Olivier Kalabasi est originaire de Kinshasa (RD Congo) dans la commune de Ngaba,
rue Manzengele n° 89. Il réside actuellement à Paris (France) où il sert son
Dieu dans la louange et l'adoration dans le groupe « El Bethel ». Dès son plus
jeune âge, Olivier s'est fait remarquer dans les rues comme percussionniste, il
a également fait partie de la chorale de l'apôtre Tambu Lukoki. Passionné de
musique, dès son arrivée à Paris, Olivier devient l'incontournable des musiciens
chrétiens. Il débute comme batteur.
Mais à cette époque Olivier Kalabasi n'est pas reconnu de tous. Peu de temps
après, il rejoint le groupe « Le Prince De La Paix » dirigé par René Lokua. Dès
lors, il ne s'appelle plus Olivier mais Olibass car il confirme ses talents de
bassiste au sein du groupe. Très talentueux "Olibass" évolue à un rythme
effréné, il arrange plusieurs albums chrétiens (Dior Vanga, Sype Masiala, etc.).
Olibass avait écrit la chanson « Natondi Yo » dans l'album « La Grâce » du
groupe Le Prince De La Paix.
Auteur-compositeur il compte aujourd’hui 7 albums à son effigie, dont plusieurs
chansons phares tel que : « Lelo eza Lelo » ou encore « L’Elu de mon coeur ».
Très investit dans ses compositions musicales il sait faire voyager son public
sur des rythmes diversifiés et tient a toujours véhiculer un message d’amour et
de grâce.
il a sous sa tutelle son groupe El Bethel , avec lequel il fait voyager ses fans
dans des mélodies cadencées et joyeuses.
Après plusieurs années d’absence sur la scène Européenne, Olivier Kalabasi fait
son grand retour pour la première fois en concert live en Belgique tant attendu,
pour rendre se moment mémorable près de son chaleureux public, il vous fera
découvrir en exclusivité première une chanson de son prochain album « PREMIUM
VOL 2 ».
Viennese Elegance: A Journey to 1784 with Haydn and Mozart.
Description
Join us on a mesmerizing exploration of the profound connection between two musical titans – Joseph Haydn and Wolfgang Amadeus Mozart. Delve into the close relationship that transcended their 18th-century differences. Though the details of their bond are not extensively documented, the evidence of their mutual admiration is compelling.
Program
Overture from "Le nozze di Figaro" - Wolfgang Amadeus Mozart
Piano Concerto nr. 17 in G major, KV. 453 - Wolfgang Amadeus Mozart
Soloist: Charles Coop
break
Piano Concerto nr. 15 in B♭ major, KV. 450 - Wolgang Amadeus Mozart
Soloist: Ana Antonia Tudose
Symphony 80 in D minor, Hob. I/80 - Joseph Haydn
KCB Chamber Orchestra conducted by Wouter Versavel
Sunday 12th of May, 15.00h
Performance
2 Photos
Événements suggérés
********** English **********
in FR surtitled in NL EN
75 min
On 20.05 the performance is followed by an aftertalk.
This story unfolds in the north of Lebanon, at Nahr el Bared, in a refugee camp
hastily set up to shelter Palestinian families fleeing the Nakba of 1948. Years
later, in 2007, war broke out between the Lebanese army and an infiltrated
Islamist group, leading to the destruction of part of the camp. It was at that
moment that the first traces appeared of Orthosia, an ancient Roman city, which
vanished after being overwhelmed by a tsunami in 551 AD and which, despite 15
centuries of vain attempts to find it, no-one could ever have imagined finding
there. But how best to deal with this major discovery, as excavations would mean
a ‘second displacement’ for the refugee families? The filmmakers and artists
Joana Hadjithomas and Khalil Joreige use photography, installations, video and
cinema to question the account of the imagination and writing about the story.
Through this performance, created for the festival, they uncover the palimpsest
of constant cycles of construction and destruction, calling on the possible
narratives about the underground worlds. A dizzying performance, full of
(dis)continuities, upheavals and regeneration, which plunges us into a past that
feels particularly close to the present.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
discover the full programme of kunstenfestivaldesarts >>
—
Presentation: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
A project by Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archaeologist: Hadi Choueri | Research: Maissa Maatouk
Cinematography: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Video editing: Tina Baz
Animation: Laurent Brett
Sound editing and mixing: Rana Eid - Studio DB
Music: Charbel Haber
Studio manager: Tara El Khoury Mikhael
Commissioned and produced by Kunstenfestivaldesarts
Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’OiseThanks to Galerie In Situ, fabienne leclerc
Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
********** Français **********
in FR surtitré en NL EN
75 min
Le 20.05, la représentation est suivie d'un aftertalk.
Cette histoire se déroule au nord du Liban, à Nahr el Bared, dans un camp de
réfugié·es établi dans la hâte afin d’accueillir des familles palestiniennes
fuyant la Nakba de 1948. Des années plus tard, en 2007, une guerre éclate entre
l’armée libanaise et un groupe islamiste récemment infiltré, entraînant la
destruction d’une partie du camp. C’est à ce moment-là que sont apparus les
premiers vestiges d’Orthosia, une ancienne cité romaine disparue après avoir été
ensevelie par un tsunami en 551 et que – cherchée en vain pendant 15 siècles –
personne n’aurait pu imaginer trouver là. Mais comment faire face à cette
découverte majeure, si y faire des fouilles implique un “second déplacement” des
familles exilées en 1948 ? Les cinéastes et artistes Joana Hadjithomas et Khalil
Joreige utilisent la photographie, les installations, la vidéo et le cinéma pour
questionner la narration des imaginaires et l’écriture de l’histoire. Dans cette
performance créée pour le festival, iels révèlent les cycles constants de
constructions et de destructions, convoquant les narrations possibles de mondes
souterrains. Une performance vertigineuse, pleine de (dis)continuités, de
bouleversements et de régénérations, qui nous plonge dans un passé
particulièrement proche du présent.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
découvrez le programme complet du kunstenfestivaldesarts >>
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Présentation : Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
Un projet de Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archéologue : Hadi Choueri
Recherche : Maissa Maatouk
Image : Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Montage vidéo : Tina Baz Animation : Laurent Brett
Montage Son et mixage : Rana Eid (Studio DB)
Musique : Charbel Haber
Studio manager : Tara El Khoury Mikhael Commandé et produit par
Kunstenfestivaldesarts
Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’Oise
Remerciements : Galerie In Situ, fabienne leclerc
Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
********** Nederlands **********
in FR boventiteld in NL EN
75 min
Op 20.05 wordt de voorstelling gevolgd door een nagesprek.
Dit verhaal speelt zich af in het noorden van Libanon, in Nahr el Bared, in een
vluchtelingenkamp dat halsoverkop werd opgezet om Palestijnse families op te
vangen die de Nakba van 1948 waren ontvlucht. Jaren later, in 2007, breekt er
een oorlog uit tussen het Libanese leger en een geïnfiltreerde islamistische
groepering, wat resulteert in de vernietiging van een deel van het kamp. Daarmee
komen de eerste overblijfselen van Orthosia aan het licht, een oude Romeinse
stad die verdween nadat ze in 551 n.C. door een tsunami was bedolven en waar 15
eeuwen lang tevergeefs naar werd gezocht. Maar hoe ga je om met zo’n belangrijke
ontdekking, als opgravingen op die plek een ‘tweede ontheemding’ van
vluchtelingenfamilies zou betekenen? Filmmakers en kunstenaars Joana Hadjithomas
en Khalil Joreige gebruiken fotografie, installaties, video en film om
geschiedschrijving in vraag te stellen. In deze performance, gecreëerd voor het
festival, leggen ze de voortdurende cycli van opbouw en afbraak bloot, en roepen
ze de mogelijke verhalen van ondergrondse werelden op. Een duizelingwekkende
performance, vol omwentelingen en (dis)continuïteit, die ons onderdompelt in een
verleden dat bijzonder dicht bij het heden blijkt te staan.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
ontdek het volledige programma van kunstenfestivaldesarts >>
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Presentatie: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
Een project van Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archeologe: Hadi Choueri
Onderzoek: Maissa Maatouk
Beeld: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Videomontage: Tina Baz
Animatie: Laurent Brett
Geluidsmontage en mixing: Rana Eid - Studio DB
Muziek: Charbel Haber
Studiomanager: Tara El Khoury Mikhael
In opdracht van en geproduceerd door Kunstenfestivaldesarts
Coproductie: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’Oise
Met dank aan Galerie In Situ, fabienne leclerc
Beeld © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
********** Français **********
Le dimanche 19 et le lundi 20, les œuvres de l'exposition "The Vessel" prendront
littéralement vie lors de deux performances spécifiques au site et largement
improvisées. Matt Jackson collaborera avec ‘performance artist’ Ruben
Mardulier et le musicien Jean-Jacques Duerinckx et ensemble, ils permettront aux
objets et à
l'atmosphère de déterminer les histoires qu'ils souhaitent partager. Une
marionnette endormie
auparavant peut soudainement se réveiller alors qu'un masque flottant apparaît
des coins cachés...
Les inspirations pour le travail de performance viennent du théâtre physique, de
la danse butoh et
du théâtre de masques et de marionnettes japonais.
********** Nederlands **********
Op zondag 19 en maandag 20 komen de werken in de tentoonstelling 'The Vessel'
letterlijk tot leven in twee locatiegebonden, grotendeels geïmproviseerde
performances. Matt Jackson zal samenwerken met performancekunstenaar Ruben
Mardulier en muzikant Jean-Jacques Duerinckx, en samen laten ze de objecten en
de sfeer bepalen welke verhalen ze vertellen.
en sfeer de verhalen laten bepalen die ze willen delen. Een slapende pop
kan plotseling wakker worden als een zwevend masker uit verborgen hoeken
tevoorschijn komt...
Inspiratie voor het performancewerk komt van fysiek theater, butohdans en
masker- en poppentheater.
Japans masker- en poppentheater.
********** English **********
On Sunday 19 and Monday 20, the works in 'The Vessel' exhibition will literally
come to life in two site-specific, largely improvised performances. Matt Jackson
will be working with performance artist Ruben
Mardulier and musician Jean-Jacques Duerinckx, and together they will allow the
objects and the atmosphere to determine the stories they tell.
and atmosphere to determine the stories they wish to share. A sleeping puppet
can suddenly wake up as a floating mask appears from hidden corners...
Inspiration for the performance work comes from physical theatre, butoh dance
and mask and puppet theatre.
Japanese mask and puppet theatre.
********** English **********
How do we feel the impact of events which are so much larger than us, yet move
through us, and animate and activate our bodies all the time? Ten performers
enact a glacially morphing tableau vivant on a mobile raft-like stage. Their
voices create a score that grows larger and resonates as they clutch, careen and
cleave in a space too small to contain them, spilling off the edges. The scenes
shown reference at times images from classical iconography. Tenderness and
violence, sensuality and brute force cohabitate. The audience sits all around as
if watching a boxing match, embanking the performers, close enough to smell
their sweat and feel the steam of the spiralling scenes.
Celebrated American choreographer Faye Driscoll returns to the festival with a
multi-sensory flesh and breath sculpture made of bodies, sounds, scents, liquids
and objects. She pushes her performers to their limits in this compelling,
adventurous work, presented in the impressive Horta Hall, originally an
exhibition space for sculptures. Weathering is an ode to the inexhaustible
physical power of queer bodies.
Ticket sale
18 May '24 - 22:30
19 May '24 - 21:30
20 May '24 - 21:30
21 May '24 - 21:30
********** Français **********
Comment ressentons-nous l’impact d’événements qui, malgré le fait qu’ils nous
dépassent, parviennent à nous traverser, nous animer et activer nos corps ? Sur
un plateau rotatif qui ressemble à un radeau, dix performeur·euses, en constante
évolution, composent des images qui ressemblent à des tableaux vivants issus
d’un univers queer. Leurs voix génèrent une partition qui va crescendo et
résonne à mesure qu’iels s’agrippent mutuellement, se balancent et se repoussent
sur une surface trop petite pour les contenir, menaçant de déborder. Par
moments, des images issues de l’iconographie classique semblent se dessiner.
Tendresse, violence, sensualité et force brute cohabitent. Assis autour de la
scène comme s’il assistait à un match de boxe, le public peut ressentir la sueur
et l’ardeur de scènes étourdissantes.
La célèbre chorégraphe états-unienne Faye Driscoll revient au festival avec une
sculpture multisensorielle faite de chair et de souffle, de corps, de sons,
d’odeurs, de fluides et d’objets. Elle pousse ses performeur·euses jusqu’à leurs
limites dans un spectacle fascinant et aventureux, présenté dans
l’impressionnant Hall Horta, qui était à l’origine conçu comme une salle
d’exposition pour sculptures. Weathering est une ode à l’inépuisable puissance
physique des corps queer et à leurs évolutions.
Achat de tickets
18 mai '24 - 22:30
19 mai '24 - 21:30
20 mai '24 - 21:30
21 mai '24 - 21:30
********** Nederlands **********
Hoe voelen we de impact van gebeurtenissen die onze lichamen bewegen en
bezielen, maar tegelijk veel groter zijn dan onszelf? Tien performers verbeelden
een steeds veranderende tableau vivant op een ronddraaiend vlot-achtig platform.
Hun stemmen vormen een partituur die crescendo’s en resonanties laat horen
terwijl ze elkaar vastgrijpen, wegduwen, en heen en weer slingeren over een
oppervlak dat te klein is voor hen allen en uit zijn voegen dreigt te barsten.
De getoonde scènes refereren bij momenten aan beelden uit de klassieke
iconografie. Tederheid en geweld, sensualiteit en brute kracht worden met elkaar
verzoend. Het publiek zit rondom, als bij een bokswedstrijd, kan de performers
bijna aanraken, hun zweet ruiken en de stomende scènes proeven.
De gevierde Amerikaanse choreografe Faye Driscoll keert terug naar het festival
met een multisensoriële levende sculptuur van vlees en adem, van lichamen,
geluiden, geuren en objecten. Ze drijft haar performers tot het uiterste in dit
meeslepende, avontuurlijke werk, gepresenteerd in de indrukwekkende Hortahal,
oorspronkelijk een tentoonstellingsruimte voor beeldhouwwerken. Weathering is
een ode aan de onuitputtelijke fysieke kracht van queer lichamen.
Ticketverkoop
18 mei '24 - 22:30
19 mei '24 - 21:30
20 mei '24 - 21:30
21 mei '24 - 21:30
********** English **********
The body of the artist proposes itself as a living altar, offered for a moment
of reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or saint, but for
the world.
In the Christian religion, lighting a candle opens one’s heart to God and thus
raises a prayer towards him. It is also a way of expressing one’s attachment to
a saint in particular by making a request or even thanking him. An offering
accompanies this approach.
The artist's body proposes itself as a living altar, offered for reflection,
meditation, prayer, and request, not for a god or a saint, but for the world.
Here, the ritual is proposed to allow oneself to express their concern, fear,
and sorrow for the world - it is a way of reacting to the environmental despair
that we are currently experiencing.
This performance is inspired both by the artist’s rituals in a women’s circle to
celebrate, among other things, the solstices and equinoxes, and Joanna Macy’s
essay, “Acting with Environmental Despair” which asks the question: “Can we
recognize our sorrow for the world and live with it in a way that affirms our
existence and frees our power to act?”
A year ago, the first version of this performance was presented during the
Trouble Festival. In this context, more than sixty sorrows were laid at the foot
of the altar. These anonymous sorrows will be engraved next to each other on one
of the walls of the exhibition, during several one-off sessions between April 11
and September 1.
Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgium) lives and works in Brussels. A
multidisciplinary artist, her practice covers photography, film, performance,
and installation. The question of narrative and the power of words and ideas
runs through her work. She uses storytelling as an experience of emancipation
and empowerment from gender norms and stereotypes and as a creative force of the
universe to induce new relationships to worlds.
She graduated from the photography workshop at ESA Saint-Luc in Liège in 2013
and from ENSAV La Cambre in Brussels in 2022. She obtained her master’s degree
with Grand Distinction and the Boghossian Foundation Prize 2022 with her project
Terrapolis.
********** Français **********
Le corps de l’artiste se propose comme un autel vivant, offert pour un moment de
réflexion, de méditation, de prière, de demande, non pas à destination d’un dieu
ou de saint·e·s, mais pour le monde.
Dans la religion chrétienne, allumer une bougie revient à ouvrir son cœur à Dieu
et ainsi faire monter une prière vers lui. C’est aussi le moyen d’exprimer son
attachement à un·e saint·e en particulier, de lui adresser une demande ou encore
des remerciements. Une offrande accompagne cette démarche.
Ici, le rituel est proposé afin de s’autoriser à exprimer son inquiétude, sa
peur, ses peines pour le monde, c’est une façon de réagir au désespoir
environnemental que nous vivons actuellement.
Cette performance est inspirée à la fois des rituels de l’artiste en cercle de
femmes pour célébrer entre autres les solstices et équinoxes, et de l’essai de
Joanna Macy, “Agir avec le désespoir environnemental” qui pose la question : «
Pouvons-nous reconnaître notre peine pour le monde et vivre avec elle d’une
manière qui affirme notre existence et libère notre pouvoir d’agir ? ».
Il y a un an, une première version de cette performance a été présentée pendant
le festival Trouble. Dans ce cadre, plus de soixante peines ont été déposées au
pied du corps-autel. Ces peines anonymes seront gravées les unes à côté des
autres sur un des murs de l’exposition, lors de plusieurs sessions ponctuelles
entre le 11 avril et le 1 septembre.
Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgique) vit et travaille à Bruxelles.
Artiste pluridisciplinaire, sa pratique couvre la photographie, le film, la
performance et l’installation. La question du récit et du pouvoir des mots et
des idées traverse tout son travail. Elle utilise le récit à la fois comme une
expérience d’émancipation et d’autonomisation vis-à-vis des normes et des
stéréotypes de genre, comme force créatrice d’univers pour induire de nouveaux
rapports aux mondes.
Elle est diplômée de l’atelier de photographie à l’ESA Saint-Luc à Liège en 2013
et de l’ENSAV La Cambre à Bruxelles en 2022. Elle obtient son master avec la
mention grande distinction et le Prix de la Fondation Boghossian 2022 avec son
projet Terrapolis.
********** Nederlands **********
Het lichaam van de kunstenaar presenteert zich als een levend altaar, aangeboden
voor een moment van reflectie, van meditatie, gebed, verzoek, niet voor een god
of heiligen, maar voor de wereld.
In de christelijke religie betekent het aansteken van een kaars het openen van
je hart voor God en het opheffen van een gebed tot Hem. Het is ook de manier om
uitdrukking te geven aan je gehechtheid aan een bepaalde heilige, door hem een
verzoek te sturen of zelfs te bedanken. Een offer begeleidt dit proces.
Hier wordt het ritueel voorgesteld om jezelf in staat te stellen je zorgen, je
angst en je verdriet over de wereld te uiten; het is een manier om te reageren
op de ecologische wanhoop die we momenteel ervaren.
Deze voorstelling is zowel geïnspireerd door de rituelen van de kunstenaar in
een kring van vrouwen om onder andere de zonnewendes en equinoxen te vieren, als
door het essay van Joanna Macy, ‘Acting with Environmental Despair’, waarin de
vraag wordt gesteld: ‘Kunnen we onze pijn voor de wereld erkennen en ermee leven
op een manier die ons bestaan bevestigt en ons vermogen om te handelen
vrijmaakt? ".
Een jaar geleden werd een eerste versie van deze voorstelling gepresenteerd
tijdens het Trouble festival. In dit kader werden ruim zestig verdrieten aan de
voet van het hoofdaltaar geplaatst. Deze anonieme zinnen worden tussen 11 april
en 1 september tijdens verschillende gelegenheidssessies naast elkaar gegraveerd
op een van de wanden van de tentoonstelling.
Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Hoei, België) woont en werkt in Brussel. Als
multidisciplinair kunstenaar omvat haar praktijk fotografie, film, performance
en installatie. De vraag naar het verhaal en de kracht van woorden en ideeën
loopt als een rode draad door haar werk. Ze gebruikt het verhaal zowel als een
ervaring van emancipatie en empowerment ten opzichte van gendernormen en
stereotypen, als een creatieve kracht van het universum om nieuwe relaties met
werelden tot stand te brengen.
Ze behaalde haar diploma aan het fotografieatelier bij ESA Saint-Luc in Luik in
2013 en aan ENSAV La Cambre in Brussel in 2022. Ze behaalde haar masterdiploma
met grote onderscheiding en de Prijs van de Stichting Boghossian Stichting 2022
met haar Terrapolis-project.
Mode majeur de la fugue est le portrait d’une agricultrice, de son émancipation
inattendue et de sa sensibilité brute.
C’est une forme hybride entre l’installation sonore et la performance théâtrale
qui fait dialoguer une pianiste en live avec des sons enregistrés et une parole
documentaire.
Le public est amené à y vivre une expérience acoustique et intime.
Résumé
Martine, agricultrice depuis cinquante ans, travaille dur sans loisirs ni repos.
Un jour, au volant de son tracteur, elle entend à la radio une émission de
philosophie qui va la marquer profondément. Commencera alors pour elle un
parcours d’émancipation qui, grâce à la lecture, la mènera à changer de vie.
Mode majeur de la fugue, première création de Jennifer Cousin, artiste d’origine
normande formée à l’INSAS, a été créée au Festival XS en 2022.
Soutenue par un dispositif original – une forme hybride entre performance
acoustique, musique et théâtre – la pièce allie deux univers a priori
distincts : le monde de l’art et le monde agricole. Une polyphonie qui crée des
liens inattendus.
À propos de l'artiste
Jennifer Cousin entre au Conservatoire de théâtre de Rennes en 2007, et joue à
l’Opéra de Rennes dans deux spectacles de Daniel Dupont. Elle se forme ensuite
au théâtre physique à Montpellier, puis intègre l’INSAS en mise en scène. Après
avoir mis en scène Perplexe de Mayenburg, créé aux Riches-Claires en 2015, elle
découvre la pratique sonore avec Brice Cannavo et réalise Trésor de ma vie,
portrait documentaire sur Armand, intrigant voisin qui vit seul avec son canari
dans l’ancienne maison familiale. Elle crée ensuite Mode Majeur de la fugue, une
installation sonore pour le théâtre qui aborde la notion de travail et du
rapport à l’art, et lui vaut la bourse de découverte Pierre Schaeffer à
l’occasion des Phonurgia Nova Awards ainsi que le prix du Fonds Marie-Paule
Delvaux-Godenne. Fin 2016, elle suit la formation sonore La Coquille (ACSR) et
réalise le son du spectacle Barbe-Bleue d’Hugo Favier. Elle joue ensuite dans
Orphelins de Dennis Kelly, mis en scène par Elsa Chêne (Festival Courants d’air
2017). En octobre 2017, elle suit une formation au documentaire sonore avec Kaye
Mortley et Hervé Marchon. Elle travaille actuellement à la création sonore de
deux projets : MUR/MER d’Elsa Chêne (Festival Courants d’air 2018 et concours
Danse Élargie à Paris) et sur une installation et performance de Lorette Moreau
et Charlotte Lippinois sur le sexe féminin.
MEST
Pop punk - US
https://www.facebook.com/Mestofficial?locale=fr_FR
YOUNG ENOUGH
Pop punk - Be
https://www.facebook.com/youngenoughband?locale=fr_FR
MIRABELLE
Pop punk - F
https://www.facebook.com/mirabelle.band?locale=fr_FR
TAKEN DAYS
Pop punk - US
https://www.facebook.com/takendays?locale=fr_FR
********** English **********
Respublika is a total theatre experience, brought to you by a collective of
actors, performers and stage managers who engage in an attempt to question their
relationship to work, and, by extension, ours. Can creating music and organising
a dance party be considered a form of resistance? Could the idea of a republic
based on alternative economic principles give rise to a new raison d'être?
Respublika is a new theatrical experience, directed by Polish artist Łukasz
Twarkowski, in which the public is invited to form part of a community that
shares food, stories and even a sauna. An immersive 6-hour experience which we
invite you to join in. Come and discover the Grande Halle as you’ve never seen
it before, transformed for the occasion into a temporary city where
possibilities are redefined.
34€ / 30€ / 26€
********** Français **********
Respublika est une expérience de théâtre totale, portée par un collectif
d’acteur·ices, de performeur·euses et de régisseur·es techniques qui s’engagent
dans une tentative de questionner leur relation au travail, et, par rebond, la
nôtre. Est-ce que créer de la musique et organiser une dance party peut être
considéré comme une forme de résistance ? Est-ce que l’idée d’une république
basée sur des principes économiques autres peut donner naissance à une nouvelle
raison d’être ?
Respublika est une nouvelle expérience théâtrale mise en scène par l’artiste
polonais Łukasz Twarkowski, dans laquelle le public est invité à faire partie
d’une communauté, qui partage de la nourriture, des histoires et même un sauna.
Une expérience immersive d’une durée de 6 heures à laquelle nous vous invitons à
participer. Venez découvrir la Grande Halle comme vous ne l’avez jamais vue,
transformée pour l’occasion en ville temporaire où les possibles sont redéfinis.
34€ / 30€ / 26€
********** Nederlands **********
Respublika is totaaltheater uitgevoerd door een collectief van acteurs,
performers en technische regisseurs die een poging ondernemen om hun relatie tot
het werk, en bij uitbreiding dat van ons, in vraag te stellen. Kan muziek maken
en een danceparty organiseren beschouwd worden als een vorm van verzet? Kan het
idee van een republiek die gebaseerd is op andere economische principes
aanleiding geven tot een nieuwe bestaansreden?
Respublika is een nieuwe theaterbeleving geregisseerd door de Poolse kunstenaar
Łukasz Twarkowski, waar het publiek wordt uitgenodigd om deel uit te maken van
een gemeenschap die voedsel, verhalen en zelfs een sauna deelt. Een immersieve
ervaring van 6 uur waarbij u wordt uitgenodigd om deel te nemen. Ontdek de Grote
Hal zoals u ze nog nooit hebt gezien. Ze werd voor de gelegenheid omgetoverd tot
een tijdelijke stad waar mogelijkheden worden geherdefinieerd.
34€ / 30€ / 26€