Festival ClassiCahors : Musiques et chants klezmer et napolitains

Description

Un dialogue passionnant entre musiques klezmer, mélodies méditerranéennes et chants napolitains.
Le klezmer est une tradition musicale instrumentale des juifs ashkénazes (d’Europe centrale et de l’Est) qui s’est développée à partir du XV° siècle.
Elle puise ses origines dans les musiques du Moyen-Orient, d’Europe centrale et d’Europe de l’Est (slaves et tziganes).
La musique klezmer est marquée par les voyages, les exils, la nostalgie mais célèbre également la joie et la fierté d’un peuple. Fervente ou nostalgique, elle peut prendre en quelques notes des accents festifs et irrésistiblement entraînants.

Une complicité artistique parfaite dans un programme enivrant.
En partenariat avec l 'association des Jardinns Henri MARTIN MARQUAYROL à LABASTIDE-DE-VERT

En partenariat avec l’association Graines d' Etoiles

Pierre-Emmanuel Roubet, ténor
Camille Humeau, clarinette

Date info

Le 24 juillet 2024 à 20:00

Tickets

Info:

  • Général
    À partir de 25.80 €
  • Tarif réduit
    À partir de 23.80 €

    • Réduction Carte Grand Pass

  • Tarif réduit
    À partir de 15.80 €

    • Demandeurs d'emploi / Personnes à Mobilité Réduite / RSA / Etudiants – 26 ANS

  • Gratuit
    À partir de 0 €

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MUSIQUES ANCIENNES POPULAIRES ET SACREES Daniel Lassalle, sacqueboute Benoit Albert, guitare Grégory Daltin, accordéon Florent Tisseyre, percussions Musiques populaires et sacrées Au carrefour des musiques anciennes, traditionnelles et improvisées, ils tracent un itinéraire jusqu’alors peu emprunté, guidé par un instrumentarium inhabituel : accordéon, sacqueboute, guitare et percussions. Au gré des rencontres, Vita Bella nous parle de ses amours musicales : les musiques anciennes sacrées et profanes, mais aussi les musiques populaires d’Afrique du nord, du Japon ou du bassin méditerranéen. Ce sont autant d’étapes d’un voyage géographique et imaginaire où se tissent les échos lointains de traditions ancestrales que nos quatre musiciens revivifient de leur savoir faire d’aujourd’hui.
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Le programme que Roland Pidoux prépare pour 2024 est particulièrement enthousiasmant. Il comprendra dix-huit interprètes de haut niveau et c’est en toute confiance que nous nous engageons vers notre trente-cinquième édition. Une révélation : nous allons réaliser un souhait exprimé depuis longtemps par notre public, réunir en un même concert trois générations de « Pidoux » et par voie de conséquence proposer un mariage du hautbois et de la percussion avec le violoncelle. Nous maintenons le nombre de nos concerts publics (en incluant le « concert des amis » offert par les musiciens aux adhérents et à la population de Bélaye). Les ateliers publics d’après-midi animés par Roland Pidoux, qui sont devenus la véritable « image de marque » des Rencontres de Bélaye sont naturellement programmés. Les ateliers enfants ont bénéficié d’un prolongement en milieu scolaire (école de Puy-l’Evêque). L’action en direction d’un public jeune s’est poursuivie au cours des années récentes avec des résultats tangibles.
F.Chopin Nocturne Op.62 No.1 H-dur F.Liszt Bénédiction de Dieu dans la solitude, extrait des Harmonies poétiques et religieuse S 173/3 I.Stravinsky / G.Agosti Suite de l’Oiseau de feu | Danse infernale du Roi Kastchei |Berceuse | Finale I.Stravinsky Trois mouvements de Petrouchka| Danse russe | Chez Petrouchka | La semaine grasse Né en 2000 en Corée, Hyuk Lee a remporté le Concours Paderewski en Pologne en 2016 et a reçu le 3e prix du Concours international de piano Hamamatsu au Japon en 2018. En 2021, il parvient en finale du prestigieux Concours Chopin à Varsovie, puis remporte le 1er Grand prix Animato-Chopin à Paris. 2022 marque une consécration pour ce jeune artiste qui obtient le 1er Prix au Concours Long Thibaud à Paris.
Depuis 2016, le festival ClassiCahors a réussi à marier la beauté du patrimoine local à l’essence même du répertoire classique. Ce sont près de 18 000 spectateurs qui sont venus assister aux 72 concerts et spectacles sur Cahors, le Grand Cahors et le sud du Lot . C’est une fusion harmonieuse, ouverte à tous les passionnés de musique et à ceux désireux de découvrir des œuvres exceptionnelles. Au cours des huit dernières années, d’éminents artistes tels que Jordi Savall, William Christie, Alexandre Kantorow, le Chœur de la Radio lettone, Thierry Escaich, Thibaut Garcia, Théotime Langlois de Swarte, Ophélie Gaillard, Laurent Cabasso, Les Eléments, Michel Legrand, Le Chœur de l’Armée Française, Marie-Laure Garnier, Lucienne Renaudin-Vary et bien d’autres encore, ont participé à cet événement. De plus, l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, fidèle au rendez-vous chaque année, et le partenariat avec le festival Radio France Occitanie-Montpellier depuis 2018, ont contribué à son succès. Pour cette neuvième édition, venez découvrir le cœur même de notre festival : l’exploration du riche patrimoine de Cahors et de nouveaux lieux avec des charmants villages du Lot comme Labastide-du-Vert à Marquayrol, l’ancienne demeure du peintre Henri Martin soutenue par la Fondation pour le Patrimoine, Saint-Cirq-Lapopie, trésor médiéval du Lot et premier village préféré des français ainsi que Lherm, fusionnant harmonieusement excellence musicale et partage. Nous vous offrons une expérience au-delà de la musique classique, vous permettant de rencontrer les artistes, d’échanger avec eux et de déguster des produits du terroir lors de nos après-concerts gourmands. Notre ambition est d’attirer un public diversifié de toutes les générations, tout en vous proposant le plaisir de concerts en plein air dans des cadres exceptionnels ! Cette édition vous permettra de découvrir de magnifiques artistes à travers 11 rendez-vous musicaux, allant de l’Orchestre symphonique au piano solo, de la voix aux cuivres, de la musique de chambre à une académie chœur et orchestre, en passant par des ensembles baroques. Alors, n’hésitez pas à découvrir notre festival cet été, avec des artistes talentueux dans ce merveilleux territoire de l’Occitanie ! Les réservations se font : soit en ligne (sur festik.net), soit à l'Office de Tourisme Cahors Vallée du Lot, soit par un courrier accompagné du règlement à l'ordre de CLASSICAHORS (Classicahors, Place Bessières, Espace Clément Marot, 46000 CAHORS)
Pour sa 18e édition, les Rencontres Photo de Castelfranc ont lieu du 26 juillet au 03 août 2024. Les photographes seront présents sur le lieu d'exposition durant toute la semaine d'ouverture de 15h à 19h pour vous présenter leurs travaux. Cette année nous mettons en avant les travaux de deux jeunes photographes belges, tout juste diplômés de l'école bruxelloise le Septante-Cinq (https://www.leseptantecinq.be/). Il s'agit d'une Ecole Supérieure des Arts de l'image qui privilégie « une vision d’auteur centrée sur la création plastique en tant que langage et le documentaire en tant qu’interrogation du monde ». Loredana Marini présentera son travail en cours : Quartier Jean-Bart Guynemer (2023-2024), étude d'un quartier de logements sociaux dans le nord de la France, à Dunkerque, dans la commune de Saint-Pol-Sur-Mer. Il découle d'une volonté de comprendre les enjeux sociaux contemporains en immersion avec les habitants du quartier. A l'occasion de son exposition de jury de fin d'étude elle est sélectionnée pour représenter l'école au prix Mark Grosset-SAIF "destiné à découvrir et promouvoir les jeunes photographes issu.e.s d’écoles photographique internationales qui expose les regards contemporains de la nouvelle génération." Arnaud Guillaume exposera également un sujet en cours : J’espère qu’on verra les étoiles (2021-2024). Il s’attache à documenter de manière poétique le quotidien de sa bande de copains d’enfance, évoluant dans la région de la Gaume au sud de la Belgique, frontalière avec la Lorraine. Vernissage : vendredi 26 juillet à 18h00 à la maison de l'image de Castelfranc, en présence des artistes.
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Dimanche 4 août 2024, concert en l'église de Bélaye, 18h30 : Concert d’ouverture des trois générations (« Jeu de cette famille ») Roland Pidoux (violoncelle). Raphaël Pidoux (violoncelle). Maxime Pidoux (timbales et percussions). Gabriel Pidoux (hautbois). Virginie Michaud (alto) Karine Jean-Baptiste (violoncelle). Dans la famille Pidoux l’art musical occupe une place centrale depuis trois générations. Raphaël Pidoux, dans un désir de rapprochement avec son père, décide à onze ans de devenir violoncelliste. Roland accepte naturellement de se consacrer durant sept ans à transmettre sa passion et son savoir à son fils. Ce lien de transmission très fort va se perpétuer à la génération suivante où les musiciennes que sont les mères et grand-mère de la famille offriront le meilleur de leur univers d’interprètes allant du baroque au XXIe siècle. Cette quête artistique se vit au cœur même de la famille, permettant ainsi de révéler son propre rayonnement musical, dans une connivence faite d’exigence et de culture intimement partagées. Marin MARAIS (1656-1728) Le Basque pour hautbois, alto, trois violoncelles et tambourin Alessandro MARCELLO (1684-1750) Adagio pour hautbois et cordes en ré mineur d'après J.S Bach Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Deux menuets et deux danses pour hautbois, alto et trois violoncelles Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Trio pour hautbois et deux violoncelles op.87 Robert SCHUMANN (1810-1856) Sonate op 118 pour hautbois, alto et trois violoncelles Piotr Ilyich TCHAÏKOVSKI (1840-1893) Légende pour alto et trois violoncelles Serge PROKOFIEV (1891-1953) Lieutenant Kijé pour hautbois, alto, violoncelles et percussion Igor STRAVINSKI (1882-1971) Marche royale (extraite de l'Histoire du soldat) pour hautbois, alto, trois violoncelles et Dimitri CHOSTAKOVITCH (1906-1975) Suite de danses pour hautbois, alto, trois violoncelles et percussion Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Évêque et Montcuq
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Dimanche 4 août 2024, concert en l'église de Bélaye, 18h30 : Concert d’ouverture des trois générations (« Jeu de cette famille ») Roland Pidoux (violoncelle). Raphaël Pidoux (violoncelle). Maxime Pidoux (timbales et percussions). Gabriel Pidoux (hautbois). Virginie Michaud (alto) Karine Jean-Baptiste (violoncelle). Dans la famille Pidoux l’art musical occupe une place centrale depuis trois générations. Raphaël Pidoux, dans un désir de rapprochement avec son père, décide à onze ans de devenir violoncelliste. Roland accepte naturellement de se consacrer durant sept ans à transmettre sa passion et son savoir à son fils. Ce lien de transmission très fort va se perpétuer à la génération suivante où les musiciennes que sont les mères et grand-mère de la famille offriront le meilleur de leur univers d’interprètes allant du baroque au XXIe siècle. Cette quête artistique se vit au cœur même de la famille, permettant ainsi de révéler son propre rayonnement musical, dans une connivence faite d’exigence et de culture intimement partagées. Marin MARAIS (1656-1728) Le Basque pour hautbois, alto, trois violoncelles et tambourin Alessandro MARCELLO (1684-1750) Adagio pour hautbois et cordes en ré mineur d'après J.S Bach Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Deux menuets et deux danses pour hautbois, alto et trois violoncelles Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Trio pour hautbois et deux violoncelles op.87 Robert SCHUMANN (1810-1856) Sonate op 118 pour hautbois, alto et trois violoncelles Piotr Ilyich TCHAÏKOVSKI (1840-1893) Légende pour alto et trois violoncelles Serge PROKOFIEV (1891-1953) Lieutenant Kijé pour hautbois, alto, violoncelles et percussion Igor STRAVINSKI (1882-1971) Marche royale (extraite de l'Histoire du soldat) pour hautbois, alto, trois violoncelles et Dimitri CHOSTAKOVITCH (1906-1975) Suite de danses pour hautbois, alto, trois violoncelles et percussion Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Évêque et Montcuq
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Lundi 5 août 2024, concert en l'église Notre-Dame de l'Île, à Luzech, 18h30 : Gioacchino ROSSINI (1792-1868) Sonate n°1 en fa majeur pour hautbois, clarinette, cor et violoncelle Franz SCHUBERT (1797-1828) Trio pour hautbois, alto, violoncelle D.471 en si bémol majeur Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791) Quintette avec cor en mib majeur K.407 Pablo De SARASATE (1844-1908) Airs bohémiens op.20 pour violoncelle solo et quatuor de violoncelles Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Trio à cordes op.9 n°1 en sol majeur Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Evêque et Montcuq
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Mercredi 7 août 2024, concert en l'église de Bélaye, 18h30 : Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791) Quatuor pour hautbois et cordes K.370 en fa majeur Bohuslav MARTINU (1890-1959) Quatuor pour clarinette, cor, violoncelle et caisse claire H 139 en do majeur Etienne PERRUCHON (1958-2019) Cinq danses dogoriennes pour timbales et violoncelles Félix MENDELSSOHN (1809-1847) Trio n°2 op 66 pour piano, violon, violoncelle Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Evêque et Montcuq
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Sur la place de Bélaye, jeudi 8 août à 20h00. Réservation obligatoire, sur place, à partir du 5 août