Une pièce pour deux acrobates, de la musique, des voix adolescentes et celle
d'un anthropologue, où la question des masculinités s'immisce à travers le chant
des oiseaux. Acrobaties ritualistes et engagées d'hommes oiseaux, danses
répétitives et débridées questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse
adolescente, entre approbation et transgression.
Où sont passés ces garçons qui modulent des sifflements, manient le canif,
brûlent les gymnases, grimpent aux arbres et aux murs pour éprouver le vertige à
Sont-ils toujours là, à vouloir devenir homme, découpant le sanglier et imitant
l'oiseau à Et les filles, elles en pensent quoi de tout ça ?
Après une enquête menée notamment à Tarbes, le GdRA écrit une oeuvre plurielle
où les paroles de l'anthropologue Daniel Fabre côtoient des témoignages
enregistrés auprès d'adolescent·es, accompagnés par une création musicale faite
de sifflets, de chants occitans, de guitare parfois rugissante. Sur scène, deux
acrobates oiseaux dansent, voltigent, se brûlent, se confrontent à l'espace et
aux frontières et s'envolent au risque de la chute...
Les représentations auront lieu du 23 avril 2024 au 26 avril 2024 au Théâtre
Sorano à Toulouse. Les horaires sont les suivants :
- Mardi 23 avril 2024 à 20h00
- Mercredi 24 avril 2024 à 20h00
- Jeudi 25 avril 2024 à 20h00
- Vendredi 26 avril 2024 à 20h00
05april
-16april
38 Rue Gabriel Péri, 31000 Toulouse, France
Description
Et si vous vous mettiez une seule journée à la place de Cécile à Suite à une scène de ménage le jour de la Saint Valentin, Cécile a fait un v?u. Elle a souhaité que son mari, Fred, se retrouve une seule journée à sa place. Le lendemain, le v?u a été exaucé. Fred se retrouve dans le corps de Cécile et Cécile, dans le corps de Fred. La visite inopportune de leur meilleur ami les oblige à jouer le rôle de l'autre. Dans la peau de ma femme est une comédie de moeurs où hommes et femmes apprendront beaucoup d'eux-mêmes.
Date info
Du jeudi 21 décembre 2023 au mardi 16 avril 2024
19h00 • 20h00
Tickets
Info:
A partir de 29.00 €
1 Picture
Suggested events
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une
chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien.
Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et
silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre
approbation et transgression.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue
avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement.
Durée : 1h30 sans entracte.
Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée
et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John
Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et
leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de
renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Êtes-vous heureux ?
Le monde n'a jamais eu autant besoin de rire. Heureusement, la providence a
envoyé un homme venu du froid pour réchauffer les coeurs et vous faire oublier
vos soucis.
Il a traversé l'Atlantique à la nage, abandonné sa femme, quitté ses enfants...
tout ça pour vous faire rire, vous les Français (les Belges et les Suisses aussi
!), alors vous avez tout intérêt à être au rendez-vous !
Anthony Kavanagh, l'humoriste-showman aux multiples talents et à l'énergie
débordante, partagera avec vous tout ce qui le rend happy ! 5 ans que vous ne
l'avez pas vu, autant dire qu'il en a des histoires à vous raconter.
Une chose est sûre, en sortant de son spectacle vous serez gonflé à bloc et à la
question Êtes-vous heureux ?, la réponse se lira facilement sur votre visage.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue
avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement.
Durée : 1h30 sans entracte.
Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée
et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John
Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et
leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de
renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une
chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien.
Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et
silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre
approbation et transgression.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue
avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement.
Durée : 1h30 sans entracte.
Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée
et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John
Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et
leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de
renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Comment le vivant reste-t-il vivant à Tirant inspiration, énergie et souffle
vital d'un authentique " Jeu de la vie " imaginé par un mathématicien
britannique, les interprètes de The Game of Life invitent le public à une battle
ludique entre harmonie et chaos, évolution et révolution, musique et danse. Une
soirée = deux spectacles : billet valable également pour Dancer of the Year de
Trajal Harrell (présentée la même soirée à 21h). En 1970, le mathématicien John
Horton Conway conçoit un jeu dont le principe est de créer un environnement qui
se génère et se régule automatiquement, selon des règles à la fois
rigoureusement logiques et totalement imprévisibles, étonnamment proches de
celles du vivant à et donc des sociétés humaines. Un jeu que les chorégraphes
Liz Santoro et Pierre Goddard réinterprètent ici pour le confier à un
compositeur à Pierre-Yves Macé à et six interprètes à trois de l'ensemble
musical L'instant donné, trois de la compagnie chorégraphique Le Principe
d'incertitude. Au fil du spectacle, la petite communauté se plie ainsi à des
injonctions toujours inattendues, adaptant à la volée musique live et
chorégraphie, afin de ne surtout pas briser l'unisson, ni interrompre le
spectacle à un haletant suspens, où The Game of Life rime étrangement avec The
Show Must Go on... Engageant la bataille joliment complexe entre écriture et
improvisation, individu et collectif, chaos et harmonie, une soirée réjouissante
où la puissance des corps l'emporte à tous les coups. Pierre-Yves Macé présente
également cette saison à Garonne Variations Belvédère avec L'Instant Donné le 7
octobre 2023, Notes sur les diapasons invisibles avec l'Ensemble Dedalus le 10
novembre 2023 et Walter Benjamin avec Sylvain Creuzevault et Arthur Igual du 23
au 25 mai 2024.
En 2018, Trajal Harrell est désigné par le jury allemand de Tanz Magazine "
Danseur de l'année ". À l'honneur qui lui est fait alors, il répond ici par un
solo qui se veut à la fois un retour intimiste sur sa carrière de chorégraphe et
interprète, autant qu'une réflexion critique sur l'histoire de la danse et la
valeur que peut bien avoir ce genre de distinction.
Dans le solo Dancer of the Year, on voit l'artiste répéter des gestes afin de se
les réapproprier, revisiter ses oeuvres antérieures, et tenter d'en raviver la
puissance à et peut-être un sens caché. Chorégraphe attentif à des influences
diverses qu'il sait rendre étrangement proches à du populaire voguing
new-yorkais au butô japonais en passant par la postmodern dance à Trajal Harrell
met en scène, en mouvements et en question(s) une histoire troublante de la
danse contemporaine. Où se télescopent, à travers des lieux et des temps
hétérogènes, sa singulière identité, la représentation de cultures alternatives,
et l'expression de voix plurielles. Danseur de l'année : le solo somptueux d'un
corps multiple, pour une année qui n'a jamais vraiment commencé, et ne connaîtra
jamais de fin...
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une
chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien.
Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et
silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre
approbation et transgression.