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de Thierry JANSSEN
d’après le personnage de Johnston McCulley
Voilà plus de 15 ans que Don Diego de la Vega s’est juré de ne plus porter le
masque de Zorro.
Mais alors qu’en ville, les préparatifs pour la Fête des Morts vont bon train,
les discordes avec son adolescente de fille, l’arrivée d’un nouveau Gouverneur
aux desseins machiavéliques, la tension ravivée avec les Apaches et la mort de
Bernardo, son fidèle complice muet, vont contraindre Don Diego à enfiler une
nouvelle fois son costume de justicier. D’autant plus qu’un faux Zorro a fait
son apparition dans la région. Tout se règlera à grands coups d’épée, de courses
échevelées et de feux d’artifice ! Nous vous convions à un spectacle haut en
couleur, où l’humour le plus délirant côtoie combats grandioses et
rebondissements.
Tout dépend du nombre de vaches
Description
Durée : 50 min
Âge des enfants : à partir de 7 ans
Tout public
La compagnie française Uz & Coutumes créée, depuis plusieurs années, des spectacles relatifs à l’histoire et la mémoire du génocide des Tutsi au Rwanda. Sa dernière création « Tout dépend du nombre de vaches » a la particularité de s’adresser à un public d’enfants (à partir de 7 ans) et d’adultes grâce à l’installation d’un dispositif ingénieux et approprié à l’âge de chacun.
« Tout dépend du nombre de vaches » est la troisième création de la Compagnie Uz & coutumes, en mémoire des Tutsi du Rwanda, décimés par le dernier génocide du 20ème siècle en 1994. Leur engagement s’écrit en aller / retour entre la France et le Rwanda. Ils ont ainsi acquis suffisamment de connaissances, de désirs, de volontés, de questionnements aussi pour vouloir aujourd’hui inventer un théâtre qui raconte cette histoire à des enfants.
C’est une décision consciente et murie dans le fin-fond de toutes ces années de travail.
Depuis dix ans, les membres de la Cie ont rencontré, entendu, recueilli, transformé de nombreux témoignages et récits de survivants du génocide. Ils ont accumulé les ouvrages des historiens, psychologues, enseignants.
Ils ont cherché, croisé cette matière. Ils sont aujourd’hui convaincus qu’il faut la transmettre, la donner aux plus petits parce que ce qu’il s’est passé nous concerne, parce que nous devons construire l’humanité en inventant un langage capable de dire le plus terrible de l’homme en renouvelant ce langage que « seul le théâtre peut dire », en référence au livre éponyme d’Enzo Cormann.
Nous savons qu’une part de l’homme est morte au Rwanda en 1994 et dire ceci aujourd’hui à des enfants, c’est rattraper un peu, à bout de bras, l’espérance d’un monde meilleur.
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