3 jours, 3 nuits / Louise Vanneste

Description

Conseillé dès 16 ans
Pour cette création en solo, Louise Vanneste explore la relation d’un être à son environnement. L’observation de phénomènes géologiques, comme le fonctionnement chimique du feu ou la transformation des minéraux, servent de base à la recherche corporelle.
Au sol, une couche de verre, sur scène, un corps vêtu d’un costume tissé de fils brillants et mats ; le tout plongé dans une ambiance sonore électro.

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Collaborant une nouvelle fois ensemble, le collectif sud-africain Impilo Mapantsula et Jeremy Nedd parcourent les voies sinueuses du vécu diasporique et afrofuturiste noir à travers le prisme du pantsula. Danse puissante connue pour son jeu de jambes d’une vélocité virtuose, le pantsula a permis à toute une génération de s’exprimer sous l’apartheid. La performance s’appuie principalement sur le potentiel d’improvisation chorégraphique du pantsula en réponse au jazz cosmique et spirituel d’Alice Coltrane et Bheki Mseleku. Elle s’inspire de phénomènes cosmiques : de la naissance d’une galaxie à la mort d’une étoile. Les danseur·euses se servent du style puissant et lyrique du pantsula contemporain pour faire écho aux luttes du « passé » contre l’oppression, tout en contemplant la compression de l’espace et du temps, ainsi que celle de nos illusions de progrès pour le futur. Dans le cadre du Kunstenfestivaldesarts & des Rencontres Danse, Cirque, Théâtre
********** English ********** How do we feel the impact of events which are so much larger than us, move through us, and animate and activate our bodies all the time? Ten performers enact a glacially morphing tableau vivant on a mobile raft-like stage. Their voices generate a score that crescendos and resonates as they clutch, careen and cleave in a space too small to contain them, spilling off the edges. The scenes shown reference at times images from classical iconography. Tenderness and violence, sensuality and brute force cohabitate. The audience sits all around as if watching a boxing match, embanking the performers, close enough to smell their sweat and feel the steam of the spiralling scenes. Celebrated American choreographer Faye Driscoll returns to the festival with a multi-sensory flesh and breath sculpture made of bodies, sounds, scents, liquids and objects. She pushes her performers to their limits in this compelling, adventurous work, presented in the impressive Horta Hall, originally an exhibition space for sculptures. Weathering is an ode to the inexhaustible physical power of queer bodies. ********** Nederlands ********** Hoe voelen we de impact van gebeurtenissen die onze lichamen bewegen en bezielen, maar zoveel groter zijn dan onszelf? Tien performers verbeelden een steeds veranderend tableau vivant op een ronddraaiend vlot-achtig platform. Hun stemmen genereren een partituur die crescendo’s en resonanties laat horen terwijl ze elkaar vastgrijpen, wegduwen, en heen en weer slingeren over een oppervlak dat te klein is om hen te bevatten en uit zijn voegen dreigt te barsten. De getoonde scènes refereren bij momenten aan beelden uit de klassieke iconografie. Tederheid en geweld, sensualiteit en brute kracht worden met elkaar verzoend. Het publiek zit rondom rond, als kijkend naar een bokswedstrijd, en kan de performers bijna aanraken, hun zweet ruiken en de stomende scènes proeven. De gevierde Amerikaanse choreografe Faye Driscoll keert terug naar het festival met een multisensoriële levende sculptuur van vlees en adem, van lichamen, geluiden, geuren, sappen en objecten. Ze drijft haar performers tot het uiterste in dit meeslepende, avontuurlijke werk, gepresenteerd in de indrukwekkende Hortahal, oorspronkelijk een tentoonstellingsruimte voor beeldhouwwerken. Weathering is een ode aan de onuitputtelijke fysieke kracht van queer lichamen. ********** Français ********** Comment ressentons-nous l’impact d’événements qui, malgré le fait qu’ils nous dépassent, parviennent à nous traverser, nous animer et activer nos corps ? Sur un plateau rotatif qui ressemble à un radeau, dix performeur·euses, en constante évolution, composent des images qui ressemblent à des tableaux vivants issus d’un univers queer. Leurs voix génèrent une partition qui va crescendo et résonne à mesure qu’iels s’agrippent mutuellement, se balancent et se repoussent sur une surface trop petite pour les contenir, menaçant de déborder. Par moments, des images issues de l’iconographie classique semblent se dessiner. Tendresse, violence, sensualité et force brute cohabitent. Assis autour de la scène comme s’il assistait à un match de boxe, le public peut ressentir la sueur et l’ardeur de scènes étourdissantes. La célèbre chorégraphe états-unienne Faye Driscoll revient au festival avec une sculpture multisensorielle faite de chair et de souffle, de corps, de sons, d’odeurs, de fluides et d’objets. Elle pousse ses performeur·euses jusqu’à leurs limites dans un spectacle fascinant et aventureux, présenté dans l’impressionnant Hall Horta, qui était à l’origine conçu comme une salle d’exposition pour sculptures. Weathering est une ode à l’inépuisable puissance physique des corps queer et à leurs évolutions.
********** English ********** Thirteen performers dance and sing their hearts out, as if in ecstasy. They move as one global body through scenes reminiscent of street life, at times evoking a procession. Periodically, one will escape the dance only to be lovingly reunited with the group. They sing traditional and contemporary Mozambican songs, gospel and baroque motifs. Choreographer Idio Chichava found inspiration in the migratory movements of groups of people and the dance rituals of the Makonde people living in Mozambique and neighbouring countries. He believes only bodies that dance and sing simultaneously express themselves fully and exist in synergy with others. Vagabundus depicts life as a constant coming together and being together in a group, and migration as a possibly emotional, spiritual and collective journey. Chichava explores the expressiveness of the body and points the way to our true selves celebrating life with a pared-down stage design carried entirely by the explosive impact of dance and voices. This dazzling dance production invites us to recognise that our identity is strengthened by the community, through an overwhelming group performance showcasing song and dance as a means of resistance and a ritual of survival. ********** Nederlands ********** Dertien performers dansen en zingen zich de ziel uit het lijf, als in extase. Ze bewegen als één lichaam in scènes die aan het straatleven doen denken en associaties met processies oproepen. Bij momenten ontspringt iemand de dans om vervolgens liefdevol terug in de groep te worden opgenomen. Ze zingen traditionele en hedendaagse Mozambikaanse liederen, gospel- en barokmotieven. Choreograaf Idio Chichava liet zich inspireren door de migratiebewegingen van groepen mensen en de dansrituelen van het Makonde-volk dat in Mozambique en aangrenzende landen leeft. Hij gelooft dat alleen lichamen die tegelijkertijd dansen en zingen zichzelf volledig uitdrukken en in synergie met anderen bestaan. Vagabundus toont het leven als een constant samenkomen en samenzijn in groep, en migratie als een mogelijk emotionele, spirituele en collectieve reis. Chichava verkent de expressiviteit van het lichaam en wijst de weg naar ons ware zelf, het leven vierend in een uitgepuurde scenografie die volledig wordt gedragen door de explosieve impact van dans en stem. Een wervelende dansvoorstelling die uitnodigt om te erkennen dat onze identiteit wordt versterkt vanuit de gemeenschap, en een overdonderende groepsperformance die zang en dans toont als verzetsmiddel en overlevingsritueel. ********** Français ********** Treize performeur·euses dansent avec frénésie et chantent à tue-tête, comme en extase. Iels se déplacent comme un seul corps dans des scènes qui rappellent tantôt la vie dans la rue, tantôt une procession. Par moments, l’un·e ou l’autre s’échappe pour ensuite, tendrement, réintégrer le groupe. Le chorégraphe Idio Chichava s’inspire des mouvements migratoires et des rituels de danse du peuple Makondé, vivant principalement au Mozambique et dans les pays voisins. Selon lui, seuls les corps qui dansent et chantent simultanément s’expriment pleinement et peuvent exister en synergie avec les autres. Vagabundus dépeint la vie comme un rassemblement et un regroupement constants et la migration comme un voyage qui pourrait être émotionnel, spirituel et collectif. Chansons mozambicaines traditionnelles et contemporaines sont chantées et superposées à du gospel et des motifs baroques. Avec une scénographie épurée, entièrement portée par l’impact explosif de la danse et des voix, Chichava explore l’expressivité du corps et célèbre la vie en nous renvoyant vers notre véritable identité. Un spectacle éblouissant qui souligne la capacité de la communauté à renforcer notre identité, une performance collective bouleversante qui déploie le chant et la danse comme moyen de résistance et comme rituel de survie.
Breng je voeten in beweging op leuke muziek en laat je hart zingen terwijl je samen danst met je peuter. De speelse lessen zijn niet alleen een feest voor jullie beiden, maar ze stimuleren ook de vroege ontwikkeling van je kleintje.  Met de kracht van muziek, beweging en het verkennen van instrumenten, leggen we het fundament voor taal, geheugen en leesvaardigheid.  EN - Move, groove, and grow together with your little one. FR - Bougez, dansez et grandissez avec votre petit(e).
Breng je voeten in beweging op leuke muziek en laat je hart zingen terwijl je samen danst met je peuter. Onze speelse lessen zijn niet alleen een feest voor jullie beiden, maar ze stimuleren ook de vroege ontwikkeling van je kleintje.  Met de kracht van muziek, beweging en het verkennen van instrumenten, leggen we het fundament voor taal, geheugen en leesvaardigheid.  EN - Move, groove, and grow together with your little one. FR - Bougez, dansez et grandissez avec votre petit(e).
********** English ********** Fampitaha, fampita, fampitàna – three Malagasy words that mean comparison, transmission and rivalry. In a score of abstract and figurative gestures, dancer and choreographer Soa Ratsifandrihana makes use of her own experience of diaspora and her Madagascan origins to tell us the kind of story she would have liked to have heard or seen as a child. Blending radio, musical and choreographic storytelling, the show plays with orality and movement, reminding us that our bodies, just like our words and sounds, are bearers of stories. Ratsifandrihana – who came to attention as a dancer in Rosas’ new version of Fase – drew inspiration from the words and stories she picked up on a recent trip to Madagascar. Joined by guitarist Joël Rabesolo and performers Audrey Merilus and Stanley Ollivier, she travels towards a form of wandering, exploring how several influences can lead to an unheard-of explosion of cultures like creolisation. Just as the change in accentuation between ‘fampitaha’, ‘fampita’ and ‘fampitàna’ alters the word’s meaning, the dancers glide from one state to another, seemingly following a constantly changing movement – or perhaps a form of creolisation. ********** Français ********** Fampitaha, fampita, fampitàna, trois mots malgaches signifiant comparaison, transmission et rivalité. Dans une partition de gestes abstraits et figuratifs, la danseuse et chorégraphe Soa Ratsifandrihana se nourrit de son récit diasporique et de ses origines malgaches pour nous raconter une histoire qu’elle aurait aimé entendre ou voir enfant. Récits radiophoniques, musicaux et chorégraphiques s’entremêlent dans une performance entre l’oralité et le mouvement pour nous rappeler que les corps, au même titre que les paroles ou les sons, portent nos histoires. Ratsifandrihana – précédemment remarquée en tant que danseuse de Rosas dans la nouvelle version de Fase – s’est inspirée de paroles et récits qu’elle a recueillis lors d’un voyage récent à Madagascar. Entourée du guitariste Joël Rabesolo et des performeur·euses Audrey Merilus et Stanley Ollivier, elle voyage vers une forme d’errance et explore comment, à l’image de la créolisation, plusieurs influences peuvent mener à un éclatement inouï de cultures. Tout comme le changement d’accentuation entre « fampitaha », « fampita » et « fampitàna » fait évoluer le sens du mot, les danseur·euses glissent d’un état à l’autre et semblent suivre un mouvement en perpétuelle métamorphose. ********** Nederlands ********** Fampitaha, fampita, fampitàna, drie Malagassische woorden die vergelijking, overdracht en rivaliteit betekenen. Danseres en choreografe Soa Ratsifandrihana – met wortels in Madagascar – put inspiratie uit haar persoonlijke diasporische verhaal en ontwikkelde een partituur van abstracte en figuratieve gebaren om ons een verhaal te vertellen dat ze als kind graag had willen horen of zien. De voorstelling combineert radiovertelling, muzikale compositie en choreografie, speelt met oraliteit en beweging, en herinnert eraan dat onze lichamen – net als onze woorden – dragers van verhalen zijn. Ratsifandrihana – die zich onder meer liet opmerken in de herneming van Fase van Rosas – trok naar Madagascar en verzamelde er getuigenissen en verhalen. In het gezelschap van gitarist Joël Rabesolo en performers Audrey Merilus en Stanley Ollivier onderzoekt ze hoe verschillende invloeden kunnen leiden tot een ongelooflijke explosie van culturen, naar analogie met het proces van creolisering. Net zoals het verplaatsen van de klemtoon tussen ‘fampitaha’, ‘fampita’ en ‘fampitàna’ telkens andere betekenissen genereert, glijden de dansers van de ene staat naar de andere, in een eindeloze metamorfose.