Exposition de photographie “Together” sur les Amours queers.
Le 19 mai aura lieu une performance de Hugo Amour à 15h00.
Expo « Justice pour het Paleis »
Description
En couleur et en noir et blanc, le Palais de justice de Bruxelles se dévoile : sa coupole étincelante, sa salle des pas perdus extraordinaire, ses colonnes gréco-romaines monumentales, ses œuvres d’art et ses sculptures multiples, ses salles d’audience au parquet ciré, ses couloirs infinis, et bien plus encore.
Venez explorer ce monument emblématique de l'intérieur, grâce au regard unique de 30 étudiants de l'Académie des Arts RHoK d'Etterbeek. À l’invitation de la Fondation Poelaert, pendant près d'une année, ils ont arpenté ses 26 000 mètres carrés, capturant son essence même alors que le Palais est en pleine rénovation. Ils nous présentent le fruit de leurs déambulations dans une superbe exposition de photographies à découvrir au Mont-de-Piété, à deux pas du Palais de Justice.
INFOS PRATIQUES
Dates : du samedi 4 au dimanche 19 mai 2024
Adresse : 19 rue Saint-Ghislain, 1000 Bruxelles
Horaires de l’exposition:
Les vendredi, samedi, dimanche de 11h à 19h
(+ ouverture exceptionnelle le mardi 14 mai de 10h à 16h)
Vernissage : vendredi 3 mai 2024 de 18h à 22h
Entrée gratuite, sans réservation
Plus d'infos sur l'expo :
https://montdepiete.be/blogs/news/expo-justice
Photographie
Information sur la date
Du 03/05/2024 au 19/05/202418:00 / 22:00Le 04/05/202411:00 / 19:00Le 05/05/202411:00 / 19:00Le 10/05/202411:00 / 19:00Le 11/05/202411:00 / 19:00Le 12/05/202411:00 / 19:00Le 14/05/202410:00 / 16:00Le 17/05/202411:00 / 19:00Le 18/05/202411:00 / 19:00Le 19/05/202411:00 / 19:00
Billets
Info:
Gratuit
Info & Réservation
1 Photo
Événements suggérés
********** English **********
Photographies by Patrick Labarrere
Ethiopia, cradle of humanity but also cradle of Orthodox Christianity. A dive
into these sacred spaces, into this Ethiopian belief, leads to a loss of
bearings and encourages reflection on the fervor that one encounters while
walking the paths of the ancient kingdom of Abyssinia.
********** Français **********
Exposition de photographies de Patrick Labarrere
L'Éthiopie berceau de l'humanité mais aussi berceau de la chrétienté orthodoxe.
Une plongée dans ces espaces sacrés, dans cette croyance Éthiopienne entraine
une perte de repère et incite à réflexion sur la ferveur que l'on rencontre en
arpentant les chemins de l'ancien royaume d'Abyssinie.
********** Nederlands **********
Tentoonstelling van foto's van Patrick Labarrere
Ethiopië, bakermat van de mensheid maar ook bakermat van het orthodoxe
christendom.
Een duik in deze heilige ruimtes, in dit Ethiopische geloof, leidt tot verlies
van oriëntatie en moedigt reflectie aan over de hartstocht die je tegenkomt
tijdens het bewandelen van de paden van het oude koninkrijk Abessinië.
Vernissage le 8 mai à 11h.
De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et
leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en
question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et
des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux,
conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une
force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées
renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité
européenne commune.
Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen :
1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant
la Seconde Guerre mondiale.
2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland
au Danemark depuis 1945.
3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède.
4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945,
exemplifié par la ville polonaise de Slupsk.
5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes.
6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de
l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants.
7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population
multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale.
Réservations : museum@foyer.be
https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY
Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h
Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net
À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des
phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient
présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée
exceptionnelle.
Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et
médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary
Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà.
Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et
discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur
l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question
musicale.
À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront
proposés à la vente.
Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à
l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur
l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée
(Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums
(Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub
Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal.
Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de
Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des
femmes médiums.
Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le
fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle
de Bruxelles.
NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de
Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water
en de vallei opnieuw laten voelen.
FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la
vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la
présence de cette eau évaporée et de la vallée.
Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit
Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre
les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou
dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan.
Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont
peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies
silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour
aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au
lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À
supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une
interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les
autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous
parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la
fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque
rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de
vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se
distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un
tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui
ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages
d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui
n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse
recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver
son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que
vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de
couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en
quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous.
Ludovic Degroote
Des images qui, altérées, oscillent entre le lisible et l’illisible. Pourtant,
des traces de présence humaine et des fragments de paysage, des textures et des
sensations se révèlent à nous. Des indices semés par Solal Israel pour nous
laisser entrevoir ce qui est, ce qui n’est pas, ce qui aurait pu être… ouvrant
ainsi la voie à une lecture personnelle de l’image.
* * *
Né à Bruxelles en 1993, Solal Israel grandit dans un milieu artistique et se
lance dans la photographie à 17 ans, discipline qu’il étudie à l’ÉSA Le 75 de
2011 à 2014. Parmi ses réalisations, il y a le livre [Never] Let me go, un
recueil dans lequel il présente son travail entre 2012 et 2016, ou encore
l’exposition Regarde mon histoire/Kijk naar mijn verhaal au Hangar en 2021. Son
parcours l’amène à faire un tour du monde de début 2017 à mi-2018. Solal Israel
est également cofondateur de la La Nombreuse asbl, collectif de photographes et
espace de création à Saint-Gilles.
* * *
Vendredi 31 mai, 18h - vernissage ouvert à toustes.
Samedi 8 juin, 16h - visite guidée avec l'artiste.
Mercredi 12 juin, 19h15 - soirée EXPO+DOC, visite guidée suivie d'une
projection. En collaboration avec le Centre du Film sur l'Art.
Nu het einde van het schooljaar nadert, tonen de kinderen en jongeren van de
RHOK Academie een deel van het werk dat ze afgelopen jaar gecreëerd hebben.
FR - À l'approche de la fin de l'année scolaire, les enfants et les ados de
l'academie RHOK présentent certains des projets artistiques qu'ils ont réalisés
l'année passée.
********** English **********
As the daughter of the child who was left in the home, Greene traces her family
story along the matrilinear line, and the resulting film enters into the gaps in
memory and record. Máthair offers a fragmented and elliptical account of a
search for knowledge in the face of institutional oppression and obfuscation;
the film resists linear narrative and documentary modes, offering us an intense
and revelatory encounter with a shared family trauma.
Scant records and redacted documents describe the negation and erasure of those
who passed through the church’s homes for unmarried mothers. The sensory lives
of these ungraspable women are embodied in choreographed phrases performed by
four dancers, whose costumed movements both gesture towards and subvert the
constrictive clothing regulations of Catholic institutions and the forced female
labour in the church’s laundries. Glimpses of this performance are threaded
between a chaotic collage of archival material and present-day online chat
rooms; the only respite is found in the holding space of the landscape and the
bodies of water between England and Ireland. The silences of the archive are
countered by a dissonant sound score, a pulsing polyphonic composition dense
with complex sensory impressions, and a chorus of unvoiced voices compelling us
to stay with the problem.
Keira Greene is an artist working across film, photography, performance and
text. Her work is preoccupied with the social and organic life and landscape of
specific environments. Her work is produced through a collaborative and
conversational practice of looking, writing and forming enduring relationships.
Recent works are concerned with ideas of the body and the experience of emotion,
in dialogue with an embodied filmmaking practice.
http://keiragreene.com/
********** Français **********
En 1954, une femme Irlandaise se rend en Angleterre pour donner naissance à un
enfant illégitime. En 2024, sa petite-fille – la réalisatrice – retrace son
parcours en reconstituant les fragments de son histoire. Máthair (Mère) s'appuie
sur un réseau complexe d'informations obfusquées, provenant d'agences
administratives d'adoption, des dossiers d'un foyer catholique pour mères et
bébés et de conversations en ligne entre des inconnu·e·s suivant les mêmes
traces d'archives. Máthair interroge les institutions religieuses, le concept de
maternité et le sentiment d'appartenance à un lieu.
Keira Greene est une artiste qui travaille à la frontière du film, de la
photographie, de la performance et du texte. Son travail se concentre sur la vie
sociale et organique au sein de paysages spécifiques. Son travail est produit
par une pratique collaborative et conversationnelle du regard, de l'écriture et
par la formation de relations durables. Ses œuvres récentes s'intéressent aux
corps et à l'émotion, en dialogue avec une pratique cinématographique incarnée.
http://keiragreene.com/
********** Nederlands **********
In 1954 reisde een Ierse vrouw naar Engeland om te bevallen van een
buitenechtelijk kind. In 2024 volgt haar kleindochter, de filmmaker, haar reis
door fragmenten van haar verhaal bij elkaar te zoeken. Máthair (Mother) is
gebaseerd op een complex web van verdoezelde informatie van adoptiebureaus,
verslagen van een katholiek tehuis voor moeders en baby's, en chatgesprekken
tussen vreemden die hetzelfde archiefspoor volgen. Máthair bevraagt de
instellingen van religie, noties van moederschap en een gevoel van plaats.
Keira Greene is een kunstenaar die werkt met film, fotografie, performance en
tekst. Haar werk houdt zich bezig met het sociale en organische leven en
landschap van specifieke omgevingen. Haar werk wordt gemaakt door middel van een
collaboratieve en conversationele praktijk van kijken, schrijven en het vormen
van duurzame relaties. Recente werken houden zich bezig met het lichaam en de
ervaring van emotie, in dialoog met een belichaamde filmpraktijk.
http://keiragreene.com/