À l'occasion des 80 ans de la Libération, la ville de Provins dévoile une grande
exposition retra?ant la Seconde Guerre Mondiale, au Grand Théâtre du Centre
Culturel Saint-Ayoul. Une immersion émouvante dans la vie des Provinois sous
l'occupation, à la découverte de nombreuses archives inédites...
De l'entrée en guerre, à la bataille de Provins, en passant par l'exode des
Provinois, le STO (Service du Travail Obligatoire) et la répression
(arrestations, déportations et rafles), ou encore la Résistance provinoise,
l'arrivée des Américains, et la Libération... vous plongerez dans le quotidien
des Provinois sous l'Occupation.
Du 28 août au 15 septembre 2024, venez découvrir ces témoignages à travers:
- 60 panneaux largement illustrés par des photographies d'époque et des
documents d'archives (originaux et reproductions)
- Des affiches de propagande originales produites par Vichy et les Forces
d'Occupation
- Une exposition philatélique (timbres de la Libération et marcophilie locale)
- Des objets d'époque et de restitutions sous forme de dioramas sonorisés
- Deux films avec des extraits d'images réalisés lors de la Libération de
Provins en 1944
Un catalogue d'exposition proposé à la vente sera édité, richement illustré et
reprendra l'ensemble des documents exposés.
L'inauguration de cette exposition aura lieu le mardi 27 août à 18h, en nocturne
jusqu'à 21h30, et sera ouverte à tous.
Site web : https://provins.net/80-ans-de-la-liberation-de-provins-exposition/
![Event](https://api.culturius.com/media/cache/resolve/photo_original_filter/66b1e1bdc312f824423540.jpeg)
Écomusée la vie à la campagne au début du 20ème siècle
21september
-22september
7 Rue De L'ancien Presbytère, 51120 La Forestière, France
Description
L'exposition Écomusée la vie à la campagne au début du 20ème siècle a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Brece 2024.
L'écomusée La Vie à la Campagne au Début du 20ème Siècle à Brecé vous plonge dans une riche collection d'habits et d'outils d'autrefois. Les supports photographiques évoquent la vie à la campagne au début du XXe siècle.
Découvrez une exposition immersive mettant en lumière le quotidien des habitants ruraux de l'époque. Des objets authentiques et des images d'archives vous transportent dans un voyage nostalgique à travers le temps.
Infos réservations :
En ligne
- http://www.brece.com
Par téléphone
- 02 43 08 64 52
Date info
Du samedi 21 septembre 2024 au dimanche 22 septembre 2024
08h00 • 14h00
1 Picture
Suggested events
À l'occasion des 160 ans de la naissance de Camille Claudel, le musée de
Nogent-sur-Seine met à l'honneur la sculptrice à travers l'une de ses oeuvres
majeures : Sakountala.
Du 14 septembre 2024 au 12 janvier 2025, l'exposition « Camille Claudel à
l'oeuvre : Sakountala » propose d'entrer au coeur de la création de ce
chef-d'oeuvre à l'histoire très mouvementée. Inspirée de la mythologie hindoue,
la toute première sculpture monumentale de l'artiste a en effet connu à la fois
le succès et la polémique avant de tomber dans l'oubli.
Rassemblant près de 100 objets, l'exposition revient sur le processus créatif de
Sakountala, l'histoire de sa réception mais aussi sa source d'inspiration
littéraire ou encore les nombreuses variations que Camille Claudel en a
proposées à la fin de sa carrière.
Bénéficiant de prêts exceptionnels du musée Rodin, de la Bibliothèque nationale
de France et du musée d'Orsay, cette exposition a re?u le label « Exposition
d'intérêt national » du ministère de la Culture.
Site web : https://www.museecamilleclaudel.fr/fr/expo-claudel-sakountala
L'exposition Exposition, la patiente élaboration de l'oeuvre majeure de Camille
Claudel a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Nogent sur Seine 2024.
À l'occasion des 160 ans de la naissance de Camille Claudel, le musée met à
l'honneur l'artiste à travers l'une de ses oeuvres majeures : Sakountala.
Cette sculpture, la seule qui lui ait valu une récompense au Salon, est un fil
permettant de retracer la carrière de l'artiste, en s'appuyant notamment sur les
variations qu'elle en a proposées, sous différents titres et en divers formats
et matériaux : de L'Abandon à La Niobide blessée en passant par Vertumne et
Pomone.
L'exposition revient sur la patiente élaboration de l'oeuvre et l'histoire
mouvementée de sa réception ainsi que sur le choix de ce mythe issu de la
littérature indienne ancienne, en vogue au XIXe siècle, qui fait toute la force
et l'originalité de Sakountala.
Vous pouvez également profiter d'un atelier de création pour petits et grands,
une visite libre pour les plus jeunes à travers des enquêtes et enigmes ainsi
qu'une visite libre du musée.
Infos réservations :
En ligne
- http://www.museecamilleclaudel.fr
Par téléphone
- 03 25 24 76 34
L'exposition Découvrez de nombreuses sculptures lors de la visite d'un musée a
lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Nogent sur Seine 2024.
Découvrez, lors d'une visite libre, la plus grande collections au monde des
oeuvres de Camille Claudel !
Vous pouvez également profiter d'une exposition mettant en avant l'oeuvre
majeure de Camille Claudel, une visite libre pour les plus jeunes à travers des
enquêtes et enigmes ainsi qu'un atelier de création pour petits et grands.
Infos réservations :
En ligne
- http://www.museecamilleclaudel.fr
Par téléphone
- 03 25 24 76 34
L'exposition Découvrez un musée à travers les enquêtes de Mouseîon a lieu dans
le cadre des Journées du patrimoine Nogent sur Seine 2024.
Pour les petits curieux férus d'énigmes, les enquêtes de Mouseîon sont
disponibles gratuitement à l'accueil du Musée Camille Claudel à
Nogent-sur-Seine. Elles invitent les familles à rechercher des personnages
représentés dans les sculptures en suivant les indices de Mouseîon, la mascotte
du musée.
Présentées dans sept livrets, les enquêtes peuvent être menées lors de plusieurs
visites.
Vous pouvez également profiter d'une exposition mettant en avant l'oeuvre
majeure de Camille Claudel, un atelier de création pour petits et grands ainsi
qu'une visite libre du musée.
Infos réservations :
En ligne
- http://www.museecamilleclaudel.fr
Par téléphone
- 03 25 24 76 34
L'exposition Atelier de création en argile, pour petits et grands a lieu dans le
cadre des Journées du patrimoine Nogent sur Seine 2024.
Quel plus beau sentiment que l'amour ?
Au Musée Camille Claudel de Nogent-sur-Seine, contemplez les amoureux
représentés dans les sculptures Sakountala, Vertumne et Pomone. Pour les
réaliser, Camille Claudel s'est inspirée de mythes antiques indien et romain.
Ensuite, laissez-vous attendrir par d'autres histoires telles que celles de
Cendrillon ou de La Belle et la Bête. Enfin, modelez en argile un couple inspiré
d'une des histoires d'amour. Le reconnaitra-t-on ?
Vous pouvez également profiter d'une exposition mettant en avant l'oeuvre
majeure de Camille Claudel, une visite libre pour les plus jeunes à travers des
enquêtes et énigmes ainsi qu'une visite libre du musée.
Infos réservations :
En ligne
- http://www.museecamilleclaudel.fr
Par téléphone
- 03 25 24 76 34
Visite guidée de l’exposition suivie d’un atelier créatif “Couronne de laurier”.
Dans le cadre du Passeport loisirs vacances d'été.
Créez votre couronne de laurier de champion olympique !
Gratuit - Sur réservation
Ce n'est que bien après s'être égarée à l'école des Beaux Arts de Bourges et
l'obtention de son DNAP, où Alexandra Pasqualini oscillait entre volume et
peinture, qu'elle découvre la fabrication de papier. Aujourd'hui Alexandra
Pasqualini a 52 ans et travaille comme animatrice péri scolaire qui lui laisse
beaucoup de temps pour ses créations personnelles.
Sa vie artistique se divise en trois périodes. Son immersion à l'école des Beaux
Arts de Bourges jusque à ses 22 ans suivie d'une rencontre amoureuse de là
naissent 2 enfants, puis une première découverte en 2008 en menant des ateliers
de papier recyclé auprès des enfants où elle découvre une technique de base de
la fabrication de papier. Ensuite un troisième enfant en 2012, c'est en 2018
qu'Alexandra reprend son expérimentation de la matière avec toutes sortes de
matériaux : légumes, végétaux...pour réaliser ses feuilles de papier.
Aujourd'hui, Alexandra Pasqualini fabrique principalement du papier recyclé,
auquel elle ajoute de la terre, des végétaux. Les feuilles de papier lui servent
de support pour ses dessins à l'encre. Alexandra est sensible au réchauffement
climatique, à la consommation abusive du bois, à la déforestation. Aussi, son
travail tend à rendre hommage à l'Arbre et ainsi amener à une prise de
conscience de l'homme à préserver nos forêts. L'oeuvre d'Alexandra Pasqualini
est une quête affective qu'elle souhaite transmettre au public, par le biais du
support papier tel un cycle de l'Arbre vivant à l'Arbre devenu papier. Le papier
devient mémoire de l'Arbre.
Alors Alexandra expérimente la technique avec des légumes, des végétaux, du
carton, du coton, afin d'obtenir des feuilles. Une pate à papier qu'elle
fabrique dans une cuve qu'elle étale sur des petites planches qu'elle pressent,
puis elle réassemble ses feuilles pour faire de grandes surfaces de vie. Une
opération qu'elle recommence plusieurs fois à base de papier recyclé. Ensuite
elle superpose les feuilles de papier, les déchire, les écorche, les imbibe
d'encres, de café, de teintes végétales. Des parfums de forêts émanent de sa
bouillie de papier. Alors, renaît la nature, cet espace qu'Alexandra explore,
les sens aux aguets, à la rencontre d'hÊtres.
Elle ne cherche pas à reproduire les arbres, d'autres le font magnifiquement.
Elle est en recherche émotionnelle. Cette ivresse émanant d'un seul trait de
dessin dynamique, ou d'une veine
de papier dévoile sous l'encre. Cet instant où il faut lever le pinceau au
risque de noyer l'émotion.
Alexandra ne sait ni si elle est peintre, dessinatrice, artiste ou artisan, ni
de quel courant artistique elle s'inspire. Elle est celle, celui qui ne rentre
dans aucune case. Alexandra suit le vent dans les arbres, la samare qui
virevolte et germe au gré des rencontres notamment lors d'ateliers papier
qu'elle anime. Alexandra est celle qui goûte à la liberté qu'elle retrouve en
forêt où son être exulte.
Une liberté, dû en partie, à la prise de conscience de préserver l'environnement
naturel, nos bois...
Et si parfois des champignons incrustent son tableau, c'est encore pour observer
la vie.
Site web : https://g-rdv.com
Infos réservation :
Le vernissage est prévu le 12/07/2024 à 18h, nous vous remercions de vous
inscrire pour votre venue à e@g-rdv.com.
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet
artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail
d’illustrateur.
Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François
Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé
Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel
Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a
probablement appartenu à l’artiste lui-même.
Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de
fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès
1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain
s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de
l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par
illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois
jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs
les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté,
issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la
simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs
qui les caractérisent.
À l’occasion des 70 ans de la mort d’André Derain, le musée met à l’honneur cet
artiste majeur et « touche-à-tout » à travers la présentation de son travail
d’illustrateur.
Récemment offert au musée, un exemplaire hors commerce de l’ouvrage de François
Rabelais, Les horribles et espovantables faietz et prouesses du très renommé
Pantagruel, roi des Dispodes, Fils du Géant Gargantua, d’après l’édition d’Abel
Lefranc (édité à 275 exemplaires par Albert Skira, Genève, 15 avril 1943) a
probablement appartenu à l’artiste lui-même.
Pour accompagner le texte de Rabelais, Derain revient à la gravure sur bois de
fil, renouant ainsi avec un art qu’il avait su renouveler dans sa jeunesse, dès
1906. Il y ajoute des couleurs empruntées à la carte à jouer ancienne. Derain
s’implique près de trois ans dans la création puis l’impression manuelle de
l’ouvrage, authentique prouesse technique. Il ne réalisa qu’un seul bois par
illustration, destiné à un seul passage sous presse tout en cumulant parfois
jusqu’à dix couleurs, obligeant à creuser chaque bois afin d’isoler les couleurs
les unes des autres. Stylistiquement, ces bois affectent une apparente naïveté,
issue du goût de l’artiste pour l’estampe populaire, du fait de la
simplification des formes, la stylisation du dessin et la vibration des couleurs
qui les caractérisent.