Venez vivre durant 2 heures, un concert riche en émotions, une rétrospective
symphonique sur les plus beaux moments du cinéma
Star Entertainment présente : The Music of Hans Zimmer - présenté par un pirate
de Pirates des Caraïbes !
Candlelight Jazz : Un voyage en Nouvelle-Orléans
Description
Plongez dans une expérience musicale magique avec Candlelight Jazz à Lyon! Assistez à ce concert unique éclairé à la bougie, vous transportant dans un voyage en Nouvelle-Orléans. Découvrez un répertoire envoûtant interprété par le Jazz sextet - Djoukil Swingtet, dans le cadre intimiste du Théâtre L'île Ô.
Programme :
- St James Infirmary - Louis Armstrong
- When the Saints go Marching in - Louis Armstrong
- Amazing Grace
- Just a closer walk with thee - Patsy Cline
- St Louis Blues - W. C. Handy
- Do you know what it mean to miss New Orleans - Louis Armstrong
- Strutting with some BBQ - Louis Armstrong
- Ain't Misbehavin - Fats Waller
- La vie en Rose - Louis Armstrong
- What a wonderful World - Louis Armstrong
- Basin Street Blues - The Mills Brothers
- Bourbon Street Parade - Chris Barber and Dr. John
Jazz
Date info
Vendredi 3 mai 2024
19h30 • 21h30
Tickets
Info:
A partir de 34.00 €
1 Picture
Suggested events
Soirée intitulée "Metamorphosis" (contrepoint visuel inspiré de l’œuvre
graphique de Jean Giraud avec le vidéaste Christophe Waksmann : projection, en
direct, d'une dizaine de planches animées issues de trois des mondes imaginaires
de Mœbius).
Chez les compositeurs baroques, on aime chiper à son voisin. Il ne s’agit pas de
plagiat, mais de la marque d’un profond respect. En reprenant l’oeuvre d’autrui,
l’arrangeur lui garantit en quelque sorte la vie éternelle : les
réappropriations sont infinies et s’adaptent à l’humeur du temps. Un concerto
pour cordes de Vivaldi sert de fil conducteur au concert, dans sa version
originale, puis réinventé par l’ami de Vivaldi Johann Georg Pisendel, et enfin
vu par l’oeil contemporain de Franck-Emmanuel Comte. Bach (l’un des plus grands
virtuoses de la métamorphose) se parodie lui-même. Et, à notre époque, Rasmussen
s’approprie les Quatre Saisons de Vivaldi, tandis que Karl Jenkins puise chez
Vivaldi et Albinoni la matière de son Concerto grosso «Palladio».
Programme :
Antonio Vivaldi, Concerto pour deux violons, violoncelle et cordes en sol
mineur, op. 3/2, RV 578a, extrait de L’Estro armonico (extraits – version
originale, arr. de Johann Georg Pisendel et arr. F.-E. Comte)
Johann Sebastian Bach, Concerto pour violon en ré mineur, BWV 1052R (d’après le
Concerto pour clavecin n° 1, en ré mineur BWV 1052)
Karl Aage Rasmussen, «Summer», extrait de The Four Seasons (d’après Antonio
Vivaldi)
Karl Jenkins, Concerto grosso «Palladio» (d’après Tomaso Albinoni et Antonio
Vivaldi)
Le Concert de l’Hostel Dieu
Stefan Plewniak, violon solo
Franck-Emmanuel Comte, direction et clavecin
Christophe Waksmann, vidéos (d'après Mœbius)
La Loi des montagnes d'Erich von Stroheim ?(Blind Husbands, États-Unis, 1919,
1h42, N&B)
Dans un village du Tyrol, un lieutenant tente de séduire l'épouse d'un médecin.
Ce dernier finit par avoir des soup?ons et propose au séducteur de l'accompagner
en montagne... Premier long métrage du génial Erich von Stroheim, et l'un des
premiers succès public et critique des Studios Universal. Un mélodrame singulier
bousculant les conventions.
Restauration 4K par the Austrian Film Museum à partir d'une copie nitrate 35mm
de sa collection et les intertitres originaux provenant d'un internégatif 35mm
des collections du Museum of Modern Art (New York).
Accompagnement au piano par Didier Martel
Site web :
https://billetterie.institut-lumiere.org/la-loi-des-montagnes-loisirs-institut-lumiere-hangar-lyon-12-mai-2024-css5-institutlumiere-pg101-ri10315617.html
Soirée avec le quartet féminin de death métal accompagné par Nakkeknaekker et
Plaguemace.
La comédie de Shakespeare Beaucoup de bruit pour rien inspire Béatrice et
Bénédict, la dernière oeuvre lyrique de Berlioz, le plus controversé des
compositeurs romantiques. La création à Baden-Baden, en 1862, est un triomphe.
Entre quatre jeunes gens se jouent deux conceptions de l’amour : la sécurité du
foyer, la sauvagerie du désir. Claudio et Héro incarnent innocemment l’amour
conjugal. Béatrice et Bénédict ont si peur de la prison du mariage qu’ils
refusent de reconnaître leur mutuelle attirance et inventent de se haïr. La
conspiration de leur milieu, société de surveillance et de contrôle, a raison de
leur résistance.
Berlioz compose, pour porter cette histoire, une musique qu’il décrit comme «
une des plus vives et des plus originales, qui exige une excessive délicatesse
d’exécution. » Le metteur en scène Damiano Michieletto, pour sa part, est
fasciné par le génie visionnaire de Berlioz, qui « ne s’arrête pas à la
narration d’une histoire mais la transforme en un voyage personnel, où sa
musique agrandit les espaces, élargit l’horizon. »
Opéra-comique en 2 actes
Livret du compositeur d’après la pièce de Shakespeare Beaucoup de bruit pour
rien
Création à Baden-Baden en 1862
Nouvelle production
Mise en scène : Damiano Michieletto
Direction musicale : Johannes Debus
Orchestre et Chœurs de l’Opéra de Lyon, Solistes du Lyon Opéra Studio
Spectacle intitulé "Kinorama". Un sextuor de talentueux musiciens s’empare du
répertoire riche et flamboyant de l’entre-deux-guerres, celui de Marlene
Dietrich et du music-hall de Berlin.
Paris et Berlin, deux villes lumières à la pointe de la modernité musicale,
irriguent de mélodies nouvelles l’Europe des années 20, inspirées par ce qu’on
appelle alors les «rythmes américains».À cette époque, Berlin, comme Paris,
jouit d’une liberté de mœurs et d’une vitalité artistique exubérante. L’essor du
disque, de la radio et du cinéma parlant permet une large diffusion des
créations de la chanson, de la comédie musicale et de l’opérette. Les
compositeurs comme Kurt Weill se tournent avec délice et talent vers le
music-hall. Ils se passionnent pour la mode des fox-trots, des shimmies et
autres charlestons, et mettent leur inspiration au service d’interprètes tels
que Marlene Dietrich, Margo Lion ou Marcellus Schiffer...
Paris et Berlin, deux villes lumières à la pointe de la modernité musicale,
irriguent de mélodies nouvelles l’Europe des années 20, inspirées par ce qu’on
appelle alors les « rythmes américains ».
À cette époque, Berlin, comme Paris, jouit d’une liberté de mœurs et d’une
vitalité artistique exubérante. L’essor du disque, de la radio et du cinéma
parlant permet une large diffusion des créations de la chanson, de la comédie
musicale et de l’opérette. Les compositeurs comme Kurt Weill se tournent avec
délice et talent vers le music-hall. Ils se passionnent pour la mode des
fox-trots, des shimmies et autres charlestons, et mettent leur inspiration au
service d’interprètes tels que Marlene Dietrich, Margo Lion ou Marcellus
Schiffer...
Avec l’arrivée du nazisme, nombre de ces artistes voient leur destin basculer.
Contraints de fuir l’Allemagne, ils se réfugient à Paris, Londres ou Hollywood.
Leur exil permet alors un rayonnement inattendu du répertoire berlinois…
Kinorama, fait d’arrangements cuivrés fidèles aux orchestrations élégantes et
enlevées, rassemble un bouquet d’œuvres nées de cette génération de brillants
esprits. Des œuvres qui rendirent flamboyants et incontournables les théâtres et
cinémas de Berlin et Paris, avant d’illuminer la musique et les chansons des
films hollywoodiens.
Le concert Nuits sonores : Troubles est au programme du festival Nuits Sonores
2024.
Le projet Troubles est de retour à Lyon pour un concert spécial lors de Nuits
sonores 2024. Ce concert littéraire réunit l'auteure Virginie Despentes, la
rappeuse Casey, l'actrice Béatrice Dalle et le groupe de rock-noise lyonnais
Zëro. Une proposition scénique audacieuse qui explore des thèmes sociaux et
culturels contemporains à travers des textes poignants des années 60 à nos
jours.
Elle est la nouvelle voix du jazz et, à 34 ans, l’une des artistes les plus
imaginatives de la scène contemporaine. Née d’une mère française et d’un père
haïtien, Cécile McLorin Salvant grandit à Miami où elle commence sa formation
musicale classique avant de rejoindre Aix-en-Provence pour y étudier le droit et
l’opéra. De sa voix en or, elle illumine ses choix particulièrement audacieux de
répertoire et de compositions : un savant équilibre de jazz, d’inspirations
classiques, de racines folkloriques et de reprises pop. Auréolée de
prestigieuses récompenses, souvent comparée aux légendaires Sarah Vaughan ou
Ella Fitzgerald, Cécile McLorin Salvant impressionne par l’originalité et
l’exigence de sa discographie, à l’instar des récents Mélusine et Ghost Song. Et
c’est probablement Wynton Marsalis qui en parle le mieux : «Elle possède
l’assurance, l’élégance, l’âme, l’humour, la sensualité, la puissance, le
registre, la perspicacité, l’intelligence, la profondeur et la grâce ; on ne
trouve une telle chanteuse qu’une seule fois sur une voire deux générations.»
Rien que ça.
Programme :
Orchestre national de Lyon
Dirk Brossé, direction
Cécile McLorin Salvant, voix
Sullivan Fortner, piano