Inouïe asbl Coproduction Charleroi Danses. Centre chorégraphique de Wallonie - Bruxelles Projet soutenu par le Théâtre Marni et par la Fédération Wallonie Bruxelles Accompagné par le Grand Studio
********** English ********** A character – half dancer, half gymnast – will evolve throughout a physical demonstration. On a stage where everything is transformable, from costume to scenography to music, this is an opportunity to see the exceptional in simple things and to appreciate the power of micro-evolutions. Because this person, ordinary though she may be, went on stage with the intention of setting it on fire. Witness the journey of this individual in her performance, wanting to do well but not always succeeding. A mix of wanting to excel and surrendering to the simple pleasure of dancing. With this first solo work, Léa Dubois, dancer at Rosas (Anne Teresa De Keersmaeker), among others, takes us on a journey of joy, backed by the musical creativity of the Belgian duo Juicy. 14€ / 10€ / 6€ ********** Français ********** Un personnage, mi danseuse, mi gymnaste, va évoluer tout au long de sa démonstration physique. Sur une scène où tout est transformable, du costume à la scénographie en passant par la musique, voici l’occasion de voir l’exceptionnel dans les choses simples et d’apprécier la puissance des microévolutions. Car cette personne, aussi ordinaire soit-elle, est montée sur scène dans le but d’y mettre le feu. C’est la traversée de cet individu dans sa prestation, qui a envie de bien faire mais qui n’y arrive pas toujours. Un mélange de dépassement de soi et d’abandon au simple plaisir de danser. Avec ce premier solo, Léa Dubois, entre autres danseuse chez Rosas (Anne Teresa De Keersmaeker), nous embarque dans une course à la joie, épaulée à la création musicale du duo belge Juicy ! Immanquable ! AUTOUR DU SPECTACLE Atelier Le goût du drame (n'est jamais loin) pour toutes et tous, gratuit à l'achat d'une place de spectacle, le mardi 16 avril 2024, 18h30 > 20h30 - information ici. 14€ / 10€ / 6€ ********** Nederlands ********** Een personage, half danseres, half turnster, zal evolueren tijdens haar fysieke demonstratie. Op een podium waar alles veranderd kan worden, van de kostuums, het decor tot de muziek, is dit een gelegenheid om het uitzonderlijke te zien in eenvoudige dingen en de kracht van micro-evoluties te waarderen. Want dit persoon, hoe gewoon ze ook is, is op het podium gekomen om het in vuur en vlam te zetten. Het is de reis van deze persoon in haar voorstelling, die het goed wil doen maar daar niet altijd in slaagt. Een mix tussen zichzelf willen overtreffen en zich overgeven aan het simpele plezier van het dansen. Met deze eerste solo neemt Léa Dubois, danseres bij Rosas (Anne Teresa De Keersmaeker), ons mee in een wedloop naar de vreugde, ondersteund door het muzikale werk van het Belgische duo Juicy! Niet te missen! 14€ / 10€ / 6€
********** English ********** Stillness is but an appearance. For this new creation, the artist duo Tumbleweed presents a mid-air choreographic piece: an original way to continue their explorations of the loss of points of reference, and the notion of territory. Suspended above an upturned light, three dancers gradually move out into the void. They bear witness to the impermanence of things, and drift together in pursuit of an elsewhere that continues to merge and fade. Dehors est blanc, meaning “It’s white outside”, is a reference to the term "whiteout", an atmospheric optical phenomenon in which contrasts are nil and everything seems enveloped in a uniform white glow. Observers can then discern neither shadows nor the horizon, causing a loss of sense of depth and orientation. 14€ / 10€ / 6€ ********** Français ********** L’immobilité n’est qu’une apparence. Pour cette nouvelle création, le duo d’artiste Tumbleweed propose une pièce chorégraphique en suspens : une manière originale de poursuivre leurs explorations sur la perte des repères, et la notion de territoire. Suspendu·es au-dessus d’une lumière renversée, trois danseur·euse·s se déploient graduellement dans le vide. Iels témoignent de l’impermanence des choses, et dérivent ensemble à la poursuite d’un ailleurs, qui ne cesse de se fondre et de s’effacer. Dehors est blanc est une référence à l’expression « blanc dehors », un phénomène optique atmosphérique dans lequel les contrastes sont nuls et où tout semble enveloppé d’une lueur blanche et uniforme. L’observateur ne peut alors discerner ni les ombres, ni l’horizon, provoquant une perte du sens de la profondeur et de l’orientation. 14€ / 10€ / 6€ ********** Nederlands ********** Immobiliteit is slechts schijn. Voor deze nieuwe creatie stelt het kunstenaarsduo Tumbleweed een zwevende choreografie voor: een originele manier om hun verkenningen over het verlies van referentiepunten en het begrip territorium voort te zetten. Hangend boven een omgekeerd licht ontvouwen drie dansers zich geleidelijk in de leegte. Ze getuigen van de vergankelijkheid der dingen, en drijven samen op zoek naar een andere plaats, dat nooit ophoudt te smelten en te vervagen. Dehors est blanc verwijst naar de uitdrukking 'whiteout', een optisch meteorologisch verschijnsel waarbij contrasten verdwijnen en alles gehuld lijkt in een wit gloed. De toeschouwer kan dan noch schaduwen noch de horizon onderscheiden, waardoor hij of zij elk gevoel van diepte en oriëntatie verliest. 14€ / 10€ / 6€
99 cm
19apr.
-
20apr.
Un sincère partage de l'intime, inspiré de la vie d'artiste, de ses rêves et de ses cauchemars. Un point de vue particulier d'une vie, qui a changé de 99 cm entre le premier contact avec le monde extérieur et aujourd'hui. Ici, maintenant, elle est là, prête, ou presque prête à partager ses délires, envies et fantaisies. Mais entre les attentes et la réalité, il y a parfois des décalages et des surprises. Les choses ne se passent pas vraiment comme on les avait imaginées... Entourée d'objets et d'éléments du quotidien détournés de leur fonction, ce spectacle invite le public à découvrir les coulisses de la vie d'une artiste à travers l'univers circassien. Iara Gueller est brésilienne, de la grande ville de São Paulo. Elle passe toute son enfance dans le milieu artistique. Après une longue formation en danse classique, elle obtient son diplôme en danse contemporaine à l'UNICAMP (Brésil-2014) ; et développe en parallèle sa formation en cirque. En 2014 elle traverse l'océan pour tenter les écoles de cirque en Europe. Elle rentre à l'ESAC où elle se spécialise en Cerceau aérien. Une artiste touchée par l'absurde, l'univers qui accueille ses créations. En utilisant le cirque - qui permet d'amener le corps humain dans l'absurdité - mélangé à la danse, elle crée son propre monde qui, en fin de compte, n'est pas si loin de la réalité. Avec Création et interprétation Iara Gueller Technicien.ne Suzon Gheur Lumneiro Salva Salve / Xian Vancanneyt Regard dramaturgique Aurelia Brailowsky, Alejo Gamboa Regard extérieur Sander de Cuyper, Luciana Viacava Création structure Ulrich Weigel Accompagnement à la diffusion Louison Chartrain Co-production UP- Circus & Performing Arts (BE) Accueil en résidence Centre Culturel Wolubilis (BE) / Circo Zanni (BR) / Cirqu'conflex (BE) / La Bau (ES) / La Roseraie (BE) / Les Baladins du miroir (BE) / Maison Culturelle d'Ath (BE) / Maison de la Création (BE) / iaragueller.com
Le Breakomaton est une installation numérique interactive de rue, qui se présente sous la forme d'une grande cabine de danse logée sur une remorque (ou installée sous une tente). Les participant.e.s qui s'introduisent dans l'installation font la rencontre d'un professeur numérique présenté sous la forme d'un avatar vidéo qui va les guider dans la réalisation d'une courte phrase chorégraphique. Accessible à tout un chacun, les participants découvrent ainsi les différentes techniques de breakdance en vue de créer un clip vidéo. Les chorégraphies produites sont ensuite mises bout à bout pour former un clip vidéo mélangé et monté à partir de boucles pour créer une véritable chorégraphie, basée sur une musique commune, sous la forme d'une mosaïque collective. Depuis un écran placé en dehors de la cabine, le public peut suivre la construction de l'oeuvre et encourager les audacieux candidats, tout comme l'interaction peut se faire da cabine vers l'extérieur.
Au cours de l’année 2024, la compagnie Narcisse crée un festival de solo de danse, « Narcisse & Friends », répartis en trois soirées de danse complémentaire.Chaque soir, deux danseurs mettent en scène et abordent des thèmes actuels de la société. La musique et les mouvements accompagneront ces six danseurs dans les interrogations de ce qui anime chacun quant à sa place dans la société, dans le rythme que celle-ci impose à toute personne, en passant par des points très intimes, tel que la solitude, l’amour, la question du genre ou encore l’immigration.Comment chacun fait avec son corps, sa propre identité pour trouver une place qui fait sens, qui s’inscrit comme stable dans une société qui ne cesse de changer ? Est-ce qu’il y a un choix à faire ? Ces corps qui s’approchent, se distancient sur un fond de musique, qui s’intensifie par moment, tentent d’y apporter quelques réponses, pensées, émotions et…
De Ahmed Ayed / Collectif Illicium Création chorégraphique qui joint intime et universel, …And Nobody Else évoque la recherche d’une identité en constante transformation, une quête d’un « soi » libre dans une enveloppe étriquée. Ahmed Ayed, accompagné du chorégraphe et danseur Hamza Damra et du batteur et chanteur Timothée Philippe, explore ses questionnements identitaires, questionne la liberté d’être soi au- delà des masques qu’on s’impose. Est-ce que nous arrivons à atteindre pleinement notre identité profonde ou vivons-nous d’une série de compromis qui nous façonnent malgré nous ? Comment être nous-mêmes quand nous ne faisons que jouer des rôles que nous ne choisissons pas ? A travers le mouvement, la métamorphose constante du corps et de l’espace et la pulsation brute d’une batterie, …And Nobody Else nous emmène dans un voyage initiatique à la rencontre de différentes versions de soi-même. Une performance aux accents rock qui explore la frontière entre nos identités et la réalité qui nous entoure. -------- Conception, mise en scène et chorégraphie : Ahmed Ayed / Chorégraphie et interpretation : Hamza Damra / Performance musicale et composition : Timothée Philippe / Assistanat à la mise en scène : Amber Kemp / Dramaturge : Patrick Michel / Création lumières : Suzanna Bauer / Costumes : Aswad El Masrahi / Direction technique et régie lumière : Arnaud Lhoute / Régie son : Zoé Verdique / Ingénieur son : Arthur Wouters / Making of et Teaser : Alice Khol / Production déléguée : Théâtre de la Vie (Manon Di Romano). Une production déléguée du Théâtre de la Vie (Manon Di Romano), en coproduction avec La Coop asbl et Shelter Prod, Les Halles de Schaerbeek, Les Brigittines et C’est Central La Louvière, avec le soutien de taxshelter.be, ING et du tax shelter du gouvernement fédéral belge, de la COCOF, SABAM et SACD. Diffusion : La Charge du Rhinocéros.
Convertis à l’infinité du possible, les corps s’entrelacent, se multiplient, se dédoublent. Des personnages surgissent, frappés d’un irrésistible entrain, des histoires s’entrechoquent, indéfinissables, impossibles à réduire en un tout intelligible et résolu. La danse, échappée du pli de l'instant est un déferlement de force, d’exploits en tout genre. De cette énergie furieuse et exaltée, naissent des instants chorégraphiques d’une prodigieuse intensité, qui obnubilent et fascinent. Dans le cadre des Rencontres Danse, Cirque, Théâtre et du Mini D Festival.
********** English ********** Guided by Bruce Lee’s allusion to an old Zen Buddhist wisdom in his seminal film Enter the Dragon, “Don’t concentrate on the finger or you will miss all that heavenly glory!”, she proposes to move with what we cannot fathom. To disappear in order to preserve the words that precede us, that never left us. To transform in order to keep what came before us. In close collaboration with an invited group af artists, they dance nearby the guardians of words and rhythms of persisting, still vibrant but disregarded worlds and invites us to listen to images of encounters in the moment of their sounding. In close relation with the elliptical drive of the moon, they challenge the possibility to sense the remnants of a language inwardly, so that the deeper they go into their bodies, the wider they go into its dismembered but enduring vocabularies and grammars, without ever seizing or claiming them. ********** Français ********** Dans le sillage d’une ancienne sagesse du bouddhisme zen à laquelle Bruce Lee fait allusion dans son film innovateur Enter the Dragon, « Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt », Moya Michael propose de suivre le mouvement de ce qu’on ne peut pas concevoir, de disparaître pour conserver les mots qui nous précèdent et ne nous ont jamais quittés, de transformer pour sauvegarder ce qui nous a précédés. En étroite collaboration avec un groupe d’artistes invités, elle danse au plus près des gardiens des mots et des rythmes de mondes inflexibles, toujours vivants mais oubliés ou négligés, et nous invite à écouter les images de rencontres au moment où elles résonnent. En relation intime avec l’élan orbital de la lune, iels remettent en question la possibilité de ressentir intérieurement les vestiges d’une langue, de sorte que plus on se meut en profondeur dans notre corps, plus on s’immerge dans ses vocabulaires et sa grammaire, fragmentés mais durables, sans jamais les saisir ou les revendiquer. ********** Nederlands ********** Geleid door Bruce Lee’s toespeling op een oude Zen Boeddhistische wijsheid in zijn baanbrekende film Enter the Dragon, “Focus niet op de vinger of je mist al die hemelse glorie!”, stelt ze voor om mee te bewegen met wat we niet kunnen bevatten. Te verdwijnen om de woorden te behouden die ons voorafgaan, die ons nooit hebben verlaten. Te transformeren om wat ons voorafging te bewaren. In hechte samenwerking met een groep genodigde artiesten, danst ze dichtbij de bewakers van woorden en ritmes van onbuigzame, nog levendige maar in de wind geslagen werelden en nodigt ze ons uit om te luisteren naar beelden van ontmoetingen op het moment dat ze weerklinken. In nauwe relatie met de elliptische impuls van de maan dagen zij de mogelijkheid uit om de overblijfselen van een taal innerlijk aan te voelen, zodat hoe dieper ze zich in hun lichaam bewegen, hoe breder ze zich begeven in haar versnipperde maar duurzame woordenschatten en grammatica, zonder ze ooit vast te grijpen of op te eisen.
Ensemble, nous explorerons cet espace à la découverte de nouveaux chemins. Nous créerons un lieu pour se sentir bien, se détendre, écouter et regarder les danseurs. Il s’agira d’un endroit imaginé pour des enfants à partir de 4 ans, qui inspirera à rêver et à jouer. Grotte – Nid - Temple – Maison est un moment d’exploration, un croisement entre un spectacle de danse, un concert et une installation. Il s’agira d’une expérience dansante et visuelle pour petits et grands, pour un moment de paix, de fantaisie et de connexion. Il s’agit d’un spectacle proposé dans le cadre du Mini D Festival à Bruxelles, le Festival de danse contemporaine à destination des enfants.