Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent
vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant,
quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire
la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon.La vie
est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il
faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on
chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour
lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui
repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme
? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car
toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la
résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister
à la fatigue et à la peur.Et on invente la vie qui doit être plus forte que la
mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la
récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes.Un spectacle pour toute la
famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de
l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la
Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… »__________De Dany Laurent / Mise en
scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De
Staercke, Laure Godisiabois__________UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC
LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ
FRANÇAISE.
Les lettres de mon père
Description
En 1959, la famille Limbos déménage au Congo encore colonie belge. Le père vient d’y être chargé de la direction de l’École des cadres, où il forme de jeunes hommes congolais à devenir instructeurs ; un an plus tard à l’indépendance, les enfants sont renvoyés chez leur oncle Pierre, curé du petit village de Dongelberg ; pendant un an, les enfants vivent séparés de leurs parents restés au Congo. Ils sont les « enfants du curé ».
Agnès Limbos a huit ans à cette époque, l’enfant est traumatisée par cet abandon.
« Mes chers enfants », « À tous les guerriers de la tribu des Limbos », « Chères filles et chers garçons », « Soyez sages », « Mes chers enfants qui font la joie de leurs parents » « Priez pour les Congolais », « Votre papa qui vous aime » : plus de soixante plus tard, Agnès rassemble les quarante-six lettres adressées aux enfants par le père, qui constituent le matériau des Lettres de mon père.
Avec le désir de dialoguer avec la fillette d’alors, elle cherche à comprendre ce que fut la vie des parents – comment ils se sont dépatouillés avec leur propre histoire familiale dans la grande Histoire – et à apprendre comment leur pardonner blessures, frustrations et manques.
Le tout au travers de la magie du théâtre d’objet, la marque de fabrique d’Agnès Limbos dont elle use avec une inventivité sans cesse renouvelée.
Information sur la date
2024-02-13: 19:00:00 - 20:00:00
2024-02-14: 19:00:00 - 20:00:00
2024-02-15: 13:30:00 - 14:30:00
2024-02-15: 20:15:00 - 21:15:00
2024-02-16: 13:30:00 - 14:30:00
2024-02-16: 20:15:00 - 21:15:00
2024-02-17: 19:00:00 - 20:00:00
2024-02-18: 15:00:00 - 16:00:00
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