Dans la Peau de ma Femme

Description

Et si vous vous mettiez une seule journée à la place de Cécile à Suite à une scène de ménage le jour de la Saint Valentin, Cécile a fait un v?u. Elle a souhaité que son mari, Fred, se retrouve une seule journée à sa place. Le lendemain, le v?u a été exaucé. Fred se retrouve dans le corps de Cécile et Cécile, dans le corps de Fred. La visite inopportune de leur meilleur ami les oblige à jouer le rôle de l'autre. Dans la peau de ma femme est une comédie de moeurs où hommes et femmes apprendront beaucoup d'eux-mêmes.

Date info

Du jeudi 21 décembre 2023 au mardi 16 avril 2024

19h00 • 20h00

Tickets

Info:

A partir de 29.00 €

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Une pièce pour deux acrobates, de la musique, des voix adolescentes et celle d'un anthropologue, où la question des masculinités s'immisce à travers le chant des oiseaux. Acrobaties ritualistes et engagées d'hommes oiseaux, danses répétitives et débridées questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse adolescente, entre approbation et transgression. Où sont passés ces garçons qui modulent des sifflements, manient le canif, brûlent les gymnases, grimpent aux arbres et aux murs pour éprouver le vertige à Sont-ils toujours là, à vouloir devenir homme, découpant le sanglier et imitant l'oiseau à Et les filles, elles en pensent quoi de tout ça ? Après une enquête menée notamment à Tarbes, le GdRA écrit une oeuvre plurielle où les paroles de l'anthropologue Daniel Fabre côtoient des témoignages enregistrés auprès d'adolescent·es, accompagnés par une création musicale faite de sifflets, de chants occitans, de guitare parfois rugissante. Sur scène, deux acrobates oiseaux dansent, voltigent, se brûlent, se confrontent à l'espace et aux frontières et s'envolent au risque de la chute... Les représentations auront lieu du 23 avril 2024 au 26 avril 2024 au Théâtre Sorano à Toulouse. Les horaires sont les suivants : - Mardi 23 avril 2024 à 20h00 - Mercredi 24 avril 2024 à 20h00 - Jeudi 25 avril 2024 à 20h00 - Vendredi 26 avril 2024 à 20h00
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Êtes-vous heureux ? Le monde n'a jamais eu autant besoin de rire. Heureusement, la providence a envoyé un homme venu du froid pour réchauffer les coeurs et vous faire oublier vos soucis. Il a traversé l'Atlantique à la nage, abandonné sa femme, quitté ses enfants... tout ça pour vous faire rire, vous les Français (les Belges et les Suisses aussi !), alors vous avez tout intérêt à être au rendez-vous ! Anthony Kavanagh, l'humoriste-showman aux multiples talents et à l'énergie débordante, partagera avec vous tout ce qui le rend happy ! 5 ans que vous ne l'avez pas vu, autant dire qu'il en a des histoires à vous raconter. Une chose est sûre, en sortant de son spectacle vous serez gonflé à bloc et à la question Êtes-vous heureux ?, la réponse se lira facilement sur votre visage.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Comment le vivant reste-t-il vivant à Tirant inspiration, énergie et souffle vital d'un authentique " Jeu de la vie " imaginé par un mathématicien britannique, les interprètes de The Game of Life invitent le public à une battle ludique entre harmonie et chaos, évolution et révolution, musique et danse. Une soirée = deux spectacles : billet valable également pour Dancer of the Year de Trajal Harrell (présentée la même soirée à 21h). En 1970, le mathématicien John Horton Conway conçoit un jeu dont le principe est de créer un environnement qui se génère et se régule automatiquement, selon des règles à la fois rigoureusement logiques et totalement imprévisibles, étonnamment proches de celles du vivant à et donc des sociétés humaines. Un jeu que les chorégraphes Liz Santoro et Pierre Goddard réinterprètent ici pour le confier à un compositeur à Pierre-Yves Macé à et six interprètes à trois de l'ensemble musical L'instant donné, trois de la compagnie chorégraphique Le Principe d'incertitude. Au fil du spectacle, la petite communauté se plie ainsi à des injonctions toujours inattendues, adaptant à la volée musique live et chorégraphie, afin de ne surtout pas briser l'unisson, ni interrompre le spectacle à un haletant suspens, où The Game of Life rime étrangement avec The Show Must Go on... Engageant la bataille joliment complexe entre écriture et improvisation, individu et collectif, chaos et harmonie, une soirée réjouissante où la puissance des corps l'emporte à tous les coups. Pierre-Yves Macé présente également cette saison à Garonne Variations Belvédère avec L'Instant Donné le 7 octobre 2023, Notes sur les diapasons invisibles avec l'Ensemble Dedalus le 10 novembre 2023 et Walter Benjamin avec Sylvain Creuzevault et Arthur Igual du 23 au 25 mai 2024.
En 2018, Trajal Harrell est désigné par le jury allemand de Tanz Magazine " Danseur de l'année ". À l'honneur qui lui est fait alors, il répond ici par un solo qui se veut à la fois un retour intimiste sur sa carrière de chorégraphe et interprète, autant qu'une réflexion critique sur l'histoire de la danse et la valeur que peut bien avoir ce genre de distinction. Dans le solo Dancer of the Year, on voit l'artiste répéter des gestes afin de se les réapproprier, revisiter ses oeuvres antérieures, et tenter d'en raviver la puissance à et peut-être un sens caché. Chorégraphe attentif à des influences diverses qu'il sait rendre étrangement proches à du populaire voguing new-yorkais au butô japonais en passant par la postmodern dance à Trajal Harrell met en scène, en mouvements et en question(s) une histoire troublante de la danse contemporaine. Où se télescopent, à travers des lieux et des temps hétérogènes, sa singulière identité, la représentation de cultures alternatives, et l'expression de voix plurielles. Danseur de l'année : le solo somptueux d'un corps multiple, pour une année qui n'a jamais vraiment commencé, et ne connaîtra jamais de fin...
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.