Nu het einde van het schooljaar nadert, tonen de kinderen en jongeren van de
RHOK Academie een deel van het werk dat ze afgelopen jaar gecreëerd hebben.
FR - À l'approche de la fin de l'année scolaire, les enfants et les ados de
l'academie RHOK présentent certains des projets artistiques qu'ils ont réalisés
l'année passée.
Expo Gert Vandeweyer
Description
Gert Vandeweyer, wonende in Watermaal Bosvoorde, schildert al sinds enkele jaren. Meestal abstract met vele verschillende kleuren.
Hij tekent ook op stenen en sculpturen van allerlei maten.
Art
Musée
Peinture
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Événements suggérés
Exposition de photographie “Together” sur les Amours queers.
Le 19 mai aura lieu une performance de Hugo Amour à 15h00.
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre
les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou
dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan.
Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont
peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies
silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour
aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au
lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À
supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une
interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les
autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous
parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la
fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque
rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de
vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se
distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un
tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui
ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages
d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui
n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse
recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver
son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que
vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de
couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en
quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous.
Ludovic Degroote
L'artiste abstraite Isa Dor convie les amateurs d'art à une expérience immersive
avec son exposition, "Odyssée Chromatique – Contes de Résilience", qui promet de
transporter le public au Centre d'Art Fantastique de Bruxelles.
Prévue pour s'ouvrir le mercredi 22 mai de 18h à 21h, et à découvrir du 23 au 26
mai, "Odyssée Chromatique – Contes de Résilience" offre une véritable explosion
sensorielle. Cette exposition explore les aspects complexes de l'expérience
humaine, naviguant des ténèbres du chaos à la lumière de la résilience et de la
joie. À travers plus de 25 œuvres sélectionnées avec soin, Isa Dor transcende
les frontières de l'art traditionnel pour offrir des récits captivants de
guérison et de renouveau.
Chacune des peintures exposées témoigne des défis surmontés et de la résilience
intrinsèque à la condition humaine. Le style expressif et dynamique d'Isa Dor
capture l'essence de son parcours, mêlant des couleurs vibrantes à des paysages
oniriques pour créer un univers où l'espoir émerge des ténèbres.
Isa Dor, reconnue pour son style expressionniste audacieux, a obtenu une
reconnaissance tant au niveau local qu'international. Avec des expositions en
Belgique et en France, notamment une récompense au concours artistique du
Festival International du Film Fantastique de Bruxelles en 2023, son travail
résonne auprès des publics en quête d'expériences artistiques authentiques et
profondes.
"Je crois fermement au pouvoir de l'art pour guérir et connecter les âmes",
déclare Isa Dor. "À travers 'Odyssée Chromatique – Contes de Résilience', je
souhaite créer un espace où les visiteurs peuvent plonger dans des couleurs
vibrantes et des émotions brutes, trouvant ainsi réconfort et inspiration à
chaque toile."
Le Centre d'Art Fantastique, situé au 18 rue de la Glacière à Bruxelles, offre
un cadre idéal pour les vastes toiles d'Isa Dor. Niché au cœur des historiques
Glacières de Saint Gilles, cet espace unique offre aux visiteurs l'opportunité
rare de découvrir les œuvres les plus imposantes d'Isa Dor, habituellement
réservées à son atelier.
********** English **********
Repetition / Erosion is a contemporary approach to the Cantigas de Santa Maria,
a 13th century Galician song collection, through the lens of Erosion. Cantigas
de Santa Maria is one of the largest song collections from the Middle-Ages,
with a total of 427 songs. Dedicated to the Virgin Mary, the collection
alternates poems narrating stories of miracles and praising Hymns. The overall
work, written in vernacular language (Galaico-Portugues) is oscillating between
courtly love tellings and liturgy. Besides its literary and musical legacy,
this work can also be read as a chronicle of both cultural and mystical life in
Europe during the 13th century and reveals the blurred line between sacred and
folklore. The project plays with different scales of time: geological,
historical, musical and human. In constant evolution, the performance consist of
a succession and/or superposition of repetitive tasks addressing the different
aspects of the songbook : musical, poetic, iconographic, historic…
********** Nederlands **********
Repetition / Erosion is een hedendaagse benadering van de Cantigas de Santa
Maria, een 13e-eeuwse Galicische verzameling liederen, door de lens van
Erosion. Cantigas de Santa Maria is een van de grootste zangbundels uit de
Middeleeuwen, met in totaal 427 liederen. Opgedragen aan de Maagd Maria, wisselt
de collectie af tussen wonderlijke gedichten en lofliederen. Het geheel,
geschreven in de volkstaal Galaico-Portuguees, schommelt tussen hoofse
liefdesverhalen en liturgie. Naast de literaire en muzikale erfenis kan dit
werk ook gelezen worden als een kroniek van zowel het culturele als mystieke
leven in Europa tijdens de 13e eeuw en onthult het de vage grens tussen sacraal
en folklore.Het project speelt met verschillende tijdschalen: geologisch,
historisch, muzikaal en menselijk. De voorstelling evolueert voortdurend en
bestaat uit een opeenvolging en/of overlapping van repetitieve taken, waarbij de
verschillende aspecten van het liedboek aan bod komen: muzikaal, poëtisch,
iconografisch, historisch...
********** Français **********
Stéphan Aelterman peint depuis une cinquantaine d’années.
Par ses études d’architecture intérieure, le dessin et l’aquarelle se sont
imposés dans ses travaux artistiques.
Curieux et passionné de bateaux et du monde maritime, il a reçu, en 2018 le
titre de ‘’ Peintre Officiel de la Marine Belge ‘’ Stéphan vous invite à
partager cette découverte.
********** Nederlands **********
Stéphan Aelterman schildert al zo'n vijftig jaar.
Na zijn studie binnenhuisarchitectuur werden tekenen en aquarelleren een
integraal onderdeel van zijn artistieke werk.
Nieuwsgierig en gepassioneerd door boten en de maritieme wereld, kreeg hij in
2018 de titel van "Officieel Schilder van de Belgische Marine". Stéphan nodigt
je uit om te delen in deze ontdekking.
********** English **********
In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta
presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape
through colour and organic materials, brought to life through both drawing
(wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.).
In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers
of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and
randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the
atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the
invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface.
Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image
that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in
graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses.
Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting
and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of
confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been
evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the
small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the
contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive
pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the
paper.
ABOUT THE ARTIST
Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in
Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts
(ENSAV La Cambre, Brussels, 2016).
Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le
Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts,
European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic
Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux,
Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies
at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris,
the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the
winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof
and the Prix Carré sur Seine in 2020.
From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium
to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of
Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in
all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture
and photography, construction allows her to speak of the human being, the one
who both inhabits and builds.
In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape
and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of
withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection,
confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading
her increasingly towards projects in the public space.
********** Français **********
Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie
Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage
au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le
dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…).
Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant
deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate,
appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface
du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs
vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une
surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent
l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La
seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre,
obstruer ou limiter ces étendues infinies.
Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de
grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste
pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué
dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées
des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais
ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif
du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier.
A PROPOS DE L’ARTISTE
Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante
basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en
arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016).
Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en
Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à
Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins
Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été
résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à
Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est
lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et
du prix Carré sur Seine en 2020.
De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade
de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages
bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture
sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la
sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain,
celui qui, tout à la fois, habite et édifie.
Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de
manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la
matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut
apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme
l’amène également de plus en plus vers
des projets dans l’espace public.
********** Nederlands **********
In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert
Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de
leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of
organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de
papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht.
In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik
maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De
eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele
papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een
landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het
gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar
accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte
afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in
een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of
andere manier deze oneindige uitgestrektheid.
De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen
rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de
kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich
terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name
de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin
boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de
niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van
de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier
gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel
verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons
een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen.
OVER DE KUNSTENARES
Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in
Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in
Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016).
Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België
(Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée
in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in
Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook
residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des
Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze
is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix
Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020.
Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion
van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de
steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar
vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van
tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie
kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt.
In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke
benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel
kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een
meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik
maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich
terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming,
afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie
Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving,
waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema
van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die
bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor
stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Het Volk der Introverten is een geboetseerde menigte bestaande uit hoofdjes van
klei met ogen dicht, gemaakt door vele handen. Onder leiding van kunstenaar
Mirthe Dokter (Pollif Projects) wordt je meegenomen in een zoektocht van je
handen naar jezelf, met de klei als vriendelijke bondgenoot. Door een moment
gezamenlijk introvert te zijn poogt Mirthe deze kant van de mens meer ruimte te
geven in het dagelijkse leven. Ook biedt het kunstwerk een podium aan de mensen
die zich ongezien voelen.
Je kan bijdragen aan het Volk der Introverten van Sint-Gillis door mee te kleien
tijdens een boetseersessie. Jouw hoofdje wordt onderdeel van het kunstwerk, dat
zo groeit en groeit. Dat kan tijdens gezamenlijke sessies, maar je kan
doorlopend ook zelf komen kleien in de exporuimte, te midden van alle
gezichtjes. De hoofdjes worden niet afgebakken, maar zullen uiteindelijk buiten
geplaatst worden waar ze weer zullen verdwijnen. Terug naar waar de klei vandaan
komt, opnieuw onzichtbaar.
********** Français **********
Le dimanche 19 et le lundi 20, les œuvres de l'exposition "The Vessel" prendront
littéralement vie lors de deux performances spécifiques au site et largement
improvisées. Matt Jackson collaborera avec ‘performance artist’ Ruben
Mardulier et le musicien Jean-Jacques Duerinckx et ensemble, ils permettront aux
objets et à
l'atmosphère de déterminer les histoires qu'ils souhaitent partager. Une
marionnette endormie
auparavant peut soudainement se réveiller alors qu'un masque flottant apparaît
des coins cachés...
Les inspirations pour le travail de performance viennent du théâtre physique, de
la danse butoh et
du théâtre de masques et de marionnettes japonais.
********** Nederlands **********
Op zondag 19 en maandag 20 komen de werken in de tentoonstelling 'The Vessel'
letterlijk tot leven in twee locatiegebonden, grotendeels geïmproviseerde
performances. Matt Jackson zal samenwerken met performancekunstenaar Ruben
Mardulier en muzikant Jean-Jacques Duerinckx, en samen laten ze de objecten en
de sfeer bepalen welke verhalen ze vertellen.
en sfeer de verhalen laten bepalen die ze willen delen. Een slapende pop
kan plotseling wakker worden als een zwevend masker uit verborgen hoeken
tevoorschijn komt...
Inspiratie voor het performancewerk komt van fysiek theater, butohdans en
masker- en poppentheater.
Japans masker- en poppentheater.
********** English **********
On Sunday 19 and Monday 20, the works in 'The Vessel' exhibition will literally
come to life in two site-specific, largely improvised performances. Matt Jackson
will be working with performance artist Ruben
Mardulier and musician Jean-Jacques Duerinckx, and together they will allow the
objects and the atmosphere to determine the stories they tell.
and atmosphere to determine the stories they wish to share. A sleeping puppet
can suddenly wake up as a floating mask appears from hidden corners...
Inspiration for the performance work comes from physical theatre, butoh dance
and mask and puppet theatre.
Japanese mask and puppet theatre.
********** English **********
As the daughter of the child who was left in the home, Greene traces her family
story along the matrilinear line, and the resulting film enters into the gaps in
memory and record. Máthair offers a fragmented and elliptical account of a
search for knowledge in the face of institutional oppression and obfuscation;
the film resists linear narrative and documentary modes, offering us an intense
and revelatory encounter with a shared family trauma.
Scant records and redacted documents describe the negation and erasure of those
who passed through the church’s homes for unmarried mothers. The sensory lives
of these ungraspable women are embodied in choreographed phrases performed by
four dancers, whose costumed movements both gesture towards and subvert the
constrictive clothing regulations of Catholic institutions and the forced female
labour in the church’s laundries. Glimpses of this performance are threaded
between a chaotic collage of archival material and present-day online chat
rooms; the only respite is found in the holding space of the landscape and the
bodies of water between England and Ireland. The silences of the archive are
countered by a dissonant sound score, a pulsing polyphonic composition dense
with complex sensory impressions, and a chorus of unvoiced voices compelling us
to stay with the problem.
Keira Greene is an artist working across film, photography, performance and
text. Her work is preoccupied with the social and organic life and landscape of
specific environments. Her work is produced through a collaborative and
conversational practice of looking, writing and forming enduring relationships.
Recent works are concerned with ideas of the body and the experience of emotion,
in dialogue with an embodied filmmaking practice.
http://keiragreene.com/
********** Français **********
En 1954, une femme Irlandaise se rend en Angleterre pour donner naissance à un
enfant illégitime. En 2024, sa petite-fille – la réalisatrice – retrace son
parcours en reconstituant les fragments de son histoire. Máthair (Mère) s'appuie
sur un réseau complexe d'informations obfusquées, provenant d'agences
administratives d'adoption, des dossiers d'un foyer catholique pour mères et
bébés et de conversations en ligne entre des inconnu·e·s suivant les mêmes
traces d'archives. Máthair interroge les institutions religieuses, le concept de
maternité et le sentiment d'appartenance à un lieu.
Keira Greene est une artiste qui travaille à la frontière du film, de la
photographie, de la performance et du texte. Son travail se concentre sur la vie
sociale et organique au sein de paysages spécifiques. Son travail est produit
par une pratique collaborative et conversationnelle du regard, de l'écriture et
par la formation de relations durables. Ses œuvres récentes s'intéressent aux
corps et à l'émotion, en dialogue avec une pratique cinématographique incarnée.
http://keiragreene.com/
********** Nederlands **********
In 1954 reisde een Ierse vrouw naar Engeland om te bevallen van een
buitenechtelijk kind. In 2024 volgt haar kleindochter, de filmmaker, haar reis
door fragmenten van haar verhaal bij elkaar te zoeken. Máthair (Mother) is
gebaseerd op een complex web van verdoezelde informatie van adoptiebureaus,
verslagen van een katholiek tehuis voor moeders en baby's, en chatgesprekken
tussen vreemden die hetzelfde archiefspoor volgen. Máthair bevraagt de
instellingen van religie, noties van moederschap en een gevoel van plaats.
Keira Greene is een kunstenaar die werkt met film, fotografie, performance en
tekst. Haar werk houdt zich bezig met het sociale en organische leven en
landschap van specifieke omgevingen. Haar werk wordt gemaakt door middel van een
collaboratieve en conversationele praktijk van kijken, schrijven en het vormen
van duurzame relaties. Recente werken houden zich bezig met het lichaam en de
ervaring van emotie, in dialoog met een belichaamde filmpraktijk.
http://keiragreene.com/