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Le droit de vivre
11juni 2022
-
04september 2022
Inspirée de la bande dessinée UN CŒUR EN COMMUN, LA BELGE HISTOIRE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE, parue aux éditions Delcourt en janvier 2020, l’exposition retrace l’histoire de la sécurité sociale en Belgique. À travers un parcours ludique fait d’illustrations, de photos, d’extraits de planches, de textes et d’extraits de réalisations audiovisuelles, le visiteur découvre les différentes étapes qui ont conduit à la création de la sécurité sociale en Belgique. La scénographie originale rappelle le contexte dans le lequel est née la sécurité sociale : au sein d’une usine, lieu d’exploitation et de lutte, pousse la graine de la justice sociale qui se transforme en un arbre magnifique, dont les branches reposent sur les murs. Une symbolique simple et efficace qui permet de comprendre les différentes étapes de luttes et d’avancées sociales. L’histoire de la sécurité sociale, c’est avant tout celle d’un combat mené par les citoyens et citoyennes qui ont osé l’utopie d’un monde plus juste. L’exposition Le droit de vivre est un projet CEPAG, PAC, FPS, CEPAG verviétois, IDEES asbl, Latitude Jeunes Avec le soutien du Réseau wallon de Luttre contre la pauvreté, Le Centre d’Action Laïque de la Province de Liège, FGTB Verviers-Osbelgien, FGTB wallonne, Solidaris, ASPH, Espace Seniors, la Fédération Wallonie-Bruxelles. __________ Entrée : 1 €. Renseignements et réservation : reservation@citemiroir.be 04 230 70 50 En ligne : https://shop.utick.be/?module=ACTIVITYSERIEDETAILS&pos=CITEMIROIR&s=B187AD7C-1215-3498-82B1-5ACA5D38BFBF __________ Réservez une animation ! Par mail : exposition.ledroitdevivre@gmail.com __________ HORAIRE : Du lundi au vendredi de 9h à 18h Du samedi au dimanche de 10h à 18h HORAIRES D'ÉTÉ - Du 1er juillet au 31 août : du lundi au samedi de 10h à 18h, fermé le dimanche Prolongez votre visite en vous plongeant dans l’histoire des luttes pour une société plus juste et plus solidaire !
Attaques contre les droits des travailleurs et travailleuses, chasse aux exilés et exilées, racisme, islamophobie, violences policières, restriction des libertés publiques, répétitions de scores électoraux records pour les extrêmes-droites, multiplication de groupuscules d’ultra-droite violente : c’est sans surprise que Ludivine Bantigny et Ugo Palheta emploient l’adjectif “délétère” pour décrire le climat politique aujourd’hui en France. Dans « Face à la menace fasciste », un court essai qui transpire l’urgence à affronter ce danger politique, l’historienne et le sociologue se penchent plus particulièrement sur la fascisation en œuvre en France, accélérée et exacerbée par le néolibéralisme autoritaire du premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Loin d’être utilisé comme une formule choc ou avec légèreté, cette possibilité du fascisme est étudiée et discutée avec gravité. Pourtant, il ne s’agit pas d’en faire simplement le constat mais bien d’ouvrir des pistes afin d’affronter la menace. S’il prend des formes propres au pays, ce danger existe également en Belgique. Afin de mieux comprendre ce processus mais aussi échanger sur quel(s) antifascisme(s) nous avons besoin dans cette période trouble, Les Territoires de la Mémoire, Peuple & Culture et le Front Antifasciste de Liège vous invitent à ce Café Antifasciste #9 une rencontre avec Ludivine Bantigny qui sera suivie par un échange avec le public et un verre antifasciste. En présence de Julien Dohet, auteur de « Dis, c'est quoi l'antifascisme ? » (Renaissance du Livre, 2022) et auteur d'une rubrique sur l'extrême droite dans la revue « Aide-Mémoire » des Territoires de la Mémoire. Réservation souhaitée : bibliotheque@territoires-memoire.be 04 232 70 62 ___________________________ Un autre événement est organisé ce même mercredi 25 mai dès 19h30 en partenariat par le Comité belge des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871 et Barricade ASBL. Un moment de rencontre et d’échange avec Ludivine Bantigny autour de son livre La Commune au présent - Une correspondance par-delà le temps. La revue « Aide-Mémoire » avait publié à l’époque un entretien avec Ludivine Bantigny autour de cet ouvrage : https://www.territoires-memoire.be/aide-memoire/aide-memoire-96/le-passe-en-bandouliere.html Présentation de l’ouvrage par l’éditeur La Découverte : "Dignité, justice sociale, partage du travail, égalité, rapport renouvelé à l’art, à l’éducation, à la culture et au quotidien… C’est tout cela, la Commune de Paris, une expérience révolutionnaire à bien des égards inouïe […] Comme l’écrit Rimbaud qu’elle enthousiasme tant, la Commune entend vraiment « changer la vie » par des « inventions d’inconnus ». C’est de leur expérience si actuelle que part ce livre, sous une forme originale : il est composé de lettres adressées à ces femmes et ces hommes comme s’ils et elles étaient encore en vie et comme si on pouvait leur parler. Ces lettres rendent la Commune vivante et présente, par un entrelacement des temps [...] L’événement reste de par le monde une source d’inspiration, car il permet de réfléchir à l’émancipation, aux solidarités et aux communs. Il nous concerne toutes et tous, de manière plus brûlante que jamais, et demeure évocateur par les espoirs et les projets qu’il porte. Tant il est vrai que « la Commune n’est pas morte »."
Expositions – Visite commentéeUn voyage photographique dans le passé, à la découverte d’un pan méconnu de notre histoire. Une regard empreint d’humanité sur les exilés d’hier et d’aujourd’hui. Une occasion précieuse de réfléchir à notre présent !Lors de l’hiver 1938-1939, les Républicains espagnols fuient la dictature de Franco et la guerre civile. Un exode massif (« Retirada ») conduit 500.000 soldats et civils, hommes, femmes et enfants dans le sud de la France, à travers les Pyrénées.Échouant sur des plages où aucun accueil n’est mis en place, ils dorment à même le sable puis bientôt dans des camps construits par le gouvernement français, plus soucieux de maintien de l’ordre que de considérations humanitaires.Deux grands photographes reviennent sur cet épisode trop souvent occulté, entre images d’époque et témoignages des nouvelles générations : deux expositions au rythme d’une visite commentée…Chemins de l’exil de Philippe Gaussot et Le sang n’est pas eau de Pierre Gonnord… À ne pas manquer !Crédit photo : Phillippe GaussotInscription au 04/222.45.86 ou par mail à
Accompagnées d’instruments traditionnels, les quatre chanteuses du groupe vocal Ialma présentent une fusion créative de musiques traditionnelles et populaires de Galice, du Pays Basque et de Catalogne dans une perspective d’ouverture sur le monde. Un projet résolument festif, un grand bol d’énergie positive, dans ce monde troublé, où respect, tolérance et expression des différences sont secoués de toutes parts ; un répertoire qui donne à la fois la pêche et la banane, qui invite le public au chant et à la danse. Ialma (Marisol Palomo, Verónica Codesal, Eva Fernández et Natalia Codesal) : voix et percussions traditionnelles | Iñaki Plaza : trikitixa e txalaparta | Manu Sabaté : gralla et tenora | Rémi Decker : voix, guitare | Kepa Calvo : batterie et txalaparta | Production Gaizca Project
Accompagnées d’instruments traditionnels, les quatre chanteuses du groupe vocal Ialma présentent une fusion créative de musiques traditionnelles et populaires de Galice, du Pays Basque et de Catalogne dans une perspective d’ouverture sur le monde.Un projet résolument festif, un grand bol d’énergie positive, dans ce monde troublé, où respect, tolérance et expression des différences sont secoués de toutes parts ; un répertoire qui donne à la fois la pêche et la banane, qui invite le public au chant et à la danse.Line-up :Ialma (Marisol Palomo, Verónica Codesal, Eva Fernández et Natalia Codesal) : voix et percussions traditionnelles | Iñaki Plaza : trikitixa e txalaparta | Manu Sabaté : gralla et tenora | Rémi Decker : voix, guitare | Kepa Calvo : batterie et txalaparta
Une centaine de photos d’époque, prises par Phillippe Gaussot, un militant humanitaire français, nous font voyager dans les camps de la Retirada à partir de février 1939 : des cantonnements établis sur les plages du sud de la France et des structures d’accueil d’enfants basques et catalans échappant aux bombardements. Les conditions de vie des hommes, des femmes et des enfants exilés en France sous la menace franquiste de leur pays, transpercent l’objectif et ramènent les visiteurs à des images de camps de réfugiés actuels partout dans le monde. Ces clichés laissent transparaitre les liens d’humanité que l’artiste a réussi à forger avec les personnes réfugiées. Son émotion, sa bienveillance et son amitié pour elles transpirent dans chacun d’eux. Ils transmettent non seulement l’organisation chaotique de l’exode et l’angoisse des gens, mais aussi l’orgueil, la dignité et surtout toute la combativité de ces bannis. Une organisation des Territoires de la Mémoire en partenariat avec l’association 24 août 1944 de Paris et le ministère de la Memoria Democrática de Madrid avec le soutien de MNEMA asbl et du Département Culturel et Scientifique de l’Ambassade d’Espagne en Belgique. Entrée : 1 euro Horaire : Du lundi au vendredi : 9h-18h Samedi et dimanche : 10h-18h Fermeture le 18/04 et le 01/05 __________ Dans le cadre du cycle d’activités EXILÉS - DES RÉSISTANTS DE LA RETIRADA À AUJOURD’HUI du 5 mars au 22 mai 2022 à La Cité Miroir. __________ *** VISITES ANIMÉES *** du 5 mars au 22 mai 2022 Au travers des deux expositions (LE SANG N’EST PAS EAU et LES CHEMINS DE L’EXIL), les personnes participantes auront l’occasion de découvrir le contexte de la Retirada et de réfléchir aux conditions de vie liées à l’exil. Ils pourront également constater les conséquences sur les générations suivantes. EN PRATIQUE PAF : 25€/groupe + 1€ par personne Durée : 1h30 Réservation : reservation@citemiroir.be 04 230 70 50 *** RENCONTRES ANIMÉES AVEC L’ASSOCIATION 24 AOÛT 1944 *** - du 31 mars au 2 avril 2022 - du 21 au 23 avril 2022 Active depuis de nombreuses années dans la mémoire espagnole, l’association 24 août 1944 propose une visite guidée des expositions LES CHEMINS DE L’EXIL et LE SANG N’EST PAS EAU précédée d’un film sur la Retirada et suivie d’un débat. EN PRATIQUE PAF : 1€ par personne Durée : 2h Réservation : projets@territoires-memoire.be
Poète rebelle, poète du terroir, défenseur infatigable des petites gens, opposé à Salazar et à Franco sans s’exiler, Miguel Torga fut un grand voyageur, dans son propre pays d’abord et dans le monde entier plus tard. On lui doit la célèbre phrase L’Universel c’est le local moins les murs : pour l'écrivain, au-delà de tout localisme, c’est au sein d’une fraternité faite de convictions et d'échanges que naît la culture. Sur scène, Dominique Rongvaux porte la voix de Miguel Torga, Rita Matos Alves et Marie Boulenger interprètent des mélodies portugaises, brésiliennes, espagnoles et belges en écho aux affinités du poète. Rui Moreira, avec ses images, exprime sa passion pour l’homme. Le spectateur pénètre dans l’univers de Miguel Torga au travers de ses contes, de ses angoisses poétiques, et de son fameux journal où il a posé au jour le jour pendant 60 ans un regard impitoyable sur lui-même et sur le monde. Une œuvre gigantesque sans cesse censurée avant la révolution des œillets, et dont une grande partie a été traduite en français. Un spectacle de L’Ensemble Torga | Interprétation Dominique Rongvaux | Soprano Rita Matos Alves | Piano Marie Boulenger | Projections Rui Moreira | Participation à la création Maria Abecasis De Almeida | Compositeur Stéphane Orlando | Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Général de la Création artistique
Une centaine de photos d’époque, prises par Phillippe Gaussot, un militant humanitaire français, nous font voyager dans les camps de la Retirada à partir de février 1939 : des cantonnements établis sur les plages du sud de la France et des structures d’accueil d’enfants basques et catalans échappant aux bombardements. Les conditions de vie des hommes, des femmes et des enfants exilés en France sous la menace franquiste de leur pays, transpercent l’objectif et ramènent les visiteurs à des images de camps de réfugiés actuels partout dans le monde. Ces clichés laissent transparaitre les liens d’humanité que l’artiste a réussi à forger avec les personnes réfugiées. Son émotion, sa bienveillance et son amitié pour elles transpirent dans chacun d’eux. Ils transmettent non seulement l’organisation chaotique de l’exode et l’angoisse des gens, mais aussi l’orgueil, la dignité et surtout toute la combativité de ces bannis. Une organisation des Territoires de la Mémoire en partenariat avec l’association 24 août 1944 de Paris et le ministère de la Memoria Democrática de Madrid avec le soutien de MNEMA asbl et du Département Culturel et Scientifique de l’Ambassade d’Espagne en Belgique. Entrée : 1 euro Horaire : Du lundi au vendredi : 9h-18h Samedi et dimanche : 10h-18h Fermeture le 18/04 et le 01/05 __________ Dans le cadre du cycle d’activités EXILÉS - DES RÉSISTANTS DE LA RETIRADA À AUJOURD’HUI du 5 mars au 22 mai 2022 à La Cité Miroir. __________ *** VISITES ANIMÉES *** du 5 mars au 22 mai 2022 Au travers des deux expositions (LE SANG N’EST PAS EAU et LES CHEMINS DE L’EXIL), les personnes participantes auront l’occasion de découvrir le contexte de la Retirada et de réfléchir aux conditions de vie liées à l’exil. Ils pourront également constater les conséquences sur les générations suivantes. EN PRATIQUE PAF : 25€/groupe + 1€ par personne Durée : 1h30 Réservation : reservation@citemiroir.be 04 230 70 50 *** RENCONTRES ANIMÉES AVEC L’ASSOCIATION 24 AOÛT 1944 *** - du 31 mars au 2 avril 2022 - du 21 au 23 avril 2022 Active depuis de nombreuses années dans la mémoire espagnole, l’association 24 août 1944 propose une visite guidée des expositions LES CHEMINS DE L’EXIL et LE SANG N’EST PAS EAU précédée d’un film sur la Retirada et suivie d’un débat. EN PRATIQUE PAF : 1€ par personne Durée : 2h Réservation : projets@territoires-memoire.be
Un africain revenant d’une longue odyssée décide de s’adresser aux siens. Il les invite par une parole poétique à édifier le jour qui vient. Pour cela, il est nécessaire de procéder à une transformation de l’expérience culturelle et historique d’un continent qui a connu tous les hauts et tous les bas de la condition humaine. Pour son auteur, l’économiste, penseur et poète sénégalais Felwine Sarr, ce texte vise à «pousser l’humanité plus loin, repousser l’horizon de la lumière, désensabler les eaux vives». Il s’agit de «rouvrir le champ des possibles et dessiner une utopie africaine.» Incarné sur scène par le comédien Étienne Minoungou, accompagné d’un musicien, cette parole initiatrice invite à une restauration du sens, à une réhabilitation du présent et à la création d’un nouveau projet de civilisation. Texte Felwine Sarr | Mise en scène Étienne Minoungou | Regard extérieur Aristide Tarnagda | Avec Etienne Minoungou | Musicien Simon Winsé | Vidéo Emmanuel Toe | Création lumières Rémy Brans | Une production du Théâtre de Namur en coproduction avec le Festival Les Récréatrales– Ouagadougou, le Festival AfriCologne | Avec le soutien de la Fondation von Brochowski Sud-Nord | Diffusion La Charge du Rhinocéros | © Véronique Vercheval
Spectacle AZ - EXISTER A 24 ans, Az a une vision de la vie bien à lui et un style unique en son genre. Ce passionné de musique est rapidement repéré sur les réseaux sociaux grâce à ses vidéos qui caricaturent chanteurs et rappeurs en tout genre, c'est sur scène qu'il s'accomplie pleinement maniant le verbe et la vanne avec une nonchalance qui fait son succès. Elégant, Az capte notre attention avec légèreté et charme, De préparateur de commandes aux soirées branchées parisiennes Az raconte son parcours avec autodérision. Il aborde des sujets atypiques sur scène, comme l’hypocrisie des découverts accordés par les banques, et à la fois des faits de vie quotidiens. Des situations comme une commande au Mac drive qui se transforme en véritable enfer, mais il sait aussi utiliser l’ironie lorsqu’il parodie les interventions des journalistes de chaînes infos. La musique qui l’a fait connaître sur les réseaux sociaux est aussi à l’honneur dans ce spectacle et c’est à travers plusieurs parodies musicales que Az vous explique sa vision de la nouvelle génération de chanteurs. Première partie: à confirmer. Centre Culturel de Liège. Place des Carmes, 8 - 4000 LIÈGE