Haydn, le facétieux auteur de la Symphonie «des adieux», trouve un alter ego en
la personne du compositeur russe Alfred Schnittke, qui imagine une amusante
rencontre posthume entre lui et son disciple Mozart. Celui-ci n'était pas le
dernier pour rire, mais son concerto pour flûte opte pour un lyrisme élégant et
lumineux. Il paraît que Mozart détestait la flûte. On en doute à l'écoute de ce
magnifique concerto, surtout interprété avec la profondeur de timbre et d'âme à
laquelle nous a habitués Jocelyn Aubrun. Qu'aurait pensé la flûte solo de
l'Orchestre national de Lyon d'être un musicien du prince Esterházy ?
Certainement aurait-il éprouvé la même lassitude que ses camarades, retenus au
domaine d'Eszterháza par une saison qui n'en finissait plus. Pour faire plier un
employeur sourd à leur plaintes, Haydn imagina cette Symphonie «des adieux» dans
le finale de laquelle, un à un, les instrumentistes soufflèrent leur bougie et
quittèrent la scène. L'avant-dernier à s'éclipser, avant Haydn lui-même, fut le
violoniste préféré du prince, ce qui l'obligea à endurer l'affront jusqu'au
bout. Message reçu cinq sur cinq : dès le lendemain, les musiciens furent
autorisés à rentrer chez eux. Cet humour ne fait pas oublier le ton inquiet de
la symphonie, typique du mouvement préromantique du Sturm und Drang (Tempête et
passion).
Description
Depuis plusieurs mois, la carrière de Lou prend beaucoup d'ampleur, avec de multiples nouveaux projets et de très belles surprises à venir pour son public de plus en plus nombreux.
Lou et tout l'équipe ont déjà hâte de vous retrouver sur les routes de France et de Belgique en 2023 pour partager de beaux et bons moments ensemble !
Avec plus de 200.000 exemplaires de ses 3 premiers albums vendus, Lou revient sur scène pour une série de concerts exceptionnels à l'automne 2022.
Date info
Dimanche 18 juin 2023 à 16h.
Venue
Organiser
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Suggested events
Les 29 et 30 avril prochains, au temple Lanterne, sous la direction artistique
de Charlotte MILBEO, avec Eole Chœur de chambre et l'Ensemble A Chœur Ouvert,
nous vous emmènerons dans notre nouvel univers pour la Paix.
De Monterverdi à Machuel, en passant par Mozart et Mendelsohn, laissez-vous
envahir par de douces émotions, que nous aurons à cœur de vous transmettre !
* En prenant vos places avant le 29 mars, bénéficiez d'un tarif préférentiel.
Il paraît que Mozart détestait la flûte. On en doute à l’écoute de ce magnifique
concerto, surtout interprété avec la profondeur de timbre et d’âme à laquelle
nous a habitués Jocelyn Aubrun. Qu’aurait pensé la flûte solo de l’Orchestre
national de Lyon d’être un musicien du prince Esterházy ? Certainement aurait-il
éprouvé la même lassitude que ses camarades, retenus au domaine d’Eszterháza par
une saison qui n’en finissait plus. Pour faire plier un employeur sourd à leur
plaintes, Haydn imagina cette Symphonie «des adieux» dans le finale de laquelle,
un à un, les instrumentistes soufflèrent leur bougie et quittèrent la scène.
L’avant-dernier à s’éclipser, avant Haydn lui-même, fut le violoniste préféré du
prince, ce qui l’obligea à endurer l’affront jusqu’au bout. Message reçu cinq
sur cinq : dès le lendemain, les musiciens furent autorisés à rentrer chez eux.
Cet humour ne fait pas oublier le ton inquiet de la symphonie, typique du
mouvement préromantique du Sturm und Drang [Tempête et passion].
Programme :
Alfred Schnittke, Moz-Art à la Haydn
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto pour flûte n° 2, en ré majeur, KV 314
Joseph Haydn, Symphonie n° 45, en fa dièse mineur, «Les Adieux»
Orchestre national de Lyon
Giovanni Radivo, violon et direction
Jocelyn Aubrun, flûte
Concert autour des compositions de Ramin Djawadi (Pacific Rim, House of the
Dragon/Game of Thrones...) et du Concerto pour piano n°1 de Mozart (soirée au
profit de l'association "Une souris verte").
Concert de chanson aqua poétique, vocale et percussive (chant, clavier et
batterie).
Les bonnes fées étaient au complet autour du berceau d’Alexandra Dovgan, le
nouveau phénomène russe du piano. Sans compter un mage, Grigori Sokolov, qui lui
a mis le pied à l’étrier international et continue de veiller sur elle, avec son
professeur de toujours, Mira Marchenko. Même si la jeune fille jouait à 12 ans à
la Philharmonie de Berlin, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Festival de
Salzbourg ou au Théâtre des Champs-Élysées, elle n’a jamais été considérée par
son mentor comme une enfant prodige mais comme une égale, tant sa maîtrise et sa
personnalité musicale étaient déjà stupéfiantes. Alexandra Dovgan se présente
pour la première fois devant le public lyonnais dans un programme largement
russe, mais gageons que la première partie laissera la parole à ses autres
compositeurs de prédilection, Beethoven, Chopin et Schubert.
Programme :
Première partie en cours d’élaboration
Sergueï Rachmaninov, Variations sur un thème de Corelli, op. 42
Alexandre Scriabine, Sonate n° 2, en sol dièse mineur, op. 19,
«Sonate-Fantaisie»
Alexandre Scriabine, Fantaisie en si mineur, op. 28
Alexandra Dovgan, piano
Avant d’être l’immortel compositeur de Carmen, Georges Bizet fut le brillant
élève de Charles Gounod. Pour le préparer au prix de Rome, sésame alors précieux
pour toute carrière musicale, Gounod fit plancher l’adolescent à partir de 1853
sur le texte imposé l’année précédente, qui avait valu une amère désillusion à
Camille Saint-Saëns : Le Retour de Virginie, d’après le roman de Bernardin de
Saint-Pierre. Deux noms majeurs de la jeune scène française, Cyrille Dubois et
Marie-Andrée Bouchard-Lesieur, incarnent Paul et sa mère, qui attendent le
retour de leur sœur et fille. Avec une suite capiteuse de Mélanie Bonis (qui
opta pour le diminutif Mel afin de se frayer une place dans l’univers si
masculin de la composition au XIXe siècle) et les inusables Boléro et Rapsodie
espagnole de Ravel, Ben Glassberg confirme sa passion pour le répertoire
français.
Programme :
Mel Bonis, Suite orientale, op. 48/2
Georges Bizet, Le Retour de Virginie
Maurice Ravel, Rapsodie espagnole
Maurice Ravel, Boléro
Orchestre national de Lyon
Ben Glassberg, direction
Marie-Andrée Bouchard-Lesieur, mezzo-soprano
Cyrille Dubois, ténor
Patrick Bolleire, basse
The Köln Concert est une performance de danse contemporaine présentée par le
chorégraphe américain Trajal Harrell à la Maison de la danse de Lyon. Inspiré
par l'album de jazz emblématique de Keith Jarrett, ce spectacle unique mêle
street dance, théâtre nô et mouvements inspirés de l'Antiquité grecque. Les six
interprètes, sous la direction de Trajal Harrell, offrent une expérience
artistique captivante où la diversité et la grâce se rencontrent dans une
chorégraphie envoûtante.
Temps d'éveil musical pour les tout-petits avec des histoires qui se racontent
en musique. Venez partager un moment de complicité en famille et éveiller les
sens de votre enfant à travers la musique. Laissez-vous emporter par les
mélodies envoûtantes d'Irma Ferron de la compagnie Le blé en herbe et de la
compagnie du Bazar Terminus.
De 0 à 6 ans.
Infos réservations :
En ligne
- https://mediatheques.villeurbanne.fr/agenda/events/musicalins-10/
Ce quartet vous propose un répertoire réarrangé de grands standards de jazz.
Leur spécialité ? Vous faire danser le Lindy Hop.
L’équipe se compose de : Maëva Da Justina (chant); Florentin Drugeon
(contrebasse); Tommy Philys (clarinette); Quentin Dias Fernandes (guitare)
Allez les suivre :
Instagram : https://www.instagram.com/o.f4tet/
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