Mathieu Salama accompagné du gambiste Bruno Angé et du théorbiste Olivier
Pelmoine, vous donnent rendez-vous pour un concert inoubliable en hommage aux
castrats et à l’âge d’or de ces voix disparues, à réserver au plus vite ! Les
Castrats, avec leur tessiture si particulière, ont marqué le XVIIe et le XVIIIe
siècle par la pureté et la limpidité de leur timbre de voix. Peu d’artistes sont
aujourd’hui capables de vous envouter comme un « Farinelli » si ce n’est Mathieu
Salama, ce sopraniste lyrique contre-ténor à la voix si particulière, si
différente et aux inflexions parfois enfantines voire étranges, va faire revivre
le répertoire d’arias et airs d’opéra, composés pour les grands castrats par
Haendel, Caccini, Caldara, Porpora, mais aussi Bach ou Purcell.
Vivaldi : Stabat Mater (Ste Chap) Sinfonia al Santo Sepolcr
Description
VIVALDI : Stabat Mater Sinfonia al Santo Sepolcro J.S. BACH : Jesus que ma joie demeure ORCHESTRE PARIS CLASSIK Claire Cervera, mezzoLes portes ferment à 17h55
Tickets
Info:
- Standard - 44 €à 55 €
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LE TRAIN THEATRE (L.138722-138723-138724) présente ce spectacle. Ladaniva est
une jeune formation qui marie des touches fraîches de folk arménienne et
balkanique aux rythmes d’inspirations lointaines, évoquant parfois les rythmes
insulaires des caraïbes, arabes ou ceux du maloya réunionnais. Résolument
dansant et contemporain, le sextet répand une musique dynamique, festive,
mâtinée de cuivres volubiles et du joli grain de voix de la jeune interprète. Au
delà d’un concert, un pur régal pop d’ici et d’ailleurs, une expérience musicale
nouvelle. Première partie : Ankinée Numéro téléphone accès PMR :
04.75.57.14.55Information d'accès : Parking
Découvrez Elektra, spectacle d'opéra incontournable au Théâtre des
Champs-Elysées à Paris, le 29 avril 2024.
Le Théâtre des Champs-Élysées accueille Elektra de Richard Strauss pour une
représentation unique le 29 avril 2024. Une merveilleuse occasion de découvrir
ou redécouvrir cette œuvre majeure du répertoire lyrique, chantée en allemand et
surtitrée en français et en anglais.
Avec une durée approximative de 1h50, cette production du Théâtre des
Champs-Élysées s'annonce comme un des rendez-vous incontournables de la saison
culturelle parisienne. Elektra s'inscrit dans le cadre de la fructueuse
collaboration entre Richard Strauss et Hugo von Hofmannsthal, inaugurée par
cette violence et noirceur inouïes, cette histoire de vengeance sans répit qui
continue de nous fasciner par sa puissance musicale et dramatique.
L'œuvre propose un véritable défi pour les artistes participant à cette
performance, exigeant de leur part une profonde compréhension du texte et une
maîtrise technique solide. Parmi ces artistes figurent certains des noms les
plus admirés de l'opéra actuel. On retrouve la soprano dramatique Iréne Theorin
dans le rôle-titre d'Elektra, reconnue comme l'une des meilleures interprète
actuelle du rôle pour son engagement dramatique et sa puissance vocale. A ses
côtés, la mezzo-soprano Violetta Urmana endosse le rôle de Clytemnestre et
apporte une interprétation sans nul doute à la hauteur de la complexité du
personnage.
En plus de Theorin et Urmana, la distribution comprend Simone Schneider
incarnant Chrysothémis, Pawel Konik dans le rôle d'Oreste, et Matthias Klink
jouant Egisthe. Pour diriger ce chef-d'œuvre avec une distribution à compléter,
nous retrouverons Cornelius Meister, à la tête du Staatsorchester Stuttgart.
Elektra, avec son intrigue tirée de la tragédie de Sophocle remaniée par Hugo
Von Hofmannstahl, s'inscrit dans une vision intemporelle de la confrontation aux
ténèbres de la psyché humaine et du cycle de la vengeance. Ici, l'engrenage
inévitable de la vengeance est rendu avec une intensité dramatique inégalée, la
musique de Strauss explorant les profondeurs de l'âme humaine avec une violence
et une précision inégalées.
En conclusion, le Théâtre des Champs-Élysées se prépare à accueillir une
production exceptionnelle d'Elektra qui marquera sans aucun doute les esprits.
Ne manquez pas cette soirée de musique et de théâtre remarquable à Paris le 29
avril 2024.
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Elgar, Salut d’amour – Schubert, sonate Arpeggione Popper, Tarentelle – Chopin,
valse sérieuse Beethoven, variations sur un thème de la Flûte enchantée
Schumann, Pièces dans le style populaire Mendelssohn, Romance sans paroles –
Joplin, Ragtime Timothée Marcel, violoncelle – Elio di Tanna, piano Concert aux
Chandelles
Les 4 Saisons de Vivaldi Intégrale / Petite Musique de Nuit de Mozart Orchestre
Hélios Le Violon Solo : Glen Rouxel Présentation de l’œuvre La Sérénade no 13 en
sol majeur « Eine Klein Nachtmusik », K. 525 – plus connue en français sous le
titre « Une petite musique de nuit » – est une sérénade pour cordes composée par
Mozart en 1787. Son premier mouvement débute par l'un des thèmes les plus connus
de la musique classique. Elle est la dernière sérénade de Mozart. Les quatre
saisons d’Antonio Vivaldi est un ensemble de quatre concerti pour violon,
composé en 1723. Il s’agit sans doute de la composition la plus connue de
Vivaldi et de l’œuvre musicale la plus jouée dans le monde. C’est un concerto
pour violon où le soliste joue accompagné d’un orchestre de chambre. Le contenu
de chaque partie est varié et évoque chacune des saisons auquel il se rapporte.
A titre d’exemple, l’hiver est ponctué de notes en pizzicato sur les cordes
hautes, faisant penser à une pluie glaciale, alors que l’été évoque un orage
dans le mouvement final, préparé par le tonnerre qui gronde à plusieurs reprises
dans le mouvement. Orchestre Hélios Dynamique et éclectique, l’orchestre Hélios
s’est imposé depuis sa création en 2014. Son directeur artistique, Paul Savalle,
favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique
d’orchestre. Ainsi, de jeunes diplômés se mêlent aux musiciens d’orchestre, aux
chefs et aux solistes expérimentés, dans des conditions de travail optimales. De
la musique baroque à la musique contemporaine, les programmes sont variés, le
répertoire est à la fois symphonique et choral, l’orchestre s’associant aux
chœurs départementaux et régionaux. Grâce à la collaboration avec différents
chefs, les musiciens abordent un répertoire très riche en élargissant leur
palette d’interprétation. Ils sont tous issus des grands conservatoires
français, certains appartenant à un orchestre national. Du quatuor à cordes à
l’orchestre symphonique, en passant par l’ensemble de cuivres, l’orchestre
élargit toujours son audience en modulant sa composition. La formation « cordes
» se produit dans les plus prestigieuses églises de Paris, ce qui permet au
public de découvrir un patrimoine architectural très riche. Sa formation à
géométrie variable permet à l’orchestre Héliosd’aborder un répertoire très large
avec une curiosité passionnée.
Marie Fortuit célèbre Anne Sylvestre avec le spectacle musicla "La vie en vrai
(Anne Sylvestre)" à l'Athénée Théâtre Louis Jouvet du 25 avril au 5 mai 2024.
Dans le cocon intime de l’Athénée Théâtre-Louis Jouvet, Marie Fortuit et Lucie
Sansen s’unissent pour présenter "La vie en vrai (avec Anne Sylvestre)", un
spectacle musical qui plonge dans l'héritage poétique et politique d'Anne
Sylvestre à travers une perspective contemporaine. Les spectateurs sont conviés
du 25 avril au 5 mai 2024 à une exploration émotive et réfléchie, articulée
autour des chansons d’Anne Sylvestre, des textes auto-fictifs de Marie Fortuit,
et des arrangements musicaux de Lucie Sansen.
Ce spectacle naît d’une envie profonde de Marie Fortuit de répondre à l’appel de
« la vie en vrai », une quête de sens et d'authenticité dans un monde souvent
écrasant. Le choix de se reconnecter à l'essence de la vie à travers l'œuvre
d'Anne Sylvestre, décédée en décembre 2020, forge un lien transgénérationnel,
invitant à un voyage au cœur de la féminité, de l'engagement et de l'art.
Marie Fortuit et Lucie Sansen s’approprient l’œuvre d’Anne Sylvestre,
enrichissant leur interprétation par des influences contemporaines. Ce dialogue
artistique met en lumière la résonance des combats féministes d’hier et
d’aujourd’hui, et comment les œuvres d'Anne Sylvestre continuent d'inspirer les
nouvelles générations.
Le spectacle offre une mosaïque de chansons, allant des titres emblématiques aux
perles moins connues, toutes revisitées avec finesse par Lucie Sansen. La vie en
vrai se veut être un espace où la poésie, la musique et la réflexion
s’entremêlent pour éveiller les consciences et célébrer la puissance du
matrimoine culturel et artistique.
"La vie en vrai (avec Anne Sylvestre)" s’adresse à tous ceux qui cherchent à
comprendre et à ressentir l’impact de l’art sur notre vision du monde et sur
notre intimité. Il résonnera particulièrement avec ceux qui portent un intérêt
pour les questions de féminisme, d’héritage culturel et de création artistique
personnelle.
Ce spectacle représente une occasion unique de (re)découvrir l’œuvre d’Anne
Sylvestre sous un jour nouveau, porté par la passion et la créativité de Marie
Fortuit et Lucie Sansen. Il promet une immersion profonde dans un univers où le
féminisme, la poésie et la musique se rencontrent pour célébrer la vie dans
toute sa vérité.
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J.S. BACH: l’art de la fugue QUATUOR CLASSIK ENSEMBLE David Braccini, violon
solo
Orchestre ColonneMarc Korovitch, Laurent Petitgirard | directionMélanie Laurent
| harpe L'Orchestre Colonne fête ses 150 ans en compagnie de son nouveau
directeur musical Marc Korovitch. PROGRAMME Dukas L’Apprenti sorcierPierné
Concertstück pour harpe et orchestre op. 39Berlioz Un Bal, Marche au supplice,
extraits de la Symphonie fantastiquePetitgirard Le Temple du Fracas du
TonnerreStravinsky Berceuse, Finale, extraits de L’Oiseau de feu (version de
1919)Ravel Daphnis et Chloé, suite n° 2L’Invitation au voyage (œuvre mystère à
découvrir lors de ce concert) Voilà un siècle et demi que l'Orchestre Colonne se
consacre à la vie musicale parisienne et à promouvoir la musique française.
Edouard Colonne, Gabriel Pierné, Pierre Monteux, Paul Paray, Charles Munch,
Pierre Dervaux, Laurent Petitgirard... Toutes ces grandes figures sont venues
façonner la longue histoire de l'Orchestre Colonne. C'est à Edouard Colonne que
Berlioz doit la renaissance de sa popularité. En juin 1910, Gabriel Pierné
révèle à un public ébloui les miroitements de L'Oiseau de Feu, et dévoile en
avril 1911 la 1re Suite de Daphnis et Chloé (alors que Ravel n'a pas encore
achevé son ballet intégral).Aujourd'hui, c'est Marc Korovitch que l'orchestre
s'est choisi comme directeur musical, séduit par son énergie et son inventivité
inépuisable. Cette saison inaugure un concept inédit : inviter le public à
découvrir une œuvre « mystère », comme une invitation à un voyage en terres
vierges.Il fallait bien un tel programme pour fêter joyeusement les 150 ans de
l'Orchestre Colonne. Tous ces chefs-d’œuvre n'ont pas pris une ride. L'orchestre
non plus... Production Orchestre Colonne
Récital de piano----------------------- Yundi Li | piano Yundi Li tout entier
consacré à Mozart. PROGRAMME Mozart Sonate n° 11 K. 331Sonate n° 8 K.
310Fantaisie n° 4 K. 475Sonate n° 14 K. 457 Le chinois Yundi Li est aujourd’hui
considéré comme une star du piano et est une véritable icône dans son pays
natal. Il jouit également d’une large popularité en Occident en raison de son
premier Prix au prestigieux concours Chopin de Varsovie en 2000. Depuis, bien
naturellement, le musicien polonais tient une place de choix dans ses
programmes, mais ce soir il se consacre tout entier à Mozart. Parmi les 18
sonates composées par le musicien, Yundi Li en a choisi trois qui illustrent
parfaitement tout le spectre des possibilités offert par ce corpus : la célèbre
Marche Turque de la n° 11, le caractère farouche et survolté de la n° 4 et sans
doute la plus aboutie pour conclure ce concert, la n° 14, que certains n’ont pas
hésité à surnommer la « Pathétique de Mozart » tant elle annonce de façon
prémonitoire le mouvement lent de la symphonie à venir de Beethoven.
Coréalisation Piano**** | Théâtre des Champs-Elysées
Théâtre musical----------------------- Denis Podalydès | narrateurPierre-Laurent
Aimard | piano Une matinée avec Denis Podalydès et Pierre-Laurent Aimard, deux
fins lettrés amoureux de musique. PROGRAMME Etre sans destinImre Kertész, Prix
Nobel de littérature 2002 Lecture d’extraits ponctués de pièces de Ligeti,
Kurtág, Schœnberg, Cage… Lecteur ou comédien ? « Il ne s’agit pas d’être neutre,
d’appliquer une neutralité de bon aloi qui consisterait à se tenir à distance
respectueuse, comme on le fait parfois devant un texte intimidant, chargé de
trop d’implications historiques ou politiques. Il faut entrer dans la matière
littéraire elle-même, trouver le rythme, débusquer dans le style la voix propre
qui fera entendre clairement et aisément le texte », confiait Denis Podalydès en
s’attaquant pour la première fois à Etre sans destin. C’était en 2008. Seize ans
plus tard, Pierre-Laurent Aimard, pour qui le piano du XXe siècle n’a pas de
secret, met le chef-d’œuvre d’Imre Kertész en regard de miniatures de ses
contemporains, dont Ligeti et Kurtág, compatriotes du prix Nobel de littérature
2002. Coréalisation Jeanine Roze Production | Théâtre des
Champs-ElyséesPlacement libre- 9 ans : billet gratuit à retirer au contrôle le
matin du concert