Inspirée de la bande dessinée UN CŒUR EN COMMUN, LA BELGE HISTOIRE DE LA
SÉCURITÉ SOCIALE, parue aux éditions Delcourt en janvier 2020, l’exposition
retrace l’histoire de la sécurité sociale en Belgique.
À travers un parcours ludique fait d’illustrations, de photos, d’extraits de
planches, de textes et d’extraits de réalisations audiovisuelles, le visiteur
découvre les différentes étapes qui ont conduit à la création de la sécurité
sociale en Belgique. La scénographie originale rappelle le contexte dans le
lequel est née la sécurité sociale : au sein d’une usine, lieu d’exploitation et
de lutte, pousse la graine de la justice sociale qui se transforme en un arbre
magnifique, dont les branches reposent sur les murs. Une symbolique simple et
efficace qui permet de comprendre les différentes étapes de luttes et d’avancées
sociales. L’histoire de la sécurité sociale, c’est avant tout celle d’un combat
mené par les citoyens et citoyennes qui ont osé l’utopie d’un monde plus juste.
L’exposition Le droit de vivre est un projet CEPAG, PAC, FPS, CEPAG verviétois,
IDEES asbl, Latitude Jeunes
Avec le soutien du Réseau wallon de Luttre contre la pauvreté, Le Centre
d’Action Laïque de la Province de Liège, FGTB Verviers-Osbelgien, FGTB wallonne,
Solidaris, ASPH, Espace Seniors, la Fédération Wallonie-Bruxelles.
__________
Entrée : 1 €.
Renseignements et réservation :
reservation@citemiroir.be
04 230 70 50
En ligne :
https://shop.utick.be/?module=ACTIVITYSERIEDETAILS&pos=CITEMIROIR&s=B187AD7C-1215-3498-82B1-5ACA5D38BFBF
__________
Réservez une animation !
Par mail : exposition.ledroitdevivre@gmail.com
__________
HORAIRE :
Du lundi au vendredi de 9h à 18h
Du samedi au dimanche de 10h à 18h
HORAIRES D'ÉTÉ - Du 1er juillet au 31 août : du lundi au samedi de 10h à 18h,
fermé le dimanche
Prolongez votre visite en vous plongeant dans l’histoire des luttes pour une
société plus juste
et plus solidaire !
Place Xavier Neujean
Venue
Upcoming events
There’s no upcoming events
Past events
Attaques contre les droits des travailleurs et travailleuses, chasse aux exilés
et exilées, racisme, islamophobie, violences policières, restriction des
libertés publiques, répétitions de scores électoraux records pour les
extrêmes-droites, multiplication de groupuscules d’ultra-droite violente : c’est
sans surprise que Ludivine Bantigny et Ugo Palheta emploient l’adjectif
“délétère” pour décrire le climat politique aujourd’hui en France. Dans « Face à
la menace fasciste », un court essai qui transpire l’urgence à affronter ce
danger politique, l’historienne et le sociologue se penchent plus
particulièrement sur la fascisation en œuvre en France, accélérée et exacerbée
par le néolibéralisme autoritaire du premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Loin
d’être utilisé comme une formule choc ou avec légèreté, cette possibilité du
fascisme est étudiée et discutée avec gravité. Pourtant, il ne s’agit pas d’en
faire simplement le constat mais bien d’ouvrir des pistes afin d’affronter la
menace.
S’il prend des formes propres au pays, ce danger existe également en Belgique.
Afin de mieux comprendre ce processus mais aussi échanger sur quel(s)
antifascisme(s) nous avons besoin dans cette période trouble, Les Territoires de
la Mémoire, Peuple & Culture et le Front Antifasciste de Liège vous invitent à
ce Café Antifasciste #9 une rencontre avec Ludivine Bantigny qui sera suivie par
un échange avec le public et un verre antifasciste.
En présence de Julien Dohet, auteur de « Dis, c'est quoi l'antifascisme ? »
(Renaissance du Livre, 2022) et auteur d'une rubrique sur l'extrême droite dans
la revue « Aide-Mémoire » des Territoires de la Mémoire.
Réservation souhaitée :
bibliotheque@territoires-memoire.be
04 232 70 62
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Un autre événement est organisé ce même mercredi 25 mai dès 19h30 en partenariat
par le Comité belge des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871 et Barricade
ASBL. Un moment de rencontre et d’échange avec Ludivine Bantigny autour de son
livre La Commune au présent - Une correspondance par-delà le temps.
La revue « Aide-Mémoire » avait publié à l’époque un entretien avec Ludivine
Bantigny autour de cet ouvrage :
https://www.territoires-memoire.be/aide-memoire/aide-memoire-96/le-passe-en-bandouliere.html
Présentation de l’ouvrage par l’éditeur La Découverte :
"Dignité, justice sociale, partage du travail, égalité, rapport renouvelé à
l’art, à l’éducation, à la culture et au quotidien… C’est tout cela, la Commune
de Paris, une expérience révolutionnaire à bien des égards inouïe […] Comme
l’écrit Rimbaud qu’elle enthousiasme tant, la Commune entend vraiment « changer
la vie » par des « inventions d’inconnus ». C’est de leur expérience si actuelle
que part ce livre, sous une forme originale : il est composé de lettres
adressées à ces femmes et ces hommes comme s’ils et elles étaient encore en vie
et comme si on pouvait leur parler. Ces lettres rendent la Commune vivante et
présente, par un entrelacement des temps [...]
L’événement reste de par le monde une source d’inspiration, car il permet de
réfléchir à l’émancipation, aux solidarités et aux communs. Il nous concerne
toutes et tous, de manière plus brûlante que jamais, et demeure évocateur par
les espoirs et les projets qu’il porte. Tant il est vrai que « la Commune n’est
pas morte »."
Expositions – Visite commentéeUn voyage photographique dans le passé, à la
découverte d’un pan méconnu de notre histoire. Une regard empreint d’humanité
sur les exilés d’hier et d’aujourd’hui. Une occasion précieuse de réfléchir à
notre présent !Lors de l’hiver 1938-1939, les Républicains espagnols fuient la
dictature de Franco et la guerre civile. Un exode massif (« Retirada ») conduit
500.000 soldats et civils, hommes, femmes et enfants dans le sud de la France, à
travers les Pyrénées.Échouant sur des plages où aucun accueil n’est mis en
place, ils dorment à même le sable puis bientôt dans des camps construits par le
gouvernement français, plus soucieux de maintien de l’ordre que de
considérations humanitaires.Deux grands photographes reviennent sur cet épisode
trop souvent occulté, entre images d’époque et témoignages des nouvelles
générations : deux expositions au rythme d’une visite commentée…Chemins de
l’exil de Philippe Gaussot et Le sang n’est pas eau de Pierre Gonnord… À ne pas
manquer !Crédit photo : Phillippe GaussotInscription au 04/222.45.86 ou par mail
à
Accompagnées d’instruments traditionnels, les quatre chanteuses du groupe vocal
Ialma présentent une fusion créative de musiques traditionnelles et populaires
de Galice, du Pays Basque et de Catalogne dans une perspective d’ouverture sur
le monde.
Un projet résolument festif, un grand bol d’énergie positive, dans ce monde
troublé, où respect, tolérance et expression des différences sont secoués de
toutes parts ; un répertoire qui donne à la fois la pêche et la banane, qui
invite le public au chant et à la danse.
Ialma (Marisol Palomo, Verónica Codesal, Eva Fernández et Natalia Codesal) :
voix et percussions traditionnelles | Iñaki Plaza : trikitixa e txalaparta |
Manu Sabaté : gralla et tenora | Rémi Decker : voix, guitare | Kepa Calvo :
batterie et txalaparta | Production Gaizca Project
Accompagnées d’instruments traditionnels, les quatre chanteuses du groupe vocal
Ialma présentent une fusion créative de musiques traditionnelles et populaires
de Galice, du Pays Basque et de Catalogne dans une perspective d’ouverture sur
le monde.Un projet résolument festif, un grand bol d’énergie positive, dans ce
monde troublé, où respect, tolérance et expression des différences sont secoués
de toutes parts ; un répertoire qui donne à la fois la pêche et la banane, qui
invite le public au chant et à la danse.Line-up :Ialma (Marisol Palomo, Verónica
Codesal, Eva Fernández et Natalia Codesal) : voix et percussions traditionnelles
| Iñaki Plaza : trikitixa e txalaparta | Manu Sabaté : gralla et tenora | Rémi
Decker : voix, guitare | Kepa Calvo : batterie et txalaparta
Une centaine de photos d’époque, prises par Phillippe Gaussot, un militant
humanitaire français, nous font voyager dans les camps de la Retirada à partir
de février 1939 : des cantonnements établis sur les plages du sud de la France
et des structures d’accueil d’enfants basques et catalans échappant aux
bombardements. Les conditions de vie des hommes, des femmes et des enfants
exilés en France sous la menace franquiste de leur pays, transpercent l’objectif
et ramènent les visiteurs à des images de camps de réfugiés actuels partout dans
le monde.
Ces clichés laissent transparaitre les liens d’humanité que l’artiste a réussi à
forger avec les personnes réfugiées. Son émotion, sa bienveillance et son amitié
pour elles transpirent dans chacun d’eux. Ils transmettent non seulement
l’organisation chaotique de l’exode et l’angoisse des gens, mais aussi
l’orgueil, la dignité et surtout toute la combativité de ces bannis.
Une organisation des Territoires de la Mémoire en partenariat avec l’association
24 août 1944 de Paris et le ministère de la Memoria Democrática de Madrid avec
le soutien de MNEMA asbl et du Département Culturel et Scientifique de
l’Ambassade d’Espagne en Belgique.
Entrée : 1 euro
Horaire :
Du lundi au vendredi : 9h-18h
Samedi et dimanche : 10h-18h
Fermeture le 18/04 et le 01/05
__________
Dans le cadre du cycle d’activités EXILÉS - DES RÉSISTANTS DE LA RETIRADA À
AUJOURD’HUI du 5 mars au 22 mai 2022 à La Cité Miroir.
__________
*** VISITES ANIMÉES ***
du 5 mars au 22 mai 2022
Au travers des deux expositions (LE SANG N’EST PAS EAU et LES CHEMINS DE
L’EXIL), les personnes participantes auront l’occasion de découvrir le contexte
de la Retirada et de réfléchir aux conditions de vie liées à l’exil. Ils
pourront également constater les conséquences sur les générations suivantes.
EN PRATIQUE
PAF : 25€/groupe + 1€ par personne
Durée : 1h30
Réservation :
reservation@citemiroir.be
04 230 70 50
*** RENCONTRES ANIMÉES AVEC L’ASSOCIATION 24 AOÛT 1944 ***
- du 31 mars au 2 avril 2022
- du 21 au 23 avril 2022
Active depuis de nombreuses années dans la mémoire espagnole, l’association 24
août 1944 propose une visite guidée des expositions LES CHEMINS DE L’EXIL et LE
SANG N’EST PAS EAU précédée d’un film sur la Retirada et suivie d’un débat.
EN PRATIQUE
PAF : 1€ par personne
Durée : 2h
Réservation :
projets@territoires-memoire.be
Poète rebelle, poète du terroir, défenseur infatigable des petites gens, opposé
à Salazar et à Franco sans s’exiler, Miguel Torga fut un grand voyageur, dans
son propre pays d’abord et dans le monde entier plus tard. On lui doit la
célèbre phrase L’Universel c’est le local moins les murs : pour l'écrivain,
au-delà de tout localisme, c’est au sein d’une fraternité faite de convictions
et d'échanges que naît la culture.
Sur scène, Dominique Rongvaux porte la voix de Miguel Torga, Rita Matos Alves et
Marie Boulenger interprètent des mélodies portugaises, brésiliennes, espagnoles
et belges en écho aux affinités du poète. Rui Moreira, avec ses images, exprime
sa passion pour l’homme.
Le spectateur pénètre dans l’univers de Miguel Torga au travers de ses contes,
de ses angoisses poétiques, et de son fameux journal où il a posé au jour le
jour pendant 60 ans un regard impitoyable sur lui-même et sur le monde. Une
œuvre gigantesque sans cesse censurée avant la révolution des œillets, et dont
une grande partie a été traduite en français.
Un spectacle de L’Ensemble Torga | Interprétation Dominique Rongvaux | Soprano
Rita Matos Alves | Piano Marie Boulenger | Projections Rui Moreira |
Participation à la création Maria Abecasis De Almeida | Compositeur Stéphane
Orlando | Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Général de la
Création artistique
Une centaine de photos d’époque, prises par Phillippe Gaussot, un militant
humanitaire français, nous font voyager dans les camps de la Retirada à partir
de février 1939 : des cantonnements établis sur les plages du sud de la France
et des structures d’accueil d’enfants basques et catalans échappant aux
bombardements. Les conditions de vie des hommes, des femmes et des enfants
exilés en France sous la menace franquiste de leur pays, transpercent l’objectif
et ramènent les visiteurs à des images de camps de réfugiés actuels partout dans
le monde.
Ces clichés laissent transparaitre les liens d’humanité que l’artiste a réussi à
forger avec les personnes réfugiées. Son émotion, sa bienveillance et son amitié
pour elles transpirent dans chacun d’eux. Ils transmettent non seulement
l’organisation chaotique de l’exode et l’angoisse des gens, mais aussi
l’orgueil, la dignité et surtout toute la combativité de ces bannis.
Une organisation des Territoires de la Mémoire en partenariat avec l’association
24 août 1944 de Paris et le ministère de la Memoria Democrática de Madrid avec
le soutien de MNEMA asbl et du Département Culturel et Scientifique de
l’Ambassade d’Espagne en Belgique.
Entrée : 1 euro
Horaire :
Du lundi au vendredi : 9h-18h
Samedi et dimanche : 10h-18h
Fermeture le 18/04 et le 01/05
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Dans le cadre du cycle d’activités EXILÉS - DES RÉSISTANTS DE LA RETIRADA À
AUJOURD’HUI du 5 mars au 22 mai 2022 à La Cité Miroir.
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*** VISITES ANIMÉES ***
du 5 mars au 22 mai 2022
Au travers des deux expositions (LE SANG N’EST PAS EAU et LES CHEMINS DE
L’EXIL), les personnes participantes auront l’occasion de découvrir le contexte
de la Retirada et de réfléchir aux conditions de vie liées à l’exil. Ils
pourront également constater les conséquences sur les générations suivantes.
EN PRATIQUE
PAF : 25€/groupe + 1€ par personne
Durée : 1h30
Réservation :
reservation@citemiroir.be
04 230 70 50
*** RENCONTRES ANIMÉES AVEC L’ASSOCIATION 24 AOÛT 1944 ***
- du 31 mars au 2 avril 2022
- du 21 au 23 avril 2022
Active depuis de nombreuses années dans la mémoire espagnole, l’association 24
août 1944 propose une visite guidée des expositions LES CHEMINS DE L’EXIL et LE
SANG N’EST PAS EAU précédée d’un film sur la Retirada et suivie d’un débat.
EN PRATIQUE
PAF : 1€ par personne
Durée : 2h
Réservation :
projets@territoires-memoire.be
Un africain revenant d’une longue odyssée décide de s’adresser aux siens. Il les
invite par une parole poétique à édifier le jour qui vient. Pour cela, il est
nécessaire de procéder à une transformation de l’expérience culturelle et
historique d’un continent qui a connu tous les hauts et tous les bas de la
condition humaine.
Pour son auteur, l’économiste, penseur et poète sénégalais Felwine Sarr, ce
texte vise à «pousser l’humanité plus loin, repousser l’horizon de la lumière,
désensabler les eaux vives». Il s’agit de «rouvrir le champ des possibles et
dessiner une utopie africaine.» Incarné sur scène par le comédien Étienne
Minoungou, accompagné d’un musicien, cette parole initiatrice invite à une
restauration du sens, à une réhabilitation du présent et à la création d’un
nouveau projet de civilisation.
Texte Felwine Sarr | Mise en scène Étienne Minoungou | Regard extérieur Aristide
Tarnagda | Avec Etienne Minoungou | Musicien Simon Winsé | Vidéo Emmanuel Toe |
Création lumières Rémy Brans | Une production du Théâtre de Namur en
coproduction avec le Festival Les Récréatrales– Ouagadougou, le Festival
AfriCologne | Avec le soutien de la Fondation von Brochowski Sud-Nord |
Diffusion La Charge du Rhinocéros | © Véronique Vercheval
Spectacle AZ - EXISTER
A 24 ans, Az a une vision de la vie bien à lui et un style unique en son genre.
Ce passionné de musique est rapidement repéré sur les réseaux sociaux grâce à
ses vidéos qui caricaturent chanteurs et rappeurs en tout genre, c'est sur scène
qu'il s'accomplie pleinement maniant le verbe et la vanne avec une nonchalance
qui fait son succès.
Elégant, Az capte notre attention avec légèreté et charme, De préparateur de
commandes aux soirées branchées parisiennes Az raconte son parcours avec
autodérision.
Il aborde des sujets atypiques sur scène, comme l’hypocrisie des découverts
accordés par les banques, et à la fois des faits de vie quotidiens. Des
situations comme une commande au Mac drive qui se transforme en véritable enfer,
mais il sait aussi utiliser l’ironie lorsqu’il parodie les interventions des
journalistes de chaînes infos.
La musique qui l’a fait connaître sur les réseaux sociaux est aussi à l’honneur
dans ce spectacle et c’est à travers plusieurs parodies musicales que Az vous
explique sa vision de la nouvelle génération de chanteurs.
Première partie: à confirmer.
Centre Culturel de Liège. Place des Carmes, 8 - 4000 LIÈGE