MASTER & COMMANDER: THE FAR SIDE OF THE WORLD (WHY WE LOVE CINEMA)
Why We Love Cinema
Master & Commander: The Far Side of the World
USA 2003 | Peter Weir | vostFR | 138’ | 35mm | Cast : Russell Crowe, Paul
Bettany, Billy Boyd
► Best Cinematography, Best Sound Editing Oscars 2004
♥ because Weir's naval drama is both epic and intimate
Au cours des guerres napoléoniennes, le capitaine Jack Aubrey et son équipage du
HMS Surprise traquent un navire ennemi dans les vastes étendues de l'océan
Pacifique. Leur voyage est rempli de dangers, de batailles navales épiques et de
liens indéfectibles entre les marins.
« Master and Commander is to movies what Russell Crowe is to acting. With
subtlety and power, it explores the complexities of men at war, even with
themselves. It puts the passion into action, and the thrill into thought. »
(Time)
Un amor (Festival de Ciné Español)
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Suggested events
POMPON OURS (CINEMA PARADISO)
Pompon Ours
France 2023 | Dessin animé de Matthieu Gaillard | version française | 35 minutes
| digital | D’après les albums jeunesse Papa-Ours et Pompon Ours de Benjamin
Chaud | EA
> Recommandé à partir de 3 ans
Une nouvelle journée se lève sur la forêt et Pompon s’interroge… Que va-t-il
bien pouvoir faire aujourd’hui ? Écrire un poème, fabriquer une constellation,
partir à la recherche d’un petit frère ou bien sur les traces du mystérieux
Zarbidule…? La truffe au vent et la tête pleine d’idées, Pompon est prêt à vivre
des aventures pleines de joie et de poésie avec tous ses amis !
Adapté des ouvrages de littérature jeunesse de Benjamin Chaud, Pompon Ours
arrive au cinéma avec ses amis de la forêt. Il nous embarque dans ses aventures
aussi drôles que tendres, dans lesquelles l’amitié et la famille ont une place
importante
POMPON OURS (CINEMA PARADISO)
Pompon Ours
France 2023 | Dessin animé de Matthieu Gaillard | version française | 35 minutes
| digital | D’après les albums jeunesse Papa-Ours et Pompon Ours de Benjamin
Chaud | EA
> Recommandé à partir de 3 ans
Une nouvelle journée se lève sur la forêt et Pompon s’interroge… Que va-t-il
bien pouvoir faire aujourd’hui ? Écrire un poème, fabriquer une constellation,
partir à la recherche d’un petit frère ou bien sur les traces du mystérieux
Zarbidule…? La truffe au vent et la tête pleine d’idées, Pompon est prêt à vivre
des aventures pleines de joie et de poésie avec tous ses amis !
Adapté des ouvrages de littérature jeunesse de Benjamin Chaud, Pompon Ours
arrive au cinéma avec ses amis de la forêt. Il nous embarque dans ses aventures
aussi drôles que tendres, dans lesquelles l’amitié et la famille ont une place
importante
CINÉ- CONFÉRENCE HONG SANGSOO
Ciné-Conférence Hong Sangsoo
by Dennis Lim, Artistic Director of the New York Film Festival
in English | with film clips | about 45’
followed by a screening of:
Tale of Cinema
Geuk jang jeon Corée du Sud 2005 | Hong Sangsoo | vostEN | 89’ | digital | Cast
: Kim Sangkyung, Lee Kiwoo, Uhm Jiwon
► Compétition, Festival de Cannes
In Seoul, a suicidal student meets a young woman who decides to join him. Later,
an unsuccessful filmmaker spots a beautiful young woman, who happens to be the
lead actress in the film he has just seen…
« Chance and happenstance bisect in serendipitous ways in Tale of Cinema. Again
highly reminiscent of the films of Gallic vet Eric Rohmer, this one has a sheer
simplicity and clarity — plus an attractive underlying optimism — that could win
the helmer new friends on the international arthouse circuit. » (Variety)
« No movie this year will benefit as much from repeat viewings as Tale of
Cinema, which is so subtly split down the middle it makes Tropical Malady seem
like an experiment in excess. The film reflects nothing less than the way movies
filter and represent the human experience. » (Slant Magazine)
BELLA MARTHA (CINÉ-CULINARIA)
Bella Martha
Mostly Martha Allemagne 2001 | Sandra Nettelbeck | vostEN | 109’ | 35mm | Cast :
Martina Gedeck, August Zirner, Sergio Castellitto
When a headstrong chef takes charge of her equally stubborn 8-year-old niece,
the tensions between them mount... until an Italian sous-chef arrives to lighten
the mood.
« Sweet without being saccharine and funny without being forced, the closely
observed romantic comedy treats the culinary arts as a metaphor for personal
healing. » (Washington Post)
« Neben dem in Sachen Schauspielführung und Dialog sehr individuellen Touch des
Films, besticht der filmische Perfektionismus vor allem wegen der Küchen-Szenen.
Das Kochen steht im Mittelpunkt der Action, und wir finden uns wiederholt hinter
den Kulissen eines hochrangigen Szene-Lokals wieder. Der lustvolle Voyeurismus,
der sich hier in der Küche austoben kann, wird von der Delikatesse, mit der
Sandra Nettelbeck Gedecks und Castellittos Eros aufeinander loslässt, reizvoll
unterminiert.“» (Die Welt)
MENUS-PLAISIRS LES TROISGROS (CINÉ-CULINARIA)
#CinémathèqueUnreleased
Menus-Plaisirs Les Troisgros
USA 2023 | Frederick Wiseman | documentaire | vostEN | 240’ | digital u Mostra
de Venise 2023, sélection hors compétition
Fondée en 1930, la maison Troisgros détient trois étoiles Michelin depuis 55
ans. Du marché quotidien aux caves d’affinage du fromage, en passant par le
vignoble, l'élevage bovin et le potager contigu au restaurant, Menus -Plaisirs
est un voyage intime et sensoriel dans les cuisines d’un des plus prestigieux
restaurants du monde.
« Menus-Plaisirs… vaut d’abord sur le plan plastique. Dans l’attention que la
caméra prête aux produits métamorphosés sous le coup des techniques culinaires
se joue en effet autre chose : un grand bal des matières, une valse de formes,
de textures, de couleurs, que le montage associe avec un sens du rythme éprouvé.
» (Le Monde)
« It takes a rare documentarian to turn a four-hour cinema vérité culinary
experience into one that’s as appetizing and satisfying as the Michelin-starred
meals it observes getting created from farm to crafted table. » (San Jose
Mercury News)
RIGHT NOW, WRONG THEN (RÉTROSPECTIVE HONG SANGSOO)
Right Now, Wrong Then
Jigeumeun matgo geuttaeneun teullida Corée du Sud 2015 | Hong Sangsoo | vostEN |
121’ | digital | Cast : Jung Jae-young, Kim Min-hee
► Golden Leopard and Best Actor, Locarno 2015
While on a visit to another town, a married film director falls for a young
painter not once but two times, as Hong tells the same story twice with small
but very telling variations.
« Taken as a single, 120-minute work, the small differences in the dialogue and
attitudes of parts one and two reveal nothing less than the humanity, inner life
and subconscious decision-making processes of the characters, turning the whole
into one of Hong’s strongest features to date. » (Hollywood Reporter)
« Either hour alone would be a wry, incisive, quietly painful drama, set at the
intersection of art and life, about foregrounded action and the weight of
personal history. Together, the two parts make a radical fiction about the
crucial role of imagination in lived experience. Hong’s narrative gamesmanship
reveals agonized regret. » (The New Yorker)
BIG NIGHT (CINÉ-CULINARIA)
Big Night
La Grande nuit USA 1996 | Campbell Scott, Stanley Tucci | vostFR+DE | 107’ |
35mm | Cast : Stanley Tucci, Tony Shalhoub, Marc Antony, Isabella Rossellini,
Ian Holm
New Jersey dans les années cinquante. Pour sauver leur restaurant, The Paradise,
qui bat de l'aile, les frères Pilaggi ont l'idée d'offrir un repas de bienvenue
à un chanteur de passage dans la région. Ils se lancent alors dans
l'organisation d'un banquet extraordinaire.
« Un restaurant italien dans une ville américaine. S’agit-il alors de cuisine
italienne ou de cuisine américaine ? C’est toute la question de ce film qui
divise deux frères, cuisiniers italiens. L’un défend le purisme de la cuisine
italienne. Le deuxième est attiré par le rêve américain et voudrait réussir
économiquement quitte à sacrifier un peu de son âme italienne. Le film prend la
défense du purisme qui procure davantage de plaisir aux clients que la cuisine
italienne adaptée pour les américains (les spaghettis aux boulettes de
viande). » (Le plaisir gastronomique au cinéma)
« The real feast is in the mix of characters, each so finely and unschmaltzily
delineated in a script so confident and controlled that even the most passing of
participants comes alive. » (Entertainment Weekly)
SULLIVAN'S TRAVELS (COMEDY CLASSICS)
Comedy Classics
Sullivan's Travels
USA 1941 | Preston Sturges | vostFR | 90’| 16mm | | Cast : Joel McCrea, Veronica
Lake, Robert Warwick
Fatigué des frasques d'Hollywood, le réalisateur de comédies John L. Sullivan
décide de tourner un film plus dramatique. Se déguisant en vagabond, il part en
voyage pour mieux comprendre les aspirations des milieux défavorisés.
« Preston Sturges was a maker of great comedy. He was also a deep thinker and
social advocate. Sullivan’s Travels is one of those movie masterpieces that
directly reflect their maker as a serious retrospect of who he is, while hiding
under great entertainment and fun. » (1001 Movies)
BOTTLE ROCKET (WES ANDERSON)
Rétrospective Wes Anderson
Bottle Rocket
USA 1996 | Wes Anderson | vostFR | 91’ | digital | Cast : Luke Wilson, Owen
Wilson, Ned Dowd ► Compétition, Festival de Cannes 2023
A Austin, un beau blond carrément à l’Ouest se rêve en gangster et entraîne dans
son sillage son pote, un beau brun à la ramasse…
« On trouvera en cet essai un exemple juvénile, d’un comique tendre et maîtrisé,
de cette effervescence qui a saisi le cinéma indépendant américain au tournant
du siècle avec l’émergence de P.T. Anderson, Spike Jonze et Darren Aronofsky. On
a peut-être du mal aujourd’hui à discerner les racines texanes de Wes Anderson
dans la marqueterie Mitteleuropa du Grand Budapest Hotel ou l’orientalisme
minutieux de L’Ile aux chiens. Son premier long-métrage a, entre autres mérites,
celui de proposer la genèse du petit monde que le cinéaste a bâti de film en
film.
» (Le Monde)
« Less idiosyncratic than Rushmore, Anderson’s debut is nonetheless offbeat
enough to defy easy analysis. The plot throws several curveballs, but the core
of the film is the strength/fragility of the central friendships, bounded by
motifs of sanity and craziness, imprisonment and escape. Caan does a funny cameo
as the local crime lord but the film belongs to Anderson’s co-inspirator Wilson,
whose wired performance leaps off the screen. » (Time Out Film Guide)