✨Gala ESN ✨

Description

[English version bellow]

OUVERT À TOUS 

✨ ESN ULiège t’invite à venir célèbrer son 15e anniversaire au cours d’une soirée endiablée ✨

Cher.e.s étudiant.e.s, cher.e.s erasmus, cher.e.s partenaires, cher.e.s ESNers, 

Pour mettre à l’honneur le programme Erasmus, nos volontaires, la joie, l’amour et tous les souvenirs que ESN ULiège a créés en 15 ans nous vous invitons à une soirée gala très spéciale. 

Au programme : fête, danse, musique, boissons, rencontres et rires dans une des plus belles salles de Liège ✨

Infos pratiques : 
 
🗓️ Quand ? Le vendredi 19 avril 
⏱️ À quelle heure ? De 21h00 à 3h30 
📍Où ? Au Palais des Congrès (Esp. de l'Europe 2, Liège) 
💸 Prix ? 
- Prévente : 10€ 
- Entrée sur place : 12€ 
Billetterie : https://ticket.comitty.be/events/1710598522663

💃Dresscode ? Tenue élégante exigée (vestiaire disponible)

🥤Soirée ECOCUP

‼️Reste connecté car des CONCOURS arrivent très prochainement

⚠️L’organisation se réserve le droit d’entrée 

Nous tenons d’ores et déjà à remercier nos partenaires pour leur confiance. 

Ne manque pas cette soirée qui risque d’être inoubliable 🔥

ESN ULiège 💚

———

OPEN TO EVERYONE 

✨ ESN ULiège invites you to celebrate its 15th birthday during a crazy night ✨

Dear students, dear erasmus students, dear partners, dear ESNers, 

To honour the Erasmus program, our volunteers, the joy, the love and all the memories that ESN ULiège has created over the past 15 years we invite you to a very special Gala Night. 

On the programme : party, dance, music, drinks, meetings and laughter in one of the most beautiful reception halls of Liège ✨

Practical info: 
 
🗓️ When? Friday, April 19th 
⏱️ At what time? From 9:00 pm to 3:30 am
📍Where? At the Palais des Congrès (Esp. de l'Europe 2, Liège) 
💸 Prize? 
- Presale: 10€ 
- Entrance on site: 12€ 
Tickets: https://ticket.comitty.be/events/1710598522663

💃Dresscode? Elegant attire required (cloakroom available)

🥤ECOCUP evening

‼️Stay connected because CONTESTS are coming soon

⚠️The organization reserves the right of entry 

We would like to thank our partners for their trust.  

Do not miss this evening that will be unforgettable 🔥

ESN ULiège 💚

#THISisESN #ErasmusGeneration #ESNBelgium #ESNULiège #StudentsHelpingStudents #Liège

Information sur la date

Le 19/04/202421:00

Billets

Info:

Tarif plein : 10€(presale) - 12€ (on site)

Organisateur

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Divercity est un événement qui a pour ambition de promouvoir la diversité et l’inclusion au sein de la jeunesse liégeoise. Ainsi, à l’occasion de cette journée, Divercity souhaite brouiller les distinctions socio-culturelles et socio-économiques existantes. Pour cette deuxième édition, nous avons mis le paquet : du Palais des Princes-Évêques au musée du Grand Curtius, en passant par la place Saint-Lambert, des activités encore plus enrichissantes et divertissantes vous seront proposées. Tu auras largement le choix entre pleurer de joie, danser, ou encore exprimer tes émotions à travers l’art, c’est à toi de voir ! Horaires et lieux : Dimanche 26 mai 2024 - différentes activités sportives et culturelles seront proposées dans des lieux prestigieux. PALAIS DES PRINCES-ÉVÊQUES CONCERT DE MUSIQUE URBAINES | DANSE URBAINE Spectacle musical avec différents styles de musiques | initiation, démonstration, battle de breakdance avec concours en deux étapes et jury. PLACE SAINT-LAMBERT FRESQUE PARTICIPATIF | MINI FOOT Graffiti | show freestyle, tournoi libre pana. GARE DE LIÈGE-GUILLEMINS DANSE URBAINE Initiation, démonstration et battle de krump. MUSÉE DU GRAND CURTIUS HUMOUR Soirée de stand-up avec des artistes talentueux qui vous feront pleurer de joie. Informations pratiques : Date : 26 mai 2024 ge requis : ouvert à tous Prix : gratuit Accessible aux PMR Liens: Instagram : https://www.instagram.com/_itsdivercity/ Facebook : https://www.facebook.com/itsdivercity Event Facebook : https://www.facebook.com/events/1070636790716402/
Conseillé dès 16 ans Pour cette création en solo, Louise Vanneste explore la relation d’un être à son environnement. L’observation de phénomènes géologiques, comme le fonctionnement chimique du feu ou la transformation des minéraux, servent de base à la recherche corporelle. Au sol, une couche de verre, sur scène, un corps vêtu d’un costume tissé de fils brillants et mats ; le tout plongé dans une ambiance sonore électro.
********** Français ********** Dans FeL, la chorégraphe Karolien Verlinden explore les spectres de couleurs de la lumière et joue sur les formes et les perceptions visuelles générées par ses rayonnements. Sur scène, les deux danseuses révèlent une œuvre d'art lumineuse kaléidoscopique.   Karolien Verlinden aime observer les gestes du quotidien et déceler le subtil qui s’en dégage : comment les gens marchent, comment iels s'assoient sur un banc, ce que leur langage corporel révèle, etc. L'idée sous-jacente étant qu'au-delà de la réalité et de sa normalité, il existe toujours un trésor de mondes imaginatifs non découverts.Avec FeL, la chorégraphe explore la qualité physique de la lumière. La lumière est allumée ou éteinte, c’est blanc ou noir… quoique… n’y a-t-il pas un monde infini entre  « allumé » et  « éteint » ?Un voyage du noir absolu au blanc fluorescent, en passant par des angles crochus, des cercles tournants, des figures oscillantes et toute une gamme de couleurs. Car il y a toujours de la lumière — parfois à peine visible, parfois aveuglante, parfois unificatrice. ********** Nederlands ********** Karolien Verlinden observeert graag alledaagse bewegingen en toont het subtiele dat er uit voortkomt: hoe mensen lopen, hoe ze op een bankje zitten, wat hun lichaamstaal onthult, enzovoort. De achterliggende gedachte is dat er voorbij de realiteit en haar normaliteit altijd een schat aan onontdekte fantasiewerelden ligt.Met FeL onderzoekt de choreograaf de fysieke kwaliteit van licht. Licht is aan of uit, het is wit of zwart... hoewel... is er niet een oneindige wereld tussen 'aan' en 'uit'?Een reis van pikzwart naar fel wit, via kromme hoeken, draaiende cirkels, oscillerende figuren en een heel scala aan kleuren. Want er is altijd licht - soms nauwelijks zichtbaar, soms verblindend, soms verbindend.
"Bleu sans Pluie" propose la traversée d’un paysage constitué d’ambivalences et de contradictions : rencontres, fusions, éloignements, transformations. Le dépouillement et aussi la saturation des éléments visuels et sonores laissent apparaître ces temps parfois ralentis, suspendus et accélérés où chacun peut déposer une partie de soi.
********** Français ********** Carcaça nous emporte dans un tourbillon de virtuosité chorégraphique. Dans cette pièce de groupe à l’énergie intense, dix interprètes puisent dans un vaste répertoire, bondissant entre danses de club et excursions vers des pas traditionnels. Au rythme de ces variations de styles, le mouvement se décline au pluriel et l’on observe de fortes singularités faire communauté. Le chorégraphe portugais interroge ici ce qui fait tradition dans le mouvement comme dans l’histoire politique : comment travailler avec des héritages multiples, comment en est-on infusé·e·s au présent ? Tout en engagement physique, Carcaça prend l’allure d’une course, qui s’incarne dans des gestes empruntés tant à la sphère voguing, qu’au kuduro angolais, au pantsula sud-africain ou à la danse classique, le tout accompagné d’une création sonore modulée live. Le défilé frénétique auquel Marco da Silva Ferreira nous convie s’appuie sur la mémoire corporelle de chaque interprète, pour former à partir de cette multitude d’influences dansées un maillage complexe aux couleurs fluo. Dans ce concentré d’histoires traversées à vive allure, les corps sont expressifs, vibrants. Carcaça interroge ce qui irrigue un collectif et ce qui fait tissage, mélange, à la lumière d’une composition habile. ********** Nederlands ********** Voor de Portugees Marco da Silva Ferreira, voormalig topsporter, is dans een instrument. De CARCASS-gemeenschap, met haar verschillende genres, fysionomieën en leeftijden, bouwt een collectieve identiteit op zonder dat de individuele identiteit daarom verdwijnt. Herinnering en heden, verzet en feest, folklore en creatie komen met elkaar in botsing om het lichaam van vandaag, bij uitstek stedelijk, halsstarrig verbonden met de elementen, in vraag te stellen en te vieren. ********** English ********** For Marco da Silva Ferreira from Portugal, who before being a dancer competed in sport at a high level, dance is a tool. Consisting of different genders, faces and ages, the community in CARCASS forms a collective identity without diluting anything about the ten individuals in it. Memory and the present, rebellion and celebration, folklore and creation collide, questioning and celebrating the contemporary body that is resolutely urban, but has a stubborn connection with the elements.
********** English ********** Thirteen performers dance and sing their hearts out, as if in ecstasy. They move as one global body through scenes reminiscent of street life, at times evoking a procession. Periodically, one will escape the dance only to be lovingly reunited with the group. They sing traditional and contemporary Mozambican songs, gospel and baroque motifs. Choreographer Idio Chichava found inspiration in the migratory movements of groups of people and the dance rituals of the Makonde people living in Mozambique and neighbouring countries. He believes only bodies that dance and sing simultaneously express themselves fully and exist in synergy with others. Vagabundus depicts life as a constant coming together and being together in a group, and migration as a possibly emotional, spiritual and collective journey. Chichava explores the expressiveness of the body and points the way to our true selves celebrating life with a pared-down stage design carried entirely by the explosive impact of dance and voices. This dazzling dance production invites us to recognise that our identity is strengthened by the community, through an overwhelming group performance showcasing song and dance as a means of resistance and a ritual of survival. ********** Nederlands ********** Dertien performers dansen en zingen zich de ziel uit het lijf, als in extase. Ze bewegen als één lichaam in scènes die aan het straatleven doen denken en associaties met processies oproepen. Bij momenten ontspringt iemand de dans om vervolgens liefdevol terug in de groep te worden opgenomen. Ze zingen traditionele en hedendaagse Mozambikaanse liederen, gospel- en barokmotieven. Choreograaf Idio Chichava liet zich inspireren door de migratiebewegingen van groepen mensen en de dansrituelen van het Makonde-volk dat in Mozambique en aangrenzende landen leeft. Hij gelooft dat alleen lichamen die tegelijkertijd dansen en zingen zichzelf volledig uitdrukken en in synergie met anderen bestaan. Vagabundus toont het leven als een constant samenkomen en samenzijn in groep, en migratie als een mogelijk emotionele, spirituele en collectieve reis. Chichava verkent de expressiviteit van het lichaam en wijst de weg naar ons ware zelf, het leven vierend in een uitgepuurde scenografie die volledig wordt gedragen door de explosieve impact van dans en stem. Een wervelende dansvoorstelling die uitnodigt om te erkennen dat onze identiteit wordt versterkt vanuit de gemeenschap, en een overdonderende groepsperformance die zang en dans toont als verzetsmiddel en overlevingsritueel. ********** Français ********** Treize performeur·euses dansent avec frénésie et chantent à tue-tête, comme en extase. Iels se déplacent comme un seul corps dans des scènes qui rappellent tantôt la vie dans la rue, tantôt une procession. Par moments, l’un·e ou l’autre s’échappe pour ensuite, tendrement, réintégrer le groupe. Le chorégraphe Idio Chichava s’inspire des mouvements migratoires et des rituels de danse du peuple Makondé, vivant principalement au Mozambique et dans les pays voisins. Selon lui, seuls les corps qui dansent et chantent simultanément s’expriment pleinement et peuvent exister en synergie avec les autres. Vagabundus dépeint la vie comme un rassemblement et un regroupement constants et la migration comme un voyage qui pourrait être émotionnel, spirituel et collectif. Chansons mozambicaines traditionnelles et contemporaines sont chantées et superposées à du gospel et des motifs baroques. Avec une scénographie épurée, entièrement portée par l’impact explosif de la danse et des voix, Chichava explore l’expressivité du corps et célèbre la vie en nous renvoyant vers notre véritable identité. Un spectacle éblouissant qui souligne la capacité de la communauté à renforcer notre identité, une performance collective bouleversante qui déploie le chant et la danse comme moyen de résistance et comme rituel de survie.
********** English ********** How do we feel the impact of events which are so much larger than us, move through us, and animate and activate our bodies all the time? Ten performers enact a glacially morphing tableau vivant on a mobile raft-like stage. Their voices generate a score that crescendos and resonates as they clutch, careen and cleave in a space too small to contain them, spilling off the edges. The scenes shown reference at times images from classical iconography. Tenderness and violence, sensuality and brute force cohabitate. The audience sits all around as if watching a boxing match, embanking the performers, close enough to smell their sweat and feel the steam of the spiralling scenes. Celebrated American choreographer Faye Driscoll returns to the festival with a multi-sensory flesh and breath sculpture made of bodies, sounds, scents, liquids and objects. She pushes her performers to their limits in this compelling, adventurous work, presented in the impressive Horta Hall, originally an exhibition space for sculptures. Weathering is an ode to the inexhaustible physical power of queer bodies. ********** Nederlands ********** Hoe voelen we de impact van gebeurtenissen die onze lichamen bewegen en bezielen, maar zoveel groter zijn dan onszelf? Tien performers verbeelden een steeds veranderend tableau vivant op een ronddraaiend vlot-achtig platform. Hun stemmen genereren een partituur die crescendo’s en resonanties laat horen terwijl ze elkaar vastgrijpen, wegduwen, en heen en weer slingeren over een oppervlak dat te klein is om hen te bevatten en uit zijn voegen dreigt te barsten. De getoonde scènes refereren bij momenten aan beelden uit de klassieke iconografie. Tederheid en geweld, sensualiteit en brute kracht worden met elkaar verzoend. Het publiek zit rondom rond, als kijkend naar een bokswedstrijd, en kan de performers bijna aanraken, hun zweet ruiken en de stomende scènes proeven. De gevierde Amerikaanse choreografe Faye Driscoll keert terug naar het festival met een multisensoriële levende sculptuur van vlees en adem, van lichamen, geluiden, geuren, sappen en objecten. Ze drijft haar performers tot het uiterste in dit meeslepende, avontuurlijke werk, gepresenteerd in de indrukwekkende Hortahal, oorspronkelijk een tentoonstellingsruimte voor beeldhouwwerken. Weathering is een ode aan de onuitputtelijke fysieke kracht van queer lichamen. ********** Français ********** Comment ressentons-nous l’impact d’événements qui, malgré le fait qu’ils nous dépassent, parviennent à nous traverser, nous animer et activer nos corps ? Sur un plateau rotatif qui ressemble à un radeau, dix performeur·euses, en constante évolution, composent des images qui ressemblent à des tableaux vivants issus d’un univers queer. Leurs voix génèrent une partition qui va crescendo et résonne à mesure qu’iels s’agrippent mutuellement, se balancent et se repoussent sur une surface trop petite pour les contenir, menaçant de déborder. Par moments, des images issues de l’iconographie classique semblent se dessiner. Tendresse, violence, sensualité et force brute cohabitent. Assis autour de la scène comme s’il assistait à un match de boxe, le public peut ressentir la sueur et l’ardeur de scènes étourdissantes. La célèbre chorégraphe états-unienne Faye Driscoll revient au festival avec une sculpture multisensorielle faite de chair et de souffle, de corps, de sons, d’odeurs, de fluides et d’objets. Elle pousse ses performeur·euses jusqu’à leurs limites dans un spectacle fascinant et aventureux, présenté dans l’impressionnant Hall Horta, qui était à l’origine conçu comme une salle d’exposition pour sculptures. Weathering est une ode à l’inépuisable puissance physique des corps queer et à leurs évolutions.
Les Detours Cyphers, ce sont des battles de danse Hip-Hop et une histoire de rencontres ! On t’invite à venir assister à ce beau moment rassembleur, ambiance au rendez-vous. Hood. Danseur contemporain Hip-Hop, Robin Capelle alias "Hood", alias "H20" , @hood_h2o_0 ... exprime ces différents états d'esprit et de corps avec sa manière atypique d'approfondir les concepts du mouvement. Compagnie : Double Impro. Pozar. Pour le CHATBOX Festival, 4 jeunes parolier.es urbain.es du collectif se succèderont sur scène pour te proposer un show de slam décapant ! Line-Up: JU1 - LELOUP - SWAM - LINCA Winners ? Histoires personnelles, détermination, lutte… Qu’est-ce qui pousse les performers à la compétitivité ? Les champions des derniers Detours Battles proposent des récits de vie entre danse urbaines et théâtre. Compagnie : No Way Back
********** English ********** Fampitaha, fampita, fampitàna – three Malagasy words that mean comparison, transmission and rivalry. In a score of abstract and figurative gestures, dancer and choreographer Soa Ratsifandrihana makes use of her own experience of diaspora and her Madagascan origins to tell us the kind of story she would have liked to have heard or seen as a child. Blending radio, musical and choreographic storytelling, the show plays with orality and movement, reminding us that our bodies, just like our words and sounds, are bearers of stories. Ratsifandrihana – who came to attention as a dancer in Rosas’ new version of Fase – drew inspiration from the words and stories she picked up on a recent trip to Madagascar. Joined by guitarist Joël Rabesolo and performers Audrey Merilus and Stanley Ollivier, she travels towards a form of wandering, exploring how several influences can lead to an unheard-of explosion of cultures like creolisation. Just as the change in accentuation between ‘fampitaha’, ‘fampita’ and ‘fampitàna’ alters the word’s meaning, the dancers glide from one state to another, seemingly following a constantly changing movement – or perhaps a form of creolisation. ********** Français ********** Fampitaha, fampita, fampitàna, trois mots malgaches signifiant comparaison, transmission et rivalité. Dans une partition de gestes abstraits et figuratifs, la danseuse et chorégraphe Soa Ratsifandrihana se nourrit de son récit diasporique et de ses origines malgaches pour nous raconter une histoire qu’elle aurait aimé entendre ou voir enfant. Récits radiophoniques, musicaux et chorégraphiques s’entremêlent dans une performance entre l’oralité et le mouvement pour nous rappeler que les corps, au même titre que les paroles ou les sons, portent nos histoires. Ratsifandrihana – précédemment remarquée en tant que danseuse de Rosas dans la nouvelle version de Fase – s’est inspirée de paroles et récits qu’elle a recueillis lors d’un voyage récent à Madagascar. Entourée du guitariste Joël Rabesolo et des performeur·euses Audrey Merilus et Stanley Ollivier, elle voyage vers une forme d’errance et explore comment, à l’image de la créolisation, plusieurs influences peuvent mener à un éclatement inouï de cultures. Tout comme le changement d’accentuation entre « fampitaha », « fampita » et « fampitàna » fait évoluer le sens du mot, les danseur·euses glissent d’un état à l’autre et semblent suivre un mouvement en perpétuelle métamorphose. ********** Nederlands ********** Fampitaha, fampita, fampitàna, drie Malagassische woorden die vergelijking, overdracht en rivaliteit betekenen. Danseres en choreografe Soa Ratsifandrihana – met wortels in Madagascar – put inspiratie uit haar persoonlijke diasporische verhaal en ontwikkelde een partituur van abstracte en figuratieve gebaren om ons een verhaal te vertellen dat ze als kind graag had willen horen of zien. De voorstelling combineert radiovertelling, muzikale compositie en choreografie, speelt met oraliteit en beweging, en herinnert eraan dat onze lichamen – net als onze woorden – dragers van verhalen zijn. Ratsifandrihana – die zich onder meer liet opmerken in de herneming van Fase van Rosas – trok naar Madagascar en verzamelde er getuigenissen en verhalen. In het gezelschap van gitarist Joël Rabesolo en performers Audrey Merilus en Stanley Ollivier onderzoekt ze hoe verschillende invloeden kunnen leiden tot een ongelooflijke explosie van culturen, naar analogie met het proces van creolisering. Net zoals het verplaatsen van de klemtoon tussen ‘fampitaha’, ‘fampita’ en ‘fampitàna’ telkens andere betekenissen genereert, glijden de dansers van de ene staat naar de andere, in een eindeloze metamorfose.