90e anniversaire de l'Hôtel de ville

Description

L'exposition 90e anniversaire de l'Hôtel de ville a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Villeneuve Loubet 2024.

L'événement marquant du 90e anniversaire de l'Hôtel de ville se déroulera à Villeneuve-Loubet. Cette célébration unique vous invite à plonger dans l'histoire fascinante de ce bâtiment emblématique à travers une exposition captivante en salle des mariages.

Découvrez les moments clés et les anecdotes qui ont jalonné les neuf décennies de l'Hôtel de ville. Les élus de la municipalité seront présents pour vous accueillir et partager avec vous les richesses de ce lieu chargé d'histoire.

Ne manquez pas cette occasion de célébrer un patrimoine local et d'en apprendre davantage sur l'évolution de votre commune. L'entrée est libre, permettant à tous de profiter de cette exposition enrichissante.

Infos réservations :

Par téléphone

- 0493737844

Date info

Du samedi 21 septembre 2024 au dimanche 22 septembre 2024

10h00 • 11h00 • 15h00

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Suggested events

Lieu de RDV : A l'entrée du musée, niveau -2 par les grands escaliers de la partie moderne du musée Heure de RDV : 10h45 Qu’ont en commun Henri Matisse et Joan Miró ? Si la recherche de l’harmonie « décorative » qui caractérise l’œuvre de Matisse semble à première vue très éloignée de l’inquiétante étrangeté du surréaliste Joan Miró, leurs conceptions de l’art et de la création entretiennent pourtant des rapports profonds, que le musée Matisse de Nice propose de révéler, sans pour autant masquer toutes les différences qui les séparent. Le parcours de l’exposition met notamment l’accent sur les regards croisés que les deux artistes ont porté sur leurs œuvres respectives, puisant une réflexion et inspiration nouvelle l’un chez l’autre. Car, en effet, il ne faut pas oublier que Matisse et Miró se sont reconnus et admirés mutuellement...
25 artistes et artisans d'art professionnels présenteront leurs dernières créations : art de la table, bijoux, décoration de la maison et du jardin, sculptures, pièces uniques... Faïence, terre vernissée, porcelaine, grès, raku... Amateurs fidèles, collectionneurs ou simples curieux y trouveront leur bonheur. Le marché se tiendra à l'ombre des grands platanes, restaurants et brasseries sur place, artisans d'art dans les ruelles du village. Animations gratuites : - Un atelier modelage sera proposé toute la journée pour les enfants - Vous pourrez tenter votre chance de remporter un bon d'achat de 50 ? en élisant votre stand coup de coeur ! - Des panneaux didactiques : Une présentation imagée et pédagogique permettra à chacun de se repérer parmi les différentes techniques céramiques, une découverte enrichissante autour de la terre - Et le stand du bol de la solidarité cher à notre association et très apprécié des visiteurs. Site web : https://www.terresdeprovence.org/tourrettes
Lieu de RDV : A l'entrée du musée, niveau -2 par les grands escaliers de la partie moderne du musée. Heure de RDV : 14h45 Qu’ont en commun Henri Matisse et Joan Miró ? Si la recherche de l’harmonie « décorative » qui caractérise l’œuvre de Matisse semble à première vue très éloignée de l’inquiétante étrangeté du surréaliste Joan Miró, leurs conceptions de l’art et de la création entretiennent pourtant des rapports profonds, que le musée Matisse de Nice propose de révéler, sans pour autant masquer toutes les différences qui les séparent. Le parcours de l’exposition met notamment l’accent sur les regards croisés que les deux artistes ont porté sur leurs œuvres respectives, puisant une réflexion et inspiration nouvelle l’un chez l’autre. Car, en effet, il ne faut pas oublier que Matisse et Miró se sont reconnus et admirés mutuellement...
Première fondation d'art moderne et contemporain en France, la Fondation Maeght fêtera son soixantenaire à l'été 2024. Créée en 1964 par le couple de marchands d'art, éditeurs et lithographes Marguerite et Aimé Maeght, elle fut inaugurée à Saint-Paul-de-Vence par André Malraux et immédiatement reconnue d'utilité publique. Cet anniversaire sera marqué par une grande exposition estivale « Amitiés, Bonnard-Matisse », l'inauguration de nouvelles salles d'exposition consacrées cette année à la collection permanente et un mois de célébrations composé de concerts, représentations de danse, projections de films, lectures...
Après avoir montré le travail de Marine Wallon dans des expositions de groupe en 2020 et en 2021, la galerie Catherine Issert consacre pour la première fois à l'artiste une exposition personnelle du 29 juin au 31 août 2024. Ses peintures, empreintes de références au cinéma et qui oscillent entre paysages et compositions abstraites, sont au coeur de cette présentation inédite, en parallèle à son travail sur papier, autre facette de sa vigueur picturale. D'une figuration de moments suspendus à un déferlement de matière, d'un arrêt sur image à un déchaînement gestuel, c'est un univers à la fois concret et imaginaire qui s'offre au spectateur. « Si Marine Wallon appartient sans conteste à la nouvelle scène figurative fran?aise, elle sait s'aventurer du côté d'une abstraction affirmée, et évoluer sur des lignes de crête. Sa peinture - son médium favori depuis le mitan des années 2010 - donne à voir l'instant capturé, suspendu, et, dans le même temps, le mouvement, le foisonnement vibrant des éléments ; elle déploie des horizons lointains et exotiques aux titres évocateurs autant qu'elle impose la frontalité intransigeante d'une matière picturale brute. Et c'est en cette tension incomparablement maîtrisée que le spectateur est ravi, son regard livré à la peinture même, tandis que l'imaginaire le plus libre s'abandonne à la narration trouble de scènes énigmatiques. Ce jeu entre fixité et mouvement trouve quelques clés d'explication dans les nourritures esthétiques de Marine Wallon. Elle qui regarde passionnément la peinture, de Delacroix à Joan Mitchell en passant par Milton Avery ou Van Gogh, reste obsédée par l'image en mouvement. Sa méthode même raconte cette dialectique : elle navigue dans un flux d'images de paysages glanées sur internet - sites d'archives, films documentaires, amateurs ou publicitaires - à la recherche d'un « choc visuel ». Après la capture d'écran, la saturation sur Photoshop et quelques croquis, vient la mise en danger de la peinture : munie de pinceaux, de brosses, de tissus plongés dans l'huile et jetés sur la toile ou simplement de ses doigts, elle livre une pensée sauvage pour donner vie à des paysages-matières où l'ambigu règne en maître : on ne sait trop si ses silhouettes incertaines, de simples « punctums » servant à la circulation du regard, évoluent dans des décors vraisemblables ou s'ils se trouvent nez à nez avec des signes picturaux. Ce sens aigu de l'indistinct, de l'étrangeté, de l'imminence, naît à l'intersection d'une histoire du paysage - la mer et la montagne, effrayantes mais attrayantes, ne sont pas sans rappeler la tradition du sublime romantique - et de références au cinéma, cinéma expérimental, d'auteur ou hollywoodien, celui de John Ford, d'Akira Kurosawa, de Jean-Daniel Pollet ou de Rose Lowder. Marine Wallon opère donc une audacieuse alchimie : l'image animée se trouve fixée, pour finalement redevenir foisonnement ; l'image numérique éthérée devient picturalité concrète ; l'image par essence reproductible s'incarne dans l'aura d'une peinture ; l'image triviale, jetable, devient poétique, unique. La magie a lieu dans une sorte de danse ou de transe : si la genèse du travail vient de l'oeil parcourant l'écran, la suite du processus créatif est des plus physiques. Entre le monde du tout-image qui est désormais le nôtre et celui des premiers âges de l'humanité, Marine Wallon cherche un geste primitif, aussi simple parfois que la main trempée dans la peinture et posée sur la toile, réitération d'un geste artistique originel évoquant sa pratique première de l'argile. À l'aide de ses spalters et pinceaux, elle libère, en une touche âpre et texturée, des arabesques, des étirements de peinture, de véritables rideaux de matière qui balaient, souvent en diagonale, la surface de la toile. Elle cherche la perturbation, l'excès, la perte des repères, à la lisière du dissonant ; depuis plusieurs années, Marine Wallon a banni toute idée de perspective. Ses peintures, désertiques, rocailleuses, enneigées, sont des scènes vides et pourtant saturées, où le moment de suspens cinématographique saisi en plongée ou en contre-plongée rencontre des temps géologiques immémoriaux. Repères de temps et d'espace se trouvent ainsi abolis, les échelles nous échappent et le vertige nous guette. La manière qu'a Marine Wallon d'habiter le médium se transmet vite au spectateur : quels qu'en soient le format et la technique - huiles sur toile, travaux sur papier exécutés à l'aquarelle, à la gouache ou au crayon, gravures -, on sent, face à ses oeuvres, le froid des montagnes, le sel des embruns, la morsure du soleil, le souffle du vent. Ses pièces, toutes à la fois figuratives, atmosphériques, lyriques, dessinent ensemble, une fois leur accrochage orchestré, le storyboard d'un film que l'on peut sans cesse recomposer. » Elsa Hougue
Daniel Rothbart - Plus fugitif que la lumière Vernissage Jeudi 5 septembre 2024 de 16h à 21h, en présence de l'artiste Exposition jusqu'au 12 octobre 2024 Entrée libre La galerie Depardieu a le plaisir de vous présenter Plus fugitif que la lumière, le dernier travail de Daniel Rothbart. Seize collages et une installation cinétique seront exposés. More Fugitive Than Light: Poems of Rome, Venice, Paris, 2016-2017, le nouveau livre du poète et du critique d'art Richard Milazzo, avec des collages de Rothbart, sera également présenté. Plus fugitif que la lumière sera la douzième exposition personnelle de Daniel Rothbart à la Galerie Depardieu. Rothbart crée des sculptures flottantes pour les mers, les lacs, les rivières et les citernes, animées par le mouvement de l'eau. Ses sculptures pour la sculptures terrestres incluent des formes inspirées de vaisseaux qui font partie intégrante de ses collaborations avec d'autres artistes, écrivains et poètes. En manipulant des cartes postales trouvées, des photographies, et des images fixes de films, Daniel Rothbart explore l'identité culturelle, le déplacement, et la transformation de paysages avec l'arrivée de sculptures dans ses collages. Les projets d'atelier de Rothbart incluent RamleAnthropocene, à la Piscine des Arches / Centre d'art contemporain Ramle CACR, à Ramle, en Israël ; Horloges à l'eau, sur le fleuve Hudson / The Hudson Eye, à Hudson, à New York ; Théologies impénétrables, l'Église Sainte-Élisabeth / Kunstwechsel, à Aix-la-Chapelle, en Allemagne ; Air de Venise, à Venise, en Italie ; et WATERLINES, à la Galerie Depardieu, à Nice, en France. Il a exposé à la Galleria Nazionale d'Arte Moderna, à Rome, en Italie ; le Musée d'art contemporain MoCAB, à Belgrade, en Serbie ; Momenta Art et Proteus Gowanus à Brooklyn, à New York ; à la galerie Andrea Meislin, Exit Art, et WhiteBox Contemporary Art Center à New York City. Il est l'auteur de trois livres. Jewish Metaphysics as Generative Principle in American Art (1994) explore la relation entre la culture juive et l'abstraction américaine d'après-guerre. The Story of the Phoenix (1999) examine les thèmes fluides de la création, de la destruction et de la paternité. Seeing Naples: Reports from the Shadow of Vesuvius (2018) est un récit de voyage inspiré des expériences de Rothbart en tant que boursier Fulbright à Naples au début des années 1990. L'oeuvre combine un récit personnel avec l'histoire de la ville, ancienne et moderne, qui parle des valeurs et de la culture napolitaine. Rothbart a re?u une bourse du New York State Council on the Arts, une bourse de la New York Foundation for the Arts et a également été invité à la Résidence des Artistes Herzliya, à Herzliya, en Israël en 2023 et à La Napoule Art Foundation, à Mandelieu-la-Napoule, en France en 2002. Son travail fait l'objet d'une monographie d'Enrico Pedrini publiée en 2010 par Ulisse e Calipso à Naples, en Italie. Le travail de Rothbart se trouve dans des collections publiques et privées, notamment dans le Musée d'Art Moderne de New York. Site web : http://www.galerie-depardieu.com Infos réservation : Vernissage Jeudi 5 septembre 2024 de 16h à 21h, en présence de l'artisteExposition jusqu'au 12 octobre 2024Du lundi au samedi de 14h30 à 18h30Entrée libre
L'exposition Exposition de motos de anciennes a lieu dans le cadre des Journées du patrimoine Villeneuve Loubet 2024. L'Exposition de Motos de Anciennes se déroule à la salle Donon à Villeneuve-Loubet. Cet événement unique vous invite à plonger dans l'univers fascinant des deux-roues d'antan. Venez admirer une collection impressionnante de motos, scooters, mobylettes et cyclomoteurs, tous datant des années 1920 à 1980. Cette exposition met en lumière le patrimoine mécanique et l'évolution des véhicules à deux roues au fil des décennies. L'Amicale Rétrocyclettes Villeneuvoises vous propose une immersion dans l'histoire des transports, avec des modèles emblématiques qui ont marqué leur époque. Ne manquez pas cette occasion de découvrir ces trésors mécaniques et d'échanger avec d'autres passionnés. L'entrée est libre, alors n'hésitez pas à venir en famille ou entre amis pour partager cette expérience enrichissante !
Pour son projet d'exposition, l'artiste belge Édith Dekyndt a exploré le littoral antibois pour collecter divers matériaux naturels et plastiques. Le projet d'Edith Dekyndt pour la Fondation CAB à Saint-Paul-de-Vence, Specific Subjects, tisse des liens entre les technologies nouvelles et évolutives, les savoirs ancestraux et les enjeux contemporains. Certaines oeuvres défient la décomposition de la matière, permettant d'esquisser une atmosphère entre brutalité et fragilité, problématisant la présence de ces deux notions antagonistes dans un même lieu. L'exposition à Saint-Paul-de-Vence est à la fois un parcours dans l'univers artistique d'Edith Dekyndt, où le dialogue entre la nature et la culture s'entremêle avec le territoire, ainsi qu'une expérience qui transcende les espaces habituels de l'art. Elle nous invite, en tant que spectateurs à explorer de multiples niveaux de signification et à remettre en question notre compréhension de l'espace, de la mémoire et de la temporalité. Infos réservations : En ligne - https://fondationcab.com Par téléphone - +33 (0) 4 92 11 24 49 Par e-mail - spv@fondationcab.com
Vernissage le 28 juin, à 18h La galerie Eva Vautier a le plaisir de présenter l'exposition BACK AGAIN de Philippe Perrin. Après avoir exposé au Centre Pompidou (Paris) à la Maison Européenne de la Photographie (Paris), à la Villa Arson (Nice), au Musée d'art contemporain de Lyon, à la Biennale de Venise ou encore à celle de La Havane, Philippe Perrin propose, pour cette première exposition à la galerie, un dialogue entre quelques unes de ses oeuvres les plus récentes dont une série inédite : PEINTURES DE GUERRE. Exposition du 28 juin au 29 septembre Site web : https://eva-vautier.com/
Jean-Claude Bertrand - Résonances harmoniques Vernissage Jeudi 12 Septembre 2024 de 18h à 21h, en présence de l'artiste Exposition jusqu'au 26 octobre 2024 Entrée libre Jean-Claude Bertrand, né en 1948, est passionné par toutes sortes de musiques, musique classique et contemporaine et le jazz sa grande passion. Les émotions qui naissent en lui à l'écoute de la musique tracent un chemin créateur pour explorer les harmonies chromatiques. Serait-il possible de traduire ses émotions en couleurs ? Avec du rouge, du bleu, du jaune, les trois couleurs primaires accompagnées des tonalités du blanc au noir, Jean-Claude Bertrand se plonge dans la matérialité picturale. Le plaisir immense qu'il ressent est intact à chaque fois. Il trouve en lui la porte de la liberté intérieure, celle qui ouvre le chemin des possibles. Avec la maîtrise d'une main toujours plus sûre de ses e?ets, Jean-Claude Bertrand entrelace et superpose les strates multiples d'une partition chromatique délicatement modulée. Les gris-bleu aux opalescences irisées se réchau?ent d'ocres frottés, la matité poudreuse des couleurs contraste avec la brillance laquée des écritures gestuelles. Les toiles se voilent de transparences et d'opacité translucide. En un jeu plastique subtil, elles tissent des modulations émergeant des profondeurs, là où le coeur de la toile palpite, vibre, chuchote. La musicalité de la couleur apparaît, se dévoilant dans le silence de l'atelier. Jean-Claude Bertrand, écoutant les couleurs vibrer à son oreille, peint le monde invisible des modulaPons chromatiques... Les oeuvres de Jean-Claude Bertrand sont comme un re?et de soi, une image miroir d'une forme verticale qui surgit de la matière colorée. Les couleurs entrent en résonance avec le lecteur-spectateur et lui procurent des sensations et des émotions oubliées lovées au coeur de sa mémoire sensorielle. Catherine Koenig - Résonances harmoniques - juillet 2024 Site web : http://www.galerie-depardieu.com Infos réservation : Vernissage Jeudi 12 Septembre 2024 de 18h à 21h, en présence de l'artisteExposition jusqu'au 26 octobre 2024Du lundi au samedi de 14h30 à 18h30Entrée libre