Le temps d’une soirée unique, les étudiants de la classe de guitare du
Conservatoire royal de Liège investissent la Biennale de l’Image Possible. Cette
édition de BIP réunit une cinquantaine d’artistes plasticien.ne.s qui abordent
la thématique des mutantx : des incarnations d’une capacité d’action sur un
territoire et sur le présent et donc porteur.ses d’espoir.
A cette occasion, les guitaristes créent une résonance aux œuvres exposées grâce
à un programme musical spécifique.
Une opportunité de re-découvrir tant les œuvres de compositeurs interprétés que
celles des artistes présentés, leurs accointances ou dissonances…
Informations et réservations sur www.chiroux.be et mutantx.bip-liege.org
Le programme sera présenté début avril.
Gaiza Project
Description
Accompagnées d’instruments traditionnels, les quatre chanteuses du groupe vocal Ialma présentent une fusion créative de musiques traditionnelles et populaires de Galice, du Pays Basque et de Catalogne dans une perspective d’ouverture sur le monde.
Un projet résolument festif, un grand bol d’énergie positive, dans ce monde troublé, où respect, tolérance et expression des différences sont secoués de toutes parts ; un répertoire qui donne à la fois la pêche et la banane, qui invite le public au chant et à la danse.
Ialma (Marisol Palomo, Verónica Codesal, Eva Fernández et Natalia Codesal) : voix et percussions traditionnelles | Iñaki Plaza : trikitixa e txalaparta | Manu Sabaté : gralla et tenora | Rémi Decker : voix, guitare | Kepa Calvo : batterie et txalaparta | Production Gaizca Project
Tradition
Info & Reservation
Venue
Organiser
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Suggested events
Avec Pascal Mohy (pn) & Ben Sluijs (sax)Pascal Mohy et Ben Sluijs jouent
ensemble depuis de nombreuses années. Au fil du temps un dialogue intime s’est
installé entre le saxophone et le piano. Ils virevoltent dans un répertoire de
compositions originales mais aussi de morceaux de Duke Ellington, Thelonious
Monk, Lennie Tristano, Jackie Mc Lean et bien d’autres. Les lignes sinueuses de
Ben Sluys guident le duo vers une musique bouillonnante, le toucher délicat de
Pascal Mohy les ramène vers une ambiance plus méditative où les notes
déchirantes du saxophone paraissent comme suspendues.Entrée: 12€ tout public7€
étudiantL'accès aux concerts se fait Sans réservation !Ouverture du club dès
19h00Concert à 21h00L'accès au restaurant se fait uniquement sous
réservation.Notre confirmation en réponse fait office de réservation.
TICKETS DISPONIBLES LE 8 FÉVRIER À 11H
AGORIA
Agoria n’est pas un enfant des raves comme les autres. Au début des années 90,
il a connu cet âge d’or où l’histoire s’écrivait à chaque nouvelle soirée. La
musique électronique n’avait encore ni code ni visage, seulement quelques
valeurs qu’elle s’est empressée d’oublier. Et, s’il a fait parti des pionniers
qui ont tout inventé de la techno en France, c’est pour mieux s’échapper du
cadre qu’il a lui-même contribuer a créé, s’aventurant avec succès dans
l’univers du cinéma, de la mode et de l’art contemporain.
Tout commence à Lyon, à une époque où l’incompréhension et la répression à
l’égard de la techno sont telles que chaque nuit qui ne se termine pas en garde
à vue pour les organisateurs de rave est une victoire. Aucune soirée ne se
ressemble. C’est dans ce contexte, en décembre 1993, à seulement 17 ans, que
Sébastien Devaud qui ne s’appelle pas encore Agoria, prend pour la première fois
les platines en public, au Space, un club lyonnais aux multiples couloirs. Il
joue avant Richie Hawtin et Carl Cox et… « personne ne danse ». Étudiant en
cinéma, il vient de refuser de travailler sur un tournage de James Ivory pour
pouvoir mixer à cette soirée : « Je me suis demandé un petit moment si j’avais
fait le bon choix ».
C’est au micro d’une radio locale lyonnaise, quatre heures durant tous les
samedis, puis les mardis quand les engagements de Djs vont se multiplier que sa
passion de la musique va grandir et son horizon s’élargir. « Ces années de radio
m’ont formé et nourri, c’est comme ça que j’ai compris qu’il y avait des bons
morceaux dans tous les styles et qu’il fallait adopter une approche ouverte ».
La richesse et la diversité de la musique qu’il compose et joue aujourd’hui est
née ainsi.
Si Agoria produit des disques dès 1999, « La Onzieme Marche », sortie la
première fois en 2001 sur Tekmics, label porté par le DJ français Miloch « qui,
dans l’underground, aura autant d’importance que les Daft Punk » marque une
étape. Devenue aujourd’hui un classique, mixé et remixé par quantité de DJ, ce
morceau est le point de départ de sa rencontre avec le label Pias qui sortira
ses deux premiers albums, « Blossom » en 2003 avec un featuring de Tricky, puis
« The Green Armchair » en 2006 avec les participations de Neneh Cherry ou de
Peter Murphy, leader des légendaires Bauhaus. Avec ces albums Agoria commence à
imposer son univers oblique, de la techno bien sûr, souvent inspirée par celle
des pionniers de Detroit, mais « twistée » par une drôle de pulsation
contemporaine, teintée de pop, de soul ou de hip-hop.
Cette envie de composer une véritable musique pour aujourd’hui, tout en se
soustrayant aux codes qui souvent l’étouffent, va trouver son apogée avec
l’album « Impermanence » en 2011 et plus encore avec « Drift », sorti en
collaboration avec Mercury/Universal en 2019. Un disque mis en images par de
somptueux clips vidéo, rivalisant avec la qualité des productions
cinématographiques. Plus que tout autre de ses albums, « Drift » confirme le
talent d’Agoria pour la sensualité des mélodies acoustiques et le raffinement
des productions modernistes, sans jamais totalement renier sa culture
électronique. « Aujourd’hui encore quand tu es né avec la techno, tu es censé te
battre pour elle jusqu’à la mort. Je défendrai toujours la musique de Jeff
Mills, mais je ne veux pas refaire éternellement ce que d’autres ont déjà fait
très bien. Je ne suis ni un ultra ni un gardien du temple. Je veux garder ma
liberté musicale, rester un électron libre. » Une ligne de conduite qu’il
applique également à sa résidence de DJ à Ibiza, baptisée « Drift » comme son
dernier disque.
S’il prouve sa fidélité à la culture électronique en se battant pour que cette
scène soit vivante à Lyon, combat qui permettra la naissance en 2003 des Nuits
Sonores dont il est « l’ange gardien » selon l’équipe du festival, son désir
« de tenter sans cesse des aventures nouvelles », va l’amener à créer deux des
plus avant-gardistes labels de la scène électronique française. Infiné en 2006
avec Alexandre Cazac et Yannick Matray, qui découvrira des artistes aussi
aventureux que Rone ou Aufgang, puis le label Sapiens, qu’il dirige seul depuis
2016 avec la volonté de publier autant de musiques originales que de « talk »,
écrits par des chercheurs, des artistes et des passeurs contemporains.
En 2006, arrive une nouvelle rencontre décisive avec le cinéma. Estomaqués par
la puissance de « Code 1026 », le réalisateur belge Olivier Van Hoofstadt et son
producteur Luc Besson qui ne trouvaient pas la vibration musicale de leur film
« Go Fast », commande à Agoria une bande originale a cent à l’heure. De cette
aventure naîtra un des disques les plus abrasifs d’Agoria, mais surtout une
amitié avec Olivier Van Hoofstadt qui l’amène aujourd’hui à composer la bande
originale de « Lucky », la nouvelle comédie déjantée du réalisateur de
« Dikkenek ». Entre temps, Agoria a également écrit en 2016 la musique de deux
documentaires de Jan Kounen, « Mère Océan » et « Vape Wave ». Une collaboration
fructueuse puisqu’elle se poursuit en 2018 sur la série « The Show ».
La boulimie d’expériences qui caractérise Agoria le conduira également à
collaborer avec le monde de la mode et des créateurs, jouant sa musique pour la
marque italienne Fendi à Milan, ville où il a lui-même résidé plusieurs années,
ou collaborant avec le plasticien Philippe Parreno pour lequel il participe à
l’écriture de la bande sonore de l’installation immersive que l’artiste réalise
en 2016 pour le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres.
Mais c’est lors de la dernière édition d’Art Basel Miami Beach, l’une des plus
importantes foires d’art contemporain au monde, où Agoria, retrouvant son nom
Sébastien Devaud, a été invité à présenter pour la première fois son travail
photographique très personnel, qu’un nouveau chapitre s’est ouvert. Ses pièces,
jetant un regard nouveau sur le principe des affiches lacérées chères à Jacques
Villeglé, figure essentielle du « Nouveau Réalisme » des années 60, ont été
saluées par le célèbre magasine Américains « Interior Design » comme l’un des
points forts de l’édition 2019.
Cela n’empêchera certainement pas Agoria de revenir bientôt avec un nouvel album
« pratiquement terminé ».
TICKETS AVAILABLE FEBRUARY 22 AT 10 A.M.
A CRAZY LINE-UP, AND WE LOOK FORWARD TO SEEING YOU ON APRIL 19 FOR AN EVENING
WORTHY OF THE OTHER DIMENSION!
Entrée gratuite et accessible à tous.
Sur scène, improvisation collective ouverte aux musiciens ayant des
connaissances suffisantes dans leur instrument et dans les grilles du blues.
Pour ouvrir notre saison de concerts, nous accueillons l'ensemble de cuivres
Tessera, lauréat du Prix E.Ralet. Ce prix est attribué à des musiciens qui se
sont particulièrement distingués lors de leurs études et examens au
Conservatoire Royal de Musique de Liège.
Ils font l’unanimité à chacune de leur prestation. Un ensemble de cuivres à
découvrir absolument ! Au programme des œuvres de Gabrieli – Schubert – Berlioz
– Tchaïkovski.
Tickets disponibles lundi 19 février à 10h
INXS XPERIENCE
Le 40e ANNIVERSAIRE de l’album THE SWING Produit notamment par Nile Rodgers, à
qui on doit les succès du groupe Chic, The Swing est l’album de la consécration
pour INXS après trois albums et plusieurs singles pour la plupart bien classés
en Australie, puisqu’il est le premier à connaître une sortie internationale
dans plusieurs pays, porté par le premier single extrait de l’album, Original
Sin, qui rencontre un énorme succès Mondial.
En 2024, INXS fêtera les 40 ans de THE SWING sorti en 1984, et la sortie d’un
des plus grands best of de la scène Pop-Rock, THE GREATEST HITS, sorti en 1994.
Pour fêter cet anniversaire, INXS perience a préparé un concert adapté à
l’évènement qui sera suivi par une soirée 80s-90s pour danser sur les plus
grands Hits New-Wave, Pop, Dance, animée par
Vincent ARENA.
Le Choeur Universitaire de Liège, l'orchestre du Choeur ULiège, les solistes
Cynthia Hagelstein, Anaïs Brullez, Kenny Ferreira et Samuel Namotte, sous la
direction de Patrick Wilwerth, présentent le Lauda Sion de Félix Mendelssohn -
oeuvre composée pour le 600e anniversaire de la Fête Dieu à la Basilique
Saint-Martin en 1846 - et le Te Deum de Dettingen de Georg Friedrich Haendel,
une oeuvre brillante célébrant la victoire de la bataille de Dettingen.Places
Carré d'Or (numérotées) : 30€places normales : 25€
YKONS
Ykons made a name for itself in 2021 with its debut single “Sequoia Trees”,
followed a few months later by “Time”, which made the rounds on the airwaves.
Buoyed by their infectious energy, Ykons continued to climb the ladder, not only
at festivals but also by selling out venues such as the Madeleine and the Forum
de Liège. They return in 2024 with a new album and an all-new show.
Les Tupelo boys est la rencontre de trois musiciens passionné de rock n roll.
Ils se sont
rencontrés en 2021 pour rendre hommage à Elvis Presley en reprenant ces
standards des
années 50 et 60. Ce qui explique, qu'ils jouent sans batterie comme Elvis lors
de ces
débuts. Depuis la formation, ils ont bien tourné en réalisant plus d'une
centaine de concerts y
compris de gros festival. Actuellement, ils incorporent leurs propres
compositions à leur
set. Deux de leur compostions tel que « Come whit me et My choice baby » sont
passées sur
des radios. Dans un futur proche, un album sortira reprenant l'ensemble de leurs
compositions.
Master Gee : chant / Le Doctor : contrebasse / Dangerous Dave : guitare
Paf 12€ prévente 9€
https://www.facebook.com/Tupelo.Boys