XXXVèmes Rencontres de Violoncelle de Bélaye : Concert d'ouverture du dimanche

Description

Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée.

Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux.

C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle.
Dimanche 4 août 2024, concert en l'église de Bélaye, 18h30 :

Concert d’ouverture des trois générations (« Jeu de cette famille »)

Roland Pidoux (violoncelle).
Raphaël Pidoux (violoncelle).
Maxime Pidoux (timbales et percussions).
Gabriel Pidoux (hautbois).
Virginie Michaud (alto)
Karine Jean-Baptiste (violoncelle).

Dans la famille Pidoux l’art musical occupe une place centrale depuis trois générations. Raphaël Pidoux, dans un désir de rapprochement avec son père, décide à onze ans de devenir violoncelliste. Roland accepte naturellement de se consacrer durant sept ans à transmettre sa passion et son savoir à son fils. Ce lien de transmission très fort va se perpétuer à la génération suivante où les musiciennes que sont les mères et grand-mère de la famille offriront le meilleur de leur univers d’interprètes allant du baroque au XXIe siècle. Cette quête artistique se vit au cœur même de la famille, permettant ainsi de révéler son propre rayonnement musical, dans une connivence faite d’exigence et de culture intimement partagées.

Marin MARAIS (1656-1728) Le Basque pour hautbois, alto, trois violoncelles et tambourin

Alessandro MARCELLO (1684-1750) Adagio pour hautbois et cordes en ré mineur d'après J.S Bach

Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Deux menuets et deux danses pour hautbois, alto et trois violoncelles

Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Trio pour hautbois et deux violoncelles op.87

Robert SCHUMANN (1810-1856) Sonate op 118 pour hautbois, alto et trois violoncelles

Piotr Ilyich TCHAÏKOVSKI (1840-1893) Légende pour alto et trois violoncelles

Serge PROKOFIEV (1891-1953) Lieutenant Kijé pour hautbois, alto, violoncelles et percussion

Igor STRAVINSKI (1882-1971) Marche royale (extraite de l'Histoire du soldat) pour hautbois, alto, trois violoncelles et

Dimitri CHOSTAKOVITCH (1906-1975) Suite de danses pour hautbois, alto, trois violoncelles et percussion


Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Évêque et Montcuq

Date info

Le 4 août 2024 de 18:30 jusqu'à 22:00

Tickets

Info:

  • Général
    À partir de 25 €

    • (selon le placement)

  • Général
    À partir de 19 €

    • (selon le placement)

  • Tarif réduit
    À partir de 5 €

    • moins de 25 ans, RSA, demandeurs d'emploi

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Un dialogue passionnant entre musiques klezmer, mélodies méditerranéennes et chants napolitains. Le klezmer est une tradition musicale instrumentale des juifs ashkénazes (d’Europe centrale et de l’Est) qui s’est développée à partir du XV° siècle. Elle puise ses origines dans les musiques du Moyen-Orient, d’Europe centrale et d’Europe de l’Est (slaves et tziganes). La musique klezmer est marquée par les voyages, les exils, la nostalgie mais célèbre également la joie et la fierté d’un peuple. Fervente ou nostalgique, elle peut prendre en quelques notes des accents festifs et irrésistiblement entraînants. Une complicité artistique parfaite dans un programme enivrant. En partenariat avec l 'association des Jardinns Henri MARTIN MARQUAYROL à LABASTIDE-DE-VERT En partenariat avec l’association Graines d' Etoiles Pierre-Emmanuel Roubet, ténor Camille Humeau, clarinette
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Le programme que Roland Pidoux prépare pour 2024 est particulièrement enthousiasmant. Il comprendra dix-huit interprètes de haut niveau et c’est en toute confiance que nous nous engageons vers notre trente-cinquième édition. Une révélation : nous allons réaliser un souhait exprimé depuis longtemps par notre public, réunir en un même concert trois générations de « Pidoux » et par voie de conséquence proposer un mariage du hautbois et de la percussion avec le violoncelle. Nous maintenons le nombre de nos concerts publics (en incluant le « concert des amis » offert par les musiciens aux adhérents et à la population de Bélaye). Les ateliers publics d’après-midi animés par Roland Pidoux, qui sont devenus la véritable « image de marque » des Rencontres de Bélaye sont naturellement programmés. Les ateliers enfants ont bénéficié d’un prolongement en milieu scolaire (école de Puy-l’Evêque). L’action en direction d’un public jeune s’est poursuivie au cours des années récentes avec des résultats tangibles.
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Dimanche 4 août 2024, concert en l'église de Bélaye, 18h30 : Concert d’ouverture des trois générations (« Jeu de cette famille ») Roland Pidoux (violoncelle). Raphaël Pidoux (violoncelle). Maxime Pidoux (timbales et percussions). Gabriel Pidoux (hautbois). Virginie Michaud (alto) Karine Jean-Baptiste (violoncelle). Dans la famille Pidoux l’art musical occupe une place centrale depuis trois générations. Raphaël Pidoux, dans un désir de rapprochement avec son père, décide à onze ans de devenir violoncelliste. Roland accepte naturellement de se consacrer durant sept ans à transmettre sa passion et son savoir à son fils. Ce lien de transmission très fort va se perpétuer à la génération suivante où les musiciennes que sont les mères et grand-mère de la famille offriront le meilleur de leur univers d’interprètes allant du baroque au XXIe siècle. Cette quête artistique se vit au cœur même de la famille, permettant ainsi de révéler son propre rayonnement musical, dans une connivence faite d’exigence et de culture intimement partagées. Marin MARAIS (1656-1728) Le Basque pour hautbois, alto, trois violoncelles et tambourin Alessandro MARCELLO (1684-1750) Adagio pour hautbois et cordes en ré mineur d'après J.S Bach Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Deux menuets et deux danses pour hautbois, alto et trois violoncelles Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827) Trio pour hautbois et deux violoncelles op.87 Robert SCHUMANN (1810-1856) Sonate op 118 pour hautbois, alto et trois violoncelles Piotr Ilyich TCHAÏKOVSKI (1840-1893) Légende pour alto et trois violoncelles Serge PROKOFIEV (1891-1953) Lieutenant Kijé pour hautbois, alto, violoncelles et percussion Igor STRAVINSKI (1882-1971) Marche royale (extraite de l'Histoire du soldat) pour hautbois, alto, trois violoncelles et Dimitri CHOSTAKOVITCH (1906-1975) Suite de danses pour hautbois, alto, trois violoncelles et percussion Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Évêque et Montcuq
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Mercredi 7 août 2024, concert en l'église de Bélaye, 18h30 : Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791) Quatuor pour hautbois et cordes K.370 en fa majeur Bohuslav MARTINU (1890-1959) Quatuor pour clarinette, cor, violoncelle et caisse claire H 139 en do majeur Etienne PERRUCHON (1958-2019) Cinq danses dogoriennes pour timbales et violoncelles Félix MENDELSSOHN (1809-1847) Trio n°2 op 66 pour piano, violon, violoncelle Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Evêque et Montcuq
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Sur la place de Bélaye, jeudi 8 août à 20h00. Réservation obligatoire, sur place, à partir du 5 août
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Jeudi 8 août 2024, concert en l'église de Bélaye, 18h30 : Alexandre BORODINE (1833-1887) Notturno extrait du quatuor à cordes Reynaldo HAHN (1875-1947) Venezia pour six violoncelles Béla BARTOK (1881-1945) Quintette pour piano et quatuor à cordes en Do Sz23 Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Evêque et Montcuq
Situé à une trentaine de kilomètres à l’ouest de Cahors, Bélaye est un village médiéval de 220 habitants perché au-dessus d’un méandre du Lot et des vignobles de la vallée. Une superbe vue, quelques vieilles pierres, une immense église; certes un but de promenade recherché, mais une école fermée, des commerces disparus; bref, un territoire marginalisé maintenu vivant par quelques agriculteurs, des résidents de plus en plus retraités ou secondaires et le passage des touristes estivaux. C’est en 1987 que Camille Fauchie, alors maire de Bélaye, demande à Philippe Lagard de réfléchir aux possibilités de mettre en œuvre une manifestation durable susceptible de sortir le village de Bélaye d’un engourdissement prévisible. Une idée s’élabore : créer un événement culturel de très grande qualité en prenant en compte les infrastructures existantes, associer le site de Bélaye et ses environs à une activité artistique attractive s’inscrivant dans la durée. La musique, relativement peu présente, à l’époque, dans la vallée du Lot, s’impose. Le village de Bélaye se consacrera à un instrument : le violoncelle. Encore fallait-il trouver l’animateur de prestige susceptible de porter artistiquement le projet. C’est Pierre Bouteiller qui oriente Philippe Lagard vers Roland Pidoux, un des représentants les plus brillants de l’école française de violoncelle. Vendredi 9 août, concert en l'église de Bélaye à 20h00: Gabriel FAURÉ (1845-1924) Elégie pour violoncelle et piano op.24 Gabriel FAURÉ (1845-1924) Quatuor pour piano et cordes op.15 en ut mineur Franz SCHUBERT (1797-1828) Quintette à deux violoncelles Information et réservation : Offices de tourisme Cahors, Puy-l'Evêque et Montcuq
Pour sa 18e édition, les Rencontres Photo de Castelfranc ont lieu du 26 juillet au 03 août 2024. Les photographes seront présents sur le lieu d'exposition durant toute la semaine d'ouverture de 15h à 19h pour vous présenter leurs travaux. Cette année nous mettons en avant les travaux de deux jeunes photographes belges, tout juste diplômés de l'école bruxelloise le Septante-Cinq (https://www.leseptantecinq.be/). Il s'agit d'une Ecole Supérieure des Arts de l'image qui privilégie « une vision d’auteur centrée sur la création plastique en tant que langage et le documentaire en tant qu’interrogation du monde ». Loredana Marini présentera son travail en cours : Quartier Jean-Bart Guynemer (2023-2024), étude d'un quartier de logements sociaux dans le nord de la France, à Dunkerque, dans la commune de Saint-Pol-Sur-Mer. Il découle d'une volonté de comprendre les enjeux sociaux contemporains en immersion avec les habitants du quartier. A l'occasion de son exposition de jury de fin d'étude elle est sélectionnée pour représenter l'école au prix Mark Grosset-SAIF "destiné à découvrir et promouvoir les jeunes photographes issu.e.s d’écoles photographique internationales qui expose les regards contemporains de la nouvelle génération." Arnaud Guillaume exposera également un sujet en cours : J’espère qu’on verra les étoiles (2021-2024). Il s’attache à documenter de manière poétique le quotidien de sa bande de copains d’enfance, évoluant dans la région de la Gaume au sud de la Belgique, frontalière avec la Lorraine. Vernissage : vendredi 26 juillet à 18h00 à la maison de l'image de Castelfranc, en présence des artistes.
Soirée brésilienne : Choeur Askesis & Eduardo Lopes Début du concert à 21h (accès aux concerts à partir de 20 h 30). Spectacle « La Tresse » : La musique brésilienne telle qu'elle est aujourd'hui : un métissage flamboyant où musique indigène se mêle aux influences européennes et africaines... spectacle du choeur Askesis dirigé et imaginé par le brésilien Eduardo Lopes avec le Duo Bensa-Cardinot et Denis Poras : 8 chanteurs, 1 piano, 3 guitares, 1 flûte traversière... Plongez au coeur de la musique brésilienne telle que vous ne l'avez jamais entendue !
Soirée « Divines mélodies » 1ère partie : Duo Bensa-Cardinot 2ème partie : Petrit Çeku Début des concerts à 21h (accès aux concerts à partir de 20 h 30). Première partie : Olivier Bensa et Cécile Cardinot, directeurs artistiques du festival reviennent cette année dans un répertoire de mélodies françaises pour guitare et chant (Lambert, Fauré, Debussy, Barbara, Bensa...) ayant pour fil rouge "le sentiment amoureux". Deuxième partie : Petrit Çeku pourrait être surnommé le Chopin Albanais de la guitare. Sur scène, en queue de pie et les yeux fermés, il nous enveloppe d'une musique brillante et intemporelle. Il est de ces musiciens d'exception qu'il ne faut pas manquer de rencontrer !