Aller de soi à l'autre ne va pas de soi. Cependant, souvent, au théâtre, il ne
s'agit que de cela : de soi au partenaire, de soi au
collectif, de soi au(x) spectateurice(s). Il nous tenait à cœur, étudiant·e·s et
pédagogues, de partager une expérience de l'altérité riche et singulière. Nous
voulions nous confronter au vertige des lignes, des frontières, des limites
mouvantes, insaisissables.
Alors…
O.V.N.I : [qu'est-ce au juste nous n'en savons rien. Nous savons en revanche ce
que cela n'est pas : ni étoiles filantes, ni avions, ni fusées, ni drones, ni
illusions d'optique, ni reflets d'une lumière interstellaire, ni sondes, ni
satellites, ni rien en vérité qui fut jamais répertorié.]
C'est Ivan Viripaev qui nous aura ouvert la voie. Le dramaturge russe s'empare
de cette brèche ouverte sur l'Autre, l'Ailleurs,
ce-plus-que-soi-qui-vibre-infiniment pour nous donner à réfléchir sur ce qui,
dans nos vies, s'obstinent à nous échapper.
A ce propos… vous ne le savez peut être pas mais votre voisin de droite est un
extraterrestre, votre voisine de gauche est un extraterrestre. Vous nous direz :
ça ne se voit pas... certes, mais
vous voilà au cœur de nos explorations ovniesques, de l'invisible, de
l'indicible, de ce qu'on n'identifie pas à l'œil nu, de ce que les mots peinent
à formuler.
Les extraterrestres le savent très bien : après quatre années d'étude, il serait
tentant de viser la maîtrise du plateau et du travail d'interprétation,
alléchant de regarder derrière soi pour apprécier fièrement le chemin parcouru
et le trésor amassé des compétences acquises. Nous avons fait le chemin inverse.
Une mise à nu s'est imposée : il nous a fallu oublier le normal et convoquer
l'étrange, le non familier, déchirer les habitudes, et croire au gouffre des
possibilités infinies qu'ont encore à offrir les corps, les voix, les mots, la
lumière et l'espace.
C'est dans ce vertige qu'iels nous entraînent, dans ce gouffre où l'on grandit
de se sentir si petit·e·s, si fragiles ; dans cet espace où le dialogue entre
l'intime et l'extime nous dispose, spectateurices comme acteurices, à faire
Rencontre. Avec Lesly Briggs Luca Cruz Facundo De Guchteneere
Esteban Delsaut
Jean-Baptiste Frésing
Frédéric Kusiak
Perline Lombart
Tom Sanchez
Tristan Schacht
Magda Skoupra
Natan Westebbe
Accompagnement pédagogique et artistique Serge Demoulin
Daphné D'Heur
Jean-Michel Distexhe
Aurélien Dony
Laure Tourneur
Stéphanie Blanchoud
Lisa Coppi
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Description
Theater Erasmus speelt GENOEG!
Geschreven door Dimitri Leue, in een regie van Ellen Van de Velde.
Spelen mee: Peter Vercruysse, Maxime Marchant, Maud Hallot, Tom Possemiers en Christy van Moorsel.
Welkom bij de familie De Leeuw. Een perfecte familie, waar nooit iets verkeerd gaat. Of toch wel?
Stefaan is minister. Hij volgde zijn vader op, die de politiek maar moeilijk kan loslaten. Als zoonlief een schandaal veroorzaakt en besluit dat liefde voorrang heeft op politiek, zal vader dat probleem wel snel even oplossen. Want daar dient familie uiteindelijk voor. Of toch niet?
Als de rest van de familie er zich ook mee komt moeien, wordt het snel duidelijk: genoeg is genoeg.
reserveren kan vanaf 31 januari 2024:
reservatie@theater-erasmus.be | www.theater-erasmus.be | 0470 29 83 92 (18u. tot 22u.)
Geschreven door Dimitri Leue, in een regie van Ellen Van de Velde.
Spelen mee: Peter Vercruysse, Maxime Marchant, Maud Hallot, Tom Possemiers en Christy van Moorsel.
Welkom bij de familie De Leeuw. Een perfecte familie, waar nooit iets verkeerd gaat. Of toch wel?
Stefaan is minister. Hij volgde zijn vader op, die de politiek maar moeilijk kan loslaten. Als zoonlief een schandaal veroorzaakt en besluit dat liefde voorrang heeft op politiek, zal vader dat probleem wel snel even oplossen. Want daar dient familie uiteindelijk voor. Of toch niet?
Als de rest van de familie er zich ook mee komt moeien, wordt het snel duidelijk: genoeg is genoeg.
reserveren kan vanaf 31 januari 2024:
reservatie@theater-erasmus.be | www.theater-erasmus.be | 0470 29 83 92 (18u. tot 22u.)
Tickets
Info:
€ 12 / € 8 voor leden
Info & Reservation
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L’Appétit
des Indigestes est une troupe de théâtre née de la rencontre entre un
comédien et une metteuse en scène, ayant chacun.e une expérience de la
psychiatrie, comme patient et comme soignante. Elle se veut un pont
entre celleux que l’on dit fous et celleux qui ne se sont jamais posé la
question de leur folie, entre des artistes confirmé∙es ou débutant∙es.
Ses spectacles se créent à partir des textes réalisés en ateliers d’écriture. La
nouvelle création, Ouroboros,
interroge notre rapport à la vie, à la mort, à la perte, à la
vieillesse, à la folie, à la vulnérabilité, dans un monde où on nous
demande de « réussir à faire son deuil » et d’être toujours « au top »,
dans un monde où s’affiche sur les réseaux sociaux les moments de joie,
de vacances, d’insouciance de chacun∙e.
À
la Maison du Livre, vous assisterez à une répétition publique.
L’occasion de découvrir le spectacle en primeur. L’opportunité surtout
d’entrer en contact avec la manière de faire collective de la troupe,
avec des rôles fixes et des rôles mouvants, avec les interventions de la
metteuse en scène et avec leur appétit de jouer ensemble. L’occasion,
bien entendu, d’en discuter ensuite.
Mise en scène Sophie Muselle assistée par Pierre Renaux
Avec Selma
Akin, Nadia Bègue, Pauline Bertrand, Sophie Berruyer, Jean-Louis
Daloze, Lucie Decarpentrie, Olivier Debelle, Amélie Dion, Roxane Dury,
Julie Govaert, Pascal Graulus, Marc Hanssens, Dorothée Lenain, Joachim
Libouton, Michaël Magerat, Philippe Maniet, Nathalie Mathieu, Lucie
Nicosia, Pierrot Renaux, Amélie Robaux, Mila Ryngaert, Vanessa
Strassburger, Clara Teicher, Nicole Tonneau et Catherine Van Roy.
Osez le conte pour adultes ! (Spectacle en français)
Chaque troisième vendredi du mois de 20h à 22h30, on vous raconte des histoires
drôles, étonnantes, délirantes, émouvantes, destinées à un public adulte. Depuis
treize ans, la scène ouverte "Les Zapéro-contes" accueille à Bruxelles des
conteurs de toute la Belgique et parfois aussi de France. Organisées par l'Asbl
Racontance, ces scènes ouvertes ont pour objectif de vous faire découvrir
l'immense richesse de l'univers du conte (traditionnel, philosophique,
fantastique, humoristique…et même parfois coquin) tout en battant en brèche le
cliché réducteur qui veut que celui-ci soit destiné aux seuls enfants. La soirée
est animée par Dominique Brynaert, conteur et ancien journaliste télé.
Ces soirées se déroulent dans le fantastique décor Art Nouveau d’une maison et
brasserie mythique de Bruxelles : De Ultieme Hallucinatie, restaurée par une
équipe passionnée de patrimoine et de culture.
L'entrée est libre (participation au chapeau en solidarité avec les artistes)
afin de vous faire découvrir cette discipline artistique et offrir la culture à
toutes les bourses. Vu le succès habituel, les réservations sont fortement
recommandées via le site de Racontance : www.racontance.be ou par mail :
racontance@hotmail.com
Possibilités de repas sur place avant spectacle en réservant une table via le
site internet de De Ultieme Hallucinatie
Un père et sa fille au Japon. Lui est artiste peintre et maître de Kendo. Il ne
s’est pas préoccupé d’elle, n’a pas soutenu financièrement sa famille, ne
sachant pas ce qu’impliquait d’être père… Petite, elle avait honte de lui et
s’inquiétait d’être différente des autres ; elle voulait être forte, apprendre
le kendo. Il lui disait « Tu es déjà plus forte que moi, tu n’en as pas besoin
». « Quelle est la chose plus importante dans la vie ? » lui avait-elle demandé.
« La beauté » Iui avait-il répondu.
Devenue artiste en Europe, elle lui demande « Pourquoi la vie est une telle
souffrance ? ». « Parce que tu es toujours sur ton ego » Iui répond-il, ajoutant
que l’unique moyen de s’en libérer est d’entrer en dialogue avec son art.
« Hikidashi » signifie « tiroir » en japonais. La fille y a conservé tous les
souvenirs de son père. Aujourd’hui, elle doit mettre sa tête dans ce tiroir.
Elle y trouvera : un caillou, un petit insecte, un vieux porte-monnaie, vestiges
intimes fourrés dans un meuble, sans sélection, ni jugement, qui ressurgissent
sur le plateau. Elle n’a aucune expérience d’une relation normale père-fille.
Néanmoins, cette pièce parle du sien, sans doute particulier au Japon, mais
c’est son père. Ce qui pose une question plus générale : les hommes sont-ils
aptes à être père ?
Petite, elle avait honte de lui et s’inquiétait d’être différente des autres ;
elle voulait être forte, apprendre le kendo. Il lui disait « Tu es déjà plus
forte que moi, tu n’en as pas besoin ». « Quelle est la chose plus importante
dans la vie ? » lui avait-elle demandé.
Devenue artiste en Europe, elle lui demande « Pourquoi la vie est une telle
souffrance ? ». « Parce que tu es toujours sur ton ego » Iui répond-il, ajoutant
que l’unique moyen de s’en libérer est d’entrer en dialogue avec son art.
« Hikidashi » signifie « tiroir » en japonais. La fille y a conservé tous les
souvenirs de son père. Aujourd’hui, elle doit mettre sa tête dans ce tiroir.
Elle y trouvera : un caillou, un petit insecte, un vieux porte-monnaie, vestiges
intimes fourrés dans un meuble, sans sélection, ni jugement, qui ressurgissent
sur le plateau. Elle n’a aucune expérience d’une relation normale père-fille.
Néanmoins, cette pièce parle du sien, sans doute particulier au Japon, mais
c’est son père. Ce qui pose une question plus générale : les hommes sont-ils
aptes à être père ?
« Quelle est la chose plus importante dans la vie ? » lui avait-elle demandé. «
La beauté » Iui avait-il répondu.
Devenue artiste en Europe, elle lui demande « Pourquoi la vie est une telle
souffrance ? ». « Parce que tu es toujours sur ton ego » Iui répond-il, ajoutant
que l’unique moyen de s’en libérer est d’entrer en dialogue avec son art.
« Hikidashi » signifie « tiroir » en japonais. La fille y a conservé tous les
souvenirs de son père. Aujourd’hui, elle doit mettre sa tête dans ce tiroir.
Elle y trouvera : un caillou, un petit insecte, un vieux porte-monnaie, vestiges
intimes fourrés dans un meuble, sans sélection, ni jugement, qui ressurgissent
sur le plateau. Elle n’a aucune expérience d’une relation normale père-fille.
Néanmoins, cette pièce parle du sien, sans doute particulier au Japon, mais
c’est son père. Ce qui pose une question plus générale : les hommes sont-ils
aptes à être père ?
La grande Tagada et son septuor à feuilles?
L’ensemble des Garriguettes en salopette?
Une chasse à la Fraisette des bois dans les couloirs de La moma? On verra, on
verra!
Préparez vos petits paniers, pour ramasser les mystères et les grignoter en
gigotant vos orteils, ça va swinguer!
122 pulls prennent un malin plaisir à se jouer de nous.
Qu’ils soient de grand-mère, marins, à capuche ou tricotés main, animés par cinq
artistes, ils transforment la scène en aventures rocambolesques, avec étranges
créatures et envolées dansantes. Une impulsion à se tisser et s’emmêler avec
fantaisie.
Op het dak van een Kassena-huis mengt een jonge vrouw klei en water, spettert
rond, krabbelt, verkent het pad van de eerste sporen. Door zich deze
voorouderlijke gebaren opnieuw toe te eigenen, treedt ze in de voetsporen van de
kleintjes die in de aarde spelen. Naast hem begeleidt een vrouw hem met haar
stem op het zoete geluid van N’goni. Samen schetsen ze de kenmerken die later de
muren van hun huis zullen opfleuren. En reis zo dicht mogelijk bij de wortels
van de mensheid.
Tiébélé weerspiegelt de prachtige afdrukken die de vrouwen uit een dorp in
Burkina Faso op hun huizen hebben achtergelaten. Het is een show die
plasticiteit en poëzie combineert. Aarde en lied. Organisch materiaal en
gevoelig materiaal. Een creatie die de gebaren van deze Afrikaanse vrouwen
verbindt met de eerste sporen die peuters achterlaten.
C'est en collaboration avec Auguste Maquet qu'Alexandre Dumas écrit "Les Trois
Mousquetaires". Ils ont pour nom Athos, Pothos et Aramis (tous ont existé mais
n’étaient pas de la même génération) et sont au service de Louis XIII. Arrivé de
sa Gascogne natale sur un bidet jaune de robe, avec une lettre de recommandation
de son gentilhomme de père pour M. de Tréville, capitaine des gardes, à Paris,
d'Artagnan doit gagner sa belle casaque de mousquetaires. Il commencera par se
battre en duel avec ceux qui deviendront ses inséparables amis.
L'amour que d'Artagnan porte à Constance Bonacieux (Constanske chez Toone),
fidèle femme de chambre d'Anne d'Autriche, le lance dans l'aventure dite des
"Ferrets de la Reine": douze ferrets de diamants, présents du roi, que la reine
a offerts à Buckingham. A l'instigation du cardinal de Richelieu qui veut perdre
la reine, Louis XIII somme son épouse de les porter au prochain bal de la cour.
Ces ferrets sont en réalité des bouts métalliques qui terminent des rubans. Dans
le cas de la reine de France, ces ferrets sont ornés de diamants.
Pour les commodités de la scène et aussi par confusion de récits, ces ferrets se
transforment chez les Toone du passé en collier de la reine. Cet épisode naît
probablement d'un autre roman de Dumas: "Le Collier de la Reine" qui trouve sa
source dans l'Affaire du collier de 1785-1786, scandale qui éclata en France à
la fin de l'Ancien Régime, à la suite d'une escroquerie montée par la comtesse
de la Motte aidée de Cagliostro. Ces derniers convainquirent le cardinal de
Rohan d'acheter pour la reine un collier qu'il ne put jamais rembourser. Cette
affaire compromit la reine Marie-Antoinette qui était pourtant innocente.
Confusion dans les récits, anachronisme font partie du quotidien des Toone. Ils
ne s'embarrassent guère de détails.
Comme disait Molière: "L'important, c'est de plaire!"
De nos jours encore, Toone respecte les anachronismes de ses prédécesseurs.
Rejoignez nous pour une soirée stand-up à la Brasserie de la Mule présentée par
La Cour des Miracles Nomade.
Nous vous donnons rendez-vous tous les mardis pour une soirée d'éclats de rire,
de bières, d'humour ringard ou délicat, d'improvisations, de blagues parfois
drôles ou parfois pas et de gueux-ses-zes.
Nous allons provoquer le plus grand des miracles, le miracle du rire !
Suivez-nous sur les réseaux pour découvrir le line-up.
L'entrée est libre, prévoyez votre tirelire pour le chapeau.
Nous ouvrons les portes à 16:00
Le spectacle commence à 20:00
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