Braine-le-Château en illustrations par Valy Hart

Description

Valy Hart est une artiste brainoise formée en bande dessinée entre autre par le grand scénariste belge Yvan Delporte (rédacteur en chef du journal Spirou). Attirée aussi par la peinture et les grands formats, elle s’est spécialisée pendant 20 ans dans les fresques et trompe-l’œil. Elle est également une portraitiste émérite qui peint avec finesse, réalisme et sensibilité l’histoire de ses sujets.


Aujourd’hui, elle revient dans cette exposition sur ses premiers amours à voir l’Illustration et la Bande-Dessinée. Elle utilise sa passion pour la photographie en randonnée comme base pour une série d’illustrations sur Braine-Le-Château, sa nouvelle ville de cœur, et ses monuments. Les œuvres sont réalisées à l’acrylique et feutres. Y seront également exposés une série de portraits, toujours dans le style comics de personnalités de la commune.


Informations pratiques:

  • L'exposition se tiendra à la Maison du Bailli du 4 mai au 2 juin
  • Du mercredi au dimanche de 13h à 17h
  • Gratuit

Information sur la date

Du 04/05/2024 au 02/06/2024

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********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Espace Art Gallery a le plaisir de vous présenter son vernissage le 02 mai 2024. 1° À ne pas manquer la fin de l’exposition d’avril : Finissage le 27 & 28 avril de 11h 00 à 18h 00. Lien vers l’annonce visuelle de l’exposition du 04 avril : https://www.espaceartgallery.eu/espace-art-gallery-vous-presente-son-prochain-vernissage-du-04-04-2024-et-son-agenda-culturel/ 2° La prochaine exposition de mai : Les artistes présents pour cet événement sont : Helene De Smet (Be) peintures, Cécile Van Ransbeeck (Be) peintures, Natalina Cullier-Montagné (Fr) sculptures en grès et en Raku, Michel Sebastian (Fr) peintures (prolongement), Nicole Meunier (Be) peintures, Rita Teugels (Be) peintures, Anita De Meyer (Be) peintures et l’écurie de la galerie (Int) peintures et sculptures. Ainsi que Nathalie Pannetier artisane d’art en maroquinerie à son compte depuis 2019. Elle apprit ce magnifique métier chez Hermès, pendant 13 ans, gravi les échelons l’un après l’autre jusqu’à être manager d’atelier. Elle s’est ensuite mise à son compte et crée sa propre marque : « Les Cuirs du Clédou ». Chaque pièce est unique, elle ne réalise jamais de série, de l’artisanat d’art à l’état pur ! Référencé Atelier d’Art de France. Vernissage le jeudi 02 mai de 18h 30 à 21h 30. Finissage le 25 & 26 mai de 11h 00 à 18h 00. Lien vers l’annonce visuelle de l’exposition du 02 mai : https://www.espaceartgallery.eu/espace-art-gallery-vous-presente-son-prochain-vernissage-du-02-05-2024-et-son-agenda-culturel/ La 7e remise des recueils et des diplômes sera le samedi 25 mai 2024 pour les recueils n° 11 T I & II/2022 ! Lien de l’annonce de la fête de remise 2024 sur mon site Internet : https://www.espaceartgallery.eu/la-7e-fete-de-remise-des-publications-2022-relatives-au-travail-de-fond-de-la-galerie-aura-lieu-le-samedi-25-mai-2024-de-18h-30-a-22h-00/ https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu https://www.instagram.com/espace.art.gallery/ https://www.linkedin.com/in/jerry-delfosse-espace-art-gallery/ Lien vers le renouveau urbanistique dans le centre de Bruxelles ! https://www.oxybrussels.eu/?fbclid=IwAR1VEUNKNZwMNYHxaun0rOVdabtQ_ZZUQkARzbby64SjD5K0z7z8Eebm1Xo Si vous ne voulez plus être informé sur les activités de la galerie il suffit d’envoyer un mail à eag.gallery@gmail.com en indiquant votre refus ! Bien cordialement, Jerry Delfosse Galeriste * Fondateur et propriétaire de l’Espace Art Gallery, Les Éditions d’Art EAG & EAG Studio’s Co-fondateur et propriétaire du réseau Arts et Lettres 3.0 Administrateur général * Président de jury pour décerner un diplôme d’art Membre d’un jury international à Corsica Art Fair * Rue de Laeken, 83 à B 1000 Bruxelles - Belgium GSM: 00.32.497. 577.120 eag.gallery@gmail.com https://www.espaceartgallery.eu/ https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu https://www.instagram.com/espace.art.gallery/ https://www.linkedin.com/in/jerry-delfosse-espace-art-gallery/ https://artsrtlettres.ning.com/ http://www.joseduchant.be/ Lien pour visionner les 184 vidéos et 76.000 vues sur YouTube https://www.youtube.com/@espaceartgallery4966
********** English ********** Many migration movements demand a lot from migrants. Their lives and health are threatened, their right to self-determination is challenged, and their individual identities become objects of other people’s prejudices and actions. All migration processes, even the painful ones, lead to new cultural diversity, which can be seen as a positive force in today’s societies. Shared experiences empower the citizens of Europe and help create our joint European identity. Featured are some very specific situations at European level: 1. The long-term consequences of the German occupation of Norway during World War II. 2. Prejudices against many Greenlandians after the migration from Greenland to Denmark since 1945. 3. Forced migration of Sámi from the North to the South of Sweden. 4. Population exchange in former German Pomerania after 1945, exemplified by the Polish town Slupsk . 5. The long-term consequences of the Holocaust for Lithuanian women. 6. Migration to Slovenia after World War II and the impact of the country’s independence in 1991 on the migrants. 7. The complex political history of the Istrian peninsula and its multi-ethnic population related to 200 000 emigrants after World War II. Reservations: museum@foyer.be Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu ********** Français ********** De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux, conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité européenne commune. Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen : 1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale. 2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland au Danemark depuis 1945. 3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède. 4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945, exemplifié par la ville polonaise de Slupsk. 5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes. 6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants. 7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale. Réservations : museum@foyer.be Infos : https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu ********** Nederlands ********** Veel migratiebewegingen eisen veel van migranten. Hun levens en gezondheid worden bedreigd, hun recht op zelfbeschikking wordt uitgedaagd, en hun individuele identiteiten worden objecten van vooroordelen en acties van anderen. Alle migratieprocessen, zelfs de pijnlijke, leiden tot nieuwe culturele diversiteit, die kan worden gezien als een positieve kracht in de hedendaagse samenlevingen. Gedeelde ervaringen versterken de burgers van Europa en helpen bij het creëren van onze gezamenlijke Europese identiteit. Er bestaan enkele zeer specifieke situaties op Europees niveau: 1. De langetermijngevolgen van de Duitse bezetting van Noorwegen tijdens de Tweede Wereldoorlog. 2. Vooroordelen tegen veel Groenlanders na de migratie vanuit Groenland naar Denemarken sinds 1945. 3. Gedwongen migratie van Sami van het noorden naar het zuiden van Zweden. 4. Bevolkingsuitwisseling in het voormalige Duitse Pommeren na 1945, geïllustreerd door de Poolse stad Slupsk. 5. De langetermijngevolgen van de Holocaust voor Litouwse vrouwen. 6. Migratie naar Slovenië na de Tweede Wereldoorlog en de impact van de onafhankelijkheid van het land in 1991 op de migranten. 7. De complexe politieke geschiedenis van het Istrische schiereiland en zijn multi-etnische bevolking in verband met 200.000 emigranten na de Tweede Wereldoorlog. Reserveringen: museum@foyer.be Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
********** English ********** Les Passagées is a venue dedicated to the creation of artistic and culinary performances, housed in the historic house of the painter Eugène Broerman in Brussels. Our first performance INNER LANDS & SCAPES will bring together 6 artists from different disciplines, as well as Michelin-starred Japanese chef Chiho Kanzaki. It's a multidisciplinary artistic experience combining dance with choreographer Benoît Nieto Duran and sound creations by artist Raphaël Vens. There will also be three 'prepared pianos' by Polish virtuoso Barbara Drazkov scattered around the house, enveloping the monumental works of visual artist Valérie Novello in sound. And at certain moments, the haunting voice of actress Marie-Rose Meysman will share the words of author Ryoko Sekiguchi. As the performance progresses, several of chef Chiho Kanzaki's creations will be served up. The 6 artists have worked together for several months to forge deep links between their respective arts and works. The aim is to take the public on a journey through a global artistic landscape in which the works respond to each other and engage in dialogue, layer by layer. Given that we're working on the connections between art and food in relation to the body, we've opted for a limited, intimate number of 30 participants per evening. With this project, we want to work towards a sustainable and respectful world. How can we do this? In our view, becoming aware of what passes through our bodies is one of the keys to protecting living things in the long term. It's about gently reconnecting with our inner sensations, our invisible landscape, so that this effect can take root and last. After the approximately 1h30 performance, during which we will be serving several culinary creations linked to the works, a dish (and drinks) by chef Chiho Kanzaki, will be served to the participants and artists during a meal together, in order to experience a slow transition between the sensations of the performance and everyone's return to their everyday lives... ********** Français ********** Les Passagées, c'est un lieu dédié à la création de performances artistiques et culinaires installé dans la maison historique du peintre Eugène Broerman à Bruxelles. Notre première performance INNER LANDS & SCAPES va réunir 6 artistes de disciplines différentes, ainsi que la cheffe japonaise étoilée Chiho Kanzaki. Il s'agit d'une expérience artistique multidisciplinaire alliant la danse avec le chorégraphe Benoît Nieto Duran, aux créations sonores de l'artiste Raphaël Vens. Il y aura également les trois "pianos préparés" de la virtuose polonaise Barbara Drazkov qui seront répartis dans la maison enrobant de sons les oeuvres monumentales de la plasticienne Valérie Novello. Et puis la voix envoûtante de la comédienne Marie-Rose Meysman partagera à certaines moments les mots de l'autrice Ryoko Sekiguchi. Au fur et à mesure de la performances, plusieurs créations de la cheffe Chiho Kanzaki seront servies. Les 6 artistes ont travaillés ensemble plusieurs mois afin de tisser des liens profonds entres leurs arts et oeuvres respectives. Il s'agit pour le public de vivre une traversée dans un paysage artistique global où les oeuvres se répondent et dialoguent ensemble, strate après strate. Etant donné que l'on travaille sur les connexions entre l'art et la nourriture en lien avec le corps, on a opté pour un nombre limité et intime de 30 participants par soir. Par ce projet, nous souhaitons oeuvrer pour un monde durable et respectueux. Comment? A nos yeux, prendre conscience de ce qui traverse notre corps est une des clés de la protection du vivant à long terme. Il s’agit de se reconnecter avec douceur à nos sensations intérieures, notre paysage invisible, pour que cet effet puisse s’ancrer et s’inscrire dans la durée. Après la performance d'approximativement 1h30 pendant laquelle nous servirons déjà plusieurs créations culinaires en lien avec les oeuvres, un plat (et boissons), toujours par la cheffe Chiho Kanzaki, sera servit aux participants ainsi qu'aux artistes lors d'un repas tous ensemble, et ce, afin de vivre une transition lente entre les sensations de la performance et le retour de chacune et chacun vers son quotidien... ********** Nederlands ********** Les Passagées is een ruimte gewijd aan de creatie van artistieke en culinaire voorstellingen, gehuisvest in het historische huis van de schilder Eugène Broerman in Brussel. Onze eerste voorstelling, INNER LANDS & SCAPES, brengt 6 kunstenaars uit verschillende disciplines samen, evenals de Japanse Michelin-ster chef-kok Chiho Kanzaki. Het is een multidisciplinaire artistieke ervaring die dans combineert met choreograaf Benoît Nieto Duran, en geluidscreaties van kunstenaar Raphaël Vens. Er zullen ook drie 'geprepareerde piano's' van de Poolse virtuoos Barbara Drazkov verspreid zijn door het huis, en die de monumentale werken van beeldend kunstenaar Valérie Novello met geluid zullen omhullen. En op bepaalde momenten zal ook de stem van actrice Marie-Rose Meysman de woorden van schrijfster Ryoko Sekiguchi delen. Naarmate de voorstelling vordert, worden verschillende creaties van chef-kok Chiho Kanzaki opgediend. De 6 kunstenaars hebben een aantal maanden samengewerkt om diepe banden te smeden tussen hun respectieve kunsten en werken. Het doel is om het publiek een reis door een globaal artistiek landschap te laten ervaren waarin de werken op elkaar reageren en laag voor laag een dialoog aangaan. Met dit project willen we werken aan een duurzame en respectvolle wereld. Hoe kunnen we dit doen? Volgens ons is het bewust worden van wat er door ons lichaam stroomt een van de sleutels om levende wezens op de lange termijn te beschermen. Het gaat erom dat we zachtjes opnieuw contact maken met onze innerlijke gewaarwordingen, ons onzichtbare landschap, zodat dit effect wortel kan schieten en blijvend kan zijn. Na ongeveer een 1u30 durende voorstelling, waarin we verschillende culinaire creaties zullen serveren die gelinkt zijn met de kunstwerken, zal er een gerecht (en drankjes), hier ook klaargemaakt door chef-kok Chiho Kanzaki, geserveerd worden aan zowel de deelnemers als de kunstenaars tijdens een gezamenlijke maaltijd, om zo een langzame overgang te ervaren tussen de sensaties van de voorstelling en ieders terugkeer naar het dagelijkse leven...
Het Volk der Introverten is een geboetseerde menigte bestaande uit hoofdjes van klei met ogen dicht, gemaakt door vele handen. Onder leiding van kunstenaar Mirthe Dokter (Pollif Projects) wordt je meegenomen in een zoektocht van je handen naar jezelf, met de klei als vriendelijke bondgenoot. Door een moment gezamenlijk introvert te zijn poogt Mirthe deze kant van de mens meer ruimte te geven in het dagelijkse leven. Ook biedt het kunstwerk een podium aan de mensen die zich ongezien voelen. Je kan bijdragen aan het Volk der Introverten van Sint-Gillis door mee te kleien tijdens een boetseersessie. Jouw hoofdje wordt onderdeel van het kunstwerk, dat zo groeit en groeit. Dat kan tijdens gezamenlijke sessies, maar je kan doorlopend ook zelf komen kleien in de exporuimte, te midden van alle gezichtjes. De hoofdjes worden niet afgebakken, maar zullen uiteindelijk buiten geplaatst worden waar ze weer zullen verdwijnen. Terug naar waar de klei vandaan komt, opnieuw onzichtbaar.
Hortense Dayez explore avant tout la beauté et la jouissance esthétique d’un art connoté comme étant exclusivement féminin avant de comprendre le sens et de construire un discours qui de nos jours est trop souvent superflu. C’est la force et le pouvoir émotionnel des œuvres qu’il lui plaît de partager. Les œuvres qu’elle présente ne prétendent pas former un ensemble cohérent, mais sont plutôt un travail d’exploration d’univers textiles différents, lié aux récoltes du moment et au plaisir de les mettre en forme. Constitué comme un journal intime, c’est un laboratoire de sa pensée conçu comme des essais de matières ou de composition qui permettent d’y voir ses humeurs et une forme de poésie. Son projet textile participatif a permis de faire collaborer enfants, adultes apprenants en alphabétisation et habitants du quartier autour d’une œuvre textile commune. Une façon de sensibiliser au réemploi, au recyclage et à la revalorisation de matériaux souples sous une forme artistique. Les techniques simples proposées ont rendu les ateliers ludiques et on fédéré différents publics autour de choix esthétiques et créatifs.
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan. Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous. Ludovic Degroote
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies Van Wielendaele. Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag." FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie de la photographe Marlies.